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Francia: Pour l’école et les résultats scolaires, les neurosciences feront-elles le printemps ?

Europa/Francia/Diciembre del 2017/https://theconversation.com/

L’automne n’est décidément pas une bonne saison pour l’École française. Les enquêtes PISA apportent régulièrement leur lot de nouvelles préoccupantes sur les performances en mathématiques des élèves de 15 ans. Pour ce qui concerne la lecture, les résultats de l’enquête Pirls (Programme international de recherche en lecture scolaire, touchant les écoliers de CM1) n’étaient pas très bons en 2012 (cf. Le Monde du 13/12/2012). Ceux de 2017 sont encore plus mauvais, au point de déclencher une prise de parole quasi immédiate du ministre de l’Éducation nationale.

La prise en compte des données apportées par ces enquêtes, dont le caractère préoccupant est indéniable, impulse logiquement une double recherche : des responsables ; et des solutions. On peut admettre qu’une partie de la responsabilité (au moins) appartient à la pédagogie, et qu’en conséquence une partie de la solution est d’améliorer celle-ci. Mais alors, comment ? Les pistes proposées par le ministre, avec en particulier la création d’un Conseil scientifique de l’éducation nationale (CSEN), sont-elles les bonnes ?

De la nécessité d’une « pédagogie vraiment éclairée »

Commentant déjà des résultats produits par des enquêtes PISA et Pirls, [Antoine Prost (Le Monde du 21 fevier 2013) « sonnait le tocsin », en reconnaissant que le niveau scolaire baissait vraiment. Mais il avertissait que le « vrai problème de pédagogie » que nous avons « ne se résoudra pas en un jour ». Et ajoutait que la seule façon d’« enrayer cette régression » est de « faire travailler plus efficacement les élèves ». Ce qui nous semble incontestable.

Pour rendre l’école plus efficace, il apparaît donc à la fois nécessaire, et urgent, de travailler à l’émergence de ce que Marcel Gauchet a désigné (Le Monde du 22 mars 2013) comme « une pédagogie véritablement éclairée », laquelle, pour lui, restait à inventer. Or, si nous ne savons toujours pas comment enseigner de façon vraiment efficace, c’est essentiellement, avertissait Gauchet, parce que nous ne savons pas encore ce que veut dire apprendre.

La recherche d’une plus grande efficacité exige ainsi un déplacement de curseur, d’une focalisation sur l’acte de « transmission » du professeur, à une focalisation sur l’acte d’appropriation qu’opère l’élève qui apprend, dans l’espoir de donner un fondement solide à cet acte. C’est pour atteindre cet objectif que Monsieur Blanquer mise sur « la lumière des sciences ».

Enseigner à la lumière des sciences ?

La tâche prioritaire de la pédagogie est bien alors aujourd’hui de se centrer sur l’acte d’apprendre, en étant éclairée par toutes les disciplines pouvant légitimement apporter un savoir utile, qui soit susceptible de donner consistance à l’activité d’enseignement, laquelle a pour fin principale de faciliter le déploiement de cet acte d’apprendre. Avec l’espoir de sortir du débat d’opinion, en s’appuyant ainsi « sur ce qui est prouvé et ce qui marche à la lumière des sciences » (J.-M. Blanquer le 24 novembre 2017).

Mais, alors, il y a lieu de s’interroger sur le sens, et la portée, de l’expression « lumière des sciences ». Car il ne faudrait pas perdre de vue deux considérations qui nous paraissent essentielles, et de nature à prévenir des empressements excessifs, ou des choix contestables. La première est que toutes les contributions seront les bienvenues, et qu’aucune approche n’a le monopole de la connaissance de l’« apprendre ». La seconde est que, bien qu’il soit indispensable, un éclairage par les sciences n’a aucun pouvoir automatique de transformation des pratiques pédagogiques : la pédagogie sera toujours à inventer.

Les neurosciences n’ont pas le monopole de l’« éclairage »

Pour progresser vers une « pédagogie vraiment éclairée », trois apports (et non un seul) nous semblent aujourd’hui précieux.

Le premier est, en effet, celui des connaissances produites par la neurobiologie. Si les tenants d’une neuro-éducation, d’une part vont souvent un peu vite en besogne, et d’autre part se laissent trop facilement prendre au mythe d’une possible éducation scientifique, il n’en reste pas moins vrai que l’acte d’apprendre a une dimension neuronale incontestable, que le cerveau y joue un rôle essentiel, et que tout ce qui nous aide à comprendre les mécanismes cérébraux est utile à la progression dans la connaissance des conditions de construction des savoirs comme outils ou objets mentaux.

Ayant moi-même souligné, dès 1984, l’apport décisif des travaux de Jean‑Pierre Changeux pour la connaissance des processus d’apprentissage (« Neurobiologie et pédagogie : « L’homme neuronal » en situation d’apprentissage »Revue Française de Pédagogie, N° 67, 1984), je ne peux qu’approuver Stanislas Dehaene (devenu depuis Président du nouveau CSEN) lorsqu’il insiste (Le Monde du 5/11/2011) sur la nécessité de « prendre en compte les avancées de la recherche » en ce domaine. Mais à la condition expresse de ne pas croire que ces avancées feront de l’activité d’enseignement une science.

Un deuxième éclairage est apporté par les travaux portant sur l’apprentissage autorégulé (self-regulated learning ou SRL), qui ont permis de comprendre en quel sens l’autorégulation pouvait être vue à la fois comme un fait fonctionnel fondamental, et comme un idéal pour l’action éducative. Horizon d’une activité d’enseignement se voulant efficace, la maîtrise par le sujet qui apprend de ses propres processus d’apprentissage est aussi le moyen de tendre vers cet horizon (Hadji, 2012).

Enfin, la révolution numérique apporte un troisième éclairage. Si les outils et possibilités nouvelles qu’elle offre ne sont pas automatiquement synonymes de révolution pédagogique, et s’il ne faut pas croire que les nouvelles technologies pourront tout résoudre, la mise en œuvre des possibilités offertes par ces technologies nous permet de redécouvrir les trois grandes caractéristiques d’un apprentissage efficace : un apprentissage actif, contrôlé par le sujet lui-même, et à forte dimension collaborative.

Enseigner n’est pas une science

Mais, s’il existe, selon les termes de Stanislas Dehaene (Le Monde des 22 et 23 décembre 2013), « une approche scientifique de l’apprentissage », cela ne permet nullement de conclure avec lui qu’« enseigner est une science » ! L’efficacité éducative ne peut pas être prouvée a priori. L’utilité des pistes proposées par la neurobiologie, l’apprentissage autorégulé, et la révolution numérique, demandera à être éprouvée dans une mise en œuvre « expérimentale ». Il faut essayer, pour voir si vraiment « ça marche ». L’évaluation, nécessaire, ne peut venir qu’a posteriori, et n’apportera, compte tenu de la multiplicité des facteurs en cause, et de la difficulté, pour ne pas dire de l’impossibilité, d’établir des « groupes contrôle » (« Les dossiers de la DEPP », 207), qu’une « preuve » toujours relative et limitée de l’efficacité d’une stratégie éducative.

Les situations d’apprentissage sont toujours à inventer. Mais telle est justement la vocation de la pédagogie, comme « invention minutieuse et obstinée de dispositifs utilisables ici et maintenant », selon la belle formule de Philippe Meirieu (Meirieu/Cédelle, 2012, p. 183). Même si l’on se fondait sur une parfaite connaissance de l’acte d’apprendre, l’élaboration, et la mise en œuvre, de situations susceptibles d’optimiser cet acte, relèveraient encore et toujours d’un certain bricolage.

Ainsi, bien que la pédagogie, comme pratique, puisse trouver un fondement solide dans les apports des sciences éclairant les différentes dimensions de l’acte d’apprendre, l’approche scientifique de l’apprentissage n’a pas le pouvoir de faire de l’enseignement une science. Le légitime désir de dépasser le débat d’opinion ne doit pas nous jeter dans les bras d’un scientisme illusoire.

Fuente:

https://theconversation.com/pour-lecole-et-les-resultats-scolaires-les-neurosciences-feront-elles-le-printemps-88934

Fuente Imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/WfisCiGAFTbrOpN-sh-FERTIIL9WtGnrv39cJfqFErscaBJGjUTlaCmNVMfPRNV0elLxdw=s114

 

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Usar o no el celular en el aula: Francia lo prohibió y en Argentina se incentiva

14 diciembre 2017/Fuente: Clarín

El ministro de Educación francés comunicó que los teléfonos estarán guardados.

El Gobierno de Francia decidió prohibir el uso de celulares en el aula. La restricción, que incluye su empleo en recreos y otros momentos libres, empezará a aplicarse el año que viene en los colegios e institutos de ese país. El anuncio lo realizó ayer el ministro de Educación francés, Jean-Michel Blanquer. En Argentina, la situación la regula cada jurisdicción. En 2016, en la Provincia de Buenos Aires se derogó la resolución 1728, que limitaba desde 2006 el uso de equipos móviles y dispositivos tecnológicos en horario escolar. Otros distritos no tienen normas, aunque no lo prohíben.

”Estamos trabajando en este tema y puede tomar diferentes formas. Alguien puede necesitar los móviles para fines pedagógicos o para situaciones de emergencia. Por eso, los teléfonos estarán guardados”, explicó Blanquer sobre la implementación de la nueva medida en Francia.

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Sobre las razones de la prohibición, el ministro aseguró que el empleo de las pantallas ya es una cuestión de “salud pública”. “Es bueno que los niños no pasen demasiado tiempo delante de ellas, sobre todo antes de los siete años”, remarcó Blanquer.

Según detalla el diario La Vanguardia, a la limitación durante las clases, que ya figura en el código de educación de Francia, ahora se sumará la prohibición durante los recreos y al mediodía, en el horario de almuerzo. La comunidad educativa considera que la modificación se tornará bastante difícil. En especial porque los padres aprovechaban el tiempo libre de los chicos para comunicarse con ellos por teléfono.

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“Hoy el celular es el dispositivo que los niños utilizan para conectarse a Internet. Es una herramienta útil siempre que se la use correctamente”, asegura en diálogo con Clarín Marcela Czarny, directora de la Asociación Civil Chicos.net, quien destaca que, en esta línea, se levantó el año pasado la restricción que existía para en las escuelas bonaerenses.

Czarny sostiene que deben existir pautas claras en los colegios, consensuadas con los docentes. “Como parte de la alfabetización digital hay que enseñarle a los chicos a apagar los teléfonos. Hay momentos en los que se los puede sumar al aprendizaje y otros en los que no”, dice Czarny. “Sirven, como una computadora, para buscar información y comunicarse a través de las redes sociales. A su vez, existen aplicaciones educativas valiosas: de matemática, literatura o geografía”, agrega la referente.

Para ella, la decisión de Francia es exagerada. “Es cierto que la mala utilización de los equipos en el colegio complica y que hay docentes que se quejan de que sus alumnos no están concentrados durante las clases por, por ejemplo, utilizar Facebook en el aula. Considero que la solución no es sacar el teléfono de la escuela, sino incluir la tecnología con ciertos límites”, resume Czarny.

Fuente: https://www.clarin.com/sociedad/usar-celular-aula-francia-prohibio-argentina-incentiva_0_ByOJklAWz.html

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Francia prohibirá los teléfonos móviles en las escuelas y los institutos

Francia/14 diciembre 2017/Fuente: La Vanguardia

  • La medida comenzará a implementarse desde el inicio de 2018, aunque la comunidad educativa ve difícil su aplicación.

Francia ha decidido prohibir los teléfonos móviles tanto en las escuelas como en los institutos. Así lo ha anunciado este martes Jean-Michel Blanquer, ministro de Educación, quien también explicó que la medida entrará en funcionamiento “desde el comienzo de 2018”.

”Estamos trabajando en este tema y puede tomar diferentes formas. Alguien puede necesitar los móviles para fines pedagógicos o para situaciones de emergencia. Por eso los teléfonos estarán guardados, explicó Blanquer. El ministro recordó que en algunas universidades “ya se está aplicando esta medida”.

La medida entrará en funcionamiento “desde el comienzo de 2018”

Según Jean-Michel Blanquer, la cuestión del uso de las pantallas es ya una cuestión de “salud pública”. “Es bueno que los niños no pasen demasiado tiempo delante de ellas, sobre todo antes de los 7 años”, apuntó.

Muchos maestros están alarmados por la “guerra interminable” que libran contra los teléfonos móviles en la escuela. Ocho de cada diez adolescentes los llevan a clase, según un estudio, En 2011 eran solo el 20% de los alumnos. Y los expertos apuntan que la tendencia es que ese comportamiento se amplíe hacia la primaria.

Lo comunidad educativa, sin embargo, cree que la implementación de esta medida va a ser complicada. El código de educación ya prohíbe el uso de teléfonos móviles en colegios y escuelas durante las clases. La prohibición durante el recreo y el mediodía es más difícil de llevar a cabo, dicen los sindicatos, tanto porque los padres desean hablar con sus hijos después de las clases como por las limitaciones prácticas que tendrán que afrontar los trabajadores de los colegios.

Muchos maestros están alarmados por la “guerra interminable” que libran contra los móviles en la escuela

Fuente: http://www.lavanguardia.com/vida/20171212/433587718559/francia-telefono-movil-escuela-colegio.html

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Francia prohíbe llevar móvil a clase hasta los 15 años

Europa/Francia/16 Diciembre 2017/Fuente: La razón

La medida se llevará a cabo desde el próximo curso por motivos educativos y de salud y afectará a alumnos de Primaria y Secundaria.

Era una promesa del programa de Educación de Macron y su ministro de Educación, Jean Michel Blanquer, ha confirmado este domingo su determinación a llevarla a cabo. A partir del próximo curso, los alumnos de las escuelas francesas tendrán prohibido el uso de teléfonos móviles en las aulas. La medida afectaría a la educación Primaria y Secundaria francesa, es decir, a alumnos de hasta 15 años.

El titular de Educación ha confirmado que el gobierno francés se encuentra estudiando las modalidades para llevar esta medida a cabo, consciente de las dificultades y sensibilidades a las que puede enfrentarse, ya que el teléfono es al mismo tiempo una herramienta que tranquiliza a muchas familias en un país que ha pasado los dos últimos años en estado de excepción con medidas de seguridad especialmente sensibles en establecimientos educativos. Ya el pasado mes de octubre dio alguna pista nombrando la instalación de taquillas con llave en la entrada de cada establecimiento. Blanquer ha señalado en una entrevista para RTL que «ya existen establecimientos que llevan a cabo con éxito estas medidas en Francia» y se trataría de exportar esos buenos ejemplos. En estos colegios está prohibido, como norma general, entrar al centro educativo con un teléfono.

Además, el ministro justifica la medida no sólo en un plano puramente educativo, sino también de salud. «Es un mensaje de salud pública que concierne a las familias. Es bueno que menores de 7 años no estén demasiado delante de pantallas de este tipo».

Según expertos consultados por el diario Le Monde, la nueva reglamentación puede traer conflictos empezando por el tiempo que se perderá requisando día a día los smartphones.

Algunas asociaciones sostienen que la implementación de la medida sería complicada, ya que muchos alumnos sostienen argumentos de seguridad y de comunicación con sus familias para permanecer con el teléfono en sus mochilas. «Normalmente se les pide que mantengan dentro de sus mochilas el móvil, pero en la práctica muchos alumnos los mantienen en sus bolsillos», sostiene Nelson, un profesor de español de alumnos de 13 años de un colegio al norte de París para LA RAZON, que califica de «utópica» la medida del gobierno. «La instalación de taquillas sería la opción, pero el tiempo que se perdería a cada llegada y a cada salida lo acabaría desaconsejando».

No es la primera vez que en Francia se plantea el debate del móvil. En 2009, el Gobierno ya se planteó prohibir los dispositivos móviles para menores de 10 años por el riesgo que podía suponer para su salud el uso de los teléfonos móviles.

Fuente: http://www.larazon.es/sociedad/francia-prohibe-llevar-movil-a-clase-hasta-los-15-anos-LA17177905

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Francia quiere prohibir los teléfonos móviles en colegios y universidades en 2018

Francia/12 de Diciembre de 2017/Xataka

Los teléfonos móviles pasan bastante tiempo en nuestras manos cada día, de ahí que cada vez les exijamos más y más autonomía y no nos conformemos con cifras que hace algunos años habrían sido más que suficientes. La razón es que nos hemos alejado mucho de la época en que sólo servían para llamar, ahora son el centro de nuestro ocio y, en ocasiones, incluso nuestra televisión portátil.

En los móviles encontramos la información al momento, la forma de estar con los que realmente no están y un rincón al que evadirnos siempre que lo sintamos necesario, de ahí que se hayan convertido en un problema en determinados ámbitos como el educativo, donde hace falta atención y concentración. Y es por eso que Francia se ha propuesto prohibirlos. Concretamente, de aquí a septiembre de 2018. Es en lo que trabajan en estos momentos.

Un curso 2018 – 2019 sin teléfonos

Jean-Michel Blanquer, Ministro de Educación francésJean-Michel Blanquer, Ministro de Educación francés

Esta futura prohibición, que por ahora sólo figura entre los planes del país al norte de los Pirineos, figuraba en el programa electoral de Emmanuel Macron, actualmente vigesimoquinto presidente de la República Francesa. Para el partido que dirige Macron, la cuestión de las pantallas es de «salud pública».

La confirmación de que el Gobierno francés trabaja en la prohibición de los teléfonos móviles en las aulas ha llegado a través del programa Gran Jurado en la televisión de su país. El invitado, Jean-Michel Blanquer, Ministro de Educación, ha sido el encargado de anunciar que se trabaja para lograr la prohibición de las pantallas negras rectangulares para el curso 2018-2019.

«Es bueno que los niños no los usen demasiado, en todo caso, que no las usen antes de los 7 años», afirmó Blanquer

Septiembre de 2018 es la fecha que se marca Blanquer para que dé comienzo esta prohibición que debe afectar tanto a las escuelas de primaria como a las universidades públicas. Nada se ha comentado sobre si esta normativa aplicaría en el ámbito de los recintos educativos privados, habría que esperar a que el Gobierno lograse poner en marcha su plan para evaluarlo con detenimiento.

Durante la entrevista a Blanquer se pone sobre la mesa la necesidad del uso del teléfono con fines educativos, cuando se trata de usarlos para recopilar información, y también en situaciones de emergencia en las que el alumnado necesite ser localizado o bien localizar a otras personas. La pregunta permitió al Ministro de Educación matizar que el plan de prohibición de teléfonos móviles está aún en estudio.

Estamos trabajando aún en este tema y puede hacerse de diferentes formas. Los alumnos pueden necesitar el teléfono para fines de enseñanza o bien para situaciones de emergencia, de modo que los teléfonos podrían estar confinados.

Lo que significa que tal vez se estableciesen localizaciones en las que dejar el teléfono móvil al acceder al aula, de forma que el alumno pudiese usarlo entre clases o durante sus ratos de descanso. Sea como fuere, parece que todo está demasiado en el aire pero que la intención del Gobierno francés es clara: los teléfonos móviles han de prohibirse en las aulas. Como afirmó Blanquer en la entrevista, «algunas universidades ya lo hacen».

Fuente: https://www.xatakamovil.com/movil-y-sociedad/francia-quiere-prohibir-los-telefonos-moviles-en-colegios-y-universidades-en-2018

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Relatividad y física cuántica sacuden las ciencias sociales

Por: Jesús Ibañez

Estas dos revoluciones distorsionan la relación entre sujeto y objeto.

Los sociólogos y psicólogos que se pretenden científicos (los “cuantivistas”) toman la física como ciencia modelo. Lo malo es que toman como modelo la física de Newton, sin tener en cuenta las revoluciones relativista y cuántica. Pero, al final (y gracias a los sociólogos “cualitativistas”), estas dos revoluciones están sacudiendo la sociología y la psicología porque distorsionan la relación entre sujeto y objeto.

Las mecánicas relativista y cuántica no cancelan la mecánica newtoniana: la delimitan. Hoy sabemos que una vale para móviles de velocidad casi nula en relación a la velocidad de la luz (entonces vale la relativista), y otra para masa casi infinita en relación a la masa de un electrón (entonces vale la cuántica).

Las revoluciones relativista y cuántica distorsionan la relación sujeto/objeto. En mecánica newtoniana, el sujeto está separado del objeto. En mecánica relativista, el sujeto es deformado por el objeto: sus parámetros básicos –como espacio, tiempo y velocidad- quedan transformados cuando observa/manipula el objeto. En mecánica cuántica, el objeto es deformado por el sujeto: al observarlo/manipularlo, lo transforma.

El sujeto es-respectivamente-absoluto, relativo y reflexivo. En mecánica newtoniana, puesto que el sujeto y el objeto no se deforman entre sí, hay una posición absoluta para el sujeto: un lugar privilegiado para el acceso a la verdad, el lugar del sujeto transcendental kantiano. En mecánica relativista, puesto que el sujeto es deformado por el objeto, hay un conjunto de posiciones relativas para el sujeto: el acceso a la verdad exige una conversación entre todos los observadores posibles (pues la observación es relativa a las condiciones de observación), los lugares de la intersubjetividad trascendental.

En ambos supuestos, hay uno o dos lugares transcendentales: el sujeto puede observar/manipular los objetos desde uno o varios lugares exteriores a ellos. En mecánica cuántica, finalmente, puesto que el objeto es deformado por el sujeto, no hay posición exterior –ni absoluta ni relativa- para el sujeto: sujeto y objeto desaparecen en relación/ operación de observación/manipulación, lo que observa/manipula el sujeto no es un objeto, sino la observación/manipulación de un objeto. El sujeto se hace reflexivo

Así como Kant codificó en términos filosóficos la concepción newtoniana del mundo, se está codificando la concepción relativista/cuántica (aún no están unificadas las dos concepciones, pero se procede rápidamente -Hawking, Wheeler, etc. – a la cuanticización de la relatividad). La nueva situación está siendo traducida filosóficamente.

Pruebas paradójicas

Hasta hace poco, se había creído que la verdad era alcanzable conjugando una prueba teórica (coherencia del discurso) y una prueba empírica (adecuación a la realidad). Hoy sabemos que ambas pruebas son paradójicas, porque son autorreferentes: la prueba teórica exige pensar el pensamiento (incompletitud de Gödel), la prueba empírica exige medir la materia con instrumentos hechos de materia (indeterminación de Heisenberg).

Dice Gödel: una teoría no puede ser a la vez consistente (todas las proposiciones son verdaderas) y completa (todas las proposiciones son demostrables); habrá al menos una proposición que siendo verdadera no es demostrable –sentencia gödeliana–.

Dice Heisenberg: no se pueden determinar a la vez la posición y el estado de movimiento de una partícula; puesto que al determinar transformarnos, si determinamos la posición indeterminamos el estado de movimiento (tendremos una partícula), si determinamos el estado de movimiento indeterminamos la posición (tendremos una onda); de ahí la complementariedad parícula/onda.

Así, el proceso de conocimiento empírico y teórico nunca termina. La verdad es perseguible, pero no alcanzable. La incompletitud de Gödel introduce en la teoría una reflexión relativista: la verdad de una proposición es relativa a los axiomas que fundan una teoría.

La indeterminación de Heisenberg introduce en la empiria una inflexión cuántica (reflexiva): observación (extracción de observación) y la manipulación (inyección de neguentropía) son reflexiones del objeto sobre sí mismo; el sujeto (observador/manipulador) es un espejo –refleja y refracta- que el universo se pone en su corazón.

Ondas y realidad social. Foto: Geralt

La memoria de la sociedad

Las ciencias sociales toman como modelo las ciencias de la naturaleza, pero también las ciencias de la naturaleza toman como modelo las ciencias sociales. El proceso es circular: las revoluciones en física reflejan las revoluciones en las tecnologías de la comunicación social.

La memoria de la sociedad se ha depositado: primero en los cuerpos (cuando la comunicación era oral); luego en hojas de papel (cuando la comunicación era escrita); finalmente en bancos de datos (cuando la comunicación es mediante dispositivos electrónicos –computadoras-).

En la fase de comunicación oral, la relación privilegiada era sujeto/sujeto: la verdad se fundaba en la certeza subjetiva (es absoluta). En la fase de comunicación escrita, la relación privilegiada es sujeto/objeto. El modelo era un lector ante un libro. El lector está fuera del libro, y hay muchas lecturas posibles del libro (relatividad). La página del libro era el modelo del objeto. La captación de la verdad del objeto era una simplificación: la página es una superficie plana (esto es, un espacio de n-l dimensiones). Por eso se dice en inglés ex-plain (proyectar sobre un plano) y en castellano ex-plicar  (desplegar, reducir en una dimensión). El modelo de captación de la verdad era analógico (visual): el lector que mira la página es el modelo del sujeto que contempla el mundo.

En la fase de comunicación electrónica, la relación privilegiada es objeto/objeto (sujeto y objeto comparten la propiedad de importar y exportar información). El modelo es un operador manejando una computadora. El modelo de captación de la verdad es digital (táctil): el operador que maneja una computadora es el modelo de un sujeto que maneja el mundo  (hemos pasado de la semántica o extracción de información, a la pragmática o inyección de neguentropía).

La captación de la verdad es una complicación: el sujeto es una dimensión complementaria del objeto (el observador/manipulador introduce una dimensión más en el sistema). El operador es interior a la computación: de momento, establece con la computadora una relación/operación del tipo estímulo/respuesta; cuando las computadoras sean inteligentes podrá conversar con ellas.

Principio de complementariedad

El principio de complementariedad puede extenderse del campo de la física a los campos de la biología y la sociología. La complementariedad partícula/onda tiene ecos biológicos (organismo/especie) y sociales (individuo/sociedad). En un conjunto, podemos distinguir tres niveles: elementos, estructura (conjunto de relaciones entre los elementos) y sistema (conjunto de las relaciones entre relaciones –relaciones entre estructuras o cambios de estructura-).

Un individuo puede ser considerado a esos tres niveles: como individuo, como nudo de relaciones sociales (en el sentido en el que dicen los marxistas que el individuo es el conjunto de sus relaciones sociales) y como operador (observador/manipulador) del cambio de las relaciones sociales.

En el primer sentido, lo trata la psicología, en el segundo la sociología estática (estructura social), en el tercero la sociología dinámica (cambio social). La investigación social puede tener como referente uno de estos tres niveles: la perspectiva distributiva (encuestas) en cuanto elemento; la perspectiva estructural (grupos de discusión) en cuanto nudo de relaciones; la perspectiva dialéctica (socioanálisis) en cuanto operador del cambio.

Diada y triada

La diada partícula/onda se ha transformado en triada (elemento/nudo de relaciones/operador del cambio). Hemos pasado de un sistema dinámico a un sistema lingüístico; de un sistema en el que sólo hay intercambio de energía a un sistema en el que hay –también- intercambio de información. En un sistema dinámico la correlación entre dos estados de un sistema es uno-a-uno: sólo hay un camino. En un sistema lingüístico es uno-a-varios: hay caminos entre los que elegir (de ahí la necesidad de dispositivos de clasificación, ordenación y medida).

Los entes físicos no necesitan saber física; saben biología inconscientemente los entes biológicos; y saben sociología conscientemente (saben que saben) los entes sociales. Los elementos de un sistema lingüístico son reflexivos: están regulados por códigos, genéticos los biológicos, lingüísticos los sociales. En un sistema dinámico, los elementos son pasivos: sus movimientos son resultado de correlación de fuerzas. En un sistema lingüístico son –también- activos (su comportamiento es intencional). La estructura refleja su cara pasiva; el sistema, su cara activa.

La perspectiva de investigación distributiva tiene que ver con la mecánica newtoniana, la estructural con la mecánica relativista, la dialéctica con la mecánica cuántica. Lo mismo que las mecánicas relativista y cuántica no cancelan la mecánica newtoniana –sino que la delimitan-, el grupo de discusión y el socioanálisis no cancelan la encuesta –sino que la delimitan-. Un sociólogo cuantitativo es la proyección lineal de un sociólogo cualitativo (tridimensional).

Fuente: https://www.tendencias21.net/Relatividad-y-fisica-cuantica-sacuden-las-ciencias-sociales_a44295.html

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France to impose total ban on mobile phones in schools

Francia/Diciembre de 2017/Autor: Henry Samuel/Fuente: The Telegraph

Resumen:  Francia debe imponer una prohibición total a los alumnos que usan teléfonos móviles en escuelas primarias y secundarias a partir de septiembre de 2018, confirmó su ministro de educación. Los teléfonos ya están prohibidos en las aulas de francés, pero a partir del próximo año escolar, los alumnos no podrán sacarlos durante los descansos, el almuerzo y entre las clases. Sin embargo, los maestros y los padres están divididos por una prohibición total, y algunos dicen que los niños deben poder «vivir en su tiempo». En Francia, alrededor del 93 por ciento de los jóvenes de 12 a 17 años poseen teléfonos móviles.

France is to impose a total ban on pupils using mobile phones in primary and secondary schools starting in September 2018, its education minister has confirmed.

Phones are already forbidden in French classrooms but starting next school year, pupils will be barred from taking them out at breaks, lunch times and between lessons.

Teachers and parents are divided over a total ban, however, with some saying children must be able to «live in their time». In France, some 93 per cent of 12 to 17-year-olds own mobile phones.

 «These days the children don’t play at break time anymore, they are just all in front of their smartphones and from an educational point of view that’s a problem,» said Jean-Michel Blanquer, the French education minister.

«This is about ensuring the rules and the law are respected. The use of telephones is banned in class. With headmasters, teachers and parents, we must come up with a way of protecting pupils from loss of concentration via screens and phones,» he said.

«Are we going to ban mobile phones from schools? The answer is yes.»

Studies suggest that a significant number of pupils continue to use their mobiles in class and receive or send calls or text messages.

Up to 40 per cent of punishments are mobile-related, according to Philippe Tournier, a Paris headmaster with the Snpden-Unsa teaching union. But he said it was tricky to know how to clamp down on the practice without being able to, say, search pupils’ bags.

«We are currently working on this [ban] and it could work in various ways,» said Mr Blanquer. «Phones may be needed for teaching purposes or in cases of emergency so mobile phones will have to be locked away.»

Earlier this year, he suggested that if French politicians were able to put their phones away during council of ministers meetings, then surely it was «possible for any human group, including a class» to do the same.

The practice is already in use in many French «colleges», or primary schools.

«A box placed on the table at the entrance to my class awaits mobile phones. I have never had any problems. It takes two minutes at the start of each hour. This was already the case in primary schools I worked in in Paris,,» one teacher based in Rueil-Malmaison told Le Figaro.

In another establishment in Essonne area, pupils place their phones in named bags in an office at the school entrance and take them back at the end of the day.

But one headmaster in Marseille, southern France, said he remained unconvinced but this «so-called miracle solution», saying that phones could get mixed up, lost or stolen. «If they are switched off at the bottom of the bag, then it works,» he said.

Peep, one of France’s biggest parents’ associations, has already expressed scepticism.  «We don’t think it’s possible at the moment,» said its head, Gerard Pommier.

«Imagine a secondary school with 600 pupils. Are they going to put all their phones in a box? How do you store them? And give them back at the end?,» he asked.

«One must live with the times. It would be more intelligent to pose rules and discuss their meaning with pupils,» said Peep, pointing out that «adults themselves are not always exemplary with mobiles».

But for the education minister the issue of mobile phones and tablets is a matter of «public health».   «It’s important that children under the age of seven are not in front of these screens,» he added.

The minister also sees the move as a way of cutting down on cyber-bullying.   The ban would apply to children up to 15 but phones would be allowed in lycees (secondary school).

Fuente: http://www.telegraph.co.uk/news/2017/12/11/france-impose-total-ban-mobile-phones-schools/

 

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