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Mundo: Trabajo infantil aumenta por primera vez en dos décadas

Mundo/11-06-2021/Autor(a) y Fuente: rpp.pe

La pérdida de empleo e ingresos de sus familias y el cierre de los centros educativos aumentaría aún más las cifras de trabajo infantil en los próximos años.

Más de 160 millones de niños tienen algún tipo de trabajo, según un informe presentado por la Organización Internacional del Trabajo (OIT) y Unicef en vísperas del Día Mundial contra el Trabajo Infantil que se conmemora el próximo 12 de junio.

La cifra subió unos 8.4 millones en los últimos cuatro años, la primera subida en dos décadas. Incluso se estima que, a consecuencia de la pandemia, a fines del 2022 unos 9 millones más podrían aumentar en la estadística si no se ofrece la protección social necesaria.

“La protección social inclusiva permite a las familias proseguir la escolarización de sus hijos aun en una coyuntura económica adversa”, aseguró el director general de la OIT, Guy Ryder.

Según el informe, la crisis sanitaria y sus consecuencias económicas pueden ocasionar que los niños que se encuentran en esta situación trabajen más horas y en peores condiciones.

“Estamos perdiendo terreno en la lucha contra el trabajo infantil, y el último año no ha facilitado nuestra labor”, dijo Ryder.

El 70 % de los niños en esta situación, equivalente a 112 millones, trabajan en el sector agrícola por lo que el trabajo infantil en zonas rurales es casi tres veces más frecuente que en zonas urbanas.

Mientras que un 20 % de los niños que deben trabajar lo hacen en servicios (31,4 millones) y el 10 % en la industria (16,5 millones).

La mayoría de los niños en situación de trabajo infantil tienen entre 5 y 11 años. Del total, unos 79 millones de menores realizan trabajos peligrosos que pueden dañar su salud o su seguridad.

La zona más afectada es África Subsahariana, donde 16,6 millones de niños más han tenido que trabajar en los últimos cuatro años debido al crecimiento demográfico, las crisis frecuentes, la pobreza extrema y las medidas inadecuadas de protección social.

(Con información de la Agencia EFE).

Fuente e Imagen: https://rpp.pe/economia/economia/trabajo-infantil-aumenta-por-primera-vez-en-dos-decadas-noticia-1341419?ref=rpp

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MODÈLES VIVANT·ES : des droits à conquérir par la lutte syndicale. France

Europe/France/11-06-2021/Auteur et Source : www.ferc-cgt.org

Éditorial

Depuis 2017 des modèles vivant·es se sont rapproché·es du SNPEFP-CGT pour faire entendre leur voix et être défendu·es. Lorsque l’on est précaire et multi-employeur·se, il est malaisé de trouver les bons canaux de représentation et les bon·nes interlocuteur·trices : le syndicalisme d’entreprise est peu adapté à ce type de métiers.

Il a fallu trouver des modalités d’accompagnement souples pour parrainer un collectif de modèles vivant·es au sein du SNPEFP-CGT. Notre Fédération la FERC-CGT a répondu présente en créant les conditions de l’encadrement des modèles. Le collectif a pris son envol, syndique dans la profession, se fait le relai des revendications et assure un travail de syndicalisation sur le terrain auprès des modèles.

Les résultats sont là : grâce à l’intervention des modèles syndiqué·es auprès des employeur·ses privé·es comme public·ques, des poses annulées pendant le confinement ont été payées, le recours à la captation sauvage d’images pendant l’exercice professionnel a été rendu quasiment impossible suite aux réclamations des camarades.

Le bilan est très positif ! L’activité syndicale ne se dément pas et les modèles vivant·es du SNPEFP-CGT continuent à fédérer de nouveaux·elles modèles parce qu’ils et elles sont devenu·es les interlocuteur·trices incontournables des directions d’établissements.

Beaucoup de chantiers sont ouverts : celui des conditions de travail, de la rémunération, des droits collectifs et du statut des modèles vivant·es. Cela se fera parce que la volonté et l’enthousiasme sont au rendez-vous.

Christine Fourage – Secrétaire Générale du SNPEFP-CGT

Faire respecter un métier mal connu et mal encadré

3000 ans de poses

Modèle vivant·e est un métier autant qu’une discipline enseignée depuis des millénaires.

L’antiquité a mis à l’honneur le nu artistique en le codifiant et en l’idéalisant, en Égypte et en Grèce antique. En Europe, à partir de la Renaissance italienne, il sert d’étude morphologique, au « nu académique ». En France, en 1648, les modèles sont recrutés par l’Académie Royale de Peinture et de Sculpture, à raison de 2h de poses bi-hebdomadaires. Seuls des hommes exercent alors ce métier.

Au 19ème et 20ème siècles, les académies se développent et emploient des modèles hommes et femmes. Le « nu académique » est enseigné aux Beaux-Arts jusque dans les années 1970, l’enseignement des techniques appliquées « d’après modèle vivant·e » perdure avec une technicité au service des écoles d’art, des artistes, des activités. Depuis le 21ème siècle les enseignements avec modèle vivant·e se multiplient auprès des filières des métiers du numérique et de la communication visuelle.

Le cadre du travail

Le travail du ou de la modèle vivant·e s’organise sur la base du calendrier scolaire, en journée, en soirée et aussi le week-end. Le cumul des multi-employeur·ses journalier·es ajouté à de nombreux déplacements rallongent la journée de travail.

Les modèles vivant·es sont salarié·es, travaillant à l’heure dans le secteur public ou privé, cumulant les CDDU et les vacations.

Il n’y a pas de limite d’âge, pas de critère lié à la morphologie ou l’apparence, il n’y pas de formation qualifiante pour exercer le métier, c’est l’expérience de terrain qui fait le·la modèle vivant·e ; une certification professionnelle s’impose !

Modèle vivant·e : exclusivement du salariat !

Il est illégal de rémunérer les modèles comme indépendant·es ou autoentrepreneur·ses. Le·la modèle ne peut être que « salarié·e ».
Toute facture de complaisance est une pratique frauduleuse.

A ce titre, le ministère de la Culture et de la Communication le 17 avril 2018 rappelle « Ces modèles sont donc considéré.es comme des salarié.es. Le dispositif de l’auto-entrepreneur n’est pas ouvert aux activités dont l’exercice implique un rattachement au régime général de la sécurité sociale. ».

Les revendications de la CGT

Les modèles sont indispensables aux activités habituelles des écoles : le CDD d’usage à répétition est abusif. Pour reconnaître leur rôle dans l’enseignement des matières artistiques, des CDI ou CDII doivent leur être proposés.

Il faut garantir le volume horaire annuel décidé en début d’année et s’y tenir !
« Toute programmation de séances vaut promesse d’embauche et les dates de pose doivent être honorées. »

Les Négociations annuelles obligatoires (NAO) doivent intégrer les modèles vivant·es ! Les salaires des modèles doivent évoluer année après année et progresser avec l’ancienneté, comme tou·tes les salarié·es

La formation : le·la modèle n’a pas ou peu d’évolution de carrière en raison de l’absence de formation reconnaissant ses compétences. Il faut créer une certification/formation à l’exercice du métier.

Les modèles ne sont pas la cinquième roue du carrosse et ont des droits sociaux. Trop souvent les employeur·ses ne fournissent pas les attestations de fin de contrat rendant complexe l’accès à l’assurance chômage. Beaucoup d’établissements « négligent » de rémunérer les temps de préparation.

Les congés payés et la prime de précarité doivent être généralisés, 14 % pour les congés payés dans l’Enseignement privé indépendant (EPI).

Défraiements, en raison des nombreux trajets journaliers qui empêchent de travailler en continu, le temps de transports doit être défrayé tout comme les tickets restaurant ou la prise en compte d’un panier repas lors des journées continues.

Les confinements : une perte de salaire insoutenable, se syndiquer pour se protéger

La crise du Covid a bon dos

Certain·es employeur·ses ont oublié que les cours de modèles vivant·es font partie des enseignements de travaux pratiques et doivent se dérouler en présentiel face à un groupe d’apprenant·es.

A ce titre, l’introduction de la vidéo, la mise des cours en ligne, toute forme de captation d’image sont tout simplement intolérables. Tout comme l’est l’incitation faite aux modèles vivant·es de poser depuis leur domicile.

Faut-il rappeler que les pouvoirs publics (Jean Castex en octobre 2020) ont toujours affirmé qu’il convient de tenir en présentiel des cours « pratiques » tels que l’enseignement des arts ?

La pétition lancée par la CGT : « Non au modèle vivant en ligne », a été soutenue et signée par des centaines d’artistes et professeur·ses de renommée. Signez la pétition !

Droit au chômage partiel : à la demande des modèles de la CGT, des courriers ont été envoyés aux employeur·ses qui n’avaient pas mis en place le chômage partiel. Les modèles vivant·es ont pu percevoir leurs droits.

Le droit à l’image

Le·la modèle est aujourd’hui très exposé·e à des déviations picturales. Les photos et vidéos volées, au risque d’être diffusées sur internet, sont une violation de son intimité et de son intégrité, portant préjudice à son identité personnelle et professionnelle.

Au vu des obligations légales du RGPD et de l’article 9 du code civil, ce mode de transmission n’est pas acceptable. Le corps nu reste l’outil de travail du ou de la modèle, continuons d’interdire l’utilisation de la photo et de la vidéo en salle de cours, ainsi que l’enregistrement et la captation d’images avec retransmission.

Protection de la santé

L’immobilité des poses entraîne des troubles musculo-squelettiques et comportent de lourdes conséquences pour la santé des professionnel·les. Les modèles syndiqué·es demandent la reconnaissance de la pénibilité de leur travail et veulent une visite médicale annuelle.

La préservation de la santé des modèles ne peut se faire qu’à partir du respect des bonnes pratiques du métier : prise en compte des contraintes du métier (déplacements, durée de travail), bonne connaissance des limites et capacités physiques, adaptation des temps de poses en fonction de l’âge, de l’usure professionnelle, salle de pauses adaptées, etc.

Pour ces travailleur·ses, le corps est leur outil de travail, il faut le préserver et contraindre les employeur·ses à en prendre soin.

Le·la modèle vivant·e ne doit pas être soumis·e à des conditions d’hygiène défaillantes (salles de cours, vestiaires pour l’habillage et le déshabillage). Cela est non négociable. Il faut exiger de pouvoir évoluer dans un espace totalement sain puisque des corps nus y sont exposés.

Le bilan des modèles vivant·es

La CGT a été le syndicat le plus réactif aux demandes des modèles vivant·es. Dès 2016, le travail syndical a permis des avancées sociales.

Il a été obtenu pour les modèles vivant·es la qualification de Technicien·ne niveau 3 dans la Convention Collective de l’Enseignement Privé Indépendant (EPI), afin qu’ils et elles bénéficient de temps de préparation (heures induites).

Les courriers du SNPEFP-CGT au ministère du travail, au ministère de la culture et au ministère de l’enseignement supérieur ont alerté ces administrations sur le sort des modèles. Suite à ces sollicitations, nous attendons de rencontrer les ministres afin de leur faire part des spécificités du métier de modèle vivant·e et de les entendre sur nos revendications.

Nous avons interpelé plusieurs élu·es pour les sensibiliser à la précarité des modèles vivant·es. Le député André Chassaigne a envoyé un courrier le 20 mai 2020 à Monsieur Franck Riester… Courrier, hélas, resté sans réponse !

La FERC-CGT et le SNPEFP-CGT sont intervenu·es et ont pu obtenir, pour la majorité des écoles privées, le chômage partiel ou la rémunération des séances annulées pendant les confinements.

La conférence de presse du SNPEFP-CGT le 22 octobre 2020 a alerté les médias sur les conditions de travail des modèles et sur leur grande précarité. De nombreux articles ont vu le jour mettant en lumière leur situation dramatique.
La presse écrite et les réseaux sociaux s’en sont faits les échos.

Diffusion de la pétition en ligne signée par une centaine d’artistes professionnel·les et enseignant·es de renommée sur les dangers de la captation et retransmission par vidéo du travail du, de la modèle vivant·e.

Un certain nombre d’écoles ont arrêté le nu en ligne, par l’action des modèles syndiqué·es, et ont à nouveau programmer des séances avec modèle en présentiel par demi-groupes. Les étudiant·es y ont gagné.

Nous rappelons que partout où la CGT est présente les modèles ont obtenu des résultats !/span>

Les modèles au sein de la CGT !

Les modèles vivant·es sont soutenu·es par de nombreux·ses délégué·es syndicaux·ales de la CGT dans l’enseignement ; cela permet un dialogue avec les dirigeant·es d’établissements, afin de donner à leur profession les mêmes droits et la même parole qu’aux autres salarié·s de l’enseignement.

Autant il y a eu des avancées sociales avec le secteur de l’enseignement privé car la CGT y est très active, autant rien n’a été acquis dans le secteur public. Il nous faut un syndicat national de modèles vivant·es pour être représenté sur l’ensemble du territoire. La syndicalisation de nouveaux·elles modèles nous permettra d’amplifier nos actions afin de travailler avec les autres partenaires sociaux ainsi que nos différentes tutelles.

Faites-nous connaitre dans vos structures auprès des modèles y travaillant .

Fédérons les modèles vivant·es dans toutes les régions de France au sein du SNPEFP-CGT, pour les protéger et défendre leurs droits de salarié·e – santé, chômage, retraite – ainsi que de l’utilisation abusive de leur nudité !

ET POUR LE FAIRE AU SNPEFP-CGT : c’est ici !
Contact : modeles@efp-cgt.org – Tél : 06 77 13 38 80

Source et Image: https://www.ferc-cgt.org/modeles-vivant-es-des-droits-a-conquerir-par-la-lutte-syndicale 

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Brasil: Nuevas manifestaciones contra el gobierno de Bolsonaro ya tienen fecha: el 19 de junio será mayor

América del Sur/Brasil/11-06-2021/Autor(a) y Fuente: fasubra.org.br

Las manifestaciones callejeras que tuvieron lugar en todo el país el 29 de mayo fueron consideradas “una enorme victoria política” contra el (des) gobierno de Bolsonaro por parte de movimientos sociales, centrales, frentes, foros, entidades y partidos de oposición. Tanto es así que ya está confirmada una nueva fecha de protesta para el 19 de junio . La población brasileña demostró que ya no puede soportar tantos reveses y muertes por Covid-19 y los actos “Fora Bolsonaro” llegaron a más de 210 ciudades y 14 países.

La segunda actividad de la campaña nacional Fora Bolsonaro traerá los mismos temas: juicio político a Bolsonaro, contra reforma administrativa (PEC 32), contra desempleo y hambre, por vacunación para todos, contra recortes en educación, privatizaciones y devolución de ayuda de emergencia de R $ 600. Los actos deben seguir estrictamente los protocolos de la OMS (Organización Mundial de la Salud), con distancia, uso de mascarillas y gel de alcohol .

La Unión FASUBRA orienta a las entidades radicadas a participar en los actos, ya sea en manifestaciones callejeras o en protestas virtuales, y que sigan presionando a los legisladores de sus estados y oficinas políticas contra la reforma administrativa, que próximamente será considerada por la Comisión Especial.

¡El gobierno de Bolsonaro es más dañino que el virus!

¡Todos y todos en las calles!

# ForaBolsonaroeMourão

#Vacuna para todos

#Contra los Tribunales en Educación

# NotoPEC32

Fuente e Imagen: https://fasubra.org.br/noticias/novas-manifestacoes-contra-o-governo-bolsonaro-ja-tem-data-dia-19-de-junho-vai-ser-maior/

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Sin enfermera escolar el próximo curso 21-22 tampoco

Por: ABC

Satse denuncia que el año que viene tampoco se implantará de manera generalizada esta figura.

El Sindicato de Enfermería (Satse) ha denunciado que el acuerdo alcanzado entre Gobierno y comunidades autónomas sobre las medidas a implementar en el próximo curso escolar para proteger a la comunidad educativa frente a la Covid-19 no establece la implantación generalizada de la enfermera escolar, aunque se haya constatado su labor decisiva a la hora de evitar y controlar el virus en aquellos centros y territorios en los que ya se cuenta con este profesional sanitario.

En este sentido, Satse lamenta «la nueva oportunidad perdida» por los responsables educativos y sanitarios, tanto a nivel estatal como autonómico, para ofrecer mayor garantías de seguridad y salud en el conjunto de centros educativos españoles en el nuevo curso escolar 2021-2022. Esto se atribuye «a causas meramente económicas en lugar de priorizar, en todo caso y ante cualquier circunstancia, la protección de los niños y jóvenes», declaran.

«Desconocemos, hoy en día, cuál será la evolución de este virus o de posibles nuevas variantes en los próximos meses, por lo que debemos seguir protegiendo espacios tan sensibles y vulnerables como son los colegios e institutos en los que pasan gran parte de su vida más de ocho millones de niños y jóvenes», apuntan desde la organización sindical.

Satse recuerda, además, que, de manera paralela a la realización de labores de prevención, detención y atención a casos Covid-19, las enfermeras y enfermeros son los profesionales sanitarios competentes para responder a las necesidades de cuidados de los niños, niñas y jóvenes, no solo en el ámbito asistencial, sino de información, sensibilización y formación de cara a adquirir hábitos de vida saludables.

Tras conocer el acuerdo alcanzado en fechas recientes por el Ministerio de Educación y los gobiernos autonómicos, el sindicato constata que, por un lado, se tiene interés por seguir manteniendo los aspectos preventivos y de atención frente a la Covid-19, al objeto de evitar el mayor número posible de contagios y brotes, pero, por otro, «no se quiere entrar en la cuestión de fondo que es contar con un profesional sanitario, como es la enfermera o enfermero, que, por sus conocimientos y cualificación, pueda encargarse de todo lo necesario para que los niños, niñas y jóvenes estén cuidados y seguros», afirman desde la organización sindical.

Además, Satse recuerda que se ha constatado su labor decisiva a la hora de evitar y controlar el virus en aquellos centros y territorios en los que ya se cuenta con este profesional sanitario. «Caso, por ejemplo, de Andalucía, comunidad autónoma que ha empezado a apostar por esta figura y que ha conseguido que una mayoría de sus centros educativos hayan estado libres de coronavirus», detallan.

«Hasta que no podamos afirmar de manera categórica que esta grave pandemia ha concluido, no podemos bajar la guardia, y, por ello, tenemos que dejar en manos de las enfermeras y enfermeros la detección precoz de casos y la gestión adecuada de los mismos, con arreglo a los protocolos establecidos, en lugar de a los profesores u otros miembros de la comunidad educativa a los que se ha impuesto una nueva responsabilidad sanitaria para la que no disponen de los conocimientos necesarios», concluyen.

Fuente e Imagen: https://www.abc.es/familia/educacion/abci-sin-enfermera-escolar-proximo-curso-21-22-tampoco-202106050130_noticia.html

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Chile: Padres y apoderados respaldan las demandas del magisterio sobre agobio a las comunidades educativas

América del Sur/Chile/11-06-2021/Autor(a) y Fuente: www.colegiodeprofesores.cl

En el marco de la “Jornada de Visibilización del Agobio Laboral”, la directiva regional Bío-Bío del Magisterio realizó un punto de prensa junto a padres y apoderados que respaldan las demandas del gremio. En la instancia, Jorge Barriga, presidente de dicho regional, comentó que el apoyo se debe a un trabajo mancomunado donde todas las bases de las comunidades educativas de las comunas de la región han sido partícipes.

Al respecto, Ester Sáez, Presidenta Comunal de Centros de Padres Chiguayante, leyó un comunicado donde expresó: “con un 100% de acuerdo, los centros de padres han decidido no enviar a sus hijos a clases presenciales, continuando así con las clases on-line; consideramos que en estos momentos el nivel de contagio ha aumentado considerablemente en nuestras comunas en Fase 1 y en Fase 2”.

En ese sentido, Barriga añadió que ha habido una insistencia del Ministro Figueroa a regresar a clases presenciales incluso amenazando con la no entrega de la subvención escolar, lo que claramente ha agobiado doblemente a los docentes que, velando por la salud y la vida de sus estudiantes, incluso han tenido que sacar dinero de sus bolsillos para llegar con el contenido pedagógico a sus estudiantes.

Por otro lado, Carolina Rodríguez, Presidenta de la Unión Comunal de Centros de Padres de Lota, añadió: “Este ha sido un Ministro indolente que no se pone de lado de nosotros los apoderados, no tenemos ni siquiera seguro Covid para nuestros niños, funcionarios y profesores. Nosotros decidimos enviar a nuestros niños en Fase 4, posiblemente el próximo año, cuando nos sintamos seguras de que en los establecimientos”.

En ese sentido, Marina Figueroa, Centro de Padres Provincia Bío-Bío, señaló: “hoy nosotros estamos alzando la voz, en nombre de la Octava Región y esperamos que esto llegue al resto de las regiones “.  Al finalizar, Cecilia Torres, Presidenta Unión Comunal de Centro de Padres Tomé, agradeció la labor que están haciendo los profesores hoy y le insistió al Ministro que no volverán a clases en Fase 4 y que se conecte con las reales necesidades de la gente.

Fuente e Imagen: https://www.colegiodeprofesores.cl/2021/06/09/padres-y-apoderados-respaldan-las-demandas-del-magisterio-sobre-agobio-a-las-comunidades-educativas/

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Oportunidades y desafíos de la pandemia que nos hostiga

Por: Dinorah García Romero 

La COVID-19 ha demostrado que la educación dominicana ha de ser menos teórica. Ha de procurar la articulación teoría- práctica.

El título del artículo de este día puede resultar contradictorio y hasta molesto. Hay personas y sectores sociales que no se han detenido a pensar en esta dirección. Es normal que esto ocurra, sobre todo cuando no todos hemos tenido la ocasión de aprender a mirar los problemas de manera integral.  Esta es una tarea que se ha quedado en carpeta; por ello tenemos pocas herramientas filosóficas y antropológicas para ver más allá del hecho mismo. En la República Dominicana estamos participando de una tercera ola de la COVID-19 y no hay ambiente para celebrar por la alta tasa de positividad en más de diez provincias. Además, se ha incrementado el contagio en el Gran Santo Domingo y en San Cristóbal. Un total de 3,646 muertes a nivel nacional, hasta el sábado 5 de junio de 2021, nos indican que estamos en condiciones de altos riesgos. A esta situación ha de añadirse la resistencia a vacunarse de algunos segmentos de la población. Todos estos factores agravan el escenario y ralentizan el avance hacia una salud más robusta para todos los dominicanos. En este contexto, crítico y preocupante, constatamos oportunidades y desafíos.

Las oportunidades más relevantes se relacionan con las coyunturas que nos ofrece la pandemia para tomar conciencia de la necesidad del autocuidado y del cuidado colectivo. Este es un imperativo para poder sobrevivir y para apoyarnos en reciprocidad. En esta misma dirección, se nos invita a una mayor racionalidad en el uso de los recursos personales, públicos y de la naturaleza. El uso ordenado de recursos en los tres órdenes planteados posibilita un consumo sostenible, favorece la satisfacción de necesidades con equidad para todos.  Una de las oportunidades más significativas se vincula con el  desarrollo de la creatividad. La realidad impele a reinventar cotidianamente el pensamiento y la práctica para garantizar la sobrevivencia. De igual manera, la pandemia ha posibilitado el desarrollo de la generatividad. El empeño por los demás se evidencia en múltiples indicadores, especialmente en pueblos y comunidades. En esta dirección también se presentan ocasiones para el fortalecimiento del ejercicio y compromiso ciudadanos.

En el marco de la pandemia, se presentan situaciones diversas que demandan un ejercicio ciudadano responsable y un compromiso social sostenido. En este mismo sentido, se potencian las alianzas naturales y estratégicas entre organizaciones e instituciones. Estas alianzas constituyen una muestra de la necesidad de unir fuerzas para enfrentar juntos los obstáculos, viejos y nuevos, que se han robustecido en esta pandemia. De otra parte, esta   época en que vivimos nos presenta desafíos ineludibles, a los que hemos de prestarles atención. Consideramos que estos tiempos nos urgen a fortalecer la solidaridad con las demás personas, entre las instituciones y entre las naciones. Por ello resulta loable que los países más ricos se liberen de una práctica egoísta y se dispongan a compartir bienes e insumos para la prevención o reducción del impacto de la enfermedad. El segundo desafío está vinculado al fortalecimiento de la educación de los ciudadanos; una educación que les permita redescubrir su responsabilidad en el recrudecimiento de la pandemia o de la liberación de confinamientos, muertes y contagios masivos. La COVID-19 ha demostrado que la educación dominicana ha de ser menos teórica. Ha de procurar la articulación teoría- práctica; la formación para la gestión de riesgos y el impulso a las alianzas interinstitucionales. Un tercer desafío pone el acento en dar pasos hacia una vida más organizada y previsora de condiciones biológicas, políticas y sociales que afecten la vida de las personas y de la sociedad. Estos desafíos son interdependientes. Cada uno se fortalece o se debilita con el otro. Constituye una tarea importante tener en cuenta en nuestra trayectoria las oportunidades y los desafíos abordados. El momento lo  demanda.

Fuente e Imagen: https://acento.com.do/opinion/oportunidades-y-desafios-de-la-pandemia-que-nos-hostiga-8951757.html

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República Dominicana: Profesores sugieren fin de las clases el 30 de junio

América Central/República Dominicana/11-06-2021/Autor(a) y Fuente: acento.com.do

Continuar con la docencia sería «imprudente e inhumano», según el Comité Ejecutivo Nacional de la Asociación Dominicana de Profesores (ADP) .

SANTO DOMINGO, República Dominicana.- El Comité Ejecutivo Nacional de la Asociación Dominicana de Profesores (ADP) planteó este lunes al Gobierno la suspensión de la docencia en todo el sistema educativo nacional a causa de los altos índices de la covid-19 que se registran desde hace semanas en el país.

«Proponemos al ministro de Educación (Roberto Fulcar) finalizar el año escolar el día 30 de junio y dedicarse de inmediato a garantizar las condiciones indispensables para el próximo curso», dijo en rueda de prensa el expresidente del colectivo Eduardo Hidalgo, acompañado por varios miembros de las seccionales del Gran Santo Domingo.

Según denunció, «se obliga a los maestros a asistir a los centros educativos aún con la grave situación sanitaria que atraviesa el país» donde ya se detectaron «cuatro nuevas cepas del covid-19».

A su entender, el gremio ha sido coherente al hacer un llamado al Consejo Nacional de Educación y al ministro de Educación, Roberto Fulcar, para pedir el cese de las clases, ya que continuar con la docencia sería «imprudente e inhumano».

Actualmente, la ocupación de camas para pacientes covid-19 es del 51 %, las unidades de cuidados intensivos (UCI) están al 77 % de su capacidad, con 462 camas ocupadas, mientras que los ventiladores en uso ascienden a 321, para un 66 % de la disponibilidad.

El Ministerio de Salud Pública notificó este lunes 906 nuevos contagios de covid-19 y un deceso a causa de la enfermedad, elevando a 301,984 el total de casos de coronavirus en el país y a 3,655 los fallecimientos.

Ante el aumento de casos, el Gobierno dispuso una jornada especial de inmunización contra la covid entre el jueves y el domingo, la cual permitió vacunar a 571,877 personas, de acuerdo con datos proporcionados por el presidente Luis Abinader en Twitter.EFE

Fuente e Imagen: https://acento.com.do/actualidad/profesores-sugieren-fin-de-las-clases-el-30-de-junio-8952250.html

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