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Hackathon pédagogique : « un travail sans hiérarchie où les compétences se mélangent »

Resumen: ¿Cuál es el hackathon educativo? Jean-Michel Perron, director de investigación y desarrollo sobre los usos de la educación digital de la red Canopé, nos responde: Al contrario de «hackear» y «maratón», un hackatón es un evento en el cual los equipos deben desarrollar un proyecto siguiendo las instrucciones. Estos equipos deben hacer esto por un período limitado. La palabra «piratear» es para el lado «entrometido», el participante es invitado a transformar, desviar y reconstruir. Para la segunda parte de la palabra: es una carrera contra el reloj. Es una experiencia «física» en un tiempo limitado: 6, 12 o 24 horas. Si el hackathon tradicional se lleva a cabo entre los empleados de una empresa, el hackathon educativo reúne al personal del mundo de la educación en torno a un desafío pedagógico. Cada año, organizamos un gran hackathon educativo internacional, llamado créathon. En 2017, tuvimos 200 equipos en todo el mundo y casi 700 participantes. Actualmente, estamos preparando la tercera sesión, que tendrá lugar el 16 de mayo. El objetivo es involucrar exitosamente a 500 equipos en todo el mundo. Este año, el tema del evento se centrará en la Francofonía. Los participantes tendrán 24 horas para responder el tema. Para lograr esto, tendrán que debatir, compartir, colaborar … ¡un verdadero trabajo en equipo! Después de la selección de las obras por un jurado, los 6 mejores equipos del créathon serán invitados a pasar una semana en el taller de Canopé en Futuroscope para convertir sus ideas en un proyecto real. Por ejemplo, contarán con la ayuda de abogados, especialistas digitales educativos o apoyo financiero para llevar su proyecto lo más lejos posible. El concurso internacional del créathon tiene lugar una sola vez al año, mientras que hay más de treinta hackathons educativos al año con temas muy variados.


Qu’est-ce que le hackathon pédagogique ? Jean-Michel Perron, directeur de la recherche et du développement sur les usages du numérique éducatif du réseau Canopé, nous répond.

Jean-Michel Perron

Jean-Michel Perron

Parlez-nous du hackathon pédagogique

Contraction de « hack » et « marathon », un hackathon est un événement lors duquel des équipes doivent développer un projet en suivant une consigne. Ces équipes doivent le faire sur une période limitée. Le mot « hack » est pour le côté « fouineur », le participant étant invité à transformer, à détourner et à reconstruire. Pour la seconde partie du mot : c’est une course contre la montre. Il s’agit d’une expérience « physique » s’inscrivant dans un temps contraint : 6, 12 ou 24 heures. Si le hackathon traditionnel se déroule entre collaborateurs d’une entreprise, le hackathon pédagogique rassemble des personnels du monde de l’éducation autour d’un défi pédagogique. Chaque année, nous organisons un grand hackathon pédagogique à l’échelle internationale, appelé créathon. En 2017, nous avions réuni 200 équipes dans le monde et près de 700 participants. Actuellement, nous préparons la troisième session qui aura lieu le 16 mai. L’objectif  est de réussir à faire participer 500 équipes dans le monde. Cette année, le thème de l’épreuve portera sur la francophonie. Les participants auront 24 heures pour répondre au sujet. Pour y parvenir, ils devront débattre, partager, collaborer… Un vrai travail d’équipe ! Après sélection des travaux par un jury, les 6 meilleures équipes du créathon seront invitées à passer une semaine à l’atelier Canopé au Futuroscope pour transformer leurs idées en réel projet. Ils seront par exemple aidés par des juristes, des spécialistes du numérique éducatif ou de l’accompagnement financier pour amener leur projet le plus loin possible. Le concours international du créathon a lieu une seule fois dans l’année tandis qu’on compte plus d’une trentaine de hackathons pédagogiques par an avec des sujets très variés.

Comment ce dispositif est-il né ?

Comme cité précédemment, le hackathon désigne à l’origine un événement où un groupe de développeurs se réunissent pour faire de la programmation informatique collaborative. Le but ? Développer une nouvelle application. C’est un processus créatif fréquemment utilisé dans le domaine de l’innovation numérique. Le ministère de l’Education nationale et le réseau Canopé se sont rendu compte des avantages de ce dispositif. Travailler sur un temps très court, relever un défi et faire naître une production n’était que positif pour les participants. Nous avons donc décidé de travailler ensemble pour l’étendre au domaine éducatif. L’idée était donc de s’inspirer du hackathon déjà existant pour en faire un objet de transformation des démarches pédagogiques. L’objectif : mettre les participants dans des situations de coopération, de collaboration et de recherche d’informations pour donner naissance à un concept. Se servir des méthodes qu’utilisent les passionnés d’informatique s’avère un moyen efficace et prometteur pour réfléchir à de nouvelles pratiques pédagogiques.

Quelles sont les différentes étapes du hackathon ?

A partir d’un thème et sur un temps bien déterminé, les membres d’une même équipe vont travailler ensemble pour relever un défi pédagogique. Tout au long de la séance, ils vont être invités à participer à plusieurs phases. La première : la phase de créativité. C’est le moment de la clarification du projet : « décortiquer le sujet », proposer un inventaire de stratégies possibles et faire des choix afin de définir un cahier des charges. Puis s’ensuit la phase d’opérationnalisation. C’est la structuration et le montage du projet : se répartir les rôles et les tâches, développer des stratégies de réajustement, etc. Enfin, la troisième phase : la création aussi appelée production. C’est créer le livrable. A chacune des phases, un animateur peut venir en aide aux équipes et les motiver. Le temps étant compté, c’est une expérience intense qui met les cerveaux et les corps à rude épreuve. Même s’il ne s’agit pas de courir au sensremier du terme, il n’en demeure pas moins que les 6, 12 ou 24 heures de formation demanderont une dépense d’énergie. La philosophie du hackathon pédagogique tient en un seul mot : la collaboration. C’est aussi un travail sans hiérarchie, où les compétences se mélangent, se confrontent et se complètent. C’est surtout expérimenter ce que les enseignants demandent aux élèves de leurs classes : travailler en groupe, être capable de s’écouter, se répartir des rôles, des tâches, respecter les idées d’autrui et s’investir pleinement dans un objectif commun. A la fin du hackathon pédagogique, le travail de l’équipe doit donner lieu à une présentation : vidéo, affiches, cartes, bande annonce, scénario écrit, etc.

Quels sont ses principaux objectifs ?

Les principaux objectifs du hackathon pédagogique sont de modifier les postures professionnelles, transformer les pratiques pédagogiques, favoriser l’esprit de groupe et stimuler la créativité. En plus de ces objectifs communs, certains sont directement liés au hackathon lui-même. En effet, pour chacun, il y a un défi particulier à relever : lutter contre le harcèlement scolaire ou créer de nouvelles ressources pédagogiques par exemple. Les objectifs varient en fonction du hackathon lui-même.

Si des enseignants sont intéressés, comment y participer ?

Le hackathon pédagogique est accessible à tous. Il s’adresse à des étudiants, enseignants, formateurs et même à des parents. L’idée est de réunir des personnes aux compétences très diverses. Tout humain a la possibilité d’être créatif, le hackathon pédagogique permet de le démontrer. Pour s’inscrire, il faut se rendre sur le site internet du hackathon pédagogique visé et prendre contact avec les organisateurs. Pour le créathon, les inscriptions sont ouvertes depuis le 15 février. Pour y participer, il suffit juste d’aller sur le site internet du réseau Canopé et de compléter une fiche d’inscription.

Fuente: http://www.vousnousils.fr/2018/03/12/hackathon-pedagogique-un-travail-sans-hierarchie-ou-les-competences-se-melangent-612716

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En Chile: la Coordinadora Nacional de Estudiantes Secundarios (Cones) anuncia un congelamiento en las mesas de trabajo con el Ministerio de Educación

Los estudiantes secundarios aseguraron que no se convertirán en “cómplices pasivos” del fin de la educación pública.

Amarice del Sur / Chie/ Publimetro.cl

Hasta el Ministerio de Educación llegaron este jueves los voceros de la Coordinadora Nacional de Estudiantes Secundarios (Cones) para hacerle entrega de una carta a la ministra de la cartera, Adriana Delpiano, en la que explican de un “congelamiento”  en las mesas de trabajo que se han venido desarrollando.

 La decisión que tomaron los dirigentes secundarios se debe al poco avance, a su juicio, del proyecto de desmunicipalización que se tramita en el Congreso, frente a lo cual explicaron que “no serán cómplices pasivos” del fin de la educación pública.

“Nos parece contraproducente dialogar en mesas de trabajo con el Mineduc para profundizar a reforma mientas la matrícula pública va en picada, el proyecto de desmunicipalización se mantiene secuestrado y desde el Gobierno prioridad legislara para los sostenedores de establecimientos particulares subvencionados”, afirmaron.

Junto con anunciar el término de las negociaciones con el Mineduc, los secundarios agregaron que se debe a la baja en la matrícula escolar en la educación pública.

“Con mucho pesar nos enteramos el día de ayer que la matrícula en la educación escolar pública disminuyó este año en un 1,3% (17.000 estudiantes menos), cifra aún mayor a la que año a año agobia a las escuelas y liceos”, agregaron.

Por otro lado, enfatizaron que esta situación es “insostenible en el tiempo” y que si desde el Gobierno de la Presidenta Michelle Bachelet “no asumen decididamente realizar reformas profundas serán responsables directos de la desaparición de la educación pública en Chile”.

La Cones, además, acusó a senador Ignacio Walker de mantener “secuestrado” el proyecto de desmunicipalización y que el Ejecutivo prefiere dar urgencia a la “ley miscelánea” a fin de extender la cantidad de años en los cuales los sostenedores privados podrán mantener arriendos para su negocio educativo

“En función de lo anterior, desde la Coordinadora Nacional de Estudiantes Secundarios queremos comunicarle el momentáneo congelamiento de nuestra participación en las mesas de trabajo con el Ministerio que usted lidera, esto a fin de evaluar nuestra continuidad en dicha instancia, lo cual está condicionado al avance en la tramitación del proyecto de desmunicipalización, al mantenimiento de sus principales contenidos y a la generación de medidas urgentes e inmediatas en miras de revitalizar la educación pública”, finalizaron.

Fuente: http://www.publimetro.cl/nota/cronica/cones-anuncia-un-congelamiento-en-las-mesas-de-trabajo-con-el-ministerio-de-educacion/xIQplv!9AiAaRuL8b76/

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México: Presentan estrategia digital para las escuelas de Educación Básica

México/10 noviembre 2016/Fuente:Batazos

Aurelio Nuño, secretario de Educación Pública, dijo que es un siguiente paso en la estrategia digital, acorde con la Reforma Educativa y con el nuevo modelo educativo, retomando diversas experiencias y haciendo una propuesta como nunca antes se había hecho en México.
Por su parte, el secretario de Educación Pública, Aurelio Nuño Mayer, agradeció la participación del secretario de Comunicaciones y Transportes, y reconoció su activa participación para poner en marcha este proyecto.
Nuño Mayer destacó que el reto en el sistema educativo es cambiar y adaptarse a dos realidades, a la de un país abierto y democrático que forma ciudadanos que quieran y sepan gozar de su libertad, y dar las herramientas para que los estudiantes puedan competir con quien sea y como sea, en un mundo altamente globalizado, es decir, educar para la libertad y educar para la creatividad.
Precisó que en esta transformación se incorporan más de 20 años de experiencia y mejores prácticas, y destacó que a través de alianzas estratégicas con organismos internacionales, el sector privado y la sociedad se tendrá en línea la plataforma con más contenidos en Hispanoamérica.
En este sentido, explicó que se iniciará con la capacitación de los maestros, «porque además de que es fundamental que se familiaricen con el mundo digital, se requiere que sepan introducir en el currículo las ventajas de esto».
El programa promoverá y fortalecerá a los alumnos y docentes mediante la incorporación de las TICs. Asimismo, señaló que es posible, en menos de 7 años, conectar el 100% de las escuelas públicas del país si se cuenta con la inversión suficiente para llevar a cabo estas estrategias.
Fuente: http://www.batazos.com/2016/11/09/presentan-estrategia-digital-para-las-escuelas-de-educaci-n/

 

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Según informe de Save the Children el 43% de los niños más pobres abandona de forma prematura los estudios,

  • En un informe, explica que los menores no continúan sus estudios tras la ESO. Denuncia que los recortes han repercutido en los alumnos en peor situación

Europa/España/ EFE

El 43% de los niños más pobres (la quinta parte de la población infantil) abandona de forma prematura los estudios, es decir que una vez que han logrado el título en Educación Secundaria Obligatoria (ESO) no continúan con el Bachillerato o la Formación Profesional, según Save the Children.

En su informe «Necesita mejorar. Por un sistema educativo que no deje a nadie atrás», la ONG denuncia que la educación española no trata a todos los niños de forma equitativa, sino que perpetúa o acentúa las desigualdades sociales.

El estudio revela que la mayoría de los niños con los que el sistema educativo fracasa son varones, de menor renta, y, en muchos casos, pertenecientes a minorías étnicas, de origen extranjero y con discapacidad.

Los recortes han repercutido

La organización de defensa de la infancia pide un Pacto por la Educación que sitúe la lucha contra el fracaso escolar y el abandono escolar prematuro en «el corazón» del acuerdo con el objetivo de generar oportunidades para los niños de entornos desfavorecidos.

El director general de Save the Children, Andrés Conde, ha señalado durante la presentación del informe, que los amplios recortes que ha sufrido el presupuesto de educación, «muy por encima de la media europea», han repercutido especialmente en los estudiantes en peor situación.

La Lomce puede conllevar «un aumento de la segregación educativa», lo que unido a «la rigidez del currículum y la introducción de evaluaciones de fin de ciclo», profundiza en la incapacidad del sistema educativo para corregir y compensar las desigualdades de partida, ha resaltado Conde.

La ONG subraya que «España tiene la tasa de abandono educativo prematuro más alta de Europa», lo que, desde su punto de vista, no solo repercute en el desarrollo e integración de los niños, sino en el conjunto del país. Así, el coste del abandono educativo prematuro en España oscila entre el 5,9% y el 10,7% del Producto Interior Bruto (PIB).

La reducción de la inversión pública en educación ha supuesto un aumento del gasto de las familias, que ha crecido un 28,8% entre 2008 y 2015, lo que ha intensificado el impacto de la capacidad económica de las familias sobre el resultado educativo y las expectativas del niño, destaca la organización.

Un pacto para «no dejar ningún niño atrás»

En este contexto, reivindica un Pacto por la Educación fundamentado en nueve principios para «no dejar a ningún niño atrás».

Save the Children aboga por un aumento progresivo del gasto público en educación hasta situarlo en la media de la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económico (OCDE) y un incremento del gasto público en becas y ayudas al estudio del actual 0,11% al 0,4% del PIB en 2020.

Entre otras demandas, pide un profesorado de calidad y suficiente para trabajar en entornos vulnerables, un aumento de las tasas de escolarización de cero a tres años y una mejora del acceso a actividades extraescolares para la infancia en situación de pobreza.

Otras de sus propuestas están orientadas a evitar segregación escolar, con políticas para favorecer la escolarización equilibrada del alumnado con necesidades educativas específicas, reforzar la atención a la diversidad, mejorar la calidad de Formación Profesional y reconocer como parte del sistema a las escuelas de segunda oportunidad.

Las altas tasas de fracaso escolar y abandono educativo prematuro y, especialmente, su composición social redundan en «una cronificación de la pobreza y «un aumento de la brecha de desigualdad», ha indicado el director general de Save the Children.

«Hay familias y niños que viven en una situación de pobreza insostenible», ha afirmado Conde, quien ha abogado por evitar «latinoamericanizar la sociedad española en el sentido de hacerla más desigual, dejando a una cuarta parte de la población en una situación de pobreza cronificada».

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Sor Innovación, la monja que ha revolucionado la educación española

Por: Noticias La Información

  • Montserrat del Pozo, directora del colegio Montserrrat de Vallvidrera, ha implantado con éxito las teorías de Howard Gardner sobre inteligencias múltiples.

  • Howard Gardner defiende que, así como hay muchos tipos de problemas que resolver, también hay muchos tipos de inteligencias.

    El 11 de mayo de 2011, el psicólogo Howard Gardner recogió en Oviedo el Premio Príncipe de Asturias de las Ciencias Sociales. Le acompañaba la madre Montserrat del Pozo, ‘sor Innovación’, directora del colegio Montserrrat de Vallvidrera, un centro que implantó a mediados de los noventa un método educativo basado en sus teorías.

    La teoría de las inteligencias múltiples es un modelo propuesto en 1983 este profesor de la Universidad de Harvard. Para él, la inteligencia no es un conjunto unitario que agrupe diferentes capacidades específicas, sino una red de conjuntos autónomos e interrelacionados.

    Howard Gardner defiende que, así como hay muchos tipos de problemas que resolver, también hay muchos tipos de inteligencias. Hasta la fecha, Howard Gardner y su equipo de la Universidad Harvard han identificado ocho tipos distintos de inteligencia: lingüístico-verbal, lógico-matemática, viso-espacial, musical, corpóreo-cinestésica, intrapersonal, interpersonal y naturalista.

     Aplicada a la educación, la teoría supone reconocer las ‘inteligencias’ que destacan en cada alumno para potenciarlas y, al mismo tiempo, incentivar las menos desarrolladas. En la práctica, este modelo se traduce en que los contenidos curriculares se abordan desde un proyecto diseñado a la medida de cada alumno, con actividades específicas para cada uno, un modelo en el que el profesor se convierte en ‘coach’ (entrenador), guiando el proceso, suscitando preguntas en el alumno y estimulándolo en la adquisición de conocimientos.

    ¿Y cómo se adapta esta teoría a los alumnos de ‘sor innovación’? El alumno que estudia en el colegio Montserrat arranca su jornada con momento de reflexión en los que toma conciencia de que el día ha empezado. Después, desarrolla el plan de la jornada y sus objetivos y lo comenta con su profesor-coach y sus dos compañeros del grupo base. Las clases se desarrollan a lo largo de varias horas y en ellas se llevan a cabo proyectos interdisciplinares.

    Una vez han invertido parte de su mañana en este proyecto, los alumnos se concentran en los de otras materias, como Física y Matemáticas o, por la tarde, de Lengua.

    Preocupada por el fracaso escolar

  • Antes de convertirse en ‘sor Innovación’, un apodo que le puso la prensa española y del que no reniega, Montserrat se formó en Filosofía y Letras, Imagen y Sonido y Psicología y Gestión Familiar, pero fue la preocupación por el fracaso escolar la que le llevó a indagar en la teoría de las Inteligencias Múltiples del psicólogo e investigador estadounidense Howard Gardner, de la Universidad de Harvard.

    Del Pozo no nació en la época del móvil pero hoy no concibe su tarea sin una ‘tablet’. Dice que los alumnos pueden aprender a hacer un examen por Twitter y llevar el teléfono a clases. Asegura que, aunque a muchos adultos les cueste comprenderlo, las tecnologías son hoy un medio «imprescindible» para las relaciones sociales entre los jóvenes.

    «La tecnología ayuda mucho a que se acelere el proceso de cambio escolar, pero no es el cambio en sí mismo. Es una herramienta más. Hoy los alumnos son digitales y no solo porque utilicen esas herramientas sino por la forma que tienen de codificar», señala.

    Admite que en el ámbito educativo muchas veces la tecnología es vista como una «amenaza», pero, asegura, l a clave es educar en la «ciudadanía digital», de tal forma que los alumnos aprendan a utilizar estas herramientas para el desarrollo de sus capacidades.

    «El futuro es la robótica. Si el colegio no enseña la robótica, dónde la van a aprender… Hoy ningún alumno nuestro lleva un reloj, todos están con el móvil y no ven la televisión sino todo lo ven en Internet. Si todo esto lo educamos, es fuente de sabiduría», concluye.

    Fuente: http://noticias.lainformacion.com/educacion/Sor-Innovacion-revolucionado-educacion-espanola_0_946105755.html

 

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China alcanza un alto nivel de desarrollo humano, según informe de ONU

Según un informe reciente del Programa de las Naciones Unidas para el Desarrollo, China ya forma parte del grupo de países con un alto desarrollo humano.

Según el Informe sobre el Desarrollo Humano de China 2016, hace dos años China estaba situada en la posición 90 de 188 países y regiones en la lista del Desarrollo Humano.

Entre 1978 y 2010, el país sacó de la pobreza a 660 millones de personas. A ello hay que añadir el aumento en el promedio de la esperanza de vida, desde los 68 años en 1980, a los 74 en 2010.

China alcanza un alto nivel de desarrollo humano

La esperanza de vida en China ya es mayor que el promedio global. En el campo de la educación, China ha logrado establecer de forma integral nueve años de educación obligatoria.

A lo largo de la última década, el 99 por ciento de los niños fueron inscritos en escuelas. El informe de Naciones Unidas también especifica que de los 47 países con un bajo nivel de desarrollo humano en 1990, China ha sido el único capaz de romper barreras y alcanzar un alto nivel de desarrollo.

A pesar de ello, el informe alerta de que aún persisten ciertos problemas, como la creciente desigualdad en áreas como los ingresos, la educación, los recursos médicos y la esperanza de vida.

Fuente: http://espanol.cctv.com/2016/08/24/VIDEhH6NkEo5hc8IQsw7wAkn160824.shtml

Imagen: p1.img.cctvpic.com/photoworkspace/contentimg/2016/08/24/2016082409465197332.jpg

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