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France: Le district de Vinh Thuân en pleine innovation éducative

France/19 mai 2018/lecourrier

Resumen: En la Resolución del Undécimo Congreso (mandato 2015-2020) de la fiesta del distrito de Vinh Thuan (provincia de Kien Giang) con respecto a la educación, se estableció el objetivo de mejorar 23 escuelas (de 33 en distrito) para cumplir con los estándares nacionales.

Dans la Résolution du XIe Congrès (mandat 2015-2020) du Parti du district de Vinh Thuân (province de Kiên Giang) concernant l’éducation, a été fixé l’objectif de mettre à niveau 23 établissements scolaires (sur les 33 que compte le district) afin que ceux-ci répondent aux normes nationales.

Ngô Thi Ngoc Hanh, cheffe adjointe du Bureau de l’éducation et de la formation du district de Vinh Thuân, a rappelé que pendant l’année scolaire 2010-2011, le district ne comptait que deux écoles répondant aux critères nationaux en raison du manque de ressources financières allouées à l’éducation.

Entre 2010 et 2015, de nombreux éléments ont permis de renverser cette tendance et de tendre vers l’objectif précité. Avec une grande détermination, le secteur de l’éducation du district Vinh Thuân est parvenu à faire en sorte que, chaque année, quatre écoles correspondent aux critères nationaux, soit 16 en quatre ans (18/33 en 2015). L’effort a été principalement porté par les directeurs d’écoles et les parents d’élèves.

Selon Mme Ngoc Hanh, hormis la direction générale des autorités locales, le service départemental de l’éducation a également participé à l’amélioration du corps des gestionnaires de haut niveau et de la formation continue des enseignants pour mettre les écoles sur de bons rails. On comptait 22 établissements aux normes après l’année scolaire 2017-2018, notamment grâce aux efforts  de la commune de Vinh Phong.

Dans le but de consolider ces réalisations, les dirigeants de Vinh Thuân ont par ailleurs promulgué d’autres directives et mis en chantier cinq nouveaux établissements, dont deux écoles maternelles.

Fuente: https://lecourrier.vn/le-district-de-vinh-thuan-en-pleine-innovation-educative/461262.html
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Francia: El ente rector de la educación nacional termina con los viajes escolares a Apple.

Europa/Francia/europe1.fr

Resumen: La educación nacional termina los viajes escolares a Apple. Varias escuelas han establecido talleres de codificación en asociación con las tiendas Apple. El Ministerio de Educación consideró que «el interés educativo» no prevaleció durante estas salidas. Luego de un brote de controversia, el Ministerio de Educación ha decidido suspender los viajes escolares organizados en las tiendas de Apple y pide vigilancia para las salidas donde «el interés educativo» no tiene prioridad, dice t el viernes, confirmando información de prensa. Una camiseta y una llave USB. A principios de abril, un informe emitido en France 2 mostró a los estudiantes de CM2 en la región de París visitando una tienda de Apple para una introducción a la codificación. Fueron recibidos por los empleados a su llegada con un seto de honor, antes de que les ofrecieran una camiseta y una llave USB con el logo de la marca. Después de este informe y un comienzo de controversia, «las visitas escolares organizadas en Apple Store están todas suspendidas», dijo el viernes el séquito del ministro de Educación, Jean-Michel Blanquer, confirmando la información de Marianne y el MundoEl interés educativo. «La gente que dio la bienvenida a los niños en esta tienda tenía una actitud muy comercial, el principio de neutralidad no se respetó», dijo la misma fuente. Los viajes escolares fueron ofrecidos por varias escuelas en Francia, en Apple. Otros también están en Microsoft u otros grupos de computadoras para aprovechar los talleres de codificación. «Pedimos a todos los departamentos académicos responsables de la tecnología digital que observaran de cerca cómo estaban ocurriendo estas salidas, recomendando la máxima vigilancia», dice también el ministerio. Objetivo: «que el interés educativo predomine en gran medida» sobre un posible interés comercial.


Plusieurs établissements scolaires ont mis en place des ateliers de codage en partenariat avec des boutiques Apple. Le ministère de l’Education a estimé que «l’intérêt pédagogique» ne primait pas lors de ces sorties.

À la suite d’un début de polémique, le ministère de l’Education a décidé de suspendre les sorties scolaires organisées dans les magasins Apple et invite à la vigilance pour les sorties où «l’intérêt pédagogique» ne primerait pas, indique-t-on vendredi, confirmant des informations de presse.

Un tee-shirt et une clé USB.  Début avril, un reportage diffusé sur France 2 montrait des élèves de CM2 de la région parisienne en visite dans un Apple Store pour une initiation au codage. On les voyait ovationnés par les employés à leur arrivée, avec haie d’honneur, avant de se voir offrir un tee-shirt et une clé USB avec le logo de la marque. Après ce reportage et un début de polémique, «les visites scolaires organisées dans les Apple Store sont toutes suspendues», a indiqué vendredi l’entourage du ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, confirmant les informations de Marianne et du Monde.

L’intérêt pédagogique. «Les personnes qui ont accueilli les enfants dans cette boutique avaient une attitude très commerciale, le principe de neutralité n’était pas respecté», a-t-on expliqué de même source. Des sorties scolaires étaient proposées par plusieurs écoles en France, chez Apple. D’autres le sont aussi chez Microsoft, ou dans d’autres groupes informatiques, pour notamment profiter d’ateliers de codage. «Nous avons demandé à tous les services académiques responsables du numériques de regarder de près comment ces sorties se passaient, en recommandant la plus grande vigilance», souligne-t-on aussi au ministère. Objectif: «que l’intérêt pédagogique prédomine très largement» sur un éventuel intérêt commercial.

Fuente: http://www.europe1.fr/societe/leducation-nationale-met-fin-aux-sorties-scolaires-chez-apple-3649409

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Estudiantes protestan en París contra políticas de Macron

Europa/Francia/17 Mayo 2018/Fuente: Hispan tv

París ha vuelto a vivir una jornada de protestas; en esta ocasión han sido los estudiantes quienes han mostrado su malestar con la política del presidente francés. En el año que lleva como máximo mandatario galo, Macron ha visto como numerosos estamentos sociales han manifestado contra sus medidas.

El centro universitario por excelencia de París, capital de Francia, ha sido el punto de partida de una nueva manifestación de los estudiantes. Los sindicatos estudiantiles han vuelto a dejarle claro a Emmanuel Macron que no están dispuestos a aceptar sus cambios en la educación, en especial en cuanto al nuevo sistema de acceso universitario se refiere, que consideran elitista.

Por su parte, el profesorado también ha querido mostrar su desagrado ante la falta de medios, tanto en las universidades como para la investigación. La presencia de los representantes sindicales de los docentes también ha sido numerosa.

Otro de los puntos importantes de la protesta ha sido la represión policial, unas actuaciones, las de las últimas semanas, que los estudiantes consideran desproporcionadas. Hay que tener en cuenta que en la manifestación de hace unos días hubo 109 detenidos y numerosas personas heridas.

“Desde la escuela primaria a la universidad, más medios para la educación” o “Por otra sociedad, por otra escuela”, estos han sido algunos de los lemas que estudiantes y sindicatos han esgrimido en medio de un ambiente tenso y ante la presencia policial y unas medidas de seguridad extraordinarias.

Fuente: https://www.hispantv.com/noticias/francia/377287/protesta-estudiantes-medidas-emmanuel-macron-educacion

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Gestion autonome des écoles: Questions et préoccupations

Banque mondiale / 13 mai 2018 / Auteur: D. Brent Edwards Jr. / Source: L’Internationale de l’Education

La gestion autonome des écoles (SBM) constitue une des principales voies mises en lumière par le Rapport sur le Développement dans le monde 2018 (WDR) de la Banque mondiale, en vue d’améliorer l’éducation. Cela n’a rien de surprenant car depuis 1990, la SBM est une des reformes préférées de la Banque mondiale en matière de gouvernance dans l’éducation. En effet, comme l’avait souligné Dean Nielsen, un ancien Chargé principal d’évaluation au sein du Groupe indépendant d’évaluation de la Banque mondiale, le soutien de la Banque mondiale en faveur de la SBM s’est manifesté dès 1999, à travers sa Stratégie du secteur de l’éducation, sans qu’elle ne produise toutefois « aucune preuve que la SBM altère la valeur des résultats scolaires » (Nielsen, 2007, p. 84). Bien que de nombreux changements aient été observés au cours des vingt dernières années, une lecture plus attentive du WDR 2018 soulève des questions et des inquiétudes quant à la description de la SBM qui en est faite par la Banque mondiale et au bien-fondé des dispositifs SBM, en tant que stratégie pour améliorer la qualité de l’éducation.

La première question qui se pose concerne les définitions. Lorsqu’il est question de SBM, la Banque mondiale n’est pas vraiment précise ni constante sur ce qu’elle entend par ce terme. Le WDR 2018 stipule que le fait «de conférer aux écoles et aux communautés un pouvoir décisionnel et des ressources peut résoudre deux problèmes. » p.149. Tout d’abord, un dispositif SBM « peut encourager les enseignants àréagir instantanément aux besoins de leurs élèves » s’il donne aux « chefs d’établissements locaux et aux parents la capacité d’influer plus directement sur les enseignants et autres représentants éducatifs ». Pour autant, l’identité des « autres » représentants n’est pas clairement établie (p.149). En second lieu, le WDR souligne que « les écoles et communautés peuvent disposer d’informations plus pointues sur les besoins des écoles locales », ce qui, conjugué à un accès discrétionnaire aux ressources, leur permet de répondre plus précisément à ces besoins » (p149). En dépit de ces affirmations, le WDR ne définit pas concrètement ce qu’englobe un dispositif SBM, au-delà de l’observation générique concernant le fait de : « conférer un pouvoir décisionnel et des ressources aux écoles. » Il s’agit d’une omission substantielle, car il est dès lors difficile de traduire les propos ou la discussion qui suivent sur la SBM, en une information pratique, utile au public principalement visépar le WDR : à savoir, les décideurs politiques des pays à faible revenu ou à revenu intermédiaire. Bien que le terme SBM ait déjà été défini dans de précédentes publications de la Banque en tant que regroupement de chefs d’établissements, d’enseignants et de parents qui participent aux conseils d’établissement dans le but de prendre en charge un certain nombre de tâches de gestion, la définition élusive avancée dans le WDR 2018, tient peut-être au fait que l’échantillon d’exemples présenté dans le rapport n’est lui-même pas conforme à cette définition. Ce point renforce d’ailleurs les craintes exprimées précédemment, sur ce que promeut véritablement le WDR 2018 au-delà de toute affirmation évasive sur les avantages liés à un accroissement du pouvoir décisionnel et des ressources directement confiés aux écoles et aux communautés.

De même, la seconde question soulevée concerne les exemples référencés dans le Rapport et leur interprétation. Alors que la SBM (ou de façon plus générale, la gestion des écoles) constitue un des quatre domaines fondamentaux que le WDR 2018 identifie comme ayant un impact sur l’apprentissage, le Rapport ne consacre que trois pages à ce sujet (p 148-150). Pourtant, de nombreux exemples sont présentés dans les limites de cet espace restreint. Le fait d’accorder si peu de place au traitement de multiples exemples, compromet la teneur des propos exposés dans le WDR 2018. On y trouve ainsi des commentaires généralistes sur la supervision par la communauté, sur les programmes boursiers, sur la nécessité de donner le temps aux parents d’apprendre à « s’impliquer efficacement dans la gestion de l’école » (p 149) et sur l’importance de la capacité des parents et des communautés « à maitriser le flux d’informations relatif à la responsabilisation des enseignants et des écoles. » (p150). Cependant, aucun de ces exemples ne met clairement en évidence le fonctionnement attendu de ces stratégies dans la pratique. Il en ressort des déclarations théoriques d’ensemble comme celles mentionnées précédemment et que la Banque mondiale défend depuis les années 1990, telles que le fait que la SBM devrait favoriser les relations fondées sur la responsabilisation, devrait permettre plus de réactivité dans un contexte local, et devrait être plus efficace car les acteurs locaux connaissent les besoins de leurs écoles et peuvent ainsi y répondre de manière « plus précise ». Malheureusement, la Banque mondiale n’a pas utilisé les années écoulées depuis 1990, pour mener des recherches qui nous aideraient à comprendre comment mettre la théorie sur la SBM en pratique.

Troisièmement, l’interprétation des éléments mentionnés soulève une inquiétude supplémentaire. Avant toute chose, il conviendra néanmoins de saluer la Banque mondiale, pour avoir reconnu àmaintes reprises que certaines formes de SBM ont obtenu des résultats mitigés, et ne sont pas parvenues à accroitre l’implication des parents ou à améliorer l’apprentissage des élèves. Ceci dit, toute personne familière avec la documentation sur la SBM notera que les deux revues systématiques de littérature récemment conduites àce sujet, n’ont été que partiellement voire aucunement utilisées dans le rapport WDR 2018 (Carr-Hill et al., 2015; Westhorp et al., 2014). Ce point est inquiétant car les revues soulignent la difficulté à tirer des conclusions sur l’efficacité de la SBM (Carr-Hill et al., 2015), et mettent également en exergue des circonstances qui pourraient favoriser un meilleur fonctionnement de celle-ci (Westhorp et al., 2014). Ce dernier point constitue précisément le type de propos qui contribuerait à renforcer le WDR 2018. Au vu des résultats complets mis en évidence par les revues préalablement citées, on peut s’interroger sur les cas particuliers présentés dans le WDR 2018. Des inquiétudes quant à l’interprétation fallacieuse ou la divulgation partielle des détails de recherche sont quelque peu inéluctables avec la Banque mondiale, si l’on considère les antécédents de cette institution, en particulier au regard des questions en lien avec la SBM (Edwards & Loucel, 2017).

Alors que de nombreuses études sont citées – plus de 25 dans les trois pages consacrées à la SBM, un seul exemple tiré du WDR2018 suffit à prouver que nous ne pouvons être convaincu par aucune des interprétations révélées dans le WDR2018 sur la réalité en matière de la SBM. Le WDR fait référence à un programme réalisé au Mexique, qui constituerait l’exemple probant d’un programme de supervision permettant d’accroitre la responsabilisation par le biais d’un processus « d’échange circulaire d’informations entre les différentes parties prenantes ».(p150). Il est indiqué que le succès de ce programme tient au fait qu’il « ne s’adressait pas à un groupe unique mais visait à faire circuler l’information de manière explicite entre les dirigeants éducatifs et les enseignants ainsi qu’auprès des communautés et des parents » (p150). Voilà toute l’information dont nous disposons dans le WDR 2018. Toutefois, en lisant les commentaires se rapportant à ce cas, pour lequel aucun nom ou information particulière ne sont spécifiés dans le WDR 2018, on apprend que les écoles mexicaines ayant participé à ce programme supposé (connu sous le nom de : Program of Specific Attention for the Improvement of Educational Achievement) ont choisi de mettre en œuvre une ou plusieurs des quatre stratégies en faveur de l’amélioration de la gestion des écoles, dont la SBM fait partie (de Hoyos, Garcia-Horeno, & Patrinos, 2015). Pourtant l’étude diffusée ne fournit aucune information sur le nombre d’écoles investies en termes de SBM, sur le mode de fonctionnement, ou sur les raisons que nous aurions de croire que cela a contribué à améliorer les résultats aux tests. En outre, sur ce dernier point, les résultats de la recherche restent flous. Deux approches statistiques distinctes ont été appliquées, dont une n’a attribué aucun effet notable àl’intervention de l’école dans la gestion, en comparaison avec d’autres écoles similaires issues des groupes témoins de référence. Cependant, même en présumant que le programme mentionné a effectivement eu un impact, nous ne savons toujours pas ce que cela démontre au regard de la SBM. Cette information si élémentaire sur la recherche sous-jacente àl’exemple du Mexique, sème le doute sur les commentaires déjà imprécis publiés dans le WDR 2018 en matière de SBM. Nous devrions donc rester prudents et ne pas prendre les affirmations sur la SBM révélées dans le Rapport, au pied de la lettre.

On peut passer plus brièvement sur les quatrième et cinquième préoccupations. A propos de la quatrième, le WDR 2018 déclare que « tout autre intervention [dans le système éducatif] devrait contribuer à renforcer l’interaction enseignant-apprenant » (p.145). Il est pourtant difficile d’imaginer en quoi les fonctions de supervision et de responsabilisation que le WDR 2018 envisage dans le cadre de la SBM, favoriseraient cette interaction plutôt que de la compromettre. Dans un chapitre plus en amont, le WDR 2018 indique que selon la Banque mondiale, il est possible de résoudre tous les défis d’apprentissage grâce à un judicieux mélange « d’incitations, de mécanismes de responsabilisation et de relations de pouvoir » (p. 172). Pour autant, aucune indication pratique n’est apportée sur le fonctionnement des dispositifs de SBM dans la pratique, les contextes d’opération, les conditions applicables, etc., ou sur la manière dont ces mécanismes permettront de consolider ou pas, l’interaction enseignant-apprenant (il va sans dire que ce qui est entendu par « interaction enseignant-apprenant » n’est pas spécifié et apparait uniquement comme un euphémisme servant à caractériser la capacité des enseignants à améliorer les résultats aux tests scolaires). En d’autres mots, le WDR 2018 manque de profondeur dans ses propos sur la mise en œuvre de dispositifs SBM. Cette carence est surprenante étant donné l’importance qu’accorde ce rapport àune perspective « systémique » des réformes de l’éducation.

Concernant le cinquième point, il apparait que la question de l’équité n’est pas abordée. L’équité constitue naturellement une préoccupation en matière de SBM car l’aptitude des écoles et des communautés à instaurer (ou pas) une stratégie SBM dépend de leurs capacités. Bien que la Banque mondiale souligne l’importance des capacités dans la réussite des dispositifs SBM, aucune crainte n’est exprimée sur l’éventualité qu’une SBM puisse exacerber les inégalités entreles communautés en raison de niveaux de capacités ou de capital social préexistants, et de disparités dans l’aptitude des écoles et des communautés à tirer profit des dispositifs SBM (voire à pâtir de leur mise en œuvre). Par extension, aucun commentaire n’est offert sur le fait que tenir compte de ces différences de capacités, exigerait d’accroitre le soutien et les ressources fournis par le gouvernement et/ou les acteurs internationaux. Bien entendu, cette perspective déplait aux spécialistes politiques de la Banque mondiale car elle n’entre pas dans le cadre favori de présentation la SBM en tant que dispositif plus efficace.

Les commentaires ci-dessus n’ont pas pour objectif de présenter la SBM comme un modèle de réforme somme toute, indésirable. Il s’agit plutôt de conclure en invitant ceux qui s’intéressent aux questions relatives à la SBM, à modifier leur approche vis-à-vis de ce mode de gestion des écoles. On souligne ici qu’il est nécessaire de réfléchir plus globalement au capital social des communautés, c’est-à-dire, dépasser les programmes étriqués sur la SBM afin d’examiner aussi les processus, les politiques, les conditions et les stratégies qui peuvent contribuer à renforcer les capacités des communautés, leur autonomisation, leur bien-être et plus largement leur capital social. L’implication des communautés dans les dispositifs SBM sera alors plus à même de favoriser la réussite de leur mise en application, de soutenir une participation plus constructive et de produire des résultats d’autant plus significatifs. Au vu de la qualification employée en référence à la SBM dans le WDR 2018, la Banque mondiale et autres organismes d’aide et d’assistance sont encouragés à changer la manière dont ils envisagent la SBM, et à tenir compte des questions mises en lumière ci-dessus.

« #WDR2018 à l’épreuve des faits » est une série promue par l’Internationale de l’Education. Elle rassemble les analyses d’expert(e)s et de militant(e)s de l’éducation (chercheurs et chercheuses, enseignant(e)s, syndicalistes et acteurs et actrices de la société civile) des quatre coins de la planète en réponse au Rapport sur le développement dans le monde 2018Apprendre pour réaliser la promesse de l’éducation. La série fera l’objet d’une publication en préparation des Réunions du printemps 2018 de la Banque mondiale. Si vous souhaitez y contribuer, veuillez prendre contact avec Jennifer à jennifer.ulrick@ei-ie.org. Les opinions exprimées n’engagent que leur auteur et ne représentent pas les positions de l’Internationale de l’Education.

Sources

Carr-Hill, R., Rolleston, C., Phereli, T., & Schendel, R. (2015). The effects of school-based

decision making on educational outcomes in low and middle income contexts: A systematic review, 3ie Grantee Final Review. London: International Initiative for Impact Evaluation (3ie). Recueilli à partir du lien suivant: http://r4d.dfid.gov.uk/pdf/outputs/SystematicReviews/61233_dfid-funded-decentralisation-review.pdf

de Hoyos, R., Garcia-Moreno, V., & Patrinos, H. (2015). The impact of accountability intervention with diagnostic feedback: Evidence from Mexico. Policy Research Working Paper 7393. World Bank. Accessible à partir du lien suivant: http://documents.worldbank.org/curated/en/297561468188928817/The-impact-of-an-accountability-intervention-with-diagnostic-feedback-evidence-from-Mexico

Edwards Jr., D. B. & Loucel, C. (2016). The EDUCO Program, impact evaluations, and the political economy of global education reform. Education Policy Analysis Archives, 24 (49), 1-50, 2016. https://epaa.asu.edu/ojs/index.php/epaa/article/view/2019

Nielsen, H. D. (2007). Empowering communties for improved educational outcomes: some evaluation findings from the World Bank’,Prospects, 37, 81-93.

Westhorp, G., Walker, D.W., Rogers, P., Overbeeke, N., Ball, D., & Brice, G. (2014). Enhancing community accountability, empowerment and education outcomes in low-and middle-income countries: A realist review. EPPI-Centre, Social Science Research Unit, Institute of Education, University of London. Accessibleà partir du lien suivant: http://r4d.dfid.gov.uk/pdf/outputs/SystematicReviews/Community-accountability-2014-Westhorp-report.pdf

Source de l’article:

https://ei-ie.org/fr/woe_homepage/woe_detail/15660/wdr2018-%C3%A0-l%E2%80%99%C3%A9preuve-des-faits-n%C2%B011-gestion-autonome-des-%C3%A9coles-questions-et-pr%C3%A9occupations-par-d-brent-edwards-jr?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

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France’s protesters revive ghosts of 1968 revolt

Europa/Francia/Bbc.com

Resumen: En Francia, la protesta es teatro. Y a medida que se acerca el medio centenario de mayo de 1968, parece que los accesorios están fuera, el escenario está recibiendo los toques finales, y los actores están aprendiendo nuevamente sus líneas. Las últimas semanas han permitido que ciertas almas imaginen que la Francia del presidente Emmanuel Macron está entrando en una zona de gran turbulencia dramática, comparable incluso con los eventos de hace 50 años, cuando las protestas estudiantiles y laborales cambiaron el país para siempre. En las universidades de Nanterre y París, punto de partida para las subastas del 68, una vez más hay sentadas, consignas y peleas con la policía. Los trabajadores ferroviarios proporcionan el músculo industrial que los trabajadores del automóvil de Renault dieron hace 50 años, con tres meses de huelgas contra la liberalización de Macron del ferrocarril estatal . Y en una esquina del oeste rural, los guerreros ecológicos actúan en sus batallas con las fuerzas del estado , que quieren expulsarlos del sitio de un aeropuerto ahora abandonado. Sin duda, todos estos movimientos, y otros por parte de trabajadores hospitalarios, pilotos de Air France, funcionarios de la justicia, etc. habrían seguido adelante de todos modos.Pero el aniversario del 68 les dio un impulso histórico, reavivando el ideal de la gran reunión, la convergencia de los lujuriosos (coalescencia de las luchas), que motivó las protestas en el día. Como lo expresó una de las innumerables pancartas en un campus de París esta semana: «Llegó el tren para mayo de 1968 … con un retraso de 50 años».


In France, protest is theatre. And as the half-centenary of May 1968 approaches, it looks like the props are out, the stage-set is getting the final touches, and the actors are once again learning their lines.

The few last weeks have permitted certain souls to imagine that President Emmanuel Macron’s France is entering a zone of high dramatic turbulence, comparable even with the events of 50 years ago, when student and worker protests changed the country for good.

In the universities of Nanterre and Paris – starting-point for the ructions of ’68 – once again there are sit-ins, slogans and fights with police.

Woman eyes graffiti at Tolbiac
Image captionWalls at the Tolbiac campus in Paris were covered with protest slogans

Railway workers provide the industrial muscle that Renault car-workers gave 50 years ago, with three months of strikes against Macron’s liberalisation of the state railway.

And in a corner of the rural west, eco-warriors act out their battles with forces of the state, who want to evict them from the site of a now-abandoned airport.

No doubt all these movements, and others by hospital workers, Air France pilots, justice officials, etc would have gone ahead anyway.

But the ’68 anniversary has given them a historical oomph, rekindling the ideal of the great coming-together, the convergence des luttes (coalescence of struggles), that motivated protests back in the day.

As one of the myriad banners put it in a Paris campus this week: «The train due for May 1968 has arrived… with a delay of 50 years.»

Students confront police in Paris, May 1968Image copyrightAFP
Image captionMay 1968: Police confront students near Sorbonne University in the heart of Paris
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What was May 1968 all about?

It began with a student occupation of Nanterre University in Paris. When the campus was shut down the protest moved to Sorbonne University, in the heart of Paris.

Thousands of leftist students demanded reform of the «bourgeois» university system and an end to President Charles de Gaulle’s «police state». France was gripped by a cultural upheaval – a youth rebellion against what was seen as an authoritarian establishment.

There were days of running battles in central Paris between students – hurling cobble stones – and baton-wielding CRS riot police, who fired tear gas. Hundreds were injured and nearly 500 students arrested.

Trade unions joined the protests, organising strikes across industry and transport, in a push for better working conditions.

The strikes spread across France until around 10 million workers paralysed the nation. Some feared that a communist revolution was looming.

De Gaulle managed to defuse the crisis by dissolving parliament, threatening a state of emergency and calling a snap June election. His supporters rallied in Paris and his conservative party triumphed in the election.

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Different interpretations

Rioting in Latin Quarter, May 1968Image copyrightAFP
Image captionThe riots engulfed Paris’s Latin Quarter – a stronghold of the left

Now, as today’s heated debates in the media go to show, opinions vary hugely in France about whether May ’68 was a good or bad thing.

For some, it was a moment of liberation from the repressive hypocrisy of the war generation.

If it erred into utopian leftist ideology, well that was just part of the French tradition and not to be taken too seriously.

But for opponents it marked the dissolution of family, school and nation, and heralded the future arrival of those modern-day curses: political correctness and moral relativism.

Still others see its real victory as the celebration of individualism, ensuring that US-style consumerism would enjoy its takeover of France unimpeded.

May 1968 police under hail of cobble stones in Paris
Image copyrightGETTY IMAGES
Image captionThe May 1968 clashes resulted in many injuries and much damage

For the philosopher and former education minister Luc Ferry, a strong critic of May ’68, «it was necessary that traditional values be liquidated, so that global capitalism could spread its wings».

But what both sides agree on are two things: first the fundamental importance of May 1968. No-one says it did not matter.

And second, they agree that calling it «May ’68» is merely a form of shorthand.

The student protests were the explosion, but the social changes that led to them went back more than a decade.

May ’68 in other words was part of a historical cycle.

Unobserved and unreported, society in the 1960s was straining to the point where finally it could no longer hold.

Then it burst, unleashing a new generation who were to become France’s cultural and economic leaders.

The writers of slogans on lecture-room walls went on to earn fortunes in advertising.

Similarities and contrasts

Is there anything comparable with the student protests of 2018?

On one level, perhaps. Today’s protesters are pushing a left-wing agenda based on the idea of universal access to higher education. Not so different.

And true, they are only a tiny minority of the overall student body. But then, famously, the protests of 50 years ago were started by just 100 people in Nanterre.

Damage inflicted by strikers on a kiosk
Image captionDamage after this month’s sit-in at Tolbiac campus is estimated at €700,000 (£610,757)

Go any deeper though and the comparisons fall apart.

In May 1968, the students were moving with the sweep of history.

Times were changing, and they were part of the change.

They were optimistic because they knew the coming epoch was theirs.

Students gather in front of the Paris Tolbiac university campus on April 20, 2018 in Paris after police evacuated the university in the early morningImage copyrightAFP
Image captionFrench students oppose reforms that would narrow their choice of courses

By contrast, today’s student protesters are pessimistic, because they sense their time has gone.

The French university system that they defend has been an abject failure. Today, only a third of students complete their degree courses inside the normal three years.

Hundreds of thousands drop out because they are on courses for which they are fundamentally unsuited.

That is because of the dogma of non-selection, which the Macron government is committed to ending.

Today the student protesters call not for change, but for preservation.

They are at the tail end of a historical cycle, not at its point of maximum momentum. Unlike in May ’68, they have no significant echo in society as a whole.

All they can do is act out their parts. But the play is only half-remembered, the director is absent and the theatre is near-empty.

Fuente: http://www.bbc.com/news/world-europe-43876888

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Bloquean 15 universidades francesas

Francia / 6 de mayo de 2018 / Autor: Eduardo Febbro / Fuente: Página 12

Estudiantes y gremios ferroviarios, de salud y aviación protestan contra Macron
El presidente francés prometió “ir hasta el final” con los ajustes. La batalla más dura seguirá siendo la de los ferrocarriles. Una mayoría de los encuestados cree que el país es menos justo y menos democrático.
Las aristocráticas calles del distrito 7 de la capital francesa rara vez son testigos de una revuelta estudiantil, menos aún de la toma de una de las instituciones más prestigiosas y elitistas del complejo sistema francés de educación: la Universidad de Ciencias políticas donde se capacitan los funcionarios de alto vuelo, los líderes políticos y empresariales. Atónitos, los vecinos de este centro de estudios que linda con lo más coqueto del barrio latino leen las pancartas pintadas por los estudiantes: “Aquí se capacitan quienes seleccionan. Bloquemos la fábrica de las elites”. También: “Contra la dictadura macronista”. En total, hasta ahora, hay unas 15 universidades bloqueadas o perturbadas por la oposición de los estudiantes a una de las reformas del presidente Emmanuel Macron: la ORE, Ley de orientación y éxito de los estudiantes.

El descontento social arraigado en las numerosos reformas lanzadas por el presidente electo hace casi un año abarca también los ferrocarrileras, los estudiantes de bachillerato, los hospitales y otros gremios afectados por la política del jefe del Estado. Francia vive hace varias semanas días negros debido a las huelgas en la compañía nacional de ferrocarriles, la SNCF. Este empresa ha sido siempre la encarnación del símbolo del modelo francés de servicio público. Ahora es un modelo de la tormenta.

El Ejecutivo tocó uno de los ramos más sensibles de Francia. La reforma de los ferrocarriles implica que los nuevos empleados que ingresen a la compañía no tendrán las ventajas de que gozaban antes. Entre otras cosas, se acaba la jubilación a los 55 años al tiempo que se abrirá el mercado de las vías a la competencia y se transformará esta empresa en una sociedad anónima. Según el gobierno, ese es el único camino para saldar la deuda de 45.000 millones de euros que arrastra la compañía mientras que los sindicatos que promueven las huelgas alegan que la meta no es otra que la de “destruir el servicio público”. Las reformas en este sector tienen la memoria agitada. Cada vez que un gobierno intentó retocar los ferrocarriles, el país terminó paralizado. En 1995 tuvo lugar en Francia una de las huelgas más extensas y prolongadas de la historia cuando el entonces gobierno de Alan Juppé, bajo la presidencia de Jacques Chirac, intentó reformar la empresa nacional de los ferrocarriles y tuvo que renunciar. Nada, sin embargo, movió la posición del actual primer ministro, Édouard Philippe, ni la de los parlamentarios de la mayoría que aprobaron ampliamente los cambios. Estudiantes, ferrocarriles, Air France, jubilados -han perdido poder adquisitivo– y hospitales, el país está convulsionado por la avalancha de reformas. El presiente se vio obligado, en dos oportunidades, a dar la cara a lo largo de dos entrevistas en la televisión perfectamente diseñadas. Macron prometió “ir hasta el final”. La batalla más dura seguirá siendo la de los ferrocarriles. Las huelgas intermitentes empezaron el 3 de abril y está previsto que se prolonguen hasta el tres de junio, justo antes del inicio de las vacaciones del verano europeo. Hay días en que las principales estaciones de trenes de la capital, la Gare de Lyon, la Gare de l’Est o la Gare du Nord, son un auténtico caos de pasajeros demorados. Sin dudas, será ese sector de la opinión pública quien se convertirá en el árbitro final.

Pese a los paros y las críticas, a los sondeos menguantes y a los epítetos como “presidente de los ricos” o “presidente de las ciudades”, el jefe del Estado parece aún gozar de una inédito estado de paciencia de parte de la sociedad. El país no es sin embargo iluso. Es consciente de la profundidad y la velocidad de las transformaciones introducidas por Emmanuel Macron desde que accedió a la jefatura del Estado en mayo de 2017. Una encuesta reciente realizada por la consultora BVA para el semanario Le Nouvel Observateur muestra la radiografía de una sociedad perturbada por la intensidad de las transformaciones. El “nuevo mundo” que Macron había prometido durante la campaña electoral es percibido como real. El 57% piensa que “Francia cambió desde hace un año” mientras que 32% reconoce que esos cambios son mucho más importantes de lo que hubiesen imaginado. La manera en que se valoran esos cambios es variable: 21% siente que Francia “cambió para bien”, 30% que fue “para mal” y otro 49% dice no haber percibido ninguna variación. La sociedad le reconoce en un 63% que Francia, en el plano internacional, es más ambiciosa desde que Macron llegó al Palacio del Elíseo. Sin embargo, hay, en el país, un consenso mayoritario para juzgar lo que ha sido una de las columnas vertebrales de la retórica de la construcción francesa: la justicia y la democracia. El estilo autoritario de Macron se traduce en la encuesta por una mayoría de 65% convencida de que Francia es ahora menos democrática, 75% juzga que el país es menos justo y el mismo porcentaje que se vive en una sociedad menos igualitaria. Sólo el 28% siente que la política actual permitirá que Francia se reforme profundamente ante el 54% que piensa lo contrario. En síntesis, el retrato que arrojan las encuestas es doble: un país más dinámico pero mucho menos justo. En un libro que aparece en estos días escrito por Jérôme Fourquet, director del Departamento Opinión de la consultora IFOP (Le nouveau clivaje) se demuestra cómo Francia no ha esquivado las enfermedades sociales derivadas de la globalización: fractura entre la ciudad y los suburbios, entre la ciudad y el campo, entre los conectados y los no conectados, etc, etc. Están los “que perdieron” con la globalización, y aquellos que “se adaptaron y ganaron”. Macron aparece claramente como el presidente de los últimos sin que, por el momento, esto llegue a desatar una ola de descontentos o revueltas tan potentes como para que el presidente modere el rumbo.

Fuente de la Noticia:

https://www.pagina12.com.ar/109111-bloquean-15-universidades-francesas

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(Video) Vea como los estudiantes franceses protestan por las reforma de Macron y se unen a los trabajadores ferroviarios

Francia/05 de Mayo de 2018/New

Francia se ha visto envuelta en protestas cuando los estudiantes, al oponerse a la regionalización de los servicios educativos, se han unido a los trabajadores ferroviarios, protestando contra las reformas del presidente francés Emmanuel Macron en el campo.

Una de las universidades más prestigiosas de Francia, L’Ecole Normale Supérieure, se vio obligada a cerrar cuando los estudiantes organizaron una ocupación en el campus, en protesta por los planes de Macron de aumentar la competitividad de la educación superior. En la actualidad, cualquier graduado escolar tiene garantizado un lugar en una universidad pública, pero el presidente del gobierno actual está reflexionando sobre la introducción de un enfoque más selectivo para abordar la sobrepoblación y para hacer frente a las altas tasas de deserción.

Según los manifestantes, el plan del gobierno para cambiar los criterios constituye un ataque contra la tradición igualitaria de la Quinta República de ofrecer una educación superior para todos.

«La educación superior debe ser accesible para todos y el gobierno que dice que hay una falta de medios es hipócrita», dijo Louis Boyard, presidente de la Unión Nacional de Estudiantes de Escuelas Secundarias.

Los estudiantes se han solidarizado con los trabajadores del ferrocarril que protestan por la reforma de Macron para hacer que el sector ferroviario, actualmente monopolizado por la SNCF, sea más competitivo, durante un mes. Se espera que las huelgas ferroviarias duren hasta fines de junio, a menos que el gobierno y los sindicatos lleguen a un consenso.

«Él [Macron] anunció que no dejará ir nada. Hoy le estamos anunciando que los ferroviarios, ellos también, no se desharán de nada «, dijo Laurent Brun, secretario general del sindicato CGT Cheminots.

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Más de 30,000 personas participaron en las manifestaciones anuales del Primero de Mayo en París, que inesperadamente se tornaron violentas después de que unas 1,200 personas enmascaradas con trajes negros comenzaron a destrozar las ventanas de los restaurantes y prendieron fuego a los vehículos de la construcción.

Los enfrentamientos dejaron varios manifestantes heridos, mientras que más de 280 personas fueron detenidas; según los informes de los medios, muchos de los vándalos pertenecían a grupos anarquistas. La policía y el gobierno fueron fuertemente criticados por su incapacidad para evitar la violencia durante las manifestaciones tradicionales.

Muchos dibujan paralelismos entre los mítines de hoy y las manifestaciones de mayo de 1968, que llevaron a Francia a un punto muerto, cuando los estudiantes comenzaron a protestar por las reformas al sistema universitario, con huelgas que involucraron a unos 11 millones de trabajadores que se extendieron posteriormente a las fábricas.

Fuente: https://es.news-front.info/2018/05/04/video-vea-como-los-estudiantes-franceses-protestan-por-las-reformas-de-macron-y-se-unen-a-los-trabajadores-ferroviarios/

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