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Francia: Éducation Europa /fr bilan du quinquennat et enjeux pour demain

Europa/Francia/Abril  del 2017/Noticias/https://theconversation.com/

« Quand on ne fait pas de communication c’est rare qu’on la fasse pour vous », c’est ce que déclarait François Hollande lors des Journées de la Refondation le 2 mai 2016. Et il ajoutait, toujours sur le ton de la plaisanterie : « si on attend que les compliments, on est pas toujours satisfait, si on attend les critiques, on peut avoir son lot… ». C’était il y a longtemps, très longtemps, en 2016…

Depuis François Hollande a renoncé à être candidat. Et la refondation de l’École semble bien loin dans la campagne présidentielle. Peu de candidats en tiennent compte, or le bilan devrait pourtant en être fait. On peut aussi se demander si les promesses des candidats sont à la hauteur des enjeux pour l’école de demain.

Les mots de la refondation

« Refondation », le terme choisi par Vincent Peillon était habile. Il permettait à la fois de rassurer puisqu’il renvoyait à un passé glorifié et d’envoyer aussi un signal à ceux qui pensent que l’École doit évoluer et s’adapter. Mais si le terme était porteur de beaucoup d’espérances, il a aussi généré des déceptions devant les compromis et le manque de lisibilité des réformes.

Car il a manqué un slogan à cette refondation. La finalité de tout cet ensemble de dispositifs décrits dans la loi de 2013 n’apparaissait pas assez clairement. Si la loi d’orientation de 89 se résume à « l’élève au centre du système » et celle de 2005 au socle commun, il n’y a pas le même mot d’ordre pour la refondation. À tel point que les journées de la refondation le reconnaissaient implicitement tout comme le 1er rapport du comité de suivi de la refondation : il y a eu un manque de lisibilité des réformes alors que la lutte contre les inégalités aurait pu être ce mot d’ordre mobilisateur.

On notera aussi que les créations de postes absorbées par une forte démographie non anticipée, par la reconstruction de la formation initiale et d’un vivier de remplaçants ont été, elles aussi, peu visibles pour les enseignants comme dans l’opinion.

Les maux des réformes

Après la grandiloquence des premiers mois, on est passé assez vite de la refondation aux « réformes »…

Or, le terme est ambigu et génère pas mal de difficultés. Il y a évidemment la crainte du changement. Mais il serait trop facile de voir les mouvements sociaux qui ont accompagné les principales réformes comme relevant uniquement de la « résistance au changement ». Il y a aussi l’idée implicite mais très vivement ressentie que tout ce qui précède peut être « mis à la réforme ».

Avec des enseignants qui mettent beaucoup d’eux-mêmes dans leur travail, il y a une tendance à prendre comme une critique de son propre travail ce qui se situe au niveau de l’ensemble du système. Or on peut pourtant faire son métier du mieux que l’on peut dans un système qui dysfonctionne…

La réforme est aussi une décision prise d’en haut par un pouvoir politique et appliquée ensuite par une technostructure. Cela se heurte à une culture antihiérarchique des enseignants et des pratiques de management qui restent bureaucratiques dans l’encadrement.

La concordance des temps

La gestion du temps a été un des problèmes de ce quinquennat. Pour l’éducation, il y a eu d’abord du retard à l’allumage. La loi sur la refondation dont Vincent Peillon prévoyait le vote en décembre 2012, n’a été publiée au JO que le 8 juillet 2013. La période d’« état de grâce » a été occupée par des discussions et concertations qui, au final, n’ont abouti qu’à faire ressurgir les tensions qui avaient été mises de côté au moment des présidentielles et législatives.

Le problème du temps s’est posé aussi avec la réforme des rythmes. Celle-ci semblait acquise puisque sous le précédent ministre (Chatel) une large commission avait conclu à sa nécessité. Ensuite, l’attentisme a abouti au télescopage avec les élections municipales et les enjeux syndicaux. Autre retard : celui de l’élaboration des programmes avec la mise en place laborieuse du Conseil supérieur des programmes et la démission de son premier président. Enfin, la plus belle illustration est donnée par la conjonction de la réforme des programmes et du collège et en plus pour tous les niveaux, une année avant la fin du quinquennat. On y trouve la conjonction du retard et de la précipitation. D’une manière générale, les retards pris dans l’application de la loi ont accentué l’absence de lisibilité.

Mais, plus que tout, tout cela nous rappelle que le temps de l’éducation n’est pas celui du politique. Ministre de l’éducation n’est pas le poste plus facile, car il est difficile de voir les effets de son action. Les enfants qui sont rentrés au cours préparatoire en 2012 seront évalués dans l’année 2021 par le système PISA. Pas facile pour un personnel politique et des Français qui veulent des résultats immédiats…

De haut en bas

Et si la refondation était la dernière réforme de ce genre ? Car la question qui est posée par la refondation est aussi celle de la méthode utilisée pour la conduite du changement.

Dans notre pays centralisé et bureaucratique, nous fonctionnons toujours avec l’illusion d’une décision prise d’en haut et qui descendrait impeccablement jusque dans chaque salle de classe.

La réforme du Collège a combiné cette illusion avec l’autoritarisme. Le fait de publier le décret le lendemain d’une manifestation a été un handicap certain pour la suite.

Le paradoxe de cette réforme est qu’elle a donc été vécue comme l’expression d’une « prescription verticale » qui s’impose à tous alors que son enjeu était de redonner du pouvoir aux équipes dans les établissements.

Or, on le sait bien, beaucoup de changements se font « à bas bruit », loin du tintamarre des annonces ministérielles et des déclarations syndicales. L’enjeu pour l’avenir sera de (re)donner du pouvoir d’agir aux enseignants dans un cadre aux objectifs clairs.

Quels enjeux pour demain ?

Cette question de la gouvernance de l’Éducation nationale est peu abordée. Elle est pourtant essentielle. Car c’est toute la question de la conduite du changement et de la confiance envers les acteurs du système qui est posée.

Dans la campagne on s’est focalisé sur le mot très ambigu d’« autonomie ». Derrière beaucoup y voient la remise en cause de l’égalité républicaine et dénoncent tout ce qui pourrait accroître le pouvoir du chef d’établissement comme une « caporalisation » insupportable, une dérive managériale et une mise en concurrence

Toutefois on voit bien aussi que le système éducatif est trop bureaucratique. Ce système génère ses effets pervers : force d’inertie, faible adaptabilité aux situations locales, lourdeur des contrôles… Il contribue aussi à l’infantilisation et la déresponsabilisation des acteurs…

L’École gagnerait à être plus efficace. C’est un chantier difficile car il faut naviguer entre deux écueils, celui du conservatisme sclérosant et celui d’un libéralisme destructeur.

Le service public d’éducation est-il mortel ? Cette question pouvait paraître saugrenue il y a quelques années. Elle ne l’est plus. Le développement des écoles privées hors-contrat et le rôle croissant des fondations, l’idée du chèque-éducation, tout cela nous montre que ce qu’on croyait immuable peut demain être remis en question. Il faut bien sûr s’inquiéter et dénoncer la marchandisation de l’École. Mais on doit aussi comprendre que tout cela prospère sur la difficulté de l’École à s’adapter et à tenir ses promesses.

Pour rendre l’école plus juste, on ne peut pas se contenter de rafistolages sur un grand corps malade. Changer le pansement ou penser le changement ?

Fuente:

https://theconversation.com/education-bilan-du-quinquennat-et-enjeux-pour-demain-75956

Fuente Imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/PpxS10nZNVGL1mqWeFI1RAsHrmOoW81hJmO3EiMwysfzFg4tuIGXI8__TZR40jTMVqld5ZY=s85

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Venezuela: Cuadrantes de paz ¿Qué son y para qué fueron creados?

América del Sur/Venezuela/Abril 2017/Noticias/http://www.mpprijp.gob.ve/

Son espacios físicos que abarcan de 2 a 5 kilómetros cuadrados, demarcados en zonas de alta ocurrencia delictiva. Actualmente hay 2.119 cuadrantes en todo el país, que a su vez concentran 79 municipios donde las estadísticas reportan particulares focos de criminalidad.

En los Cuadrantes de Paz confluyen funcionarios policiales y militares, líderes comunitarios, patrullas, motos, herramientas tecnológicas, metodologías de trabajo contra la criminalidad, todo el gabinete ministerial de interés social, consejos comunales y otras formas de organización popular. Se trata de los espacios donde se concreta el plan macro de seguridad ciudadana del Estado venezolano.

El propósito fundamental es generar una relación de proximidad entre el ciudadano y los funcionarios policiales y militares, para canalizar respuestas prácticas y efectivas frente a la delincuencia.

Aunque la iniciativa fue concebida en 2013, este año los cuadrantes de paz son objeto de ajustes que incluyen: establecer estos espacios en todo el país, más allá de la ocurrencia delictiva; incrementar la eficiencia del patrullaje inteligente; incorporar GPS a los vehículos y celulares para chequear el correcto uso de recursos dentro de cada cuadrante; monitorear las tareas de seguridad y apoyar la comunicación ciudadano-funcionario a través del servicio VEN 911.

Fuente:

http://www.mpprijp.gob.ve

Fuente Imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/W4w6VO7gZ4_0kmz3pVvA4y5u-dFsyozK1iJODrr4xNSz92QNpTpAIQhovNEtOjT9LHf1fFw=s85

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Chile: Mineduc posterga desmunicipalización de colegios de Arica y Magallanes en 4 años

América del Sur/Chile/Abril del 2017/Noticias/http://www.emol.com/

El cambio se incluye en las primeras indicaciones al proyecto de Nueva Educación Pública presentadas ayer por el ministerio. En tanto, en tres comunas de la capital el proceso comenzaría este año.

SANTIAGO.- El debate del proyecto que traspasa los 5.500 colegios municipales del país al Estado ha sido tan complejo que lleva un año y cinco meses en el Congreso, tiempo que convierte a esta reforma en la más extensa de las impulsadas por el Ministerio de Educación en el actual gobierno. Tanto así, que las indicaciones presentadas ayer por la ministra Adriana Delpiano a la comisión de Educación del Senado modifican el calendario de implementación de los 67 servicios locales de educación que se harán cargo de los establecimientos, consignó «El Mercurio». Los cambios incluyen postergaciones de hasta cuatro años para las regiones de Magallanes y Arica. En el proyecto original esos servicios debían estar operativos antes del 30 de junio de 2017 y de 2018, plazos que ahora se movieron hasta los primeros semestres de 2021 y 2022, respectivamente. El alcalde de Punta Arenas, Claudio Radonich (RN), asegura que la nueva fecha obedece a que su Corporación de Educación adeuda $11.300 millones. «Más allá de la convicción que uno puede tener sobre este proyecto, fui muy sincero y le transmití a las autoridades que Punta Arenas (…) no está en condiciones de liderar algo que para el Gobierno es muy importante, porque estamos tratando de pagar deudas», explica. Rodrigo Roco, encargado ministerial del proyecto, asegura que para fijar la nueva fecha consideraron observaciones hechas por el Congreso y en las audiencias. «El Ejecutivo consideró como una mejor opción que Magallanes ingrese al inicio de la segunda etapa de implementación, dado que su extensión territorial plantea complejidades específicas», detalla. Con todo, el calendario de implementación de los servicios locales se atrasó dos años. Según la senadora Ena von Baer (UDI), esto refleja las dudas del propio oficialismo, por lo que «se quiere establecer un escalonamiento más espaciado». Roco postula que ahora es más nítida la existencia de dos etapas: una más acotada que permite acumular experiencia y mejorar reglamentos; y otra de extensión, hasta completar todo el territorio nacional. Las primeras Según las indicaciones, el primer servicio del país agrupará a las comunas de Lo Prado, Pudahuel y Cerro Navia, y debe estar funcionando antes del 31 de diciembre. «Es una propuesta que nos acomoda, hemos iniciado un trabajo con los alcaldes de esas comunas», aseguró Delpiano. En 2018 debutarán los servicios en las comunas de Huasco, Coquimbo y Concepción. Para definirlo, dice Roco, se analizaron factores como matrícula, resultados escolares y el estado financiero de los municipios. Los primeros sostenedores que entregarán sus colegios se mostraron conformes. «Para mí, es una aberración que municipalidades como esta estén a cargo de la educación, porque no tienen recursos», señaló Cristina Navarro, directora del colegio Neptuno de Cerro Navia. No obstante, cree que los plazos fijados son acotados, y que necesitarán «un salvavidas» del Mineduc para pagar deudas. El edil de esa comuna, Mauro Tamayo, piensa que la educación no puede estar «sujeta a los vaivenes» del alcalde de turno. «Tenemos toda la voluntad para hacer el traspaso este año», añade, aunque el plazo final es 2020. Según la directora del colegio Finlandia de Pudahuel, Susana Herrera, ya están «en proceso» para cumplir con la desmunicipalización: «Tenemos que irnos ajustando a estos tiempos». Reforma con discusión inmediata El Ejecutivo decidió dar discusión inmediata al proyecto de Reforma a la Educación Superior, que lleva nueve meses en la Cámara. Con esta medida busca asegurar que los diputados de la comisión de Educación lo voten el martes, y que la Cámara lo despache en seis días. Además, representantes del Mineduc se reunieron ayer con diputados para mostrarles las indicaciones que se harán al proyecto, algo que los parlamentarios habían pedido como condición para votar. La ministra Delpiano afirmó que las indicaciones ingresarán antes del martes.

Fuente:  – http://www.emol.com/noticias/Nacional/2017/04/06/852948/Mineduc-posterga-desmunicipalizacion-de-colegios-de-Arica-y-Magallanes-en-4-anos.html

Fuente imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/HYPbF8GutZt9OWAKRqc5hnAYdZQAX5er9zi1UUKLH1KIdUPo94o7Il5qbydqMh8-3JJ-oLo=s85

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Capacitación de maestros, clave en nuevo modelo educativo: Peña Nieto

México / www.almomento.mx / 15 de Marzo de 2017

El presidente Enrique Peña Nieto aseguró que la capacitación de los maestros será fundamental para implementar el nuevo modelo educativo.

Durante la presentación en Palacio Nacional, Peña Nieto dijo que este nuevo modelo tendrá la más amplia participación de todos los actores.

Dijo que las maestras y los maestros son los actores más relevantes para lograr la transformación educativa en el país.

“Los maestros tienen el desafío de prepararse ante los nuevos contenidos pedagógicos, de tener un compromiso inquebrantable, tengan la certeza de que no estarán solos”, aseguró el jefe del Ejecutivo.

Peña Nieto aseguró que el nuevo modelo educativo es trascendente para el futuro del país.

En su mensaje, agradeció a todos los participantes, como el CIDE, para la creación de este nuevo modelo educativo.

Dijo que el sistema educativo en México es uno de los más grandes del país, pues hay dos millones de maestros.

Mencionó que los más afectados por la falta de actualización educativa son los niños y los jóvenes.

“Una de las grandes cinco metas de esta administración fue tener una educación de calidad”, recordó Peña Nieto.

El Presidente dijo que este modelo es el resultado del trabajo de académicos, organizaciones civiles, maestros, alumnos y padres de familia.

Habrá recursos propios y menos burocracia y mayor autonomía de gestión; además, la comunidad escolar tendrá mayor decisión para usar los recursos y de incidir en la creación de los temas de estudio.

“Las becas irán a quienes más los necesitan”, dijo Peña Nieto.

Peña Nieto dijo que el nuevo modelo asegura la inclusión, para que todos los estudiantes, sin distinción, puedan estar en este proyecto educativo.

Por su parte, el secretario de Educación Pública, Aurelio Nuño, agradeció a las personas que apoyaron el proyecto que entrará en vigor a partir del ciclo escolar 2018-2019.

Durante su participación, en la presentación del modelo educativo para la educación obligatoria, el titular de la Secretaría de Educación pública (SEP) reconoció a los gobernadores, al Instituto Nacional para la Evaluación de la Educación (INEE) y al Sindicato Nacional de Trabajadores de la Educación (SNTE), por el trabajo que realizaron en el nuevo modelo educativo.

Dijo que el Centro de Investigación y Docencia Económicas(CIDE) ayudó a partir de una metodología a sistematizar las opiniones sobre el modelo de consulta que se entregó en diciembre y con ello se hizo el nuevo modelo.

Aurelio Nuño explicó que a partir del proceso del CIDE se lograron presentar tres documentos.

Comentó que el primero de los documentos es sobre los fines de la educación que explica qué mexicanos se quieren formar; el segundo el documento es sobre el modelo educativo y el tercero que se presentó fue la ruta para la implantación del nuevo modelo 2018-2019.

El titular de la SEP, agregó que el nuevo modelo educativo está basado en cinco ejes centrales.

“El primer eje permitirá que los maestros tengan sus estrategias didácticas; el segundo consta en tener a la escuela en el centro, es decir hacer una ruta de mejora”.

Agregó que el tercer eje es la formación profesional de los maestros, que son las personas que están con los alumnos y los enseñan a pensar.

“El cuarto eje es la equidad e inclusión que permitirá construir escuelas inclusivas en donde se recibirá una educación de calidad y el quinto eje es la nueva gobernancia educativa que pondrá los elementos de las personas que tienen una responsabilidad con el modelo educativo”.

Destacó que el modelo educativo no permite concesiones políticas porque se está hablando de la educación para los niños y del futuro de México.

Fuente: http://almomento.mx/capacitacion-maestros-clave-en-nuevo-modelo-educativo-pena-nieto/

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Puerto Rico: ¿Qué está detrás de no escoger un boricua para dirigir la educación del país?

Centroamérica/Puerto Rico, 31 de Diciembre de 2016. Fuente: Tribuna invitada / Autor: Emilio Nieves

La designación de la Secretaria de Educación, Julia Keleher sorprendió a todo el país provocando la reacción inmediata de preguntarnos: ¿el gobernador electo no encontró a un o una boricua para dirigir el Departamento de Educación (DE)? Esta pregunta no se basa en criterios xenofóbicos, sino en el reconocimiento de que en Puerto Rico tenemos personas competentes para ocupar cualquier posición en el gobierno.

¿Por qué no se designó a un puertorriqueño que se haya formado en las escuelas y universidades de Puerto Rico? ¿Acaso la agenda asignada por el nuevo gobierno para implantarse en el DE fue rechazada por otros candidatos? ¿La prioridad es federalizar más al sistema educativo y desplazar la implantación de un proyecto educativo puertorriqueño que responda a nuestra realidad cultural y a la necesidad de forjar nuestro desarrollo económico? ¿Prevalecerá la visión empresarial de que aumenten las compañías privadas que buscan contratos en el DE para administrar fondos federales? ¿Los fondos federales determinarán la filosofía, la visión y las metas del departamento? ¿La designación responde a una imposición de la Junta de Control Fiscal? ¿Se pretende imponer una persona que esté en sintonía con la secretaria de educación federal designada por Donald Trump, la cual es una promotora de las escuelas chárter? Estas son preguntas básicas que provoca este nombramiento.

Sobre la designada, es evidente su simpatía y deseo de servir. Sin embargo, no es lo mismo dirigir una empresa privada de consultoría que dirigir una agencia con diversas situaciones y necesidades en las escuelas que tienen particularidades sociales, económicas, laborales, comunitarias, entre otras.

Una de las situaciones principales que hay que superar en el DE es la política partidista. Existe duda razonable de que la designada pueda enfrentar la estructura política partidista del Departamento de Educación. Su principal reto es no permitir que alcaldes y legisladores le impongan funcionarios en las diversas oficinas centrales, regionales y distritales. Aunque me temo que ya esos puestos están repartidos.

Por otro lado, es preocupante que el saliente Secretario de Educación aplauda esta designación, lo cual se interpreta como la continuidad de lo que debe cambiar: cierre indiscriminado de escuelas, reducción de la oferta académica, evaluación punitiva, burocracia y politización.

Exhorto a Julia Keheler a que atienda estas preocupaciones mediante reuniones iniciales con las organizaciones magisteriales, organizaciones estudiantiles, comités de madres y padres, entre otros sectores que son esenciales para impulsar, mediante el diálogo y la transparencia, los cambios que necesita el Departamento de Educación.

Fuente Noticia: http://www.elnuevodia.com/opinion/columnas/nohayboricuaparadirigireducacion-columna-2276614/

Fuente imagen: http://noticias.universia.pr/en-portada/noticia/

 

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Venezuela: En Gaceta Oficial transformación curricular para Educación Media

Venezuela/Diciembre de 2016/Fuente: Últimas Noticias

En la Gaceta Oficial número 41.044 se oficializó la transformación curricular para la Educación Media General en la modalidad de educación de jóvenes y adultos, así como el nuevo sistema de puntuación que funcionará el próximo año escolar 2016-2017. 

Por medio de una resolución emitida por el Ministerio de Educación, se determinaron los lineamientos de la reforma curricular en educación media que implica la implementación de nuevas materias para los estudiantes de bachillerato, y las horas dedicadas al estudio por semana durante el nuevo año escolar.

La educación de jóvenes y adultos es una modalidad del subsistema de educación básica enmarcada dentro del contexto de la educación permanente, concebida como un conjunto de acciones destinadas a atender la población a partir de los 15 años, tanto en el campo de la educación formar como la no formar, a través de un proceso de desarrollo integral del ser humano, con estrategias convencionales y no convencionales para lograr la transformación cultural, individual y colectiva de la población beneficiaria”, reza parte del texto.

Este cambio tiene como objetivo garantizar una formación inter y transdisciplinaria de las áreas con un proceso de evaluación cónsono con las estrategias educativas de la modalidad, así como reducir el tiempo de estudio y adecuar los horarios de acuerdo a las necesidades de los participantes.

Asimismo, se establece un nuevo sistema de calificaciones en la escala del 1 al 5, siendo 3 la calificación mínima aprobatoria. El estudiante es promovido al período inmediato superior cuando apruebe todas o tres de las áreas del componente básico.

Este decreto será aplicado en todas las instituciones y centros educativos oficiales dependientes del Ejecutivo Nacional, estatal, municipal, misiones, entes descentralizados y en las instituciones educativas de carácter privado del subsistema de educación básica.

Fuente: http://www.ultimasnoticias.com.ve/noticias/comunidad/gaceta-oficial-nuevas-materias-bachillerato-periodo-2016-2017/

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España: Podemos dice que la solución para la educación pública no es un pacto de Estado sino más financiación

España / www.teinteresa.es / 30 de Noviembre de 2016

El portavoz de Podemos en el Congreso de los Diputados, Íñigo Errejón, ha afirmado que «el problema de España con la educación pública» no se soluciona con un pacto de Estado «contra algo o a favor de algo», sino con más financiación y menos recortes.

Está bien que nos sentemos a discutir las cosas», ha afirmado en declaraciones a los medios tras conocer que PP, PSOE y C’s han acordado un texto para la creación de una Subcomisión en la Cámara baja para negociar un pacto educativo. «El problema es que se han hecho reformas para devaluar la calidad de la educación pública porque quienes las hacen son usuarios de escuelas y universidades privadas», ha apostillado.

Errejón ha insistido en que «se pueden hacer los pactos que se quieran», pero que el «fundamental» es el de los padres y madres de alumnos, organizaciones estudiantiles y profesores, «no para decidir sobre el modelo educación, sino para sostener una educación publica», algo, que, según ha advertido, «cuesta dinero», pero que es una «inversión y no un gasto».

Asimismo, ha recordado que la comunidad educativa ha dicho «de forma unánime» que hay que derogar la LOMCE y hay que sustituirla por una ley educativa que «proteja y blinde» la educación pública «como un servicio y una garantía de futuro».

El portavoz de Podemos ha advertido de que, independientemente de lo que su formación decida en torno a la creación de esta subcomisión, «lo importante» para él es que la red pública se financie adecuadamente y se deja de recortar y de «poner zancadillas» a sus maestros.

Fuente:http://www.teinteresa.es/educa/Podemos-solucion-educacion-publica-financiacion_0_1693631115.html

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