Page 3 of 3
1 2 3

Francia: finalités et objectifs du système éducatif et de l’école

Fines – objetivos  del  sistema educativo y de la República

Europa/Francia/Julio de 2016/Noticia/ theconversation.com

Resumen:

Este texto es de la conferencia de clausura «Escenarios para una nueva escuela» se realizó tras dos años de reflexión del seminario «La escuela y la República» Colegio Bernardo, que trataban de analizar la relación entre la escuela y la República. El simposio fue organizado por Bernard Hugonnier y Gemma Serrano, Co-directores del seminario. Gaby Hostens, director de Política Internacional de la Educación, Ministerio de Educación de Flandes; Miembro del Seminario de Investigación «La escuela y la República» Colegio Bernardo.  Señala que, hay un amplio consenso sobre los objetivos estratégicos y operacionales del sistema de educación, pero a menudo hay confusión entre los dos.La distinción es importante porque un modelo de gobernanza eficaz tiene un impacto en la decisión, y los socios que deben tomar la iniciativa y asumir la responsabilidad de los fines de formulación y desarrollo. De tal manera que Objetivos Estratégicos: En los documentos de política, literatura científica y las publicaciones de la OCDE, CIDREE, etc., hay un consenso bastante amplio en estos objetivos. Los objetivos estratégicos se definen de la siguiente manera: un desarrollo armonioso y equilibrado individual para todos; habilidades (conocimientos, habilidades y actitudes) para preparar todo para su integración efectiva en la vida social y económica (la educación superior y el mercado de trabajo); aprender a aprender durante toda la vida. Entre tanto, los Fines operativos en la Unión Europea, la cual ha hecho un esfuerzo considerable para identificar lo que llama las competencias básicas, pero son más bien los objetivos operativos: la comunicación en la lengua materna; comunicación en lenguas extranjeras; competencia matemática y competencias básicas en ciencia y tecnología; competencia digital; aprender a aprender; competencias sociales y cívicas; el espíritu de iniciativa y espíritu de empresa; conciencia y expresión culturales. Señala  de igual manera la importancia relativa de estos objetivos: los objetivos prioritarios
La consecución de estos objetivos al mismo tiempo está fuera de la cuestión. La realización dependerá del nivel de educación (preescolar, primaria, secundaria, terciaria, etc.) o el tipo de educación (general o profesional, especial).
Está claro que la preparación de los jóvenes al mercado de trabajo será una prioridad en el tipo de profesional de la educación y la adquisición de la base de conocimiento de prioridad en la enseñanza primaria.
Responsabilidades en el desarrollo y el logro de estos objetivos. En general, los sistemas educativos (muy) políticos centralizados año centralmente desarrollan los propósitos estratégicos y operativos y requieren las instituciones y maestros (individuales).  En este sentido el control sobre la calidad es ejecutado por un servicio (inspección) centralDando más responsabilidad va de la mano con una mayor profesionalización de los líderes escolares: rigurosos métodos de contratación (con participación de los agentes internos y externos), habilidades para la gestión eficaz de la formación de los equipos de la escuela. Estas habilidades se justifican un papel más importante de los líderes escolares en la gestión de los recursos humanos: reclutamiento, evaluación del personal y el desarrollo profesional.

Fuente:  https://theconversation.com/ecole-et-republique-finalites-et-objectifs-du-systeme-educatif-et-de-lecole-5-61704

Fuente: https://62e528761d0685343e1c-f3d1b99a743ffa4142d9d7f1978d9686.ssl.cf2.rackcdn.com/files/128540/width926/image-20160628-7851-1tw6hri.jpg

Ce texte est issu du colloque conclusif « Scénarios pour une nouvelle école » organisé le 23 juin 2016, suite à deux années de réflexion du séminaire « École et République » du Collège des Bernardins qui se proposait d’analyser la relation entre l’école et la République. Le colloque était organisé par Bernard Hugonnier et de Gemma Serrano, co directeurs du séminaire. Nous allons publier une série de huit articles sur le sujet.

Par Gaby Hostens, director of international Education Policy, Ministère de l’Education des Flandres ; membre du séminaire de recherche « École et République » du Collège des Bernardins

Apparemment, il y une grande unanimité sur les finalités stratégiques et opérationnelles du système éducatif, mais souvent il y a confusion entre les deux.

La distinction est importante parce qu’un modèle de gouvernance efficace a un impact sur le lieu de décision et sur les partenaires qui doivent prendre l’initiative et assumer la responsabilité de l’élaboration et le développement des finalités.

Finalités stratégiques

Dans les documents politiques, la littérature scientifique et les publications de l’OCDE, CIDREE, etc., il y a un assez large consensus sur ces finalités.

Les finalités stratégiques se définissent ainsi : développement individuel harmonieux et équilibré pour tous ; acquisition de compétences (connaissances, aptitudes et attitudes essentielles) pour préparer tous à une intégration efficace dans la vie sociale et économique (études supérieures et marché du travail) ; apprendre à apprendre tout au long de la vie.

Je préfère inclure « pour tous » dans les finalités stratégiques plutôt qu’ajouter une finalité séparée intitulée « garantir une égalité des chances ». « Pour tous » me paraît plus inclusif : tous les élèves, étudiants et adultes sont inclus !

Un projet international coordonné par l’OCDE et le Service Fédéral Suisse des Statistiques, DeSeCo (définition et sélection de compétences clés,), a identifié trois compétences clés :

  • Se servir d’outils de manière interactive (langue, technologie, etc.).
  • Interagir dans des groupes hétérogènes.
  • Agir de façon autonome.
Finalités opérationnelles

L’Union Européenne a fait un effort considérable pour identifier ce qu’elle appelle des compétences clés mais qui sont plutôt des objectifs opérationnels : la communication dans la langue maternelle ; la communication en langues étrangères ; la compétence mathématique et les compétences de base en sciences et technologies ; la compétence numérique ; apprendre à apprendre ; les compétences sociales et civiques ; l’esprit d’initiative et d’entreprise ; la sensibilité et l’expression culturelles.

Pour chaque compétence il y a une description des connaissances, aptitudes et attitudes essentielles.

Donner l’opportunité aux élèves, étudiants et adultes de participer à la réalisation et d’atteindre ces finalités me paraît un droit humain.

Importance relative de ces finalités : finalités prioritaires

Réaliser ces finalités simultanément est hors de question. La réalisation dépendra du niveau de l’enseignement (pré-primaire, primaire, secondaire, tertiaire, etc.) ou du type d’enseignement (général ou professionnel, spécial).

Il est clair que la préparation des jeunes au marché de travail sera prioritaire dans l’enseignement de type professionnel et l’acquisition de connaissances de base prioritaire dans l’enseignement primaire.

Par contre, le développement et l’acquisition de compétences transversales doivent être au programme de tous les niveaux et types d’enseignement et deviendront graduellement plus importants.

Responsabilités dans le développement et la réalisation de ces finalités

En général, dans les systèmes éducatifs (très) centralisés les responsables politiques an niveau central développent les finalités stratégiques et opérationnelles et les imposent aux établissements et professeurs (individuels).

Ces derniers exécutent les décisions des responsables politiques. Le contrôle sur la qualité est exécuté par un service (d’inspection) central.

Mieux vaut un modèle de gouvernance du système éducatif qui donne des responsabilités spécifiques à chaque niveau. L’élaboration des finalités stratégiques et des grandes lignes des objectifs opérationnels doit se faire au niveau central après consultation des partenaires du monde de l’éducation.

Comme la réalisation des objectifs opérationnels est de la responsabilité des établissements scolaires, il me paraît opportun et logique de donner un rôle crucial aux équipes scolaires dans le processus éducatif qu’est le développement du contenu des objectifs opérationnels. Je veux souligner l’importance de ces équipes scolaires sous la direction des chefs d’établissement.

Elaboration d’objectifs mesurables

Une évaluation efficace est difficilement concevable sans objectifs mesurables. Ils faciliteront l’évaluation formative des élèves et des étudiants qui est la responsabilité exclusive des professeurs qui disposent ainsi d’un trésor de données quantitatives et qualitatives pour améliorer leur enseignement et l’apprentissage des élèves.

L’évaluation sommative peut être soit interne, externe ou une combinaison des deux : équipes scolaires et inspection.

La radioscopie scolaire me paraît avoir une plus grande valeur ajoutée qu’une inspection individuelle de professeurs de discipline parce que toute l’équipe scolaire est concernée.

Les recommandations faisant suite à la radioscopie peuvent déclencher un processus permettant d’améliorer la qualité de l’enseignement.

Des ressources pour réduire l’échec scolaire et les inégalités

Un système éducatif doit essayer d’atteindre la plus grande qualité pour tous. Réaliser cet objectif ambitieux est la responsabilité de tous ceux qui participent au processus éducatif qu’ils soient responsables politiques, inspecteurs ou professeurs.

Il y a une division de travail assez prononcée. La responsabilité principale se situe au niveau des établissements : l’équipe scolaire est sous la direction du chef d’établissement.

Chaque établissement devrait élaborer un projet d’établissement dans lequel la politique pour atteindre cet objectif est élaborée de façon approfondie. L’élaboration de ce projet, avec la participation de tous les partenaires de l’établissement (enseignants, parents, milieux sociaux, culturels et économiques), est de la responsabilité de l’établissement et tient compte du contexte local.

Cet objectif est l’affaire de toute l’équipe. Il faut engager toute l’équipe dans la lutte contre les inégalités. De surcroît, l’équipe scolaire doit engager des partenaires des milieux social, économique et culturel pour réaliser cette mission.

La responsabilité principale de l’inspection est d’évaluer la politique de l’établissement pour atteindre cet objectif et de contrôler la qualité. Mettre les ressources humaines et financières additionnelles à la disposition des établissements est le devoir des responsables politiques.

Une gouvernance pour la mise en œuvre de ces finalités

Un système éducatif qui a l’ambition de réaliser ces objectifs a besoin d’un système de gouvernance robuste avec un système transparent de responsabilités.

Si les établissements sont les premiers responsables de la qualité de l’enseignement et de la réduction des inégalités sociales et de l’échec scolaire, il faut leur donner l’autonomie et les leviers pour atteindre ces objectifs.

Un rôle plus central du chef d’établissement me paraît absolument et inévitablement nécessaire.

Donner plus de responsabilités va de pair avec une plus grande professionnalisation des chefs d’établissement : méthodes rigoureuses de recrutement (avec participation de partenaires internes et externes), compétences pour une gestion efficace de l’équipe scolaire, formation continue.

Ces compétences justifient alors un rôle plus important des chefs d’établissement dans la gestion des ressources humaines : recrutement, évaluation du personnel et développement professionnel.

 

 

 

Comparte este contenido:

Cuba aboga en Ginebra por una gobernanza democrática de Internet

Europa/ Ginebra Prensa Latina

Cuba abogó aquí por una gobernanza internacional, democrática y participativa de Internet, en especial en la generación de contenidos.

Que un pequeño grupo de empresas de muy pocos países, determinen lo que se lee, ve o escucha en el planeta no es aceptable, expresó la delegada de la isla, Belkis Romeu, al intervenir en un diálogo interactivo sobre el tema, efectuado como parte del 32O período de sesiones del Consejo de Derechos Humanos que prosigue hoy sus sesiones.

Si bien estamos de acuerdo en que hay que velar por la promoción y protección de la libertad de expresión, varios son los ejemplos que ilustran la extrema necesidad de regular y hacer un uso adecuado de Internet, acentuó.

Romeu señaló que la casi total ausencia de regulaciones internacionales sobre la llamada red de redes, provoca efectos colaterales muy nocivos en el propósito de lograr un uso pacífico y orientado al desarrollo de las tecnologías de la información y las comunicaciones.

Podemos mencionar desde la descubierta red de análisis y espionaje de casi todas las comunicaciones del mundo, incluyendo la de jefas y jefes de Estado y de Gobierno, hasta el proyecto ZunZuneo, dirigido a crear situaciones de desestabilización en Cuba para provocar cambios en nuestro ordenamiento político, enfatizó.

La delegada también agradeció al Grupo de Trabajo sobre la cuestión de los derechos humanos y las empresas transnacionales y otras empresas, por el exhaustivo análisis realizado sobre las empresas públicas.

Opinó que si bien éstas no son las de mayor impacto a nivel internacional, se le deben aplicar las mismas normas de derechos humanos al momento de desarrollar sus funciones, que a aquellas de carácter transnacional.

El instrumento internacional jurídicamente vinculante que ha comenzado a negociarse intergubernamentalmente en este órgano, debe tomar en cuenta a este tipo de empresas. Su adopción futura permitirá establecer un marco normativo más claro para el cumplimiento de las normas internacionales de derechos humanos, que los actuales Principios Rectores, concluyó.

Fuente:

http://www.prensa-latina.cu/index.php?option=com_content&task=view&idioma=1&id=4982801&Itemid=1

Imagen tomada de: http://www.minrex.gob.cu/sites/default/files/styles/large/public/imagenes/articulos/intervencion_1.jpg?itok=C82f397P

Comparte este contenido:

CONFERENCIA Cuentas claras: Gobernabilidad para el crecimiento con equidad en América Latina y el Caribe

Fuente: Banco Mundial

Cuentas claras: Gobernabilidad para el crecimiento con equidad en América Latina y el Caribe

Abril 28-29, 2016Montevideo, Uruguay

La conferencia reunirá a líderes del gobierno, el sector educativo y la sociedad civil para discutir los retos de mejorar la transparencia y la rendición de cuentas en la administración pública en América Latina y el Caribe.

La conferencia «Cuentas Claras: Gobernabilidad para el crecimiento con equidad en América Latina y el Caribe» profundizará cómo las estructuras de gobernanza afectan el crecimiento y la equidad y su vinculación para alcanzar las metas de prosperidad compartida y reducción de la pobreza en América Latina y el Caribe. El evento tendrá lugar en Punta Cala, en la ciudad de Montevideo, Uruguay los días 28 y 29 de abril. Para registrarse ingresar aquí.

La conferencia «Cuentas Claras» buscará concientizar sobre la importancia y posibles implicaciones de la agenda de gobernanza a nivel regional. En particular, en identificar los retos para construir instituciones más efectivas y qué rol debería jugar la rendición de cuentas y la capacidad de respuesta del gobierno para equilibrar las esferas del poder y establecer las bases para un cambio.

Se examinarán ejemplos de reformas en materia de gobernanza que hayan resultado efectivas en la región. También, se explorará cómo:

  1. las herramientas de transparencia pueden ser usadas para mejorar la rendición de cuentas y la capacidad de respuesta ante las demandas ciudadanas, y
  2. las restricciones para implementar reformas pueden ser superadas a través de un liderazgo transformacional, la participación ciudadana y las intervenciones no tradicionales que permiten romper paradigmas.

Finalizará con una sesión en donde se debatirá el futuro de los retos de gobernanza que enfrenta la región.

El evento reunirá a funcionarios públicos de alto nivel, expertos e investigadores y representantes de la sociedad civil y medios de comunicación, quienes interactuarán en diálogos de estrategia  política y formación de alianzas para afrontar los retos descritos anteriormente.

Participantes de distintas disciplinas tendrán la oportunidad de explorar enfoques innovadores y mecanismos utilizados por los gobiernos y los ciudadanos, tanto a nivel local como global, para lograr un cambio positivo y sostenible.

La duración de un día y medio está diseñado para fortalecer el entendimiento de los participantes de por qué y cómo los retos vinculados a la gobernanza y la rendición de cuentas tienen un alto impacto en la agenda de crecimiento económico inclusivo y en el bienestar de la ciudadanía.

CONTEXTO

La región está experimentando una desaceleración económica que amenaza con revertir el progreso económico alcanzado en la década pasada. Mantener estos avances requerirá un enfoque centrado en la gobernanza. La forma en que las instituciones están formadas, legitimadas y equipadas para alcanzar las metas de desarrollo es un determinante fundamental del progreso social y económico.

Alcanzar los Objetivos de Desarrollo Sostenible (ODS) para eliminar la pobreza, proteger al planeta y asegurar la prosperidad en los próximos 15 años, exigirá que los gobiernos de la región y sus ciudadanos se comprometan a mantener sociedades pacíficas e inclusivas que permitan el desarrollo sostenible, la provisión de justicia para todos e instituciones que rindan cuentas en todos los niveles de gobierno.

La rendición de cuentas y la capacidad de respuesta ante las demandas ciudadanas son pilares centrales que resaltan la efectividad de las instituciones públicas y su habilidad para alcanzar los resultados deseados.

Recientes casos de corrupción en la región han demostrado repercusiones negativas cuando se carece de dichos pilares. Negar su importancia puede incluso llevar a inestabilidad política, un desempeño macro-económico débil y desalentar las inversiones. Todo esto conlleva un impacto en el bienestar de los ciudadanos.

Comparte este contenido:
Page 3 of 3
1 2 3