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Francia: Éducation Europa /fr bilan du quinquennat et enjeux pour demain

Europa/Francia/Abril  del 2017/Noticias/https://theconversation.com/

« Quand on ne fait pas de communication c’est rare qu’on la fasse pour vous », c’est ce que déclarait François Hollande lors des Journées de la Refondation le 2 mai 2016. Et il ajoutait, toujours sur le ton de la plaisanterie : « si on attend que les compliments, on est pas toujours satisfait, si on attend les critiques, on peut avoir son lot… ». C’était il y a longtemps, très longtemps, en 2016…

Depuis François Hollande a renoncé à être candidat. Et la refondation de l’École semble bien loin dans la campagne présidentielle. Peu de candidats en tiennent compte, or le bilan devrait pourtant en être fait. On peut aussi se demander si les promesses des candidats sont à la hauteur des enjeux pour l’école de demain.

Les mots de la refondation

« Refondation », le terme choisi par Vincent Peillon était habile. Il permettait à la fois de rassurer puisqu’il renvoyait à un passé glorifié et d’envoyer aussi un signal à ceux qui pensent que l’École doit évoluer et s’adapter. Mais si le terme était porteur de beaucoup d’espérances, il a aussi généré des déceptions devant les compromis et le manque de lisibilité des réformes.

Car il a manqué un slogan à cette refondation. La finalité de tout cet ensemble de dispositifs décrits dans la loi de 2013 n’apparaissait pas assez clairement. Si la loi d’orientation de 89 se résume à « l’élève au centre du système » et celle de 2005 au socle commun, il n’y a pas le même mot d’ordre pour la refondation. À tel point que les journées de la refondation le reconnaissaient implicitement tout comme le 1er rapport du comité de suivi de la refondation : il y a eu un manque de lisibilité des réformes alors que la lutte contre les inégalités aurait pu être ce mot d’ordre mobilisateur.

On notera aussi que les créations de postes absorbées par une forte démographie non anticipée, par la reconstruction de la formation initiale et d’un vivier de remplaçants ont été, elles aussi, peu visibles pour les enseignants comme dans l’opinion.

Les maux des réformes

Après la grandiloquence des premiers mois, on est passé assez vite de la refondation aux « réformes »…

Or, le terme est ambigu et génère pas mal de difficultés. Il y a évidemment la crainte du changement. Mais il serait trop facile de voir les mouvements sociaux qui ont accompagné les principales réformes comme relevant uniquement de la « résistance au changement ». Il y a aussi l’idée implicite mais très vivement ressentie que tout ce qui précède peut être « mis à la réforme ».

Avec des enseignants qui mettent beaucoup d’eux-mêmes dans leur travail, il y a une tendance à prendre comme une critique de son propre travail ce qui se situe au niveau de l’ensemble du système. Or on peut pourtant faire son métier du mieux que l’on peut dans un système qui dysfonctionne…

La réforme est aussi une décision prise d’en haut par un pouvoir politique et appliquée ensuite par une technostructure. Cela se heurte à une culture antihiérarchique des enseignants et des pratiques de management qui restent bureaucratiques dans l’encadrement.

La concordance des temps

La gestion du temps a été un des problèmes de ce quinquennat. Pour l’éducation, il y a eu d’abord du retard à l’allumage. La loi sur la refondation dont Vincent Peillon prévoyait le vote en décembre 2012, n’a été publiée au JO que le 8 juillet 2013. La période d’« état de grâce » a été occupée par des discussions et concertations qui, au final, n’ont abouti qu’à faire ressurgir les tensions qui avaient été mises de côté au moment des présidentielles et législatives.

Le problème du temps s’est posé aussi avec la réforme des rythmes. Celle-ci semblait acquise puisque sous le précédent ministre (Chatel) une large commission avait conclu à sa nécessité. Ensuite, l’attentisme a abouti au télescopage avec les élections municipales et les enjeux syndicaux. Autre retard : celui de l’élaboration des programmes avec la mise en place laborieuse du Conseil supérieur des programmes et la démission de son premier président. Enfin, la plus belle illustration est donnée par la conjonction de la réforme des programmes et du collège et en plus pour tous les niveaux, une année avant la fin du quinquennat. On y trouve la conjonction du retard et de la précipitation. D’une manière générale, les retards pris dans l’application de la loi ont accentué l’absence de lisibilité.

Mais, plus que tout, tout cela nous rappelle que le temps de l’éducation n’est pas celui du politique. Ministre de l’éducation n’est pas le poste plus facile, car il est difficile de voir les effets de son action. Les enfants qui sont rentrés au cours préparatoire en 2012 seront évalués dans l’année 2021 par le système PISA. Pas facile pour un personnel politique et des Français qui veulent des résultats immédiats…

De haut en bas

Et si la refondation était la dernière réforme de ce genre ? Car la question qui est posée par la refondation est aussi celle de la méthode utilisée pour la conduite du changement.

Dans notre pays centralisé et bureaucratique, nous fonctionnons toujours avec l’illusion d’une décision prise d’en haut et qui descendrait impeccablement jusque dans chaque salle de classe.

La réforme du Collège a combiné cette illusion avec l’autoritarisme. Le fait de publier le décret le lendemain d’une manifestation a été un handicap certain pour la suite.

Le paradoxe de cette réforme est qu’elle a donc été vécue comme l’expression d’une « prescription verticale » qui s’impose à tous alors que son enjeu était de redonner du pouvoir aux équipes dans les établissements.

Or, on le sait bien, beaucoup de changements se font « à bas bruit », loin du tintamarre des annonces ministérielles et des déclarations syndicales. L’enjeu pour l’avenir sera de (re)donner du pouvoir d’agir aux enseignants dans un cadre aux objectifs clairs.

Quels enjeux pour demain ?

Cette question de la gouvernance de l’Éducation nationale est peu abordée. Elle est pourtant essentielle. Car c’est toute la question de la conduite du changement et de la confiance envers les acteurs du système qui est posée.

Dans la campagne on s’est focalisé sur le mot très ambigu d’« autonomie ». Derrière beaucoup y voient la remise en cause de l’égalité républicaine et dénoncent tout ce qui pourrait accroître le pouvoir du chef d’établissement comme une « caporalisation » insupportable, une dérive managériale et une mise en concurrence

Toutefois on voit bien aussi que le système éducatif est trop bureaucratique. Ce système génère ses effets pervers : force d’inertie, faible adaptabilité aux situations locales, lourdeur des contrôles… Il contribue aussi à l’infantilisation et la déresponsabilisation des acteurs…

L’École gagnerait à être plus efficace. C’est un chantier difficile car il faut naviguer entre deux écueils, celui du conservatisme sclérosant et celui d’un libéralisme destructeur.

Le service public d’éducation est-il mortel ? Cette question pouvait paraître saugrenue il y a quelques années. Elle ne l’est plus. Le développement des écoles privées hors-contrat et le rôle croissant des fondations, l’idée du chèque-éducation, tout cela nous montre que ce qu’on croyait immuable peut demain être remis en question. Il faut bien sûr s’inquiéter et dénoncer la marchandisation de l’École. Mais on doit aussi comprendre que tout cela prospère sur la difficulté de l’École à s’adapter et à tenir ses promesses.

Pour rendre l’école plus juste, on ne peut pas se contenter de rafistolages sur un grand corps malade. Changer le pansement ou penser le changement ?

Fuente:

https://theconversation.com/education-bilan-du-quinquennat-et-enjeux-pour-demain-75956

Fuente Imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/PpxS10nZNVGL1mqWeFI1RAsHrmOoW81hJmO3EiMwysfzFg4tuIGXI8__TZR40jTMVqld5ZY=s85

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África: Uganda: Universities in Dilemma As Govt Parastatals Start Training Schools

África/Uganda/Abril del 2017/Noticias/http://allafrica.com/

 

National Water and Sewerage Corporation (NWSC) training manager, Dr Martin Kalibbala, shared that because most of the graduates that have joined their institutions have consistently failed to perform even when they have presented academic documents with good grades, they have resolved to put up vocational institutions to train those that will be working with them in the skills needed.

Dr Kalibbala told participants at an engineering conference at Makerere University yesterday that the Ministry of Education has already accredited Ggaba Vocational Skills Development Institute while Kachung in Lira District is under construction and that these will be used to retool their technicians.

«Few organisations are willing to pay for theory. Many of us want results. That is why the brightest of your students are not necessarily the most successful,» Dr Kalibbala said in his presentation.

Uganda Electricity Generation Company Ltd (UEGCL) senior engineer Musa Mukula also said his company was in the final stages of starting its own training institute because most of the people they take on lack the skills needed on the job.

But Busitema University’s dean of engineering department, Dr Wilson Musinguzi, said: «We need to be careful to avoid duplication of roles. Remember universities are grappling with low funding. That is why our lecturers are always threatening to lay down tools because their pay doesn’t equal the effort they put in to train and do research,» Dr Musinguzi said.

Prof Henry Alinaitwe, Makerere University College of Engineering, Design, Art and Technology principal said: «It is okay for them to train their technicians but they need to partner with us.»

Government already facilitates more than 50 technical and vocational training institutions in the country. These institutions are now worried that their students will not have where to go once government parastatals start their own training institutions.

Issues

Insist. Heads of parastatals say most graduates that have joined their institutions have consistently failed to perform even after presenting good grades.

Action. Ministry of Education has already accredited Gaba Vocational Skills Development Institute while Kachung in Lira District is under construction and these will be used to provide the required skills to technicians.

Fuente:

http://allafrica.com/stories/201704120004.html

Fuente Imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/dVsz6SEH1i4q1dtBTLhRD2ybooFuqobFK2LoarkC2ZdWKe-nSa4Fh-R8MqhY5lUVlrfz=s85

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Cuba: Ludoteca tecnológica de Bayamo jugar y educar en la modernidad

centro América/Cuba/Abril del 2017/Noticias/http://lademajagua.cu/

La Ludoteca bayamesa, ese espacio singular dispuesto desde hace varios años para que los pequeños del municipio cabecera de Granma, y otros que llegan de paseo, estimulen con el juego su desarrollo físico y mental, la amistad y la solidaridad, se ha abierto también a las nuevas tecnologías de la información.

La introducción de tablets y 26 computadoras con servicio de internet, en noviembre último, le proporciona a esa institución sociocultural una suerte de modernidad, que la hace de hecho más atractiva, amplía sus segmentos de atención, pero sin perder su esencia educativa.

GÉNESIS

La segunda mitad del siglo XX fue marco para el surgimiento de un nuevo tipo de instalaciones destinadas a propiciar el juego infantil y que fueron pasando de una función compensatoria a otra mucho más abarcadora, al insertar la actividad lúdica en los empeños de formación de la infancia.

Luego de la aprobación, en noviembre de 1959, de la Declaración Universal de los Derechos del Niño, exactamente al siguiente año, la Unesco aprobó y difundió internacionalmente el proyecto, que en todas partes funciona bajo el denominador común de contribuir a la educación infantil mediante  la principal y más efectiva herramienta pedagógica para el trabajo con los niños, por ser su lenguaje universal: el juego.

En Cuba se realizaron los primeros intentos de creación de ludotecas a partir de 1950,  y en la década de los años 80 funcionó una como una exposición denominada Un juego nuevo y otros viejos, en conmemoración del centenario de La Edad de Oro.

En esta época también se crearon en la Casa Natal de José Martí y en el Palacio Central de los Pioneros, y luego se fueron fundaron  ludotecas comunitarias en todo el país, con la orientación de la Organización de Pioneros José Martí, en coordinación con el Ministerio de Educación.

OTRA DIMENSIÓN

FOTO / Rafael Martínez Arias

La Ludoteca de Bayamo tiene el privilegio de haberse convertido en la primera de ese tipo en el país con la categoría de tecnológica y así lo adicionó a su identificador.

La puesta en marcha de una sala de video juegos o simuladores de juegos deportivos, estimula y amplía  la recreación de los niños, mediante equipos costosos en el mercado internacional y a los cuales aquí, sus beneficiarios, acceden de manera gratuita.

Instalada por la Empresa de Tecnología de Información para la Defensa, esa plataforma constituye una alternativa para que niños y adolescentes se diviertan y accedan a la tecnología moderna.

Mas, la Ludoteca tecnológica bayamesa no constriñe su función a la lúdica, sino posibilita las búsquedas en internet, lecturas virtuales y comienza a ser reconocida como espacio extracurricular por excelencia, donde los estudiantes pueden consolidar los conocimientos adquiridos en los centros escolares, complementar información y ampliar sus habilidades, al tiempo de divertirse  con los juegos didácticos.

El Máster en Ciencias de la Educación, Mario Núñez Álvarez, un joven que durante 14 años pedaleó cada mañana desde Bayamo hasta la escuela primaria Manuel Sanguily Garrite, de Pompita, donde ejercía, se estrena como director de la institución, en esta laboran 46 trabajadores, entre ellos 14 asistentes para el trabajo educativo, seis guías profesionales de pioneros y ocho técnicos en Computación.

Al referirse a la creciente afluencia a la entidad, resalta la estrecha coordinación con los centros educacionales para que sus alumnos acudan en las jornadas matutinas y vespertinas de lunes a viernes, mientras los sábados y domingos realizan visitas espontáneas.

Además del disfrute, el gran saldo positivo de esta experiencia, reconoce, es lo que ya aporta a los niños y adolescentes en el perfeccionamiento de sus tareas y trabajos prácticos, y en la apropiación de amplios conocimientos, en los que se prioriza la auténtica y pródiga historia nacional.

FOTO / Rafael Martínez Arias

Fuente: http://lademajagua.cu/ludoteca-tecnologica-bayamo-jugar-educar-la-modernidad/Fuente imagen

FOTO / Rafael Martínez Arias
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Afrodescendientes conmemoran con música 220 años de su llegada a Honduras

 

Centro América/Honduras/Abril del 2017/https://www.terra.com.co

 

La comunidad negra de Honduras conmemoró hoy en Santa Fe, en el departamento caribeño de Colón, los 220 años de su presencia en Honduras, con una alborada amenizada al son de tambores, maracas, caparazones de tortuga y caracoles.

Hombres, mujeres y niños de todas las edades recordaron en las blancas playas de Santa Fe, algunos agitando banderas que representan a su etnia, la llegada de los primeros 5.000 afrodescendientes a Honduras, el 12 de abril de 1797.

Una multitud que danzaba con la música de instrumentos autóctonos esperaba en la playa una canoa cubierta con ramas de árboles y hojas de cocoteros en la que venían varios garífunas (grupo étnico de origen africano) para escenificar el histórico desembarco.

Al desembarco de hoy le ha seguido un recorrido por la principal y polvorienta calle de Santa Fe, mientras continuaba la música y cantos en dialecto garífuna, afirmó a periodistas el titular de la Dirección de Pueblos Indígenas y Afrohondureños, Tulio Mariano González.

Antes de finalizar el recorrido en el otro extremo de la playa, los participantes con atuendo coloridos ingresaron un instante a la iglesia católica de Santa Fe, donde después fue oficiada una misa por un sacerdote de la etnia.

La alborada que precedió al desembarco conmemorativo se enmarca en las actividades culturales que se desarrollan entre el 1 y el 30 de abril, con ocasión del «Mes de la herencia cultural garífuna», por decreto gubernamental.

González dijo que también se ha reflexionado sobre «nuestra organización y nuestra situación en Honduras», pues «vamos avanzando», aunque reconoció que todavía «hay retos extraordinarios, dificultades que vencer y aspiraciones nobles que materializar».

El pueblo garífuna «es trabajador, ha contribuido al desarrollo de Honduras» y en esta fecha invitamos a nuestros hermanos a «seguir trabajando, sigamos hacia adelante abriendo camino para garantizar que Honduras sea un país de igualdad y oportunidades para todos», subrayó el funcionario.

Esta semana también se han celebrado en Santa Fe otras actividades con grupos de la sociedad civil de varias comunidades negras de Colón, lo mismo que en los otros departamentos costeros, Gracias a Dios, Atlántida y Cortés, coordinadas por la Organización de Desarrollo Étnico Comunitario (Odeco).

También se han celebrado jornadas de orientación en materia de educación, prevención y control del Sida, y festivales gastronómicos en los que no han faltado comidas como el tapado de pescado con coco, sopas marinera y de caracol, pescado en diferentes especialidades y casabe (torrilla a base yuca).

Los afrodescendientes también recordaron al líder garífuna hondureño Céleo Álvarez, en el primer aniversario de su muerte a causa de un cáncer de garganta.

Álvarez era el coordinador de la Odeco, de la que fue miembro fundador hace más de 20 años en la ciudad de La Ceiba, y falleció el 11 de abril de 2016 en Tegucigalpa.

 Fuente:
fuente imagen:
https://lh3.googleusercontent.com/C7ctXUYIsb5aTvCZhE4uXdw7cax-ZfojUnkEDaoi-SPAf9WaGGt6v5tkMzwRVV5oiae5Fg=s85
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Argentina: Inauguraron la Escuela Pública Itinerante: “Estamos acá defendiendo la Educación Pública»

América del Sur/Argentina/Abril del 2017/Noticias/http://www.diarionorte.com/

Esta tarde se inauguró la carpa que contiene a la Escuela Pública Itinerante frente al Congreso de la Nación. En la conferencia de prensa, la secretaria general de Ctera, Sonia Alesso, explicó: “Estamos acá defendiendo la Educación pública”, aseguró.

Horas antes se conocía la noticia de que el gobierno de la provincia de  Buenos Aires convocó a los representantes de los gremios  docentes locales a participar de una reunión de la comisión  técnica salarial el lunes próximo. Esto fue confirmado por la Federación de Educadores Bonaerenses (FEB) y  se detalló que el encuentro está previsto para el lunes a las 17.00,  luego de que los docentes reclamaran un encuentro urgente con la  administración provincial.

Por otro lado, la Unión Docentes Argentinos  (UDA) anticipó también hoy que denunciará penalmente al ministro de  Educación, Esteban Bullrich, si no convoca a la paritaria nacional  en las próximas horas, ya que este miércoles vence el plazo que un  fallo judicial le otorgó al Gobierno para hacer ese llamado.

Bajo el lema, “la escuela pública enseña, resiste y sueña”, Ctera difundió además las actividades que se realizarán dentro de la carpa. Para mañana a las 11 se proyectará el documental “10 años sin Carlos, 10 años sin justicia completa” y luego se dará la disertación titulada “No se reprime a los maestros”.

Para el viernes a las 15, un grupo de artistas visuales “Estanpueblo”, realizará una intervención para la que invitan a la gente que lleve su guardapolvo o remera. A las 18 habrá música con orquestas infantiles.
Para el sábado a las 15 también se prevén obras artísticas como un taller de bombos y un taller de stencil y a las 15 habrá una obra de teatro.

El domingo a las 16 estará el grupo “Cine y tablas” presentando un espectáculo de títeres.

Fuente:

http://www.diarionorte.com/article/150671/inauguraron-la-escuela-publica-itinerante-estamos-aca-defendiendo-la-educacion-publica-dijo-alesso

Fuente Imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/A0KETQ7AjyeAhRcmQ_dMQWNkpKTZ9M0f9gDZiQtSt3FZs9GDFRme0SMkN16nXzhED21gGw=s85

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Comunicado del Colectivo Nacional Argentino

Comunicado

Santa Fe, Argentina 10 de abril de 2017

Las organizaciones agrupadas en el Colectivo Nacional Argentino de CEAAL, el CEAAL Continental (Consejo de Educación Popular de América Latina), el PMSS (Programa MERCOSUR Social y Solidario), la CLADE (Campaña Latinoamericana por el Derecho a la Educación) y la REPEM América Latina y el Caribe, queremos hacer público nuestro más enérgico repudio a la represión ejercida por el Estado argentino contra docentes que en la tarde de ayer intentaban montar una carpa frente al Congreso Nacional con el objetivo de implementar una escuela itinerante como modalidad de protesta y reclamo de sus derechos vulnerados por el incumplimiento de la Ley de Financiamiento Educativo que obliga al Estado Nacional a convocar a los docentes a Paritarias Nacionales.

Este hecho se suma a una serie de intervenciones de las fuerzas represivas a lo largo y ancho del país que son legitimadas por el gobierno nacional y su ministra de seguridad. Para ellos la protesta social de los diferentes sectores en reclamo y defensa de sus derechos constituyen intentos desestabilizadores de la democracia que el mismo gobierno nacional está poniendo en cuestión a partir del desconocimiento de las leyes, del avasallamiento de derechos y la utilización de herramientas represivas de una virulencia tal, que en nuestro país recuerdan a las dictaduras.

Esta práctica de persecución y estigmatización de las organizaciones populares y sus luchas lamentablemente ya reconoce la existencia de presos políticos, manipulación de la justicia como modalidad para el disciplinamiento de quienes piensan distinto y la articulación de un discurso discriminador y xenófobo a partir de los medios masivos de comunicación que marcan el retroceso de una democracia que hasta ahora se había ido fortaleciendo con el aporte de todos y todas.

Además de condenar esta práctica autoritaria queremos hacer explícito nuestro compromiso en la defensa de la democracia y sus conquistas para lo cual defender a la educación pública, fortalecer nuestro trabajo político y social junto a los más necesitados, acompañar la lucha contra la violencia ejercida hacia las mujeres, luchar por la defensa y conquista de más y mejores derechos para nuestro pueblo es nuestra respuesta y por esto no cederemos el espacio público a las fuerzas represivas.

Programa MERCOSUR Social y Solidario, Consejo de Educación Popular de América Latina y el Caribe, CLADE y REPEM América Latina y el Caribe.

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AI exige a Chile ley que garantice derechos humanos de inmigrantes

América del Sur/Chile/Abril del 2017/http://www.2001.com.ve

 

Amnistía Internacional (AI), lanzó la campaña «Chile sin barreras», cuyo objetivo es pedir al Gobierno que de prioridad a la tramitación de una ley que garantice los derechos de los inmigrantes, que en este país ya suman casi 500 mil personas.

Además, el organismo busca sensibilizar a los parlamentarios y a la ciudadanía en general sobre las continuas vulneraciones que sufren las personas extranjeras que residen en Chile y avanzar en la plena inclusión de todos ellos.

En la actualidad Chile cuenta con una ley de extranjería que data de 1975, cuyo objetivo central es preservar la seguridad nacional, regulando exclusivamente condiciones de entrada, permanencia y salida del país.

«Regular la migración con un decreto propio de la dictadura (1973-1990), y que pone foco de manera exclusiva en la seguridad y en lo económico es limitado, retrógrado y absurdo. Chile debe abordar este complejo proceso con un nuevo marco legal que cumpla en plenitud con los estándares de derechos humanos», señaló el presidente de AI en Chile, Roberto Morales.

El titular del organismo explicó que el decreto actual tiene una visión economicista de la migración y considera básicamente a los migrantes como fuentes de trabajo «estando finalmente al servicio del mercado laboral y no de las personas ni de sus derechos».

Cuatro décadas después, con 465 mil extranjeros, «el país es testigo de un flujo de inmigración nunca antes visto», dijo Morales a Efe.

Además, el director de AI aseguró que el actual articulado (ley 1094), ocasiona «graves vulneraciones al acceso a derechos» y a la vida cotidiana de las personas inmigrantes sin importar su situación legal en el país, ya que incluso los extranjeros que cuentan con visados y permanencias regulares se ven afectados.

«Contar con una ley de migración es una necesidad y una obligación, no un simple lujo. Chile ha suscrito numerosos instrumentos internacionales en esta materia que le exigen alinear sus políticas internas», aseveró Morales.

El director de AI afirmó que el compromiso de reformar la legislación migratoria formó parte del programa del gobierno de la presidenta Michelle Bachelet, pero aún la iniciativa no se traduce en proyecto de ley.

El organismo internacional espera que el proyecto de ley exprese los derechos de las personas inmigrantes y fortalezca la institucionalidad migratoria en el país.

Concluye que, si bien, los Estados tienen la facultad de determinar libremente sus programas migratorios, esto no los exime de «respetar en cada momento los derechos de las personas inmigrantes».

La inmigración latinoamericana hacia Chile se ha cuadruplicado desde el fin de la dictadura de Augusto Pinochet en 1990.

Actualmente, residen en el país 465.300 extranjeros (de una población de casi 18 millones), el 89,5 % de ellos procedentes de países de la región.

Su próspera economía, su estabilidad social y las múltiples oportunidades laborales han impulsado la creación, entre los latinoamericanos, del ‘chilean dream’ (el sueño chileno), tal y como en su día existió el ‘sueño americano’.

Los inmigrantes que llegan al país tienen entre 15 y 45 años y vienen en busca de oportunidades.

Según un informe del banco BBVA, Chile quintuplicó los residentes extranjeros en los últimos 30 años, que actualmente representan un 2,3 % de la población chilena total.

En los últimos diez años, el porcentaje de extranjeros que adquieren residencia definitiva y están clasificados como empleados en Chile aumentó desde el 30 % al 50 % del total, según las estadísticas de la entidad financiera.

Además, aseguró que la inmigración más numerosa proviene de Perú – 177 mil – aunque la que más crece procede de países caribeños, como Haití y República Dominicana.

Fuente:

http://www.2001.com.ve/en-el-mundo/157097/ai-exige-a-chile-ley-que-garantice-derechos-humanos-de-inmigrantes.html

Fuente Imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/ASPu_WLOo-Ox8DoPxBhFo17WUhkhFJUf-CWqmMF13TWCiIPpHqkkInoFgh0fjLAeRFQf=s85

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