Page 5406 of 6179
1 5.404 5.405 5.406 5.407 5.408 6.179

Francia: finalités et objectifs du système éducatif et de l’école

Fines – objetivos  del  sistema educativo y de la República

Europa/Francia/Julio de 2016/Noticia/ theconversation.com

Resumen:

Este texto es de la conferencia de clausura «Escenarios para una nueva escuela» se realizó tras dos años de reflexión del seminario «La escuela y la República» Colegio Bernardo, que trataban de analizar la relación entre la escuela y la República. El simposio fue organizado por Bernard Hugonnier y Gemma Serrano, Co-directores del seminario. Gaby Hostens, director de Política Internacional de la Educación, Ministerio de Educación de Flandes; Miembro del Seminario de Investigación «La escuela y la República» Colegio Bernardo.  Señala que, hay un amplio consenso sobre los objetivos estratégicos y operacionales del sistema de educación, pero a menudo hay confusión entre los dos.La distinción es importante porque un modelo de gobernanza eficaz tiene un impacto en la decisión, y los socios que deben tomar la iniciativa y asumir la responsabilidad de los fines de formulación y desarrollo. De tal manera que Objetivos Estratégicos: En los documentos de política, literatura científica y las publicaciones de la OCDE, CIDREE, etc., hay un consenso bastante amplio en estos objetivos. Los objetivos estratégicos se definen de la siguiente manera: un desarrollo armonioso y equilibrado individual para todos; habilidades (conocimientos, habilidades y actitudes) para preparar todo para su integración efectiva en la vida social y económica (la educación superior y el mercado de trabajo); aprender a aprender durante toda la vida. Entre tanto, los Fines operativos en la Unión Europea, la cual ha hecho un esfuerzo considerable para identificar lo que llama las competencias básicas, pero son más bien los objetivos operativos: la comunicación en la lengua materna; comunicación en lenguas extranjeras; competencia matemática y competencias básicas en ciencia y tecnología; competencia digital; aprender a aprender; competencias sociales y cívicas; el espíritu de iniciativa y espíritu de empresa; conciencia y expresión culturales. Señala  de igual manera la importancia relativa de estos objetivos: los objetivos prioritarios
La consecución de estos objetivos al mismo tiempo está fuera de la cuestión. La realización dependerá del nivel de educación (preescolar, primaria, secundaria, terciaria, etc.) o el tipo de educación (general o profesional, especial).
Está claro que la preparación de los jóvenes al mercado de trabajo será una prioridad en el tipo de profesional de la educación y la adquisición de la base de conocimiento de prioridad en la enseñanza primaria.
Responsabilidades en el desarrollo y el logro de estos objetivos. En general, los sistemas educativos (muy) políticos centralizados año centralmente desarrollan los propósitos estratégicos y operativos y requieren las instituciones y maestros (individuales).  En este sentido el control sobre la calidad es ejecutado por un servicio (inspección) centralDando más responsabilidad va de la mano con una mayor profesionalización de los líderes escolares: rigurosos métodos de contratación (con participación de los agentes internos y externos), habilidades para la gestión eficaz de la formación de los equipos de la escuela. Estas habilidades se justifican un papel más importante de los líderes escolares en la gestión de los recursos humanos: reclutamiento, evaluación del personal y el desarrollo profesional.

Fuente:  https://theconversation.com/ecole-et-republique-finalites-et-objectifs-du-systeme-educatif-et-de-lecole-5-61704

Fuente: https://62e528761d0685343e1c-f3d1b99a743ffa4142d9d7f1978d9686.ssl.cf2.rackcdn.com/files/128540/width926/image-20160628-7851-1tw6hri.jpg

Ce texte est issu du colloque conclusif « Scénarios pour une nouvelle école » organisé le 23 juin 2016, suite à deux années de réflexion du séminaire « École et République » du Collège des Bernardins qui se proposait d’analyser la relation entre l’école et la République. Le colloque était organisé par Bernard Hugonnier et de Gemma Serrano, co directeurs du séminaire. Nous allons publier une série de huit articles sur le sujet.

Par Gaby Hostens, director of international Education Policy, Ministère de l’Education des Flandres ; membre du séminaire de recherche « École et République » du Collège des Bernardins

Apparemment, il y une grande unanimité sur les finalités stratégiques et opérationnelles du système éducatif, mais souvent il y a confusion entre les deux.

La distinction est importante parce qu’un modèle de gouvernance efficace a un impact sur le lieu de décision et sur les partenaires qui doivent prendre l’initiative et assumer la responsabilité de l’élaboration et le développement des finalités.

Finalités stratégiques

Dans les documents politiques, la littérature scientifique et les publications de l’OCDE, CIDREE, etc., il y a un assez large consensus sur ces finalités.

Les finalités stratégiques se définissent ainsi : développement individuel harmonieux et équilibré pour tous ; acquisition de compétences (connaissances, aptitudes et attitudes essentielles) pour préparer tous à une intégration efficace dans la vie sociale et économique (études supérieures et marché du travail) ; apprendre à apprendre tout au long de la vie.

Je préfère inclure « pour tous » dans les finalités stratégiques plutôt qu’ajouter une finalité séparée intitulée « garantir une égalité des chances ». « Pour tous » me paraît plus inclusif : tous les élèves, étudiants et adultes sont inclus !

Un projet international coordonné par l’OCDE et le Service Fédéral Suisse des Statistiques, DeSeCo (définition et sélection de compétences clés,), a identifié trois compétences clés :

  • Se servir d’outils de manière interactive (langue, technologie, etc.).
  • Interagir dans des groupes hétérogènes.
  • Agir de façon autonome.
Finalités opérationnelles

L’Union Européenne a fait un effort considérable pour identifier ce qu’elle appelle des compétences clés mais qui sont plutôt des objectifs opérationnels : la communication dans la langue maternelle ; la communication en langues étrangères ; la compétence mathématique et les compétences de base en sciences et technologies ; la compétence numérique ; apprendre à apprendre ; les compétences sociales et civiques ; l’esprit d’initiative et d’entreprise ; la sensibilité et l’expression culturelles.

Pour chaque compétence il y a une description des connaissances, aptitudes et attitudes essentielles.

Donner l’opportunité aux élèves, étudiants et adultes de participer à la réalisation et d’atteindre ces finalités me paraît un droit humain.

Importance relative de ces finalités : finalités prioritaires

Réaliser ces finalités simultanément est hors de question. La réalisation dépendra du niveau de l’enseignement (pré-primaire, primaire, secondaire, tertiaire, etc.) ou du type d’enseignement (général ou professionnel, spécial).

Il est clair que la préparation des jeunes au marché de travail sera prioritaire dans l’enseignement de type professionnel et l’acquisition de connaissances de base prioritaire dans l’enseignement primaire.

Par contre, le développement et l’acquisition de compétences transversales doivent être au programme de tous les niveaux et types d’enseignement et deviendront graduellement plus importants.

Responsabilités dans le développement et la réalisation de ces finalités

En général, dans les systèmes éducatifs (très) centralisés les responsables politiques an niveau central développent les finalités stratégiques et opérationnelles et les imposent aux établissements et professeurs (individuels).

Ces derniers exécutent les décisions des responsables politiques. Le contrôle sur la qualité est exécuté par un service (d’inspection) central.

Mieux vaut un modèle de gouvernance du système éducatif qui donne des responsabilités spécifiques à chaque niveau. L’élaboration des finalités stratégiques et des grandes lignes des objectifs opérationnels doit se faire au niveau central après consultation des partenaires du monde de l’éducation.

Comme la réalisation des objectifs opérationnels est de la responsabilité des établissements scolaires, il me paraît opportun et logique de donner un rôle crucial aux équipes scolaires dans le processus éducatif qu’est le développement du contenu des objectifs opérationnels. Je veux souligner l’importance de ces équipes scolaires sous la direction des chefs d’établissement.

Elaboration d’objectifs mesurables

Une évaluation efficace est difficilement concevable sans objectifs mesurables. Ils faciliteront l’évaluation formative des élèves et des étudiants qui est la responsabilité exclusive des professeurs qui disposent ainsi d’un trésor de données quantitatives et qualitatives pour améliorer leur enseignement et l’apprentissage des élèves.

L’évaluation sommative peut être soit interne, externe ou une combinaison des deux : équipes scolaires et inspection.

La radioscopie scolaire me paraît avoir une plus grande valeur ajoutée qu’une inspection individuelle de professeurs de discipline parce que toute l’équipe scolaire est concernée.

Les recommandations faisant suite à la radioscopie peuvent déclencher un processus permettant d’améliorer la qualité de l’enseignement.

Des ressources pour réduire l’échec scolaire et les inégalités

Un système éducatif doit essayer d’atteindre la plus grande qualité pour tous. Réaliser cet objectif ambitieux est la responsabilité de tous ceux qui participent au processus éducatif qu’ils soient responsables politiques, inspecteurs ou professeurs.

Il y a une division de travail assez prononcée. La responsabilité principale se situe au niveau des établissements : l’équipe scolaire est sous la direction du chef d’établissement.

Chaque établissement devrait élaborer un projet d’établissement dans lequel la politique pour atteindre cet objectif est élaborée de façon approfondie. L’élaboration de ce projet, avec la participation de tous les partenaires de l’établissement (enseignants, parents, milieux sociaux, culturels et économiques), est de la responsabilité de l’établissement et tient compte du contexte local.

Cet objectif est l’affaire de toute l’équipe. Il faut engager toute l’équipe dans la lutte contre les inégalités. De surcroît, l’équipe scolaire doit engager des partenaires des milieux social, économique et culturel pour réaliser cette mission.

La responsabilité principale de l’inspection est d’évaluer la politique de l’établissement pour atteindre cet objectif et de contrôler la qualité. Mettre les ressources humaines et financières additionnelles à la disposition des établissements est le devoir des responsables politiques.

Une gouvernance pour la mise en œuvre de ces finalités

Un système éducatif qui a l’ambition de réaliser ces objectifs a besoin d’un système de gouvernance robuste avec un système transparent de responsabilités.

Si les établissements sont les premiers responsables de la qualité de l’enseignement et de la réduction des inégalités sociales et de l’échec scolaire, il faut leur donner l’autonomie et les leviers pour atteindre ces objectifs.

Un rôle plus central du chef d’établissement me paraît absolument et inévitablement nécessaire.

Donner plus de responsabilités va de pair avec une plus grande professionnalisation des chefs d’établissement : méthodes rigoureuses de recrutement (avec participation de partenaires internes et externes), compétences pour une gestion efficace de l’équipe scolaire, formation continue.

Ces compétences justifient alors un rôle plus important des chefs d’établissement dans la gestion des ressources humaines : recrutement, évaluation du personnel et développement professionnel.

 

 

 

Comparte este contenido:

España: El FMI rebaja el crecimiento de la zona euro en medio punto de PIB por el ‘Brexit’

Europa/ España/Julio del 2016/Noticias /economia.elpais.com
El Fondo de riesgos políticos en Europa y advierte del peligro de una ralentización global

 

El Fondo Monetario Internacional prevé que la zona euro perderá cinco décimas de Producto Interior Bruto entre 2016 y 2018 debido al Brexit. Si la institución sita en Washington vaticinaba antes del referéndum británico un crecimiento del PIB europeo del 1,7% en cada ejercicio durante los próximos tres años, ahora la estimación se rebaja al 1,6% en 2016, el 1,4% en 2017 y el 1,6% en 2018. O lo que es lo mismo, la salida de Reino Unido de la UE terminará restando una décima  de crecimiento este año, tres décimas el que viene y una décima en 2018. En total, unos 50.000 millones de euros menos en tres años.

A pesar de las turbulencias financieras desatadas, el FMI destaca que los efectos del Brexit han sido contenidos. Las primas de riesgo se dispararon en un primer momento, pero a continuación han descendido todas salvo en Grecia y Portugal. Las bolsas se desplomaron, pero después se han recuperado hasta un 5% por debajo del nivel anterior al plebiscito británico. En general, los mercados funcionan, la liquidez no se ha secado y la mayoría de los precios financieros se está restableciendo gracias a la actuación de los bancos centrales, señala el organismo dirigido por Christine Lagarde.

Aún así, el Fondo pronostica una cierta ralentización de la economía, sobre todo en Reino Unido. De acuerdo con sus estimaciones, ésta perderá un punto y medio de PIB sobre el crecimiento esperado hasta 2019. Y esos efectos se extenderán a la zona euro, aunque sea de forma «limitada». Los economistas del FMI auguran un panorama de renovada incertidumbre, menor confianza de los inversores, mayor volatilidad financiera y una demanda más baja procedente de Reino Unido. La economía británica tiene vínculos financieros muy estrechos con Europa y es el destino del 13% de las exportaciones de la zona euro, recuerda el informe elaborado con motivo de las visitas de los hombres de negro a Europa.

Riesgos políticos

De cara al futuro inmediato, el FMI vislumbra cada vez mayores riesgos perfilándose en el horizonte, y fundamentalmente los achaca a la coyuntura política. Desde las consecuencias del Brexit a la crisis de los refugiados, pasando por la preocupación por la seguridad, los riesgos a los que se enfrenta la UE son «principalmente políticos», subraya el organismo. Para colmo, el problema de los refugiados podría acabar creando nuevos controles fronterizos y dificultando la libertad de movimientos en el mercado único. Y todo este cóctel trufado de amenazas e incertidumbres se zanja en el informe con una conclusión tan meridiana como apremiante: «La incertidumbre persistirá en tanto en cuanto el nuevo estatus de Reino Unido con la UE no sea claro. La recomendación de mejorar y hacer más cohesiva la gobernanza de la unión económica sigue siendo válida, y ha tomado ahora incluso una mayor urgencia».

Es decir, eso implica una estrategia europea más coordinada, en la que los países con capacidad fiscal como Alemania deberían invertir más. A cambio, eso se debería compensar, según el Fondo, con un sistema de control de los déficits más estricto y cuya aplicación sea más automática. Lo cual suena a una llamada a la disciplina precisamente cuando España se enfrenta a la posibilidad de una multa por haber incumplido las metas presupuestarias comprometidas con Bruselas.

A medio plazo, el FMI advierte a Europa de que sus perspectivas de crecimiento son mediocres. «No hay lugar para la complacencia por una recuperación cíclica», sostiene. Máxime cuando en opinión del Fondo crece el peligro de una desaceleración global que podría acabar descarrilando la débil recuperación europea. De ahí que los expertos del Fondo insten a las autoridades europeas a perseverar en las reformas estructurales como la mejora de la inversión, la unión bancaria, el saneamiento de los balances de las entidades, la liberalización de los sectores profesionales y comerciales o la supresión de la dualidad entre fijos y temporales en el mercado laboral. «Sin acciones contundentes, la zona euro permanecerá vulnerable a la inestabilidad y a las repetidas crisis de confianza», remacha.

Por si fuera poco, el Fondo también alerta de la amenaza que supone una inflación demasiado baja: cuando los precios se estancan, el ajuste de la deuda y la competitividad se hace mucho más duro para países como España, con un enorme legado de endeudamiento y paro.

fuente: http://economia.elpais.com/economia/2016/07/08/actualidad/1467974376_098997.html

Fuente imagen http://ep01.epimg.net/economia/imagenes/2016/07/08/actualidad/1467974376_098997_1467975293_noticia_normfoto: PAUL J. RICHARDS AFP

Comparte este contenido:

Africa: Waverley Girls’ High receives solar-powered classroom

Alta Waverly de las niñas recibe el aula con energía solar 

África/Sudafrica /de julio del 2016 /Noticias /www.itnewsafrica.com

Dell abrió su noveno Laboratorio de Aprendizaje de energía solar en África del Sur en High Waverley de las niñas. Según la compañía, la apertura del Laboratorio de Aprendizaje de energía solar en la escuela proporcionará tecnología de clase mundial y la conectividad a cientos de niñas de comunidades con escasos servicios en Alejandría y Hillbrow.

Parte de 2020 legado de buen plan de Dell , que tiene como objetivo poner su tecnología y experiencia para trabajar donde se puede hacer el mayor bien para las personas y el planeta, Dell Laboratorios de Aprendizaje de energía solar proporcionan acceso a la tecnología directa a más de 5.000 estudiantes de escasos recursos en las comunidades donde la infraestructura de tecnología es limitada. Esta asociación específica en alta Waverley de las niñas es sólo uno de los proyectos de Dell y Sci-Bono han colaborado . Esto no es sólo una lucha por la escuela para competir y ofrecer las mismas facilidades que rodea a las escuelas privadas, pero sigue tratando de animar y preparar a las niñas para entrar en la industria de TI.

Natasha Reuben, Jefe de Transformación en Dell Sudáfrica afirma que: «Proporcionar una educación de clase mundial es un desafío permanente en todo el mundo en desarrollo, incluyendo África, América del Sur y Asia. Las apuestas son demasiado altas – la educación es demasiado importante – por lo que Dell toma este reto muy en serio. Dando la vuelta a las comunidades a las que llama su hogar siempre ha sido central para el sistema de valores de Dell. Creemos que el acceso a la educación y la tecnología no es un lujo, sino una necesidad «.

Impulsado por estos valores, Dell comenzó el proyecto de Laboratorios de Aprendizaje, que combina lo mejor de las nuevas tecnologías con ideas prácticas para entregar aulas donde más se necesitan.

Todo esto se vincula a la campaña Listo para el futuro de Dell: las tecnologías están cambiando rápidamente el mundo y las generaciones futuras deben estar preparados para eso. Mediante la combinación de la innovación de vanguardia, incluyendo escritorios virtuales y software, con las demandas contemporáneas de aula, laboratorios de aprendizaje, los alumnos y profesores a entender que el futuro en sus términos.

La iniciativa da presentaciones sobre la adquisición de talento para los estudiantes, incluyendo orientación sobre la forma de comercializar mejor a sí mismos en el mercado de trabajo. Dell empleados reciban sesiones de simulación de entrevista con cada estudiante para darles experiencia práctica. La compañía tiene mucha fe en este acercado, dice Rubén, como proyectos similares en el pasado han dado lugar a la contratación indefinida por parte de Dell de varios estudiantes del proyecto.

El futuro de la educación no es para que la tecnología conduce por la nariz, sino más bien para potenciar la TI. Si Laboratorios de Aprendizaje de Dell son una visión del futuro, la educación del futuro se ve mucho más brillante.

 

Fuente:http://www.itnewsafrica.com/2016/07/south-africa-waverley-girls-high-receives-solar-powered-classroom/

Fuente Imagen: http://www.itnewsafrica.com/wp-content/uploads/2016/07/Dell-300×225.jpg

Dell opened its ninth solar-powered Learning Lab in South Africa at Waverley Girls’ High. According to the company, the opening of the solar-powered Learning Lab at the school will provide world-class technology and connectivity to hundreds of girls from underserviced communities in Alexandria and Hillbrow.

Part of Dell’s 2020 Legacy of Good Plan, which aims to put its technology and expertise to work where it can do the most good for people and the planet, Dell solar-powered Learning Labs provide direct technology access to more than 5,000 underprivileged students in communities where technology infrastructure is limited. This specific partnership at Waverley Girls’ High is just one of the projects Dell and Sci-Bono have collaborated on. Not only does this school struggle to compete and offer the same facilities as surrounding private schools, but it continues to strive to encourage and prepare girls to enter the IT industry.

One of 11 labs globally, the Learning Labs are constructed inside standard shipping containers, using Dell’s Wyse thin client computers and Dell PowerEdge Servers to create a computer-empowered learning space. Solar panels take care of power requirements, while the computers use cloud technologies to run the latest Windows Office systems. The setup is also highly efficient, according to Dell, with each workstation requiring less than seven Watts of power, as opposed to 180 Watts for a typical PC.

Natasha Reuben, Head of Transformation at Dell South Africa states that: “Providing world-class education is an ongoing challenge across the developing world, including Africa, South America and Asia. The stakes are too high – education is too important – which is why Dell takes this challenge very seriously. Giving back to the communities it calls home has always been core to Dell’s value system. We believe that access to education and technology is not a luxury, but a necessity.”

Driven by these values, Dell started the Learning Labs project, which combines the best of new technologies with practical ideas to deliver classrooms where they’re needed most.

This all ties into Dell’s Future Ready campaign: technologies are rapidly changing the world and future generations need to be ready for that. By combining cutting-edge innovation, including virtual desktops and software, with contemporary classroom demands, Learning Labs enables learners and teachers to understand that future on their terms.

“Dell developed solar-powered Learning Labs through a pilot phase in Nigeria in 2013. It has shaped up so well that there are now ten similar sites in Africa, as well as a new site in Colombia. The concept works brilliantly. Instead of throwing technology at teachers and students, we looked at how to solve their problems. Learning Labs offers a classroom supported by new technologies and is entirely self-sustaining. It adapts the digital world for them, not the other way around,” Reuben said.

“Youth empowerment has always been a major focus for Dell. In keeping with youth month, Dell has embarked on a coaching and mentoring initiative, the Sci-Bono Youth Development Programme, which will see Dell employees share their knowledge and expertise with students,” she adds.

The initiative gives presentations on talent acquisition to students, including guidance on how to better market themselves in the job market. Dell employees host mock interview sessions with each student to give them hands-on experience. The company has a lot of faith in this approached, says Reuben, as similar past projects have led to the permanent hiring by Dell of several project students.

The future of education is not for technology to lead it by the nose, but rather to empower it. If Dell’s Learning Labs are a vision of the future, education’s tomorrow looks a lot brighter.

 

 

Comparte este contenido:

Drones para llegar donde nadie ha llegado en Colombia

Colombia/09 Julio 2016/Fuente: Semana

Una iniciativa de la sede en Medellín de la Universidad Nacional quiere emplear estos aparatos electrónicos para llegar a los lugares más aislados del territorio y referenciarlos en mapas.

La geografía de Colombia es extensa y diversa: llanuras, cordilleras y planicies que se combinan para configurar una extensión territorial, que no marítima, de 1.141.748 kilómetros cuadrados.

Una complejidad geográfica que en ocasiones dificulta el acceso a determinadas zonas del territorio. El conflicto armado que se perpetúa desde hace más de 50 años tampoco ha facilitado el ingreso a determinadas zonas de las que apenas se tiene información. Mucho  menos referencia a nivel de mapeo.

Para suplir todas estas deficiencias de la cartografía de Colombia, la Universidad Nacional con sede en Medellín ha desarrollado una iniciativa que emplea la la tecnología más avanzada de los drones con el objetivo de actualizar los mapas del país y llegar a lugares aislados que no aparecen detallados en la cartografía colombiana.

Quizá le interese: ‘¡Llegaron los drones a Colombia!‘

Desde  1950, la institución educativa cuenta con el Laboratorio de Geomática dedicado, entre otras tareas, a obtener mediciones del terreno y producir cartografía en la región utilizando fotografías aéreas e imágenes satelitales. Ahora, la idea es aprovechar la tecnología de los vehículos aéreos no tripulados para conseguir imágenes más detalladas y reales del territorio.

“El territorio que manejan estas áreas es muy grande y no se puede abarcar todo desde el suelo, porque el terreno no se lo permite, entonces debemos mirar el espacio desde arriba y por eso el dron se constituye en una herramienta de punta necesaria en fotogrametría y generación de un modelo digital del terreno para obtener cartografía con precisión”, explicó el profesor Luis Jairo Toro Restrepo, del departamento de Ciencias Forestales.

Según comentó el ingeniero topográfico Miguel Idrobo a la agencia de noticias de la Universidad Nacional, en el país hay un atraso en cartografía de aproximadamente 30 años. “Hay zonas como el Amazonas, la Orinoquía, algunas áreas del Pacífico y otras donde no existe cartografía, porque son de difícil acceso y estos procesos de actualización cartográfica requieren muchos recursos financieros. Es precisamente ahí donde los vehículos aéreos no tripulados podrían ser un gran apoyo para obtener información”, resaltó. (‘La revolución de los drones a la vuelta de la esquina‘).

Se espera que el proyecto comience a brindar resultados próximamente.  Y es que contar con mapas actualizados no sólo sirve para conocer el territorio, el entorno, sus características y extensión. La importancia del mapeo es esencial para el desarrollo de un país: los datos que brindan estas representaciones geográficas ayudan a reducir costos, solucionan problemas espaciales, ambientales y sociales, y facilitan la toma de decisiones a todos los niveles.

Fuente: http://www.semana.com/educacion/articulo/drones-para-actualizar-mapas-en-colombia/480858

Comparte este contenido:

Disciplina castrense para combatir la violencia en las escuelas de Tailandia

Tailandia/09 julio 2016/Autor: Noel Caballero/Fuente: El Día 

Sentados en la jungla, un centenar de jóvenes escuchan la charla sobre disciplina impartida por militares durante una de las actividades encaminadas a aplacar la arraigada violencia escolar que sufre Tailandia.

«Les inculcamos el valor de la unidad. Amor por la nación, religión y familia (…) La mayoría de estos niños nunca recibieron lecciones de disciplina. Su comportamiento (violento) no es innato, sino aprendido de estudiantes mayores», apunta a Efe el teniente Panya Panthong, unos de los instructores.

Los expertos aseguran desconocer las razones por las que se desencadenó la violencia estudiantil entre centros de formación profesional encaminada a defender «el honor de las escuelas» y que desde hace décadas los alumnos mayores inculcan a los recién llegados.

Apichart Kawchawee, un joven de 20 años estudiante de un centro del barrio de Min Buri, en el noreste de Bangkok, asegura que otros compañeros «le felicitaron» después de participar en una refriega contra estudiantes de otro centro.

«La causa (de la pelea) es simple: somos diferentes instituciones. Los estudiantes veteranos nos incitan a participar en peleas en las que a veces no sabemos ni a quien nos enfrentamos», asegura el joven a Efe al apuntillar que fue hasta «entretenido».

El Ministerio de Educación, en colaboración con el Ejército, estableció un campamento en el recinto militar de Sattahip, a unos 200 kilómetros al sureste de la capital tailandesa, donde unos 850 niños problemáticos fueron internados por dos semanas con el objetivo de detener las peleas entre centros educativos.

Lecciones de supervivencia, paseos por la playa, actividades deportivas y lecciones sobre el amor a la patria son otras de las actividades promovidas durante la estancia en el acantonamiento que finaliza este fin de semana.

«Les enseñamos las normas de la Marina (tailandesa). Según mi experiencia, entre el 70 y el 80 % de los niños abandonan su comportamiento violento al concluir el campamento», indica el teniente, quien ha participado en las tres ediciones realizadas.

El militar incluso afirma que, tras el periodo con los jóvenes, mantiene el contacto con algunos de ellos a quienes ofrece consejos de tutor y que junto a las escuelas realizan un seguimiento posterior sobre los cambios en el comportamiento de los chavales.

Según el diario «Bangkok Post», al menos cuatro peleas masivas entre estudiantes se han sucedido durante el presente año, mientras las riñas menores se contarían por centenas.

Entre ellas destaca la sucedida el pasado 8 de junio cuando dos estudiantes del norte de Bangkok resultaron heridos de gravedad al recibir puñaladas y el impacto de una bala durante un enfrentamiento con alumnos de otro centro educativo.

«Los jóvenes compran las armas en el mercado o las fabrican ellos mismos. Algunos de estos chavales son capaces de forjar pistolas de fabricación casera que se venden entre los alumnos», apunta Panya.

Aunque se carezca de datos oficiales sobre el número de contiendas, el volumen es tal que el primer ministro, el general golpista Prayut Chan-ocha, decidió utilizar a mediados de junio una ley que le otorga poderes especiales a fin de aprobar una baterías de medidas que endurezcan las penas contra los jóvenes camorristas.

Condenas de prisión para los infractores y medidas para obligar a que los padres controlen más de cerca a sus vástagos, forman parte de la nueva norma.

«De momento soy estudiante de primer año, no sé cómo puedo ayudar (a solucionar el problema), pero en el futuro cuando vengan nuevas generaciones de estudiantes intentaré ayudarles» a que no se metan en problemas, comenta Sattawat Matthakij, otro de los participantes del campamento militar.

Fuente: http://eldia.es/agencias/8771507-TAILANDIA-EDUCACI-N-Cronica-Disciplina-castrense-combatir-violencia-escuelas-Tailandia

Comparte este contenido:

La educación, clave para la sostenibilidad

Mexico/09 julio 2016/Fuente: CINU

Irina Bokova, defendió el papel de la educación como motor esencial del desarrollo sostenible en el transcurso de un acto titulado «Educación para el desarrollo sostenible y la función de la Agenda 2030» que tuvo lugar durante la Semana de Almedalen en Suecia.

El acto fue organizado por la Comisión Nacional Sueca para la UNESCO, la Universidad de Upsala y el Centro Internacional Sueco de Educación para el Desarrollo Sostenible, y contó con la participación del Excmo. Sr. Gustav Fridolin, Ministro de Educación de Suecia, la Sra. Eva Friman, del Centro Internacional Sueco de Educación para el Desarrollo Sostenible, y el Sr. Mats Djurberg, Secretario General de la Comisión Nacional Sueca.

La Semana de Almedalen es una importante reunión política que se celebra todos los años en Suecia y en la que intervienen partidos políticos, representantes del Gobierno y dirigentes políticos, así como los medios de comunicación. En el transcurso de la semana se organizan más de mil eventos, en los que participan varias decenas de miles de personas.

En un amplio debate con el Ministro y el público, Irina Bokova declaró que la educación es el denominador común de la Agenda 2030 y el Acuerdo de París sobre el Cambio Climático.

«Para mitigar los efectos del cambio climático necesitamos economías más verdes pero, sobre todo, necesitamos sociedades más verdes», afirmó. «Para ello se necesitan nuevas formas de ver el mundo y de actuar como ciudadanos del mundo. Por ello la educación es esencial».

El ministro Fridolin subrayó el compromiso de Suecia con la educación para el desarrollo sostenible.

«Los ODS son una revolución en la manera en que trabajamos, mediante un enfoque integral», dijo el ministro. «Y el ODS 4 relativo a la educación es la piedra angular».

La Directora General destacó los avances logrados durante el Decenio de las Naciones Unidas de la Educación para el Desarrollo Sostenible (2005-2014), patrocinado por el Japón y dirigido por laUNESCO, con el apoyo activo de Suecia.

El Decenio concluyó con la Conferencia Mundial de la UNESCO sobre Educación para el Desarrollo Sostenible, organizada por el Japón en 2014 en Aichi-Nagoya, en la que se acordó el Programa de Acción Mundial de Educación para el Desarrollo Sostenible que la UNESCO lleva adelante.

«Para avanzar debemos integrar las cuestiones de desarrollo sostenible en los sistemas educativos nacionales e incorporar la educación en todos los esfuerzos destinados a promover el desarrollo sostenible», dijo Irina Bokova, al tiempo que subrayó las cinco prioridades del Programa de Acción Mundial.

La Directora General se refirió también a la publicación que aparecerá próximamente sobre el nexo entre la educación y todos los ODS.

Eva Friman hizo un enérgico llamamiento para que se integre la EDS en todos los niveles del sistema educativo.

A este respecto, Irina Bokova subrayó el papel de liderazgo que ejerce Suecia para impulsar la Agenda 2030.

Fuente: http://www.cinu.mx/noticias/mundial/la-educacion-clave-para-la-sos/

Comparte este contenido:

¿Por qué el País Vasco es ahora una potencia mundial en educación?

Pais Vasco/09 Julio 2016/Fuente: Semana

El País Vasco está dando de qué hablar en Europa y el mundo por su alta calidad en educación. Semana Educación le explica por qué el nivel educativo de esta comunidad se asemeja al de un país escandinavo.

Cada vez que se habla de las superpotencias en educación, los mejores países son Finlandia, Singapur, Hong Kong y Corea del Sur. De hecho, estas naciones encabezan la lista más reciente del Informe del Programa Internacional para la Evaluación de Estudiantes (Informe Pisa), elaborado anualmente por la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económico (OCDE), el organismo de cooperación internacional compuesto por 34 Estados.

Sin embargo, últimamente se ha comenzado a hablar del sistema educativo del País Vasco que se destaca entre las distintas naciones. Esta comunidad autónoma de España, situada en el extremo nororiental de la península ibérica, cuenta con un alto porcentaje de alumnos comparable al de países como Finlandia y Corea del Sur.

Como se trata de una comunidad autónoma, el Gobierno vasco tiene libertad en varias competencias, entre ellas la educación: uno de los sectores en los que más ha invertido. Si se considerara al País Vasco como un país independiente, sólo Dinamarca y Austria lo superarían en gasto por alumno. Casi el 48% de quienes están en edad laboral posee una titulación universitaria, casi como Noruega.

Además, casi la mitad de los graduados en educación superior estudió una carrera relacionada con matemática, ingeniería o ciencias básicas. Es así como el porcentaje de la población dedicado a la investigación y al desarrollo es tan alto como el de un país de Escandinavia.

Lo cierto es que uno de los mayores factores que caracterizan la excelencia de la educación vasca es el vínculo que existe con la identidad nacional. La educación ha sido para el pueblo vasco la clave para preservar su cultura.

Durante la represión del gobierno de facto de Francisco Franco, el euskera o lengua vasca fue prohibida en el ámbito público y casi se extingue. Los consecutivos gobiernos vascos, tratando de sobrevivir a esa sombra, construyeron un sistema educativo capaz de proteger la lengua. Es así como el País Vasco supera a la mayoría de los países europeos en cuanto presupuesto destinado a las escuelas e investigación.

Andreas Schleicher, director de educación de la Ocde, reconoce que el País Vasco ha apoyado con fuerza el desarrollo de la educación en la región. Esto ha tenido que ver en parte con la inversión en el proyecto político para promover la lengua vasca.

Por otro lado, esta comunidad ha logrado desmarcarse de un alto nivel de desempleo juvenil que afecta toda España. Según datos del primer trimestre de 2016 de la Encuesta de Población Activa (EPA), en el País Vasco el 31% de los jóvenes menores de 25 años no tiene empleo y el 12,7% entre los 25 y 54 años no trabaja. Mientras que en España el 46,5% de los jóvenes menores de 25 años está en paro, así como el 19,7% de los españoles entre los 25 y 54.

Como si fuera poco, el País Vasco es uno de los territorios más prósperos de Europa. Sólo Luxemburgo y Austria tienen una renta per cápita superior a la de esta comunidad autónoma. Las políticas educativas vascas han tenido como objetivo diferenciar al País Vasco de otras regiones de España, midiéndose con estándares internacionales.

Otro factor que influye en la calidad de la educación de la comunidad es que la mitad de las escuelas vascas son una mezcla entre privadas y públicas. Estas, reciben el nombre de centros educativos concentrados, los cuales son financiados por el Estado, pero los padres de los alumnos contribuyen también con el pago de matrículas.

Incluso, el sistema de pagos compartidos hace que los padres se involucren más en la gestión de cada escuela. Sin embargo, este esquema tiene detractores que denuncian que este sistema potencia la brecha social. No obstante, todas las escuelas deben responder al reto que les corresponde de cara a la cohesión social, debido a que reciben financiación de impuestos.

Por último, el enfoque para regenerar la economía de la región combinó la inversión en proyectos culturales con el apoyo a nuevas industrias relacionadas con la investigación científica. Este es el caso de Bilbao: la mayor ciudad del territorio que es ahora un importante imán turístico; pedro que en su momento fue una ciudad en decadencia por el declive del sector industrial.

Fuente: http://www.semana.com/educacion/articulo/educacion-en-el-pais-vasco/480829

 

Comparte este contenido:
Page 5406 of 6179
1 5.404 5.405 5.406 5.407 5.408 6.179