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Puerto Rico: Loíza inicia proyecto educativo concentrado en matemáticas, bellas artes y educación física

Centro América/Puerto Rico/10.09.18/Fuente: www.elvocero.com.

Estudiantes de alto promedio son tutores de sus pares como parte del proceso

Luego de haber presentado una propuesta al Departamento de Educación (DE), la alcaldesa de Loíza, Julia Nazario Fuentes inauguró en la Escuela Nueva Intermedia Barrio Medianía, antes J. Vizcarrondo, el proyecto de horario extendido Educación Sistémica para una Transformación Educativa de Primera (ESTEP), que tiene como meta mejorar el aprovechamiento en las matemáticas, integrando la educación física y bellas artes en el proceso.

Según explicó Nazario Fuentes, el mismo ofrece nuevas oportunidades a los estudiantes para que puedan aprovechar el tiempo extra luego de las clases regulares.

Cabe destacar, que dicho municipio cuenta en este cuatrienio con la figura del Comisionado Escolar del municipio, que sirve de enlace con los planteles.

Por su parte, el comisionado Virtuoso Rivera detalló que la dinámica de los estudiantes tutores está basada en el promedio general “y ofrecen asistencia a los estudiantes con rezago y el refuerzo de las destrezas de matemáticas en grupo. Colaboran además con los maestros en el proceso educativo”.

El programa ESTEP impacta a una población de 1,290 estudiantes loiceños.

Además, Héctor Osorio, profesor de álgebra, explicó que el proceso educativo de ESTEP “genera más interés en los estudiantes por la novedad que representa este proyecto. Por ejemplo, para montar una obra de teatro hay que medir escenarios, trazar líneas, crear andamios y para eso hace falta la matemática. Igual con un juego de pelota, hay que sumar, trazar estrategias y aplicamos números también”.

Las escuelas participantes son la Belén Blanco de Zequeira, Medianía Alta Elemental, Guillermina Rosado de Ayala, Intermedia Nueva Medianía, Celso González y Nueva Superior de Loíza.

También la Escuela Jobos, que estuvo en lista para cierre, pero que permanece abierta, será parte del programa.

Por último, la alcaldesa agradeció a la secretaria Julia Keleher y su equipo del DE por acoger la iniciativa.

“En Loíza vamos a ser ejemplo de todo lo que se puede hacer aunque haya limitaciones presupuestarias. Esta iniciativa que hoy presentamos es muestra de ello”, culminó.

Fuente de la noticia: https://www.elvocero.com/regionales/lo-za-inicia-proyecto-educativo-concentrado-en-matem-ticas-bellas/article_432e7f68-b255-11e8-8342-f7fd7440608e.html

 

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Jamaica crea instalaciones para estudiantes con problemas de conducta

Centro América/Jamaica/10.09.18/Fuente: www.prensa-latina.cu.

El Ministerio de Educación, Juventud e Información de Jamaica creó tres instalaciones de estancia temporal para ayudar en la rehabilitación de estudiantes con problemas de conducta, reseñan hoy medios locales.

‘Estas son instalaciones que apoyarán a los niños al proporcionarles apoyo psicosocial, psicológico y psiquiátrico que es necesario para garantizar que puedan rehabilitarse por completo y volver a unirse a sus compañeros’, dijo la directora de educación del ministerio, Grace McLean, durante una reunión con líderes del sector.

‘Lo que hacen nuestras instalaciones y centros de retiro de tiempo de espera es permitirles pasar por un proceso de rehabilitación’, explicó durante en el encuentro según el diario Jamaica Observer.

McLean aprovechó la ocasión para anunciar que gradualmente se abrirán otras 12 instalaciones de ese tipo en el resto de la isla, para así completar un programa que de cobertura a todos los estudiantes.

La titular destacó que la iniciativa es parte de un paquete de medidas implementadas por el Ministerio de Educación, Juventud e Información para, desde la igualdad de oportunidades, tratar las diferentes necesidades de los niños y niñas en edad escolar.

Fuente de la noticia: https://www.prensa-latina.cu/index.php?o=rn&id=208533&SEO=jamaica-crea-instalaciones-para-estudiantes-con-problemas-de-conducta

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Réfugiés palestiniens : Au Liban, c’est l’enseignement qui est aujourd’hui en danger, avertit l’Unrwa

Asia/Palestina/10.09.18/Source:  www.lorientlejour.com.

Hoda Samra, porte-parole de l’agence onusienne au Liban, fait le point sur l’impact, pour les réfugiés dans le pays, de la réduction drastique du financement américain.

En juillet dernier, l’Unrwa, qui emploie 20 000 personnes au Proche-Orient, annonçait le licenciement de 250 employés à Gaza et en Cisjordanie occupée. Et ce après la forte réduction de l’aide américaine qui a chuté de 360 millions de dollars en 2017 à seulement 60 millions pour l’année 2018. Résultat, le 8 août, des employés de l’agence onusienne occupaient partiellement le QG de l’organisation à Gaza, un mouvement qualifié de « mutinerie » par la direction locale de l’Unrwa. Ces développements surviennent après les révélations du magazine américain Foreign Policy, le 4 août, sur le contenu d’un courriel envoyé le 11 janvier dernier par Jared Kushner, conseiller et gendre du président américain Donald Trump, au représentant spécial du président américain pour les relations internationales, Jason Greenblatt, et à d’autres diplomates américains actifs sur les dossiers du Proche-Orient : « Il est important de poursuivre un effort sincère et honnête pour interrompre les activités de l’Unrwa », disait-il, poursuivant que « cette agence perpétue le statu quo, (qu’)elle est corrompue, inefficace et n’aide pas à la paix ».
Malgré ces attaques, le commissaire général de l’Unrwa, Pierre Krähenbühl, annonçait hier que les 711 écoles de l’Unrwa au Liban, en Jordanie, en Syrie, à Gaza et en Cisjordanie incluant Jérusalem-Est ouvriront leurs portes « à temps », à la prochaine rentrée scolaire. Les fonds d’urgence collectés ne permettent d’assurer les services d’assistance aux réfugiés palestiniens « que jusqu’à fin septembre », a-t-il néanmoins averti lors d’une réunion extraordinaire de la Commission consultative de l’Unrwa, à Amman. Dans ce contexte, il a annoncé des « mesures robustes pour sauvegarder la situation financière de l’agence », basées « sur des réformes et sur l’identification des efficacités », avant d’insister sur « l’important mandat de l’Unrwa de préserver la dignité des réfugiés palestiniens ».
L’Orient-Le Jour a contacté le bureau régional de l’Unrwa au Liban, dirigé par Ibrahim el-Khatib, afin de connaître les répercussions de cette crise sur l’aide apportée aux réfugiés palestiniens du Liban. Hoda Samra, porte-parole de l’agence onusienne au Liban, fait le point sur la question.

Quel est le budget annuel du bureau régional de l’Unrwa basé au Liban avant et après la décision américaine ? Quel est le budget de l’agence pour le Liban ? Qui sont les principaux donateurs actuels ?
Le budget global de l’Unrwa pour l’année 2018 s’élève à 1,397 milliard de dollars. Il est centralisé et redistribué de manière hiérarchisée aux domaines d’intervention, en fonction des besoins de santé, d’éducation, de secours, de services sociaux. Le budget pour le Liban est donc une partie du budget central et n’est pas estimé séparément.
Avant la Conférence ministérielle extraordinaire tenue à Rome le 15 mars 2018 (de soutien à l’Unrwa, NDLR), le déficit cumulé total était de 446 millions de dollars. Nos efforts globaux et notre campagne « Dignity is Priceless » (La dignité n’a pas de prix) ont permis à l’Unrwa d’obtenir un soutien supplémentaire considérable. De mars à juin 2018, l’Unrwa a réuni 238 millions de dollars de nouveaux fonds et avec la clôture de la conférence des donateurs de New York le 25 juin, le déficit de 446 dollars a été ramené à 217 millions de dollars. Une réalisation monumentale, mais nous sommes toujours en crise. Nous poursuivons nos efforts pour combler le déficit financier et assurer le financement nécessaire pour nos opérations en 2019. Et ce compte tenu que les principaux donateurs de l’Unrwa pour l’année 2018 sont l’Union européenne (100 millions USD), l’Arabie saoudite (100 millions USD), la Suède (65 millions USD), les États-Unis (60 millions USD), les Émirats arabes unis (50 millions USD) et le Qatar (50 millions USD).

Quel est l’impact de la décision américaine sur le bureau, les activités et le personnel local et régional de l’Unrwa au Liban ?
En dépit de cette crise financière sans précédent, l’Unrwa n’a pas réduit ses services aux réfugiés palestiniens au Liban. L’agence lutte pour éviter d’avoir à le faire. Elle intensifie ses efforts pour mobiliser des donateurs.
L’Unrwa a donc pris des mesures d’austérité. Au Liban, si l’effectif global du personnel a été maintenu, en dépit de la fermeture d’une centaine de postes liés à des projets, les augmentations de salaires du personnel de l’Unrwa ont été reportées. À l’échelle régionale, les employés retraités n’ont pas bénéficié d’extension de leur mandat. Les postes vacants n’ont pas été pourvus. Et les déplacements sont désormais limités.

Combien de réfugiés palestiniens dépendent de l’Unrwa aujourd’hui, au Liban et dans la région ? Cette aide est-elle menacée ? Quel est l’impact de la crise sur les réfugiés ?
Au Liban, c’est l’enseignement qui est aujourd’hui en danger, plus particulièrement les services d’enseignement primaire, préparatoire et secondaire offerts à environ 37 000 enfants réfugiés palestiniens inscrits dans 66 écoles, dont environ 5 500 enfants palestiniens réfugiés de Syrie (PRS). Est également menacé l’enseignement professionnel et technique d’un millier d’étudiants. Les étudiants PRS sont bien logés et intégrés dans les écoles de l’agence au Liban. Ils sont engagés avec les réfugiés de Palestine dans des activités scolaires et parascolaires, récréatives, sportives et psychosociales. Ils pourraient faire les frais du déficit financier de l’Unrwa. L’assistance médicale fournie à près de 160 000 patients par an est aussi menacée, ainsi que les soins de santé secondaires et tertiaires financés par l’organisation dans les hôpitaux conventionnés, de même que le soutien financier à plus de 61 000 réfugiés vivant sous le seuil de pauvreté.
À plus large échelle, le manque de financement met en péril tous les services fournis par l’Unrwa et pourrait avoir un impact considérable sur la vie quotidienne de millions de réfugiés palestiniens vulnérables en Jordanie, en Syrie, au Liban, à Gaza et en Cisjordanie, incluant Jérusalem-Est. À commencer par l’accès à l’éducation de base pour 526 000 garçons et filles dans 711 écoles de l’organisation. Sont également menacés l’aide alimentaire d’urgence et financière à 1,7 million de réfugiés palestiniens extrêmement vulnérables, ainsi que l’accès aux soins de santé primaires et prénataux pour 3 millions de réfugiés. Sans oublier que cette crise représente une atteinte à la dignité et la sécurité humaine de 5,3 millions de réfugiés qui ont enduré 70 ans d’injustice et d’incertitude.

L’Unrwa a-t-elle un plan B, si les États-Unis maintiennent leur décision ?
Le commissaire général, Pierre Krähenbühl, a clairement annoncé que l’organisation travaillera sans relâche pour veiller à ce que les services ne soient pas interrompus. Mais la tâche est énorme parce que le déficit de financement est énorme. Nous avons lancé une campagne mondiale #Dignity_Is_Priceless pour atteindre d’autres donateurs non traditionnels, des organisations caritatives islamiques, des fondations et des particuliers.

L’Unrwa est-elle en danger aujourd’hui ?
Le mandat de L’Unrwa est fixé par l’Assemblée générale des Nations unies, dont les membres appuient largement la mission humanitaire et de développement de l’agence. Ils rendent aussi hommage à notre contribution indispensable à la paix et à la sécurité, avec certaines des communautés les plus marginalisées du Moyen-Orient. L’Unrwa continue de bénéficier d’un large soutien parmi ses membres. Ni elle ni aucun État membre de l’ONU ne peut modifier unilatéralement son mandat. Cela ne peut être fait que par l’Assemblée générale en tant qu’organisme. En attendant, nous continuerons à mettre en œuvre le mandat avec les ressources disponibles.

Source des nouvelles: https://www.lorientlejour.com/article/1130216/au-liban-cest-lenseignement-qui-est-aujourdhui-en-danger-avertit-lunrwa.html

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India despenalizó la homosexualidad y dio un paso histórico hacia la igualdad y diversidad de género

Asia/India/10.09.18/Fuente: tn.com.ar.

El combate por la igualdad de los derechos de la comunidad LGBTganó este jueves una histórica batalla con la despenalización de la homosexualidad por la Corte suprema de India, la segunda nación más poblada del planeta.

La mayor instancia judicial de este país del sur de Asia, de 1.250 millones de habitantes, consideró inconstitucional un viejo artículo que condenaba las relaciones sexuales entre personas del mismo sexo. Esta disposición «se había convertido en un arma de acoso contra la comunidad LGTB», declaró el presidente de la Corte suprema, Dipak Misra.

Un activista de los derechos de los homosexuales espera fuera de la Corte Suprema de la India con un mensaje: "Love is love". (AP)
Un activista de los derechos de los homosexuales espera fuera de la Corte Suprema de la India con un mensaje: «Love is love». (AP)

Según el código penal indio, que data de la era colonial británica, la homosexualidad podía ser castigada hasta con cadena perpetua. Aunque ciertamente las condenas de este estilo por relación entre personas del mismo sexo fueron muy escasas.

El artículo 377 de código penal, objeto de una larga batalla judicial en los últimos 20 años, prohibía «cualquier relación carnal contra el orden de la naturaleza».

Un panel de cinco jueces de la Corte suprema escuchó en julio los argumentos de los demandantes homosexuales, entre ellos varias celebridades, quienes consideraban que este artículo era contrario a la Constitución india.

Un activista de los derechos de los homosexuales celebra después de la decisión del máximo tribunal de la India. (AP)
Un activista de los derechos de los homosexuales celebra después de la decisión del máximo tribunal de la India. (AP)

Durante los debates, el gobierno nacionalista indio de Narendra Modi, conservador en temas sociales, optó por no tomar una posición en este tema y dejó que la Justicia decidiera sobre la despenalización de la homosexualidad.

India se convierte así en el 124º Estado del mundo en el que los actos homosexuales no son criminalizados, según datos de la Asociación internacional de personas lesbianas, gays, bisexuales, trans e intersexos.

Enfermedad mental

Aunque existe un entorno homosexual discreto en grandes ciudades de India como Delhi o Bombay, las relaciones sexuales entre hombres o entre mujeres es aún muy mal vistas por la sociedad india.

La activista por los derechos de los homosexuales Chitra Palekar celebra con un miembro de la comunidad LGBT. (AP)
La activista por los derechos de los homosexuales Chitra Palekar celebra con un miembro de la comunidad LGBT. (AP)

Muchos indios, en especial en las zonas rurales donde reside el 70% de la población, consideran la homosexualidad como una enfermedad mental. Algunos la equiparan incluso con la zoofilia.

La despenalización de la homosexualidad fue pronunciada por primera vez en India en 2009 por la Alta Corte de Delhi, una decisión que fue saludada en todo el mundo. Sin embargo, en 2013, la situación se revierte: la Corte suprema invalidó esta decisión por cuestiones legalistas.

Esta vuelta atrás provocó gran desaliento entre los defensores de la despenalización, que lanzaron nuevos recursos judiciales.

Activistas por los derechos de los homosexuales celebran la decisión de la Justicia de la India. (AP)
Activistas por los derechos de los homosexuales celebran la decisión de la Justicia de la India. (AP)

La despenalización ordenada este jueves por esta misma Corte suprema era esperada por los observadores. En efecto, su jurisprudencia se inclinaba claramente en favor del reconocimiento de un tercer género para los transgénero y por el respeto a la vida privada.

«Es la primera etapa de la historia de muchos otros países que primero despenalizaron las relaciones homosexuales, y luego autorizaron las uniones civiles y después el matrimonio» homosexual, opinó en una reciente entrevista a la AFP Keshav Suri, propietario de una cadena de hoteles de lujo que figura entre los demandantes ante la Corte suprema.

«Es una larga batalla para llegar a la igualdad de los derechos, pero estoy seguro de que al final lo conseguiremos», agregó.

Fuente de la noticia: https://tn.com.ar/internacional/india-despenalizo-la-homosexualidad-y-dio-un-paso-historico-hacia-la-igualdad-y-diversidad-de-genero_895237

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Afghanistan: promoting education during times of increased fragility

By reliefweb

Education has been at the forefront of the political battles and conflicts that have plagued Afghanistan over the past few decades.

Changing political ideologies have taken a toll on all students as the entire Afghan education system including its staff, buildings, curricula, and attendance, was wiped out.

The current Afghan government has made service delivery a priority to promote social cohesion and trust in public institutions and pave the way for growth and jobs.

But despite these efforts, Afghanistan has been experiencing increased fragility.

The report Afghanistan: Promoting Education During Times of Increased Fragility provides an up-to-date analysis of the Afghan education sector, including the use of public money spanning over a period of six years.

Further to that, The report offers new insights on the performance of the education system and recommends reforms to improve learning outcomes and maximize public expenditures.

Key Findings

  • Afghanistan has made great strides in improving access and enrollment in primary schools, but access outcomes are not equitable. In 2016, out of a population of 34.66 million, more than 9.2 million Afghan youths and children were enrolled in school, representing a 9-fold growth since 2001. But provincial analysis shows a high proportion of out-of-school children, including girls exceeding 50 percent in 15 of the 34 provinces. Rural children and youth are 10 percent more likely to be out of school compared to the national average.
  • There is also a big gap between enrollment and attendance, witnessed by the fact that nearly half of enrolled students do not show up regularly at school. In Afghanistan, schools typically keep a student on the enrollment rolls for three years after the student stops attending. These are called “permanently absent” students and these numbers have implications for calculating unit costs per student as they are calculated based on official enrollment figures.
  • In addition to considerable access challenges, the education system in Afghanistan is facing a learning crisis. Many young Afghans do not know how to read and write. Only half of the population between the ages of 15 and 24 is literate. Other factors contributing to low learning outcomes and thus the learning crisis include the low qualification of teachers and inadequate learning environment, with the teacher force remaining generally underqualified.
  • Education spending in Afghanistan has reduced over the past five years; only considerable donor financing has kept the sector afloat to deliver basic services.However, substantial resources are needed to prepare for the increase in students attending secondary education. Despite enrollment growth, education spending in Afghanistan has declined over time as a proportion of the government budget. During the period of 2010-2015, thanks to the growing economy, the total government budget tripled, but this growth did not translate into a larger share of the budget being allocated for education.
  • Although Afghanistan’s average education spending is higher than education expenditures in comparable countries, due to the lack of or inefficient use of resources, the country’s current spending trajectory is not sufficient to support expected enrollment growth, particularly in lower and upper secondary education. There are significant challenges that the country must overcome to ensure that funding is maintained at an adequate level. Without new resources or improvements in the efficient and effective use of available resources, the current system would not be able to support (expected) student growth.
  • Unit cost analysis, on its surface, does not suggest that there is significant waste at any particular subsector. However, it is important to remember that there is a significant gap between attendance and enrollment rates. Adjusting this unit cost using attendance rates instead of enrollment rates, Afghanistan spends about 25 percent of per capita gross domestic product (GDP). This is higher than most low-income countries for which data exist. Higher education unit costs are closer to the low-income country averages: 141 percent of per capita income in Afghanistan compared to 125 percent across low-income countries. Other sources of inefficiency include low budget execution, especially in capital projects, high overhead spending and thus few resources for learning materials.
  • The benefit incidence analysis shows that public spending across all education levels, from primary school to higher education, benefits more children from higher income quintiles.Among primary school students, children from the highest income quintile constitute one-fourth of all students while students from the lowest income quintile account for only 15 percent. The bottom two income quintiles combined represent 26 percent of students at the lower secondary level (compared to the top quintile students that account for nearly a third of all students). At the upper secondary level, the bottom two quintiles can claim only a fifth of the students, and at the university level, only 12 percent. More than half the students who attend university are from the higher income quintile in the country.

Recommendations

  • To improve the performance and equity of the education sector, Afghanistan must reform the sector policies and funding priorities. Afghanistan should target investments towards improving equity. Given that poor learning conditions are linked to repetition, attrition and dropping out, Afghanistan must invest in improving the quality of education by increasing spending on teaching and learning materials.
  • Expand/stabilize access and attendance through community-based education, especially in rural and conflict-affected areas where school attendance comes at a considerable risk.However, given the variety of approaches and costs, designing a harmonized and cost-effective package of services should be a priority.
  • Develop a long-term needs projection for the education budget.Afghanistan must focus on developing multi-year budget projections adjusted for the current and future needs of the education system. As the pressure for expanding school infrastructure at the national level slows down over time with the eventual reduction in the school-age population, long-term budgeting should consider an increasing need for school repairs and maintenance as well as much needed school materials and supplies.
  • Make better use of the existing budget structure and the information systems for more transparency on allocation and use of public resources.Analyses of education sector performance and its financing point to the necessity to strengthen the comprehensiveness of data provided through the multiple management information systems. Institute integrated information management systems for better monitoring and reporting on outcomes and evaluation.

Source of the review: https://reliefweb.int/report/afghanistan/afghanistan-promoting-education-during-times-increased-fragility

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Nicaragua recibe desembolso de China Taiwán para mejoramiento de escuelas

Centro América/Nicaragua/10.09.18/Fuente: tn8.tv.

La República de China Taiwán entregó al Ministerio de Educación el desembolso de 1 millón de dólares como aporte al proyecto: «mantenimiento y reparación de centros escolares de seis departamentos del país», que impulsa el Gobierno de Nicaragua.

«La educación es pilar del desarrollo de los pueblos y por eso un elemento fundamental del plan de educación que está desarrollando el Gobierno de Nicaragua es el mejoramiento de la infraestructura de todos los centros escolares. El Gobierno de Taiwán se complace en ser partícipe de dichos esfuerzos en pro de la educación. Por esta razón me da mucho gusto hacer la entrega de este aporte solidario de un millón de dólares para implementar este importante proyecto», manifestó el embajador de China Taiwán en Nicaragua, señor Jaime Chin-Mu Wu.

La infraestructura y ambientes escolares de 15 centros de estudios serán mejorados con este aporte, que fortalece los lazos de amistad entre ambas repúblicas.

«Para este año 2018, de igual manera, el gobierno de la hermana República de China Taiwán, a través de su embajador, entrega a la comunidad educativa de este país, nuevamente, un desembolso de un millón de dólares destinados al mejoramiento de ambientes escolares de departamentos del país: Carazo, Chinandega, Estelí, Granada, Jinotega; en estos centro escolares se rehabilitarán alrededor de 108 aulas de clase de 76 ambientes», expresó la ministra de Educación, Miriam Raudez,

Contribuir a las mejoras de los centros educativos públicos y optimizar los espacios escolares es una prioridad del Gobierno de Nicaragua que la República de China Taiwán respalda, brindándole un lugar privilegiado en los temas de cooperación.

«Son admirables los logros que en materia de educación ha conseguido el Gobierno del presidente Daniel Ortega y la vicepresidenta Rosario Murillo, disminuyendo el ausentismo estudiantil; logrando que los niños y niñas ingresen a la primaria y permanezcan en ella concluyéndola exitosamente, mejorando los centros escolares ya existentes y creando nuevos y logrando que la matrícula escolar alcance el 96%», agregó el embajador.

China Taiwán también ha contribuido en el implemento de la Merienda Escolar y otros proyectos desarrollado por el Gobierno del comandante Daniel Ortega.

Fuente de la noticia: https://tn8.tv/nacionales/456633-nicaragua-recibe-desembolso-china-taiwan-mejoramiento-escuelas/

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Nigeria: Conferencia de donantes para la región del Lago Chad consigue más 2000 millones de dólares

África/Nigeria/10.09.18/Fuente: news.un.org.

Más de 10 millones de personas precisan asistencia humanitaria y protección en una zona que comprende el noreste de Nigeria y zonas de Níger, Chad y Camerún, afectada por la violencia, el hambre y los desplazamientos masivos.

Los donantes que asistieron a la Conferencia de Alto Nivel sobre la Región del Lago Chad, una zona que padece una gran crisis humanitaria, anunciaron este martes compromisos por un valor de 2170 millones de dólares que servirán para respaldar iniciativas en Camerún, Chad, Níger y Nigeria.

Además de este apoyo, tres instituciones financieras multilaterales -el Banco Africano de Desarrollo,  el Banco Islámico de Desarrollo y el Banco Mundial– anunciaron préstamos en condiciones favorables por valor de 467 millones de dólares.

La conferencia, que se ha celebrado durante dos días en Berlín, contó con la participación de más de setenta países, organizaciones internacionales y representantes de la sociedad civil.

Más de 17 millones de personas en el noreste de Nigeria y en partes de Camerún, Chad y Níger se enfrentan a una compleja crisis originada por la pobreza extrema, el cambio climático y los conflictos violentos.

La crisis ha provocado el desplazamiento interno de 2,4 millones de personas, la destrucción de los medios de subsistencia, la violación de los derechos humanos y la interrupción de los servicios de salud, educación y otros servicios básicos.

Los objetivos del evento fueron conseguir asistencia humanitaria, la protección de civiles, la prevención de crisis y la estabilidad de esas cuatro naciones, la resiliencia y el desarrollo sostenible.

El administrador del Programa de las Naciones Unidas para el Desarrollo (PNUD), Achim Steiner, indicó que las donaciones y préstamos concedidos representan “un fuerte apoyo a nuestra nueva forma de trabajar juntos que incluye tanto las necesidades humanitarias como las causas a largo plazo de la crisis”. De este modo, añadió,  la  “respuesta representa una oportunidad para invertir en un futuro donde las crisis son menos probables y las naciones más resistentes”.

Durante la jornada inaugural, el coordinador de la ayuda humanitaria de la ONU, Mark Lowcock, recordaba que más de 10 millones de personas precisan asistencia y protección en la región del Lago Chad.

“La violencia, el hambre, el desplazamiento y el miedo son las duras realidades de su vida cotidiana, pero hoy tenemos un mejor acceso a muchas comunidades que hace un año», destacaba.

La educación, otro factor en riesgo

Por su parte, UNICEF anunciaba al inicio de la conferencia que los conflictos en curso, el desplazamiento y el temor a los ataques contra las escuelas ponen en peligro la educación de más de 3,5 millones de niños en la cuenca del Lago Chad.

El Fondo de la ONU para la Infancia advirtió que hay casi 1000 escuelas cerradas o que no están operativas debido a la violencia o los disturbios en el noreste de Nigeria, Chad, Camerún y Níger.

El director de programas de emergencia de UNICEF, Manuel Fontaine, recordó que la educación ayuda a salvar vidas en lugares inseguros y, además, «les proporciona las habilidades necesarias para construir un futuro mejor para ellos y sus familias, y contribuir a conseguir comunidades pacíficas y prósperas”. Sin embargo, con demasiada frecuencia “se carece de fondos humanitarios para  educación en situaciones de emergencia».

La Conferencia de Alto Nivel sobre la Región del lago Chad se celebró este año por segunda vez. La primera edición tuvo lugar en Oslo en el mes de febrero de 2017 y consiguió compromisos de 650 millones de dólares.

Fuente de la noticia: https://news.un.org/es/story/2018/09/1440932

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