Page 3 of 10
1 2 3 4 5 10

Francia: Handicap: «L’école inclusive», une priorité

Francia/Diciembre de 2017/Autor: Charly Triballeu/Fuente: RFI

Resumen: Con motivo del Día Internacional de las Personas con Discapacidad, el Ministerio de Educación Nacional de Francia ha elegido el tema de la «escuela inclusiva» para abrir el debate sobre la discapacidad en las escuelas, un término que se refiere a un deseo para incluir a los estudiantes con discapacidades en los salones de clase. En noviembre de 2016, el defensor de los derechos humanos Jacques Toubon describió como «preocupante» la situación de acceso a la escuela para niños con discapacidades, aunque destaca el progreso realizado desde 2005.

A l’occasion de la Journée internationale des personnes handicapées, le ministère de l’Education nationale en France a choisi le thème de « l’école inclusive » pour ouvrir le débat sur le handicap dans les établissements scolaires, un terme qui désigne une volonté d’inclure les élèves handicapés dans les salles de classe.  En novembre 2016, le Défenseur des droits Jacques Toubon qualifiait de « préoccupante » la situation de l’accès à l’école pour les enfants handicapés, bien que soulignant les progrès accomplis depuis 2005.

 « Des transformations durables pour une école inclusive ». Le thème retenu par le ministère français de l’Education à l’occasion de la Journée internationale des personnes handicapées se déclinera en différentes « actions de sensibilisation dans les établissements scolaires » lundi 4 décembre, détaille l’institution. Des outils et des ressources, notamment des courts-métrages, des films (« Intouchables », « Le Discours d’un roi »), une bibliographie et différents jeux pour animer une séance de sensibilisation au handicap seront mis à disposition des professeurs des écoles via le site Eduscol.

Contacté par RFI, le ministère explique que l’objectif de cette journée est de « permettre à la communauté éducative d’échanger sur le handicap, le fait d’accepter les différences et de les vivre ensemble ». Selon les chiffres du ministère, en 2016-2017, 300 815 enfants en situation de handicap ont été scolarisés dans les écoles et établissements relevant du ministère de l’Éducation nationale (public et privé).

Depuis le 11 février 2005, une loi existe pour garantir l’inclusion des enfants en situation de handicap à l’école. « Le remplacement du terme ‘intégration’ par celui ‘d’inclusion’ a son importance », souligne Marie-Hélène Jacques, enseignant-chercheur en Sciences de l’Education à l’ESPE [Ecole supérieure du professorat et de l’éducation] de l’Académie de Poitiers. « L’intégration pointe la différence des personnes, quand l’inclusion signifie que c’est à l’environnement d’accueil – l’école – de s’adapter pour accueillir la personne dans sa singularité et rendre les apprentissages accessibles », ajoute-t-elle.

«L’école doit s’adapter aux enfants handicapées, et non l’inverse»

 Comment une école devient-elle « inclusive »? Selon Marie-Hélène Jacques, il s’agit d’abord de porter un soin tout particulier à la formation initiale des enseignants, et à l’apprentissage de la pédagogie différenciée. « Un enseignant de mathématiques doit par exemple pouvoir adapter son cours à un élève autiste, qui a besoin de rituels, d’une planification précise de son activité », explicite-t-elle. « Cet enseignant peut utiliser un planificateur avec des pictogrammes, qui signifie à l’enfant quand l’activité commence et quand elle se termine. Des tablettes numériques peuvent également lui permettre de visualiser les activités qui l’attendent de façon à être moins anxieux et d’aborder l’apprentissage en toute sérénité », ajoute Marie-Hélène Jacques.

« L’école doit s’adapter aux enfants handicapées, et non l’inverse », confirme Jean-Louis Garcia, président de l’APAJH [Association pour adultes et jeunes handicapés]. Très liée à l’Education nationale depuis ses débuts en 1962, l’association défend l’idée que l’inclusion des enfants handicapés à l’école, en plus d’être bénéfique pour eux, permet aux autres élèves de « grandir et d’ouvrir leur esprit », témoigne M. Garcia.

Dans cette optique, l’APAJH participe dans certains départements à la formation initiale et continue des enseignants. Mais bien que la formation aux handicaps soit inscrite dans la loi, « dans les faits, chaque ESPE choisit ou non de délivrer des formations sur le handicap à ses élèves », indique Jean-Louis Garcia. Théoriquement, tout enseignant qui débute doit être en mesure d’accueillir un enfant handicapé car il a appris la pédagogie de la différenciation, mais dans la réalité est bien différente : c’est « au petit bonheur la malchance, pour ceux qui ne reçoivent pas de formation », explique-t-il, avant de souligner l’existence d’institutions où « ça marche », où l’inclusion est même une priorité. « Il faut aussi s’appuyer sur les belles réalisations, garder son optimisme », conclut-il.

L’école inclusive : une «utopie» ?

L’école inclusive n’est pas une « utopie », atteste Marion Aubry, vice-présidente de l’association TouPI [Tous pour l’inclusion], qui cite en exemple l’Italie, la Catalogne, la Suède, où les établissements spécialisées « n’existent pas ». Si la France n’est pas dernière au classement, la jeune femme regrette que le pays « ne mette pas vraiment les moyens en place pour mettre en œuvre l’école inclusive, que ce soit au niveau de la formation des profs, de l’accompagnement des AVS ».

La vice-présidente de l’association estime que le chemin est encore long avant d’atteindre l’idéal d’une école inclusive. Selon elle, « il y a toujours autant d’élèves handicapées dans les institutions spécialisées, dans lesquelles ils reçoivent très peu d’enseignement. On a une culture en France qui est de « ghettoïser » les enfants handicapés ». La jeune femme, qui accompagne au quotidien des familles, a été témoin de situations critiques : « bien que bénéficiant d’une décision de la maison départementale des personnes handicapées, des enfants n’ont toujours pas d’AVS en novembre / décembre », raconte-t-elle.

Dans ces situations, le manque d’accompagnement des élèves les force à rester chez, et oblige au moins l’un des parents à se rendre disponible. En cause : l’augmentation de la demande d’accompagnants. « En 2006, 26 000 élèves étaient accompagnés par une AVS. Il y en a 164 000 aujourd’hui. En conséquence, les Académies n’arrivent plus à suivre », déplore Marion Aubry. Et la « sanctuarisation » de 50 000 contrats aidés annoncés par la secrétaire d’Etat aux Personnes handicapées ne satisfait pas non plus la vice-présidente de TouPI, qui plaide pour la création « de vrais postes, moins précaires rémunérés correctement ».

L’enjeu majeur de la sensibilisation

« On observe le plus souvent que les réticences à accueillir un enfant handicapé dans une classe ne viennent pas des jeunes enfants, mais de leurs parents, qui considèrent que l’enseignant va trop s’occuper de cet enfant « différent », détaille Marie-Hélène Jacques. Des campagnes de sensibilisation sont donc régulièrement organisées par les différentes associations. Si la Journée internationale des personnes handicapées contribue à mettre en lumière les enjeux budgétaires et politiques qui entourent l’école inclusive, elle éclaire également la réalité quotidienne des associations, pour qui « la Journée des personnes handicapées, c’est tous les jours », conclut Marion Aubry.

Fuente: http://www.rfi.fr/france/20171202-ecole-inclusive-priorite-handicapes-journee-internationale

Comparte este contenido:

Una de cada 7 personas en el mundo tiene una discapacidad

Diciembre de 2017/Fuente: Francia 24

Según las Naciones Unidades, una de cada 7 personas, o sea, más de mil millones de personas sufre algún tipo de discapacidad. El 3 de diciembre se conmemora su día.

 A partir del 14 de octubre de 1992 se conmemora cada 3 de diciembre el Día Internacional de las personas con discapacidad declarado por las Naciones Unidas.

Hacen parte del grupo de personas con capacidades especiales todos aquellos que viven con alguna discapacidad física o cognitiva. Un alto porcentaje de estas personas nació con alguna de estas condiciones por razones congénitas, otras sufrieron enfermedades que las llevaron a perder ciertas facultades y otras sufrieron daños definitivos en su cuerpo después de un accidente.

Colombia es uno de los países con más alto porcentaje de víctimas de minas antipersonales o municiones sin explotar. Son por lo menos 11.000 sobrevivientes a estos artefactos explosivos que grupos insurgentes han sembrado en los campos del territorio nacional durante varias décadas. Hoy viven después de haber perdido una o varias de sus extremidades, de sufrir quemaduras irremediables y perder sentidos como el oído y la vista.

Las víctimas civiles

Reiner Barsoba es una de esas víctimas. Pisó una “mina quiebrapatas” en el año 2008 cuando recorría un área rural en el municipio de Uribe, Colombia. Sufrió heridas profundas en su pierna izquierda que le significaron la amputación de la misma. Él es uno de los miles de civiles colombianos que han sufrido los embates de la guerra sin ser parte de ella. Sin embargo, este trágico suceso lo llevó a trabajar por sus derechos y por los de otras personas con discapacidad.

Hoy, después de casi 10 años es el coordinador de la Red Nacional de organizaciones de sobrevivientes de Minas Anti Personales y Municiones Sin Explotar, una organización que realiza gestiones para promover la creación de políticas públicas que protejan a la población con discapacidad.

France 24: ¿América Latina ha avanzado en la implementación de políticas que permitan el acceso a los derechos de la población con discapacidad?

Reinel Barsoba: “En algunos de los países hay desarrollos importantes en temas como la inclusión laboral, el acceso a la educación y el sistema de salud. Ecuador, por ejemplo, ha creado estrategias que ayudan a la población con discapacidad. En cambio, en Colombia es muy poco lo que se ha ganado porque este país no ha ratificado el protocolo facultativo de la convención sobre los derechos de las personas con discapacidad.”

France 24: ¿Las ciudades latinoamericanas han mejorado en la eliminación de barreras arquitectónicas para la población con discapacidad?

Reinel Barsoba: “Es difícil responder sí o no. Es claro que hoy en día las construcciones nuevas cuentan con sistemas de rampas que permiten la movilización de las personas que usan silla de rueda, las personas con discapacidad visual y las personas que caminan con muletas. Lo mismo pasa con los sistemas nuevos de transporte. El problema es con todo lo que se construyó hace más de 10 años que por supuesto son la gran mayoría de las edificaciones. Las ciudades se construyeron sin pensar en nosotros.”

France 24: ¿Cuál es la solicitud más urgente de las personas con discapacidad al conmemorarse su día?

Reinel Barsoba: “Que  se nos reconozca como personas. Que se humanice a las personas con discapacidad. Que entiendan que tenemos sueños, necesidades, objetivos y sentimientos. A pesar que el lenguaje ha mejorado y se intentan abolir términos como “inválido” o “impedido” el proceder sigue siendo discriminatorio. Las mayores discapacidades no están en el cuerpo sino en la mente».

La discriminación

Del total de personas con discapacidad sólo un 50% tiene la posibilidad de recibir tratamiento y más de 100.000 son niños. La condición de discapacidad limita también las posibilidades de acceder a la educación y al empleo, además de generar una alta probabilidad de ser víctimas de violencia.

El lenguaje que se utiliza para dirigirse a este grupo de personas también es un elemento a considerar ya que el hecho de dirigirse a ellos en términos despectivo genera estereotipos negativos que aumentan la discriminación.

Fuente: http://www.france24.com/es/20171202-3-diciembre-dia-personas-discapacidad

Comparte este contenido:

Vietnan: Shortage of teachers for children with disabilities

Vietnan/Noviembre de 2017/Fuente: Vietnan.net

Resumen: Dinh Thi Thu Huong, profesor de la escuela Nguyen Dinh Chieu, dijo: «Además de las clases regulares, también proporcionamos otras clases, como habilidades para la vida y movilidad para estudiantes con discapacidad visual, entre otros. Normarly para la materia de movilidad, un maestro se centrará en un estudiante, pero tenemos que enseñar a 20 estudiantes a la vez «. «Actualmente una clase dura solo una hora. Creo que sería mejor si los niños estudiaran a tiempo completo. Espero que haya más maestros para estudiantes con impedimentos visuales «, dijo Ta Thi Thu Huyen, padre de un alumno. A pesar de haber sido capacitados con cursos de capacitación en educación especial, la mayoría de los maestros reconocen que existen grandes brechas entre las teorías y la realidad para cada estudiante. Pham Thi Kim Nga, director de la escuela Nguyen Dinh Chieu de Hanoi, dijo: «Los profesores deben equiparse con conocimientos sobre la psicología de los estudiantes con discapacidad visual. También se les exige que conozcan Braille «.» Esperamos que en el futuro haya más cursos de capacitación para maestros «, agregó.

Dinh Thi Thu Huong, a teacher at Nguyen Dinh Chieu School said:”Besides regular classes, we also provide other classes such as living skills and mobility for visually impairedI students, among others. Normarly for the mobility subject, one teacher will focus on one student, but we have to teach 20 students at a time.”

“Currently a class lasts only one hour. I think it would be better if the children studied full-time. I hope there will more teachers for visually impaired student,” Ta Thi Thu Huyen, a pupil’s parent said.

Despite being trained with special education training courses, most of the teachers acknowledge that there are huge gaps between theories and reality for each student.

Pham Thi Kim Nga, Headmaster of Nguyen Dinh Chieu School, Hanoi said:”The teachers have to equip themselves with knowledge about the psychology of visually impaired students. They are also required to know Braille.” “We hope in the future there will be more training courses for teachers,” she added.

Vietnam has only two departments of the Hanoi National University of Education and the Ho Chi Minh University of Education that provide special education training programmes, though they have very limited training quotas.

Deputy Director of Special Education Centre under the Vietnam Institute of Educational Sciences Nguyen Thi Kim Hoa said:”In some advanced countries, they have many specialists and effective models to learn from, however, it’s very difficult to apply in Vietnam. To help disabled children integrate into society, it’s necessary to have stronger involvement of the community, and family.”

To date, Vietnam has only about 3,000 specially trained teachers for visually impaired children. A lack of human resources in the field has hamstrung the nation’s efforts to help 75 percent of disabled people integrate into society by 2020./.

Fuente: http://english.vietnamnet.vn/fms/education/190853/shortage-of-teachers-for-children-with-disabilities.html

Comparte este contenido:

Argentina Educación especial: supervisores de toda la provincia debatieron normativa para garantizar inclusión educativa

Argentina/Noviembre de 2017/Fuente: Diario Chaco

Autoridades y equipos técnico-pedagógicos del Ministerio de Educación, junto a supervisores de la modalidad Educación Especial de toda la provincia, participaron de una Mesa Técnica con el objetivo de avanzar en una resolución ministerial que se adecúe a la Resolución 311/2016 del Consejo Federal de Educación, mediante la cual se aprobó el documento “Promoción, acreditación, certificación y titulación de los estudiantes con discapacidad”.
La misma se desarrolló la semana pasada durante tres jornadas de trabajo en la Escuela de Educación Especial Nº 7 de Resistencia.
La subsecretaria de Calidad y Equidad, Mónica Von Siebenthal, junto a la directora general de Niveles y Modalidades, Liliana Fernández, manifestó que la Educación Especial se encuentra “ante un cambio de paradigma”, y que existen en las instituciones educativas estrategias y prácticas “que es necesario repensarlas, replantearlas, y poner la centralidad en nuestros estudiantes, por lo que este debate es algo que nos debíamos”.
En ese sentido, dijo que la provincia necesita “tener escuelas y proyectos pedagógicos verdaderamente inclusivos”, y que por lo tanto el objetivo es cerrar el actual ciclo lectivo con la resolución provincial sancionada. “Esta es una norma que nos va a marcar justamente cómo trabajar con todos nuestros estudiantes dentro de instituciones totalmente inclusivas”, expresó.
 ACOMPAÑAMIENTO DEL ESTADO
Patricia Herrera, explicó que las escuelas públicas de la provincia “están en un proceso de construcción de una escuela inclusiva, donde las mismas, en forma articulada con otras instituciones de Educación Especial, con equipos del Ministerio de Desarrollo Social, y de Salud, van encontrando la forma y potenciando los recursos en territorio para ir dando respuestas a las necesidades educativas de los estudiantes”.
Herrera celebró la presencia de referentes de las 11 regionales educativas de la modalidad Educación Especial en esta mesa técnica, “sistematizando y definiendo criterios y orientaciones para la futura implementación de esta norma, que sin duda significa un desafío, porque significa reconfigurar roles, significa repensar prácticas, interpelar no sólo la educación que estamos ofreciendo a los estudiantes con discapacidad sino también pensar en una escuela inclusiva”.
Asimismo, afirmó que este trabajo articulado es posible “porque hay un compromiso de acompañamiento muy fuerte desde el Estado, con políticas intersectoriales, con la creación de más cargos y con capacitación”. Respecto a este último ítem, señaló que, este año, “una de las claves” para avanzar en la construcción de una escuela más inclusiva fue la capacitación de docentes de nivel y docentes de Educación Especial, a través de la formación virtual. “Docentes de niveles se están formando en la profundización temática sobre el abordaje de estudiantes con discapacidad, sobre cuáles son las normativas y cuáles las estrategias más adecuadas para poder construir el conocimiento en cualquier tipo de escuela (aproximadamente 8 mil docentes de niveles optaron por esta profundización); y los docentes de Educación Especial están cursando una capacitación para fortalecer el trabajo específico y alcanzar los objetivos que se propone la modalidad”, indicó la directora.

Fuente: http://www.diariochaco.com/noticia/educacion-especial-supervisores-de-toda-la-provincia-debatieron-normativa-para-garantizar

Comparte este contenido:

Turquía ayuda a los niños discapacitados en Colombia

Colombia/Noviembre de 2017/Fuente: TRT Español

La TIKA trasladó ayuda a la Fundación Lazos de Amor que asume el cuidado de los sujetos discapacitados de las familias con escasos recursos materiales en Santa Rosa de Cabal.

En un comunicado, la TIKA declaró que envió ayuda de aparatos y equipamientos que necesita el centro de educación especial y rehabilitación llamado ‘Fundación Lazos de Amor‘ que asume el cuidado de los sujetos discapacitados de las familias con escasos recursos materiales en la ciudad conectada a la región de Risaralda.

El promedio del 8,6 por ciento de la población de Santa Rosa de Cabal se compone por los discapacitados. Con el apoyo compuesto por aparatos electroterapias, kits de psicometría, dispositivos para elevar a los pacientes, sillas de ruedas y equipamientos de deporte, se ha registrado un gran avance en el reforzamiento del proceso de su rehabilitación y la calidad de su vida. Jhon Jairo Vargas Buitrago, el secretario general para Desarrollo Social del municipio de Santa Rosa de Cabal, en la ceremonia de entrega de equipamientos que se aprovecharán por unos 200 discapacitados, dijo que es muy significativo que la ayuda fue enviada de cara a 3 de diciembre, día mundial de discapacitados.

La consultora de Proyectos Sociales de la Universidad de Libre la médica María Aleida Patino Henao agradeció a Turquía por las ayudas.

Fuente: http://www.trt.net.tr/espanol/vida-y-salud/2017/11/13/turquia-ayuda-a-los-ninos-discapacitados-en-colombia-846406

Comparte este contenido:

En la piel de Pablo: en silla de ruedas por la universidad

12 Noviembre 2017/Fuente: CadenaSer/Autor: JORGE SÁNCHEZ e ISMAEL GALIANA

Acompañamos a Pablo Molina, estudiante de segundo de Periodismo, en sus desplazamientos por la Facultad de Comunicación y comprobamos los obstáculos que encuentra cada día con su silla de ruedas

Pablo Molina quiere ser periodista deportivo, pero para estudiar su carrera en la Universidad de Murcia, ha tenido que superar constantes obstáculos: rampas empinadas, baches en el pavimento o dar grandes rodeos para ir de un edificio a otro. Estas son las dificultades que encuentras si vas en silla de ruedas por la Universidad.

Pide empatía a los responsables universitarios. Si se pusieran en mi lugar, dice, entenderían que estas pequeñas cosas, pueden suponer un mundo si vas sobre ruedas.

Él mismo nos lo cuenta en un vídeo que hemos grabado en la UMU.

Ver Video: 

Fuente de la noticia: http://cadenaser.com/emisora/2017/11/09/radio_murcia/1510248094_774528.html

Fuente de la imagen: http://www.elblogdelasalud.es/wp-content/uploads/2013/12/shutterstock_155587316.j

Comparte este contenido:

España: Más de 90 estudiantes participan en un proyecto para buscar soluciones tecnológicas para personas con discapacidad

05 Noviembre 2017/Fuente: gobiernodecanarias/Autor:gobiernodecanarias

El primer encuentro de la iniciativa PRO QUO-SOLUTEC reunió a ocho centros de Secundaria y Bachillerato de la Isla con usuarios de la ONG Coordinadora de Personas con Discapacidad

Más de 90 estudiantes de Secundaria y Bachillerato de Tenerife se reunieron esta mañana en el Espacio Cívico de San Isidro, en Granadilla de Abona, para participar en el primer encuentro entre alumnado, profesorado, familias y personas con discapacidad. La iniciativa forma parte del proyecto PRO QUO-SOLUTEC, presentado por el Centro del Profesorado CEP Tenerife-Sur a la convocatoria de Proyectos Comunitarios de Aprendizaje-Servicio de la Consejería de Educación y Universidades del Gobierno de Canarias, en la que participan ocho centros educativos que pretenden ofrecer soluciones tecnológicas desde la escuela para este colectivo de personas con discapacidad.

El director general de Ordenación, Innovación y Promoción Educativa del Gobierno autonómico, Jonathan Martín Fumero, compartió la jornada con el alumnado y profesorado participante, a los que felicitó «por su implicación y esfuerzo para que este proyecto pueda estar en marcha», al tiempo que agradeció su colaboración a las personas con discapacidad que han comenzado a trabajar con los estudiantes.

Martín Fumero destacó «la importancia de la sensibilización del alumnado a la hora de comprender la diversidad y tratar de dar las respuestas adecuadas para facilitar la integración de todas las personas, sea cual sea el tipo de discapacidad que puedan tener, y de hacerlo a través del aprendizaje cooperativo y basado en proyectos·. «Lo novedoso de este proyecto, añadió, es que permite desarrollar las nuevas tecnologías en el ámbito educativo, fomentando el aprendizaje a través del compromiso social, lo que le otorga un valor añadido».

Así, en la iniciativa participaron ocho centros de Secundaria de Tenerife que pudieron encontrarse con usuarios de la asociación COORDICANARIAS (Coordinadora de Personas con Discapacidad), una ONG tinerfeña con 35 años de experiencia al servicio de las personas con discapacidad y sus familias.

El objetivo de este primer encuentro ha sido el de sensibilizar al alumnado sobre el desarrollo personal e integral desde un proyecto educativo, dando respuesta a las necesidades de las personas y trabajando desde un aprendizaje de servicio a la comunidad.

Tecnología al servicio de la sociedad

Los ocho centros involucrados en el proyecto son los IES Adeje, Alcalá, Granadilla, Ichasagua, Punta Larga, San Miguel, Santa Ana y Tomás de Iriarte. Todos ellos tienen como meta la atención a las necesidades del colectivo de personas con discapacidad, desarrollando productos desde el ámbito educativo con tecnologías de diseño como impresión 3D, robótica, arduino y domótica, dentro de un marco cooperativo en el que se fomente el aprendizaje con una finalidad social.

El encuentro comenzó con un plenario de bienvenida en el que alumnado, profesorado y agentes implicados presentaron el proyecto y, a continuación se celebraron tres talleres simultáneos y rotativos. Uno de estos talleres fue el de Yincana, donde el alumnado pudo empatizar con el tipo de trabas con las que se pueden encontrar las personas con discapacidad, realizando una serie de pruebas para las cuales emplearon aparatos como sillas de ruedas o muletas y simulando en ocasiones la privación de alguno de los sentidos.

Otro de los talleres fue el de Work-Shop de Tecnología, en el que los estudiantes de tres centros, que ya habían desarrollado distintos dispositivos electrónicos con arduino e impresoras 3D, mostraron al resto del alumnado ejemplos de lo que se puede hacer con este tipo de tecnología y explicaron cómo lo han desarrollado en sus clases.

Por último, el taller Encuentro entre alumnado y personas con discapacidad permitió que estos últimos expusieran cómo es su vida cotidiana y los principales problemas a los que se enfrentan diariamente, con el objetivo de generar una lluvia de ideas de forma cooperativa y aplicando técnicas como el Design Thinking.

El acto se cerró con una puesta en común y la concreción del plan de acción, de forma que los participantes se conviertan en exploradores y comuniquen a sus compañeros en los centros los problemas y las posibles soluciones para comenzar el trabajo. Asimismo, miembros de la asociación visitarán los centros para retroalimentar los diferentes proyectos y participar en el desarrollo de prototipos, siempre dentro de estrategias metodológicas activas como el Aprendizaje Basado en Proyectos y el Aprendizaje Cooperativo.

Fuente de la noticia: http://www.gobiernodecanarias.org/noticias/eu/Educacion/88589/mas-90-estudiantes-participan-proyecto-buscar-soluciones-tecnologicas-personas-discapacidad

Fuente de la imagen: http://www.gobiernodecanarias.org/noticias/-/m/88588/dn/Pro%20Quo.JP

Comparte este contenido:
Page 3 of 10
1 2 3 4 5 10