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Película: Klass, sobre el Acoso Escolar y el Bullying.

La clase:

Joseph es un joven taciturno, introvertido, incompetente en los deportes, distinto, raro. Todo eso hace de él un cabeza de turco ideal para los matones de su instituto. La escalada de humillaciones y el ensañamiento van creciendo mientras la vida de Joseph se vuelve más insoportable.

Entonces llega Kaspar, un amigo inesperado, un aliado. Ahora ya no está solo. Ahora son dos y quieren la revancha porque los mansos se han cansado. Porque planean fría y concienzudamente su venganza… Siguiendo la estela de Elephant (Gus Van Sant, 2003) Klass es una reflexión sobre la gestación de la violencia adolescente, una historia que supone una llamada de atención sobre el acoso escolar (bullying) a la vez que, con objetividad, rastrea la crueldad en la adolescencia, sus motivos y las respuestas violentas en situaciones extremas

Estrenada como La Clase en España y como Muerte en la Escuela en Latinoamérica, es una película de Estonia del director Ilmar Raag, estrenada en 2007. Está protagonizada por Vallo Kirs, Pärt Uusberg y Lauri Pedaja, y trata sobre la violencia en los centros educativos, en este caso en uno de secundaria.

 

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Un an après : comment parler des attentats aux plus jeunes ?

Europa/Francia/Noviembre 2016/Noticias/http://theconversation.com/

Trouver les mots justes ? Changer les codes ?

Les élections aux USA n’ont pas grand chose en commun avec les événements terroristes à Paris, et pourtant… ils laissent sans voix, sidérés. Et l’on se demande comment parler aux jeunes générations de la société qui se dessine pour leur avenir. Derrière la peur ou la panique qui saisit, derrière les déclarations fracassantes relayées par la presse, il y a des valeurs qui ont pris le large, que l’on n’a plus assez dites et contextualisées dans le quotidien, qui deviennent l’occasion de contradictions et laissent place aux individualismes.

Avant de « trouver les mots justes », l’école doit réinterroger le sens et réinventer les mots eux-mêmes, au nom de la liberté : « sur les murs de l’école, j’écris ton nom, Liberté ». Et puis, finalement, l’école ne devrait-elle pas changer ses codes, réviser les rôles en donnant une place davantage proactive aux élèves, à tous les élèves dans le respect de l’inclusion ? Les « mots justes », s’ils existent, se diront ensemble.

Les enfants d’aujourd’hui doivent apprendre à vivre dans le fluide, les incertitudes, ce qui rend encore plus nécessaire le recours à leurs bases, à des valeurs éducatives et citoyennes que les enseignants comme les familles devraient aider à construire dans une cohérence concertée.

(Un an après la première publication du texte ci-dessous, le dessinateur Rémi Malingrey a porté un regard graphique et personnel sur cet article)


16 novembre 2015

Après les attentats, l’école a repris, les classes ouvrent de nouveau et le deuil national de 3 jours est encore présent. Comment parler aux enfants, aux élèves et aux étudiants, à nos jeunes ? Durant tout le week-end se sont déroulés des rassemblements spontanés, des bougies ont été allumées. Sur le sol, on a écrit « Pour eux » avec la date. Mais comment les jeunes peuvent-ils comprendre ?

Plusieurs enseignantes venant de niveaux de classes et de disciplines diverses ont réfléchi et ont partagé avec nous les différentes actions qu’elles vont mener, sans penser qu’il s’agisse pour autant de modèles.

Nous sommes toutes démunis devant l’horreur, chacune va contribuer à sa manière, aucune ne recule. Toutes affichent qu’il est possible de faire quelque chose avec les enfants dès le plus jeune âge, les jeunes et les étudiants. Aucun silence ne répondra pour elles à l’agression du 13 novembre à Paris.

Des questions chez les enseignants

Annabelle, enseignante en collège, écrit : « C’est sûr, les professeurs de français se sentent concernés et s’interrogent !… Faut-il parler des attentats, comment en parler, sommes-nous légitimes en faisant cela, ne va-t-on pas faire plus de mal que de bien, comment gérer des réactions extrêmes ou inacceptables éventuelles de la part de certains élèves ? Si on ouvre l’espace de parole, il faut sans doute accepter de tout entendre (on l’a vu au mois de janvier). Comment réagir alors ? L’institution nous demande de signaler tout dérapage… Est-ce la bonne façon de gérer tout cela ? Les élèves vont-ils en parler à chaque heure de cours (dans ce cas, ça perd de son intérêt si on a la classe l’après-midi) ?

Et puis, j’ai conscience qu’en parler veut dire être capable de gérer toutes les remarques en restant professionnel, digne, fort, solide, pour aider les élèves, mais … je me sens au bord des larmes, fragile. J’en ai parlé avec ma fille qui est revenue du lycée samedi midi. Je lui ai demandé si elle avait parlé des attentats en classe, elle m’a répondu « Non, les profs, ils s’en foutent, ils ont dit qu’on avait autre chose à faire ». J’ai compris ce qu’ils avaient voulu dire avec maladresse, mais ça m’a fait mal. Je pense qu’en dehors de l’ampleur du nombre de victimes, il s’agit essentiellement de jeunes, agressés dans des moments de loisir, donc nos élèves se sentent vraiment concernés. Je crois que c’est sur ça que je voudrais d’abord les faire réfléchir. Quels étaient les lieux visés, pourquoi, en quoi c’est une atteinte à la liberté, qu’est-ce que ça veut dire la tolérance… ».

Ainsi, la liste de diffusion de Weblettres, le site associatif des professeurs de lettres, se fait l’écho des questions qui agitent les enseignants de français. Comment retrouver une place de guide lorsque le drame nous submerge ? Le site livre des pistes pour tous ceux qui se sentent démunis, mais ne veulent pas fuir. Les valeurs d’humanisme, la liberté, la culture, c’est tous ensemble dans la classe. Il s’agit de (re)créer la communauté et de la faire vivre.

Le besoin de rassurer

Monique, directrice d’école primaire dit : « En arrivant à l’école, je vais entendre mes collègues, voir comment nous allons procéder pour cette minute de silence, rassurer les élèves. Il s’agira pour nous dans un premier temps, d’accueillir les paroles des élèves, mettre des mots sur les ressentis, rester factuel, ne pas interpréter. »

Certains élèves ne comprennent pas ce qui se passe. Le « même pas peur » des adultes leur est étranger, ils balayent la réalité d’un revers de manche, s’enferment dans des postures de repli. Que faire ? Nombre d’entre eux sont aussi touchés par la peur qu’ils sentent malgré tout dans l’attitude des adultes.

Et certains se sentent stigmatisés, en danger peut-être… Il faut rassurer la jeunesse, ne pas laisser libre cours à cette ambiance.

Dany, enseignante en primaire, a décidé de mettre en place des activités autour de symboles : la paix, le vivre ensemble, par des activités de coopération positive et non de conflit ou de compétition. Elle a choisi des tâches développant les compétences sociales, des activités et des jeux pour se respecter, s’écouter, négocier ensemble.

Dans ces jeux, on poursuit un objectif commun, personne ne gagne ou ne perd seul et l’on découvre que c’est plus facile de perdre ensemble ou que l’on a bien plus de plaisir à résoudre collectivement un défi que seul (ex. le jeu allemand Tempo kleine Schnecke de Ravensburger, les jeux de plateaux, La ronde des oies, Le bal masqué des coccinelles). Ou encore on coopère pour atteindre un but ensemble, comme avec les jeux de rôles collectifs où chaque enfant est impliqué et apporte sa pierre à l’édifice (construire ensemble, faire une valise qu’un animal défait, etc.).

Selon le site non-violence actualité, « le développement des compétences psychosociales telles que la négociation, la résolution de conflits, la pensée créatrice, la capacité à prendre des décisions, à faire face aux évènements, les relations interpersonnelles et la communication, sont des éléments importants pour permettre un mieux-être individuel et collectif. Les recherches conduisent aux mêmes conclusions pour ce qui concerne la prévention des violences. Les phénomènes de violence résultent souvent d’une absence de parole ».

Dans ces jeux, le plaisir est présent et fondement de l’acte d’apprendre ensemble et de résoudre des problèmes en groupe.

Le besoin d’échanger et de partager

Carole, une enseignante de grande section, a opté pour accrocher un grand drap blanc dans la classe, sur lequel en arrivant à l’école les enfants ont dessiné avec de gros feutres de couleur ce qu’ils ont entendu, ressenti, vu durant ce week-end. Ensuite, assis en cercle, ils en ont discuté ensemble. Certains ne disaient rien, mais tous avaient dessiné. La parole ne libère pas toujours, surtout chez les très jeunes enfants. Mettre des mots sur l’indicible, s’apercevoir que les mots ne suffisent pas toujours.

Dans cette classe, il y a une forte proportion d’enfants dont le français n’est pas la langue de la maison. On a alors particulièrement pris en compte leurs dessins. Et expliqué ensuite les événements pour mettre des mots sur les faits, pour comprendre : « C’est quoi un attentat ? Tu as peur d’aller à l’école, toi ? Papa et maman ont éteint la TV ce week-end ; pourquoi ? »

Pour Carole, comme pour beaucoup d’autres enseignants, le temps de s’exprimer est primordial, mais aussi et avant tout le temps d’écouter les angoisses et les questions des jeunes. Ensuite, les élèves ont fait une ronde en écoutant des musiques du monde. Ensemble, par la musique et la danse, ils ont combattu les démons. L’art et le corps au service de la paix.

En primaire, et dans un second temps, une enseignante prévoit de mettre en place des débats réglés et d’organiser des ateliers philo. Une autre ne sait que faire, alors elle utilise le dossier d’Astrapi. Chacun sa solution, mais ne pas laisser le silence et l’ignorance s’installer…

Fatma, enseignante d’anglais en collège, s’exprime en anglais pour en parler :

1 : Listen
2 : Share
3 : Draw conclusions that have never been put foward !

My option will be a constructive approach :
1 : The lessons in the next few weeks will be focussed on the future :
2 : These lessons will be followed up by a conditionnal tense : to promote a creative sence of a future.

Le besoin de recourir à nos fondements culturels

Dans la classe de Valérie, les élèves vont relire des textes littéraires. Ils verront qu’à diverses époques, Céline (Voyage au bout de la nuit) ou Camus (« Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse »), tout comme bien d’autres grands penseurs, ont aussi contribué aux questions d’aujourd’hui.

Plusieurs enseignants de français soulignent l’importance d’expliquer l’Humanisme et les Lumières. Weblettres propose un choix de textes sous le titre « Notre arme à nous, c’est la culture ». Dans la classe de Nathalie, c’est le cinéma qui va aider les élèves avec le point de vue suivant : « Je veux leur montrer, comme prévu, cet extrait de La Nuit américaine de Truffaut.

Le besoin de s’inscrire dans la durée

A la fin de la matinée en maternelle, les enfants de la classe de Carole ont décidé d’écrire à d’autres enfants du 11e arrondissement dont on leur avait parlé il y a quelques temps.

Et puis il y a le danger des rumeurs qui font et défont les croyances avec davantage d’impact que le travail dans la durée parfois. Alors par exemple, on utilisera au second degré des articles parus sur les sites de presse.

Chez Monique, la directrice d’école primaire, c’est aussi dans la durée que l’on va s’inscrire. Pas seulement en agissant les premiers jours, mais en proposant des activités hebdomadaires pour développer le sens de l’autre et du respect.

Elle s’appuie sur les travaux de Serge Tisseron et notamment sur le jeu des 3F (le jeu des trois figures). Serge Tisseron est psychiatre, et chercheur associé à l’université Paris 7. Les avis des psychiatres, leur aide est nécessaire pour les enseignants démunis. Ici, les 3F ce sont les trois figures de l’agresseur, de la victime et du tiers. Dans un jeu de rôle sur un thème inventé, les élèves vont alternativement jouer chacun des trois rôles et les discuter ensuite.

Ce travail de recherche a servi notamment pour évacuer la violence devant les écrans de TV. Monique va le reprendre et d’adapter à la situation présente. Ces activités se dérouleront chaque semaine durant un mois.

D’autres envisagent des expositions sur la paix, la tolérance, construites par plusieurs classes et réunies dans le hall d’accueil de l’établissement. Les enseignantes (dont les noms ont été modifiés) qui nous ont soumis leurs suggestions sont des femmes de tous les jours, avec des doutes et leurs propres peurs.

Mais elles ont partagé pour que ne s’installe pas la barbarie.

Fuente:

http://theconversation.com/un-an-apres-comment-parler-des-attentats-aux-plus-jeunes-50807

Fuente imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/ljQvgC1zmLoPDjLGW9DfJS-uZWGfnj3L8iMFp1U8CNTzClqOCkGKv3H1AnKwhDYe6qato3o=s85

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Comisión Europea: Europa necesita adaptar educación a refugiados y migrantes

Europa/ Unión Europea/ 14 Noviembre 2016/ Fuente: 20 minutos.

Los gobiernos de la Unión Europea necesitan tomar medidas para tornar sus sistemas educativos más adecuados e inclusivos a la luz del creciente número de refugiados y migrantes, advirtió un informe publicado hoy aquí por la Comisión Europea (CE).

En 2015, 1.25 millones nuevos migrantes llegaron a la Unión Europea (UE), frente a 400 mil en 2013, y cerca de 30 por ciento de esa población eran menores de 18 años.

“Dada su corta edad, la educación es un potente motor para la integración de los jóvenes de origen inmigrante. Sin embargo, los resultados de estos jóvenes siguen siendo peores que los de los residentes nativos”, señaló la edición 2016 del Monitor de la Educación.

Entre los jóvenes migrantes la tasa de abandono escolar prematuro fue de 19 por ciento en 2015, comparado con 10.1 por ciento entre la población nativa.

Ese mismo año 36.4 por ciento de los migrantes residentes en la UE tenían un título de educación terciaria, una proporción que llega a 39.4 por ciento entre los europeos.

“Todo ello apunta a la necesidad de que los Estados miembros redoblen sus esfuerzos, sobre todo teniendo en cuenta el aumento del número de refugiados y migrantes que vienen a la UE”, añadió el documento.

Algunos países ya empezaron a adaptarse, como es el caso de Austria, donde se han establecido clases de transición en los centros de formación profesional y en la educación general.

Francia tiene previsto poner en marcha el programa “la apertura de los centros escolares a los padres para que la integración sea un éxito”, mientras que Bélgica ha aumentado la capacidad de las aulas de acogida y el número de profesores de idiomas.

En Alemania se preve la creación de 300 mil nuevas plazas desde la educación infantil y la atención a la infancia hasta la formación profesional. Para ello, el gobierno estudia contratar más de 40 mil profesores y miles de trabajadores sociales.

El informe defiende la importancia de la diversidad en los cuerpos docentes, que deben incluir hombres, jóvenes y personas de distintos orígenes, con el fin de “ofrecer a los alumnos y estudiantes una riqueza de ejemplos a seguir”.

También señala que, además de proporcionar conocimientos y capacidades, el sistema educativo también puede contribuir para combatir la actual tendencia populista y extremista que vive la UE.

“Todos los niveles de educación, incluyendo la de adultos, puede promocionar la ciudadanía y los valores comunes de la libertad, tolerancia y no discriminación”, destacó el informe.

De manera general, el estudio reveló que la UE está muy cerca de alcanzar sus objetivos para 2020 en materia de educación. La tasa de abandono escolar prematuro se situó en 10.1 por ciento y la de educación terciaria en 38.7 por ciento en 2015, frente a las respectivas metas de menos de 10 por ciento y de 40 por ciento.

La proporción de niños menores de cuatro años que frecuentan una institución educativa fue de 94.3 por ciento el pasado año, siete décimas por debajo del objetivo. En 2014 la inversión pública en educación creció en un promedio del 1.1 por ciento en toda la UE comparado con 2013, luego de tres años consecutivos de contracción.

En seis países (Bulgaria, Hungría, Letonia, Malta, Rumanía y Eslovaquia) el aumento fue superior al 5.0 por ciento.

En cambio, diez países redujeron el gasto en educación en 2014 con respecto a 2013: Austria, Bélgica, Croacia, Chipre, Estonia, Finlandia, Grecia, Italia, Lituania y Eslovenia.

“El desafío de la financiación en la educación reside en invertir tanto suficiente como efectivamente”, advirtió el informe.

Fuente: http://www.20minutos.com.mx/noticia/155227/0/union-europea-necesita-adaptar-educacion-a-refugiados-y-migrantes/

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Evolución de la tecnología y procesos de cambio e innovación educativa

Evolución tecnológica y enseñanza.
La proliferación de experiencias de uso de las TIC en la enseñanza puede suponer, a veces, la aparición de nuevos vocablos en el mundo educativo solamente, sin constituir otra innovación. De hecho en los últimos tiempos hemos oído hablar de ‘enseñanza virtual’, ‘campus virtual’ ‘universidad virtual’, y más recientemente ‘e-learning’, la última  moda –al menos terminológica- en lo que a utilización de las tecnologías en la educación se refiere.

El fenómeno de la evolución de las telecomunicaciones –causante en último término de la aparición de los mismos puede considerarse irreversible y nos otorga la responsabilidad de preparar a las jóvenes generaciones y a los ciudadanos en general como usuarios de estos medios en la profesión, en el trabajo, en la vida y en el ocio. Los ciudadanos, en efecto, disponen ya –o dispondrán en un futuro próximo- de posibilidades de conexión desde establecimientos destinados a tal fin y relacionados con el ocio, la intercomunicación, etc., o desde el propio hogar. Es nuestra responsabilidad contribuir a orientar este fenómeno, y esta tarea es más urgente si tenemos presente que las redes tal como las conocemos, Internet entre ellas, tienden a quedar superadas, disponiendo cada día de mayores y más fáciles servicios.

El desarrollo de la tecnología y su uso como medio de instrucción en los procesos de enseñanza han dado lugar a distintas modalidades educativas, entre ellas, la educación a distancia, autoformación o aprendizaje independiente. Taylor, (1995) presenta dicha evolución en 4 generaciones1:

El Modelo de correspondencia se ha visto generalmente como la primera generación de educación a distancia y ha sido incorporado por el Modelo Multimedia, que supone el uso de recursos de e-a refinados y culturalmente desarrollados, incluyendo guías de estudio impresas, lecturas seleccionadas, vídeos, audiotapes y cursos de distinto tipo basados en ordenador. Mientras  muchas instituciones están involucradas en la evolución desde el modelo por correspondencia al modelo multimedia, otra importante tendencia es cambiar hacia la tercera generación del Modelo de Teleaprendizaje de educación a distancia, basado en
el uso de las TIC, incluyendo audio conferencias, sistemas de comunicación audiográficos, videoconferencia, radio y televisión de banda comercial, etc. La emergencia de la cuarta generación, el Modelo de Aprendizaje flexible, promete la combinación de los beneficios de la alta calidad de Multimedia Interactiva basada en CD-ROM, con una alta interactividad y acceso a un abanico cada vez mayor de recursos e-a ofrecidos por la conexión a internet.

Consideradas como instrumentos de formación, las TIC ofrecen un conjunto de perspectivas condicionadas, tanto por los avances de las telecomunicaciones y las tecnologías de la información, como por las transformaciones que en el campo de la enseñanza se vayan dando por efecto de integración y/o adaptación de estas tecnologías. Basándonos en Davie (1995), podemos considerar 4 dominios de desarrollo que condicionan las posibilidades educativas de todos
estos avances2. Estos 4 dominios de desarrollo son:

1.- La tecnología física y Protocolos de software básico. Muchos de los cambios en la práctica de la educación mediante Comunicación Mediada por Ordenador son debidos o son posibles gracias al rápido  crecimiento de los ordenadores disponibles y de las formas en que éstos se interconectan. Avances de carácter tecnológico que potencian, sin duda, las redes de cara a la educación: evolución del ancho de banda necesario para las comunicaciones del siglo XXI; la
implantación del Ordenador de red (NC); o el desarrollo del WebTV compatible con la TV y de bajo coste, o los navegadores portátiles y el acceso móvil a internet, etc.Por otra parte está el software básico de internet: ftp, telnet,…,o el desarrollo y evolución de JAVA, Ipng y XML que permiten una programación más versátil, y que promete avanzar en los sueños de los usuarios de la WWW. Los avances en el tema de multimedia distribuida que hará realidad

4.- El diseño del aprendizaje. Avances en el diseño desde el punto de vista del alumno tanto individual como en grupo: Avances en las concepciones que nos ayudan a entender la transacción del aprendizaje desde el punto de vista del que aprende centrado en la motivación, la saturación en la información, estilos de aprendizaje, etc. La aparición de nuevos ambientes de aprendizaje que solo tiene sentido en el conjunto de cambios que afectan a todos los elementos
del proceso educativo (objetivos, contenidos, profesores, alumnos. Estos nuevos espacios educativos pueden referirse, tanto al impacto que la introducción de las TIC tiene en la enseñanza convencional, como a la configuración de nuevos escenarios para el aprendizaje. Entre el aula convencional y las posibilidades de acceso a materiales de aprendizaje.

Fuente:

 jesus-salinas-articulo-por-partes-i-en-adelante-innovacioneduc2-008

Fuente imagen

https://lh3.googleusercontent.com/DGO6XND5vxVxquvmdQmyW4SKHbdHxLEVyVv9tFiKfd3x6XRiyGYzadHDo9dfWx5kxzei=s85

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España: La Biblioteca para Jóvenes Cubit se vuelca en la educación por la diversidad y contra el racismo

España/14 de Noviembre de 2016/

Hasta el próximo 19 de diciembre se celebran las Jornadas de Cultura, Afrodescendencia y Decolonialidad, organizadas por el Ayuntamiento de Zaragoza en colaboración con la revista digital Afroféminas. Una nueva actividad organizada tras la buena acogida de los talleres sobre ‘micro-racismos’ y ‘micro-machismos’, del pasado mes de marzo.

vanzar en la educación por la diversidad, la erradicación de los racismos y el conocimiento de la problemática que supone en el ámbito escolar. Ese es el objetivo de las ‘Jornadas de Cultura, Afrodescendencia y Decolonialidad’, que ha puesto en marcha la Biblioteca para Jóvenes Cubit del Ayuntamiento de Zaragoza, en colaboración con la revista digital Afroféminas.

La iniciativa pretende dar continuidad a la buena acogida que tuvieron los talleres organizados el pasado mes de marzo por Antoinette Torres Soler, directora Afroféminas, en los que se trabajaron los conceptos de ‘micro-racismos’ y ‘micro-machismos’ con estudiantes de Educación Secundaria de Zaragoza. En esta ocasión, se incluyen talleres en los que se abordan temas como la literatura y la empatía, la afrodescendencia desde los medios de comunicación o la descolonización de los cánones estéticos.

Las jornadas, que comenzaron el pasado 28 de octubre y se desarrollarán hasta el 19 de diciembre, tienen una doble vertiente: parte de ellas están concertadas con grupos escolares concretos, y otras son abiertas y dirigidas hacia el público en general. A lo largo de las sesiones se van a tomar imágenes para la realización del documental ‘Zaragoza, cultura e inclusión’, en el que participan Kossi Simeón Atchapka, periodista y refugiado de Togo (África) afincado en Zaragoza, y el documentalista zaragozano Carlos Usón.
Fuente: http://arainfo.org/la-biblioteca-para-jovenes-cubit-se-vuelca-en-la-educacion-por-la-diversidad-y-contra-el-racismo/
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Película: Los Coristas Frank

Reseña:

“El niño no es una botella que hay que llenar sino un fuego que es preciso encender”

 

En Les Choristes (2004) de Christophe Barratier la trama se desarrolla en Francia, en el año 1949, en un «orfanato – reformatorio» de la posguerra. Los alumnos, que tienen entre 8 y 13 años, concurren echados de otros establecimientos de enseñanza, se encuentran en el límite del sistema educativo.

Los Coristas está basada en un hecho real ocurrido inmediatamente después de la II Guerra Mundial, en que un maestro se empeña en crear un coro en un internado para niños abandonados o con problemas de conducta.

Clément Mathieu (Gérard Jugnot) es un profesor de música desempleado, que ha sido contratado como preceptor y maestro en un instituto correccional de menores, donde a través de ineficaces y represivas políticas, su director Rachin (Francois Berléand) intenta con dificultad mantener disciplinados a estos «alumnos problema».

La película nos ofrece el relato del educador, sus objetivos, sus propósitos, sus miedos y ansiedades. Pero nada nos dice de la perspectiva de los niños. Hace muchos años leí un libro de Peter Høeg, un escritor danés, que nos cuenta la perspectiva de tres niños -Peter, Katarina y August- encerrados en un reformatorio. Creo que ambos textos podrían ser leídos de manera complementaria. Los invito en este escrito a la suplementación del film con el texto literario, para escuchar las voces, no sólo del maestro sino también de los alumnos.

Link: https://www.youtube.com/watch?v=iOLVfhGewnw

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España: Invitan a imaginar «una sociedad sin violencia de género»

España/14 de Noviembre de 2016/Lanza Digital

La concejal de Mujer, Alicia Loro, acompañada de las técnicos del Centro de Mujer, ha presentado las actividades programadas por su delegación para conmemorar el Día internacional en contra de la Violencia de Género, que se celebra cada 25 de noviembre. Una programación que sumándose al lema del Instituto de la Mujer de Castilla-La Mancha, ‘Imagina una sociedad sin violencia de género’, trae algunas novedades. Entre las  más destacada, el proyecto «Daimiel sumando esfuerzos» y el café-coloquio «La violencia de género desde diferentes perspectivas».

Loro ha hecho especial hincapié en que todas estas actividades pretenden concienciar y sensibilizar acerca de este problema, dirigiéndose sobre todo a dos colectivos concretos. Por un lado, los jóvenes, «que lamentablemente están reproduciendo ciertos estereotipos y un sexismo que parecían erradicados, así como a aquellas mujeres que han normalizado y cronificado situaciones de violencia de género», remarcaba la concejal.

De esta forma se trabajará la prevención en el ámbito que proporcionan los institutos educativos, que, como ha explicado la psicóloga del Centro de Mujer, Esther Gordillo, «se realizarán varias actividades para educar en igualdad y prevenir la aparición de la violencia de género». De esta forma, los alumnos de 1º de Bachillerato van a llevar a cabo una formación y unos talleres encaminados principalmente a prevenir la violencia sexual, «incidiendo en el principio ético que supone el consentimiento en torno a las relaciones sexuales», puntualizaba Gordillo.

Una formación que se llevará a cabo en el IES Ojos del Guadiana el lunes 14 de noviembre y en el Juan D’Opazo el miércoles 16. Pero además, se ha enviado material dirigido a todos los cursos de la ESO y Bachillerato, «con los que se trabajará en torno a la violencia de género a través de un corto, unas preguntas de reflexión y unos documentos referidos a los derechos sexuales de las personas».

Asimismo, de nuevo Daimiel será una de las sedes que acogerán el espectáculo musical contra la violencia de género promovido por la Diputación de Ciudad Real, que se desarrollará el jueves 24 de noviembre en el Pabellón de Deportes y que está dirigido a jóvenes de 1º y 2º de la ESO de los institutos locales. Para finalizar, de nuevo se lanza el Concurso de Eslóganes para jóvenes y cuya resolución será el viernes 25 de noviembre dentro de los actos centrales contra la violencia de género en el día que se conmemora esta efeméride.

Fuente: http://www.lanzadigital.com/news/show/sociedad/invitan-a-imaginar-una-sociedad-sin-violencia-de-genero/106928

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