Education à la sexualité : la France coincée dans «une approche encore trop sanitaire»

Francia/Noviembre de 2017/Fuente: LCI

Resumen:  Esta es una pregunta que muchos padres se preguntan: ¿cómo desarrollar en sus hijos una relación saludable con la sexualidad en la era de la proliferación de contenido pornográfico en Internet? El defensor de los derechos, Jacques Toubon, publica el lunes su informe anual sobre los derechos del niño. Y parte de su informe está dedicado a la educación sexual de los niños.

Primera observación, Francia tiene «un enfoque demasiado higiénico» sobre este tema. Como tal, el papel de la escuela es primordial. Ciertamente, es esencial capacitar a los más pequeños en los temas relacionados con la anticoncepción y prevenirlos de los riesgos (SIDA, infecciones de transmisión sexual). Especialmente porque las ITS aumentaron en un 10% entre los jóvenes de 15-24 años entre 2012 y 2014.

Aborder le sujet de la sexualité avec les plus jeunes pour mieux lutter contre les stéréotypes et les préjugés sexistes et homophobes n’est pas une sinécure. Le défenseur des Droits publie ce lundi un rapport sur les droits de l’enfant et consacre un volet à cette épineuse question. Décryptage.

C’est une question que de nombreux parents se posent : comment développer chez leurs enfants un rapport sain à la sexualité à l’heure de la prolifération de contenus pornographiques sur Internet ? Le Défenseur des droits, Jacques Toubon, publie ce lundi son rapport annuel sur les droits de l’enfant. Et une partie de son rapport est consacrée à l’éducation à la sexualité des enfants.

Premier constat, la France a «une approche encore trop sanitaire» sur ce sujet. A ce titre, le rôle de l’école est primordial. Certes, il est essentiel de former les plus jeunes aux enjeux liés à la contraception et les prévenir des risques encourus (Sida, infections sexuellement transmissibles). D’autant que les IST ont augmenté de 10% chez les 15-24 ans entre 2012 et 2014.

Mais «l’apprentissage de l’égalité des sexualités, du respect des orientations sexuelles et des identités de genre et la lutte contre les préjugés sexistes ou homophobes» devraient également être des sujets de préoccupation selon le Défenseur des droits. Or, cette tendance à aborder la sexualité par la prévention crée «un décalage avec les attentes des bénéficiaires» et cela participe à «la consolidation d’une sorte de tabou» autour du sujet, pointe le rapport.

Questionner les normes sociales

Pourtant, l’éducation à la sexualité doit justement permettre de questionner les normes sociales, ajoute-t-il. Comme l’avait déjà indiqué le Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes (HCE), les jeunes filles se trouvent souvent confrontées à une «double injonction de se montrer désirables mais respectables» et les garçons sont soumis à une «norme de virilité».

Le Défenseur des droits souhaite que le sujet des violences faites aux femmes soit davantage aborder dans les séances dédiées à l’éducation à la sexualité, au nombre de trois par an du CP à la terminale.

Enfin, l’impact de l’accès précoce à la pornographie doit faire l’objet d’un débat, suggère le Défenseur des droits, car celle-ci véhicule «des représentations inégalitaires de la sexualité». A cet égard, l’éducation à la sexualité peut s’avérer particulièrement utile car elle peut permettre de «développer une perspective critique sur l’écart entre représentations pornographiques et expériences vécues du sexe et du genre», selon les mots de la sociologue, Claire Balleys, auteur de Socialisation adolescente et usages du numérique, citée dans ce rapport.

Mieux former les enseignants

Pour aider le personnel de l’Education nationale (les enseignants mais aussi les chefs d’établissements, les CPE, les surveillants, les infirmières scolaires), le Défenseur des droits recommande notamment de renforcer leur formation «aux techniques d’animation permettant de favoriser les échanges entre et avec les jeunes».

Des outils pédagogiques adaptés ne seraient pas non plus un luxe. Dans un rapport réalisé l’an dernier, le HCE avait dénoncé la vision «hétéronormée» et «biologisante» du guide du formateurqui définit la sexualité d’abord un mode de reproduction ainsi qu’une absence de réflexion sur l’égalité des sexes et des sexualités. Selon la direction générale de l’enseignement scolaire, ce guide, édité il y a presque 20 ans, est en cours de réécriture.

Le tabou de la prostitution des enfants

Naturellement, les parents ont également leur rôle à jouer même si ce sujet reste sensible dans de nombreuses familles. Selon une enquête réalisée en 2015 auprès d’élèves de 4e et de 3e, 59% des élèves n’ont jamais parlé de sexualité avec leur mère et 80 % avec leur père. Pour faciliter le dialogue, le Défenseur des droits préconise «d’associer les parents au projet d’éducation à la sexualité au sein des établissements afin de s’assurer de leur compréhension des enjeux et, dans la mesure du possible, de favoriser leur bonne appropriation de la démarche». Bien conscient du caractère intime du sujet, le rapport rappelle toutefois le droit des enfants à se taire s’ils ne souhaitent pas échanger avec leurs parents sur la question.

Alertée par des associations sur ce phénomène jusqu’ici inconnu, le Défenseur des droits veut enfin porter «une attention particulière sur la prostitution occasionnelle qui semblent augmenter chez les jeunes». D’après l’association Agir contre la prostitution des enfants, des collégiennes et des lycéennes «consentent à exécuter des prestations sexuelles tarifées à leurs camarades d’établissement scolaire». Sans plus de précision, le rapport préconise de «mettre en place les actions adaptées» et d’améliorer «la protection et l’accompagnement des jeunes concernés».

Fuente: https://www.lci.fr/societe/education-a-la-sexualite-sexe-mst-contraception-le-defenseur-des-droits-veut-mettre-fin-a-une-approche-encore-trop-sanitaire-2070701.html

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Turquía bloqueó el acceso a Wikipedia en todos los idiomas

Asía/Turquia/30 Abril 2017/Fuente: rpp/Autor:EFE

La decisión fue tomada por la Autoridad turca de Información y Comunicación y entró en vigencia este sábado.

Las autoridades de Turquía bloquearon este sábado el acceso a la enciclopedia virtual Wikipedia en todos sus idiomas. La Autoridad turca de Información y Comunicación (BTK), responsable del decisión, argumentó «consideraciones legales» pero no aclaró los motivos del cierre.

«Tras el análisis técnico y las consideraciones legales basadas en la ley 5651 (que regula los contenidos y la criminalidad en internet), se ha tomado una medida administrativa para la página web wikipedia.org», anunció en un comunicado la BTK. Según la ley, el ente debe solicitar a un tribunal que confirme la prohibición de acceso durante las 24 horas después de aplicar la medida.

Censura. El bloqueo es efectivo desde la mañana del sábado y afecta al acceso a Wikipedia en todos los idiomas en los que esta página está disponible. «La pérdida de acceso corresponde a los filtros de internet usados para censurar el contenido en el país», aseguró en una nota Turkey Blocks, un grupo que se dedica a vigilar las restricciones al uso de internet en Turquía.

Varios diarios mencionan que el Gobierno turco pidió retirar artículos que consideraba que hacían apología de terrorismo y que Wikipedia se negó a hacerlo. Turquía ha bloqueado en el pasado el acceso a redes sociales como Twitter o Youtube. EFE

Fuente de la noticia: http://rpp.pe/mundo/actualidad/turquia-bloqueo-el-acceso-a-wikipedia-en-todos-los-idiomas-noticia-1047246?ns_source=self&ns_mchannel=tema.huanuco&ns_campaign=content.cronologico&ns_linkname=1
Fuente de la imagen: http://e.rpp-noticias.io/normal/2017/04/29/325932_395950.jpg
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“¿Por qué seguimos haciendo esto?”: Irak bloquea internet para impedir trampas en los exámenes (de nuevo)

Irak/16 febrero 2017/Fuente: Global Voices

Por tercer año consecutivo, las autoridades iraquíes han recurrido al bloqueo de Internet para prevenir que los alumnos hagan trampas en los exámenes. El grupo de monitoreo de redes Dyn Research ha documentado cuatro interrupciones del servicio entre el 1 y el 6 de febrero. Estos cortes empiezan alrededor de las 8:30 de la hora local, y duran una hora.

Tres bloqueos de Internet a gran escala en Irak a lo largo de los 3 últimos días. Todos de alrededor de una hora.

Se espera que estos cortes de una hora, pensados para prevenir que los alumnos de 6º hagan trampas en los exámenes de nivel, duren una semana, según un medio local que cita al ministro iraquí de telecomunicaciones. Este tipo de bloqueos y cortes de la conexión a Internet se han convertido en algo común en Irak.

Por qué seguimos haciendo esto?

El año pasado, el gobierno iraquí bloqueó la principal fuente de fibra óptica nacional diez veces en mayo; los cortes duraron tres horas cada mañana. En agosto, y de nuevo en octubre, el gobierno recurrió a la misma táctica para parar las trampas de los alumnos durante los exámenes de recuperación. Otros apagones similares fueron documentados en el verano del 2015.

En el sistema educativo público de Irak, la participación es muy alta durante los exámenes nacionales, que con frecuencia juegan un papel importante en el futuro de la juventud iraquí.

Doug Madory, director del Análisis de Internet en Dyn escribe:

Dentro de la educación pública de Irak, si los estudiantes no consiguen una puntuación lo suficientemente alta en los exámenes de nivel de 6º, entonces su educación pública se acaba, y un futuro ya de por sí difícil se puede haber complicado aún más. Esto hace que los exámenes sean extremadamente importantes para el futuro de los estudiantes iraquíes, tanto así, que sus padres irán a veces muy lejos para conseguir alguna ventaja para que la educación de sus hijos pueda continuar.

Esto puede ayudar a entender por qué el gobierno iraquí está dispuesto a llegar a bloquear las redes para prevenir las trampas. Pero no justifica tales tácticas, especialmente porque el acceso a Internet está siendo, cada vez más, considerado un derecho básico. El pasado junio, el Consejo de los Derechos Humanos de las Naciones Unidas emitió una resolución no vinculante condenando “las medidas intencionadas para impedir o romper el acceso a o circulación de información online“, afirmando que “los mismo derechos que la gente tiene fuera de la red también deben ser protegidos en ella, en particular la libertad de expresión”.

La resolución vino cuando los bloqueos de Internet continuaron en el 2016, con Access Now documentando 56 interrupciones.

A lo largo de la región árabe, además de Irak, también se registraron bloqueos en Argelia, Bahréin, Egipto, Libia, Sudán, Siria, y Yemen. El pasado verano, el gobierno argelino desactivó Internet en los móviles para prevenir las trampas y la filtración de los exámenes del bachillerato. El movimiento impidió que más de 15 millones de usuarios accediesen a la red móvil, pero eso no evitó la filtración de los exámenes en las redes sociales, forzando al Ministerio de Educación a organizar unos nuevos exámenes en lugar de los que se filtraron. Por otra parte, en la protesta bareiní de Duraz, los proveedores de servicio de Internet estaban “impidiendo deliberadamente” las comunicaciones de líneas fijas y de datos móviles, dañando a los negocios en el proceso, y costándole al país más de 1,2 billones de dólares estadounidenses de su PBI en el lapso de ocho días, según un estudio de Brookings.

Los casos de Argelia y Bahréin muestran que los bloqueos de Internet no son solo fútiles, sino también dañinos. “Dañan a todo el mundo” y “no ayudan a las víctimas a restaurar el orden”, como comenta Access Now. Pero parece que el gobierno iraquí y otros gobiernos responsables de cortes y bloqueos de Internet todavía no reconocen esta realidad.

Fuente:https://es.globalvoices.org/2017/02/10/por-que-seguimos-haciendo-esto-irak-bloquea-internet-para-impedir-trampas-en-los-examenes-de-nuevo/

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