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Réformer l’Ecole ? L’apport de l’éducation comparée.

Fuente EDU-COMP/ 18 de Abril de 2016

le 13ème colloque international de l’Association Française d’Education Comparée (AFDECE) : Réformer l’Ecole ? L’apport de l’éducation comparée. Hommage à Louis Porcher. Jeudi 27 et vendredi 28 octobre 2016

Université Paris Descartes Faculté des sciences humaines et sociales – Sorbonne 75006 PARIS

APPEL A COMMUNICATION Les thèmes de réflexion sont les suivants :

– Réformer l’éducation : finalités, modalités

– Réformes et partenaires de l’école

– Réformes et écoles primaires, collèges, lycées

– S’inspirer des réformes éducatives qui réussissent

– Donner le goût de la lecture

– Développer la curiosité intellectuelle à l’école

– Vivre heureux à l’école

– Développer l’esprit critique des élèves

– Mobiliser toutes les capacités de tous les élèves

– Réformer la formation des enseignants

– Eduquer à l’altérité

– La place des langues dans les réformes

– L’égalité des chances

– Les écoles différentes. Intégrer des propositions pédagogiques avérées dans les écoles « non différentes ».

– Tutorats, aides et soutiens

– Quelle culture numérique pour les jeunes?

 

Consignes aux auteurs Les propositions de communication devront parvenir à l’AFDECE exclusivement sous forme numérique au plus tard le 1er juin 2016. Le texte de la proposition ne devra pas dépasser 3000 signes. Devront figurer de façon lisible :

 Le titre de la communication

 Les nom et prénom de l’auteur

 Le rattachement institutionnel

 La fonction

 L’adresse postale

 L’email

La proposition s’inscrira dans l’une des thématiques proposées. Elle comportera de quatre à six mots clés ainsi qu’une courte bibliographie. Elle présentera la problématique de la recherche, la méthodologie retenue et les résultats essentiels. Elle sera adressée sous format Word à l’adresse suivante : info@afdece.com

Les réponses relatives aux communications acceptées seront envoyées pour le 1er juillet 2016. Les textes complets à publier seront à envoyer avant le colloque, au plus tard le 15 octobre 2016 (30 0000 signes maximum).

INFORMATIONS PRATIQUES Droits d’inscription Participants et communicants 90 € *Adhérents AFDECE Etudiants 50 € Les droits d’inscription couvrent la participation à l’ensemble des activités scientifiques, les pauses café, la réception de bienvenue et le recueil des résumés des communications. Ils doivent être impérativement versés à l’AFDECE avant le 15 juillet 2016. *cotisation 2016 à jour (cf. site de l’AFDECE : www.afdece.com) Bulletin d’inscription – Nom : – Prénom : – Institution : – Email : à envoyer à : AFDECE, 23, rue Gazan, 75014 Paris, France, accompagné du règlement par chèque, mandat postal ou virement sur le compte bancaire de l’AFDECE : Crédit agricole Ile de France Code banque: 18206, Code guichet: 00200 Numéro de compte: 48985584001, Clé RIB: 69 IBAN (International Bank Account Number): FR76 1820 6002 0048 9855 8400 169 BIC (Bank Identification Code): AGRIFRPP882 L’hébergement est à la charge du participant. Une liste d’hôtels situés à Paris, à proximité du lieu du colloque, sera disponible sur le site de l’AFDECE. Dates à retenir Propositions de communication : 1er juin 2016 Réponses aux propositions : 1er juillet 2016 Clôture des inscriptions 15 octobre 2016 Les Actes du colloque seront publiés chez L’Harmattan, dans la collection « Education comparée ». L’événement sera couvert par un montage audiovisuel sonorisé pour porter témoignage des différents moments du colloque.

Le colloque a pour but de s’interroger sur le bien-fondé des réformes éducatives qui sont proposées –ou imposées ?- à la société française. Celle-ci appelle de ses vœux une véritable réforme de l’École et de la formation des enseignants qui ne serait plus conjoncturelle mais qui se ferait avec tous les acteurs de l’École et dans l’intérêt de tous les élèves. Les réformes qui ont du sens et qui sont efficaces ne sont-elles pas conçues sur le long terme, avec la participation des différents acteurs de l’École, à l’instar de la réforme éducative finlandaise, par exemple ? Quelles finalités pour l’École ? Quels sont ses objectifs prioritaires ? Pour quelle société ? Quelles sont les valeurs qui doivent innerver notre société ? Et comment peut-on travailler sur ces valeurs à l’École ? Quels sont les niveaux du système éducatif qui doivent être revisités en priorité ? Que doit-on repenser ? Les contenus disciplinaires ? Les connaissances ? Les compétences ? L’organisation des enseignements ? Comment introduire plus de démocratie et de solidarité entre les élèves, futurs citoyens ? N’est-il pas urgent de penser un curriculum, de la maternelle à l’université, axé sur les concepts d’interculturel et d’altérité ? Il s’agit de réfléchir au développement personnel et collectif des élèves à tous les niveaux du système éducatif. Quel est le profil attendu au sortir de l’école primaire, du collège, du lycée ? Comment accompagner au mieux ces jeunes pour qu’ils se rapprochent le plus possible de ce profil et éviter les ruptures préjudiciables à leur formation ? Comment permettre à tous les enfants de développer leur curiosité intellectuelle, d’apprendre dans la joie, de développer leur esprit critique ? Faut-il développer le tutorat? Modifier la classe? Faut-il les aider à acquérir une culture numérique ? Quelle formation tout au long de la vie pour les enseignants ? Le cadre comparatiste établi par l’AFDECE, ainsi que la perspective interculturelle de ce 12ème colloque, offrent un terrain particulièrement propice à des échanges rigoureux et constructifs autour de notre thème. Ce thème a été choisi en hommage à Louis Porcher qui s’intéressait à l’École, sous toutes ses formes, de l’institution scolaire à « l’école parallèle », en France mais aussi en Europe et dans le monde. Sa carrière de chercheur a commencé à l’Université Paris Descartes.

Ce colloque concerne chercheurs, décideurs, formateurs et enseignants. MODALITÉS D’ORGANISATION 1. Des séances plénières, sous forme de conférences et de table ronde suivies de débats 2. Des communications en ateliers thématiques sous la forme de présentations individuelles effectuées sur la base de propositions de contributions acceptées par un comité scientifique. LES SEANCES PLENIERES : 1. Réformer l’école : Hommage à Louis Porcher 2. Les réformes en éducation en France 3. Des réformes éducatives réussies? 4. Approches de quelques réformes éducatives : Finlande, Shanghai 5. Réforme et formation des enseignants Responsables du colloque : Dominique Groux, AFDECE, Université des Antilles Gabriel Langouët, AFDECE, Université Paris Descartes COMITÉ D’ORGANISATION Georges-Louis Baron (Université Paris Descartes, France), Aurélie Beauné (Université Paris Descartes, France), Christelle PautyCombemorel (Université Paris Descartes, France), Dominique Groux (AFDECE, Université des Antilles, France), Bernard Jabin (AFDECE, MEN, Université Paris 7), Françoise Journe (AFDECE), Gabriel Langouët (AFDECE, Université Paris Descartes, France), Carla Massoud (AFDECE, Université Saint-Joseph, ICP), Emmanuelle Voulgre (Université Paris Descartes, France). COMITÉ SCIENTIFIQUE Rodica Ailincai (ESPE, Université de la Polynésie française), Christina Allemann-Ghionda (Université de Cologne, Allemagne), Fabrice Barthélémy (Université de Franche Comté, France), Liu Baocun (Institute of International and Comparative Education, Beijing Normal University, Beijing, Chine), Georges-Louis Baron (Université Paris Descartes, France), Houari Bellatreche (Université de Mostaganem, Algérie), Lahcen Benchama (CPR Inezgane-Agadir, Maroc, AFDECE), Nabila Benhouhou (ENS de Bouzaréah-Alger, Algérie), Guy Berger (Université de Paris 8, Hélène Bézille (Université Paris Est-Créteil, France), Catherine Blaya (Université de Nice Sophia Antipolis, France), France), Jacqueline Breugnot (Université KoblenzLaudau, Allemagne), Alain Brouté (Université autonome de Madrid, Espagne), Maria Cantisano (Centro de Estudios de Género, Institut Technologique de Saint-Domingue-INTEC, République dominicaine), Nicole Carignan (UQAM, Canada), Ahmed Chabchoub (Université de Tunis, Tunisie), Manuel Crespo (Université de Montréal, Canada), Fred Dervin (Université Helsinki, Finlande), Roger Establet (Université de Provence, France), Richard Etienne (Université de Montpellier, France), Christine Fontanini (Université de Nancy, France), Enrica Galazzi (Université catholique de Milan, Italie), Camilo Garcia (Université Veracruzana, Xalapa, Mexique), Luis Ma Naya Garmendia (Universidad del Pais Vasco, Communauté autonome basque, Espagne), François-Roger Gauthier (MEN-Université Paris Descartes, France), Carolina Gonçalves (Escola Superior de Educaçao Lisboa, Portugal), Dominique Groux (Université des Antilles, France), Elisabeth Guimbretière (Université Paris Diderot-Paris 7, France), Jean-Luc Gurtner (Université de Fribourg, Suisse), Charles Hadji (Université Pierre MendèsFrance, Grenoble 2), Siegfried Hanhardt (Université de Genève, Suisse), Jürgen Helmchen (Université de Münster, Allemagne), Marie-Anne Hugon (Université Paris-Ouest Nanterre La Défense, France), Bernard Hugonnier (OCDEIEP Paris, France), Yassine Jelmam (Ecole Nationale d’Ingénieurs, Tunis, Tunisie), Anne Jorro (Cnam-Crf, Paris, France), Pierre Kahn (Université de Caen Basse-Normandie, France), Gabriel Langouët (Université Paris Descartes, France), Joël Lebeaume (Université Paris Descartes, France), Claude Lelièvre (Université Paris Descartes, France), JeanNoël Luc (Université Paris 4 Sorbonne nouvelle, France), David Matheson (Université de Nottingham, Royaume-Uni), Emmanuelle Maître de Pembroke (Université Paris Est, France), Philippe Maubant (Université de Sherbrooke, Canada), Alain Michel (MEN, IEEPS, France), Christiane Montandon (Université Paris Est-Créteil, France), Nicole Mosconi (Université Paris-Ouest Nanterre La Défense, France), Marie J. Myers (Queen’s University, Kingston, Canada), Koh Nagano (Hokkaido University, Japon), Antonio Novoa (Université de Lisbonne, Portugal), Marcel Pariat (Université Paris Est-Créteil, France), Eric Plaisance (Université Paris Descartes, France), Sébastien Quenot (Université de Corse, France), Elisabeth Regnault (Université de Strasbourg, France), Patricia Remoussenard (Université de Lille 3, France), Rebecca Rogers (Université Paris Descartes, France), Val D. Rust (UCLA, Etats-Unis), Régine Sirota (Université Paris Descartes, France), Roger Somé (Université de Strasbourg, France), Alla Stepanyan (Université Lomonossov, Moscou, Russie), Francesco Susi (Université Roma 3, Italie), Danièle Trancart (Université de Rouen, France), Emmanuelle Voulgre (Université Paris Descartes, France), Annick Weil-Barais (Université Paris Descartes, France), Huiping Wen (Université des Antilles, France), Zacharie Zachariev (UNESCO).

INSCRIPTIONS Les inscriptions se feront exclusivement à l’adresse de l’AFDECE : info@afdece.com AFDECE, 23, rue Gazan, 75014 Paris, France

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Perú: Múltiples objetos para una educación en diversidad.

www.diariocorreo.pe/17-04-2016/ Por: Maria Claudia Medina

Textos y tecnología destacan para este año escolar. Los materiales educativos se adecúan a cada nivel en 19 lenguas originarias para llegar a más de 5 millones de niños en todo el país.

Cada libro, tarjeta o cubo que puede encontrarse en un salón de clases tiene una función didáctica que cumplir, y depende de cada profesor aprovechar estos elementos al máximo según cada edad y realidad. En ese sentido, Cecilia Ramírez Gamarra, directora de Educación Básica Regular del Ministerio de Educación, explica que estos materiales son recursos que pueden mejorar el aprendizaje, pero no son la solución a todo. “Es un conjunto de cosas que se tienen que dar y depende del profesor enfocar dónde están los aprendizajes y cómo hacer para llevar al niño o adolescente en esa dirección”, señala.

MODO DE USO. Son muchos los docentes que tienen a su cargo varios grados a la vez, y pensando en ellos existen materiales multigrado, con los cuales pueden monitorear varios niveles. La renovación de cada uno de estos materiales varía. “Los cuadernos de trabajo sí se entregan todos los años, pero los textos cada tres años y el material concreto, dependiendo del uso que se le ha dado, cada cuatro o cinco años”, precisa Ramírez.

Conforme se integran nuevos contenidos, los textos y separatas también cambian. Es el caso de la educación turística, que ya cuenta con material pedagógico de entrega periódica en todas las escuelas del país. A diferencia de otros años, esta vez se ha decidido implementar más bibliotecas desde inicial hasta secundaria.

MULTICULTURALIDAD. Este año se han distribuido también materiales educativos en 19 lenguas originarias para más de 20 mil escuelas de Educación Intercultural Bilingüe (EIB). Entre ellos se encuentran cuadernos de trabajo y textos de lectura de inicial y primaria, así como diccionarios, láminas y tarjetas pedagógicas para el aprendizaje de esta segunda lengua por parte de niños y maestros.

Algunas de estas lenguas son el quechua, aimara, awajún, asháninka, shawi, shipibo-konibo, yanesha, entre otros. Estos textos recogen realidades de diferentes regiones y no tienen que ver solamente con lo urbano o lo rural. “En los cuadernos de trabajo hay un esfuerzo de muchos años para traducirlos a las comunidades que no tienen por lengua materna el castellano”, comenta la funcionaria.

Quienes aún tienen inconvenientes con sus materiales son los niños con alguna discapacidad, ya que no todos los colegios cuentan con un kit básico para las discapacidades más comunes.

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Chile: Confirman suspensión de clases en tres regiones por sistema frontal.

www.radio.uchile.cl/17-04-2016/

Las actividades fueron suspendidas en 35 comunas de la región Metropolitana. También se tomaron medidas para establecimientos de la región de Valparaíso y O’Higgins.

El seremi de Educación de la región Metropolitana, Felipe Melo, confirmó este domingo que las clases fueron suspendidas para este lunes en 35 comunas de la región Metropolitana.

La medida afecta las 32 comunas de la provincia de Santiago, además de Puente Alto, San José de Maipo y San Bernardo. Las restantes 17 comunas de la región tienen actividades normales.

Respecto de las salas cunas y jardines infantiles, la autoridad explicó que “Junji e Integra y los establecimientos por vía de transferencia de fondo de los municipios también tendrán sus clases suspendidas durante el día de mañana si están dentro de estas 35 comunas”.
En cuanto a las instituciones de educación superior, señaló que “tienen autonomía para definir sus actividades. Sin embargo, los criterios son exactamente los mismos. Estos centros de estudios también son lugares de empleo, por lo tanto, aplican las normativas laborales. Tienen que mantener servicios higiénicos durante todo su horario de funcionamiento, tanto para los trabajadores como para sus alumnos”.

Las comunas en que se suspendieron las clases son las siguientes:

  • Cerrillos
  • Cerro Navia
  • Conchalí
  • El Bosque
  • Estación Central
  • Huechuraba
  • Independencia
  • La Cisterna
  • La Florida
  • La Granja
  • La Pintana
  • La Reina
  • Las Condes
  • Lo Barnechea
  • Lo Espejo
  • Lo Prado
  • Macul
  • Maipú
  • Ñuñoa
  • Pedro Aguirre Cerda
  • Peñalolén
  • Providencia
  • Pudahuel
  • Quilicura
  • Quinta Normal
  • Recoleta
  • Renca
  • San Joaquín
  • San Miguel
  • San Ramón
  • Vitacura
  • San Bernardo
  • Puente Alto
  • San José de Maipo

En Valparaíso, la seremi de Educación decidió suspender las clases en las comunas de Calle Larga, en la provincia de Los Andes, y en Algarrobo, El Quisco y El Tablo, en la provincia de San Antonio.

Esta suspensión se debe al corte de caminos y accesos, como así también al corte de agua en las comunas mencionadas, situación que no hace posible el funcionamiento de los establecimientos educacionales tanto municipales y particulares subvencionados, como también en jardines infantiles (Junji e Integra), asegurando así el resguardo de los estudiantes”, indicó el ministerio de Educación.

Al igual que en Santiago, las instituciones de educación superior deben determinar si se suman a la suspensión.

Finalmente, la intendencia de O’Higgins aclaró que las clases solo se han suspendido en el jardín infantil Manzanita de Coinco, por parte del ministerio de Educación.

“Cabe aclarar que las comunas de Graneros y Doñihue, por decisión de sus jefes comunales, suspendieron sus clases para mañana lunes 18 de abril, los que posteriormente se coordinarán con la Directora Provincial de Educación para efectuar calendario de recuperación”, añadió el ministerio.

Las autoridades analizarían la posibilidad de aumentar las suspensión en un comité de emergencia que se realizaría a las 17 horas.

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España: Piden aumentar las horas de Educación Física para enfrentar la obesidad infantil.

www.informe21.com/15-04-2016/

Una de las principales causas de la creciente ola de obesidad infantil que se ha venido extendiendo alrededor del mundo, es la cada vez mayor al sedentarismo entre los más jóvenes; para contrarrestar esta tendencia a “sentarse y no hacer nada”, se impone la necesidad de incentivar la práctica de actividades físicas, ya sea en el , el parque o la escuela. Tomando en cuenta que los niños pasan buena parte del en el colegio, es éste un escenario ideal para llevar a cabo dicha tarea. La Fundación Torres-Picón comenta sobre esta importante iniciativa tomada en Andalucía, España.

Un grupo de maestros interinos y aspirantes de Educación , acompañados por destacados deportistas de diversas disciplinas, acaban de presentar una iniciativa ante el Parlamento de Andalucía mediante el grupo Ciudadanos, en la cual solicitan a las autoridades de esa comunidad autónoma española que se incremente el número de horas que se dedican a la enseñanza de la Educación Física en los planteles educativos.

Señalan los proponentes que Andalucía es el territorio de España que registra los más altos niveles de obesidad infantil pero que, paradójicamente, es también una de las regiones de Europa en las cuales el número de horas semanales dedicadas a la educación física es menor, por lo que solicitan que las sesiones lectivas de esta materia se aumenten a cinco por semana.

Por su parte, el grupo Ciudadanos ha expresado a este respecto que el número de horas dedicadas actualmente a la Educación física y la información que se ofrece al estudiantado sobre la obesidad infantil “son insuficientes” por lo que, en apoyo a los docentes y deportistas que presentan esta propuesta, han elevado ante el Congreso de los Diputados una solicitud de debate sobre la obesidad infantil en la comisión de Educación, en la de Sanidad y en el pleno de la Cámara Baja, a fin de instar al Gobierno a efectuar una revisión del currículo escolar en lo tocante a la Educación Física en todas las etapas educativas.

“El Parlamento de Europa recomienda un mínimo de tres horas diarias en escuelas e institutos y en Andalucía se imparten sólo dos a la semana”, se señala en un video producido por los maestros con la colaboración de varios alumnos y que ha sido colocado en las redes sociales; en este material audiovisual, realizado en tono de humor y con referencias a Star Wars, se alternan declaraciones de figuras políticas con segmentos de noticias en las que se manifiesta el paralelismo entre el alto índice de obesidad infantil y el escaso número de horas dedicadas a la actividad física y al desarrollo psicomotor, las cuales incluyen los períodos de recreo.

En el mismo video se menciona la solicitud de que sean cubiertas las bajas de docentes especializados en Educación Física, requerimiento que es apoyado igualmente por los alumnos; éstos en el video declaran que “La Educación Física es salud, no juegues con ella”.

Así vemos cómo es posible tomar medidas e impulsar acciones preventivas de la obesidad desde muy variados grupos humanos y regiones en el mundo. Desde la Fundación Torres-Picón, celebramos el compromiso de la gente con los hábitos saludables, la cultura sana y el bienestar futuro de nuestros niños y jóvenes, señaló Pedro J. Torres, su presidente y vocero.

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España: «La visita de escolares a Cabo Noval fomenta el belicismo», dicen IU y Podemos

Segundo González y Lucía Montejo consideran «escandalosa la imagen de menores empuñando rifles del ejército y que se identifique al enemigo con pañuelos palestinos en un simulacro de combate»

Los grupos parlamentarios de Podemos en el Congreso y en el Parlamento asturiano registrarán en los próximos días preguntas dirigidas al ministro de Defensa en funciones, Pedro Morenés, y al consejero de Educación y Cultura del Principado, Genaro Alonso, respectivamente, para exigirles explicaciones respecto a lo ocurrido ayer en el acuartelamiento Cabo Noval, de Siero, donde se invitó a dos centenares de escolares pertenecientes a cinco colegios e institutos asturianos a empuñar armas de fuego y a subirse en vehículos de guerra, al tiempo que presenciaron un simulacro de combate en el que los enemigos yihadistas eran identificados con pañuelos palestinos. La diputada autonómica Lucía Montejo y el diputado estatal asturiano consideran «escandalosa la imagen de menores empuñando fusiles de asalto y no menos grave el hecho de que durante el simulacro que se organizó con motivo de la visita los militares que asumían el papel de enemigos lucieran pañuelos palestinos».

El parlamentario asturiano asegura que «no es de recibo que en unas instalaciones dependientes del Ministerio de Defensa se escenifique un ejercicio de combate en el que el objetivo sea ‘neutralizar’, usando lenguaje de guerra, a quienes llevan pañuelo palestino». Eso, añadió, supone «criminalizar, ante los ojos de un nutrido grupo de escolares, no sólo al pueblo palestino y a los pueblos árabes en su conjunto, sino también a cualquier persona que cuente entre su indumentaria con el pañuelo palestino, una prenda bastante habitual en nuestra sociedad».

Segundo González lamenta que el Gobierno del Partido Popular «haya boicoteado en su momento una asignatura como Educación para la Ciudadanía, con la que se pretendía afianzar en la comunidad educativa valores como el respeto a la diversidad y la solidaridad entre los pueblos y, por el contrario, consienta y aliente el adoctrinamiento militar de escolares en cuarteles y con armas de fuego». En su opinión, «crisis de refugiados como la que se está viviendo en torno a la guerra de Siria deberían hacernos entender la necesidad de educar a las generaciones más óvenes en la idea de que los conflictos armados y el uso de la violencia no son, en modo alguno, el camino para salvaguardar los derechos humanos ni la paz y el progreso de los pueblos».

Aunque Podemos considera obligado exigir responsabilidades al Ministerio de Defensa por lo que ocurre de puertas adentro de una instalación militar, Lucía Montejo no deja escapar la circunstancia de que «la Consejería de Educación también está obligada a dar explicaciones ante lo ocurrido». La diputada autonómica anuncia que el Grupo Parlamentario de Podemos Asturies registrará en la Junta una pregunta con carácter urgente «dirigida al consejero Genaro Alonso para que dé las explicaciones pertinentes sobre estos hechos, que nos parecen graves. No entendemos qué puede haber de educativo en incentivar a escolares para el uso de armas letales ni en la identificación del pañuelo palestino con terroristas yihadistas, como se hizo en la simulación de guerra del pasado viernes en Cabo Noval. Hechos así no deberían volver a producirse».

Fuante: https://asturias.podemos.info/podemos-pedira-explicaciones-en-el-congreso-y-en-la-junta-sobre-el-adoctrinamiento-de-escolares-con-armas-de-fuego-en-cabo-noval/

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Oracle refuerza la educación en ciencias informáticas en EEUU

www.analitica.com/17-04-2016/

Durante la Feria de las Ciencias de la Casa Blanca  2016, Oracle y la Casa Blanca anunciaron un plan de inversión de la compañía de $200 millones de dólares en apoyo directo e indirecto a la educación  en Ciencias Informáticas durante los próximos 18 meses en Estados Unidos. Este nuevo objetivo, del nuevo programa del Departamento de Gobierno del país, Computer Science for All. Es parte del plan anual de inversión de la compañía de $3.3 billones de dólares para empoderar a profesores de Ciencias Informáticas e incluir a una gran diversidad de estudiantes a nivel global. Este compromiso espera alcanzar más de 232,000 estudiantes en más de 1,100 instituciones en Estados Unidos, a través de Oracle Academy, el programa filantrópico  orientado a Ciencias Informáticas el cual impactará a más de 2.6 millones de estudiantes en 106 países.

En 2015, únicamente el 2% de los participantes del programa College Board’s AP tomaban clases referentes a Ciencias Informáticas y tan solo 22% de esos estudiantes eran mujeres.

Sin embargo, la cantidad de empleos en programación incrementan en un 50%  cada año con respecto a otras áreas, de acuerdo a un estudio elaborado por Oracle Academy y Burning Glass Technologies, compañía dedicada al análisis de datos del mercado laboral.. El estudio, que  analizó e interpretó datos en tiempo real de millones de vacantes de trabajo en línea provenientes de 40,000 fuentes, reveló que existe una gran demanda de expertos en Ciencias Informáticas, programación y código, que es creciente y más allá del espectro de trabajos en el departamento de TI.

“En nuestras investigaciones más recientes hemos descubierto que el acceso a la educación en Ciencias Informáticas en Estados Unidos es un problema tanto económico como social. Más aún, los resultados nos ayudan a cuantificar y contextualizar la necesidad de expandir las Ciencias Informáticas a todos los estudiantes sin importar su raza, género o situación socio-económica”, manifestó Alison Derbenwick Miller, Vicepresidente de Oracle Academy. “Hemos estado trabajando en la educación de Ciencias Informáticas avanzadas a nivel global por más de dos décadas, y el compromiso que Oracle Academy asume hoy nos lleva al próximo escalón de nuestra travesía. Es un honor formar parte de esta misión colaborativa, liderada por la Casa Blanca. El potencial de Computer Science for All para cambiar la vida de nuestros hijos y el futuro de nuestra nación es increíble”.

Como parte del anuncio de la Casa Blanca, Oracle Academy ofrecerá de forma gratuita planes de estudio, programas de desarrollo para profesores, software, programas de certificación, entre otros. Adicionalmente, Oracle trabajará con escuelas K-12, universidades públicas y privadas que apoyen el camino del acceso a la educación de Ciencias Informáticas en nuevas y significativas maneras, que incluyen:

  • Entrenar a más profesores en Ciencias Informáticas: Duplicar la cantidad de maestros entrenados por Oracle Academy en el año escolar 2016-2017.
  • Acceso gratuito a Oracle Software: Ofrecer a estudiantes la experiencia de talleres práctivo a través de licencias de software gratuitas en una gran variedad de productos Oracle.
  • Alcance a poblaciones poco representadas: Comprometidos en invertir más de $3 millones de dólares en organizaciones sin fines de lucro enfocadas en brindar oportunidades a chicas adolescentes e impulsar a estudiantes de escasos recursos a conseguir sus licenciaturas en STEM y Ciencias Informáticas.
  • Lanzamiento de cursos en áreas emergentes en el área de Ciencias Informáticas: Inclusión de boot camps especializados en Cloud en el año académico 2016 y expandiendo el acceso a Oracle Academy Big Data Science boot camps.
  • Enlazar profesionales de la innovación con educadores y estudiantes: Planes de construcción para tech, una nueva e innovadora escuela secundaria ubicada en la sede de Oracle en California.
  • Unificar esfuerzos para que Ciencias Informáticas sean materias con créditos: Expandir políticas y generar alianzas tanto con compañías como con organizaciones sin fines de lucro con el objetivo de que los 50 estados incluyan a Ciencias Informáticas en sus programas de créditos en escuelas K-12.
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México: Centro infantil se apoya en perros para lograr rehabilitaciones

En el Estado de México se encuentra el único lugar público de América Latina en donde rescatan a los canes para dar tratamiento a niños enfermos, maltratados o abandonados

17/04/2016 05:53 CLAUDIA SOLERA / Excelsior

1427330Willy (derecha) es un perro rescatado por la asociación civil ACUMI. Está entrenado para obedecer órdenes básicas Este animal ha ayudado a la terapia de Darío (centro), un niño de diez años, quien antes de conocer a Willy, no soportaba la presencia de los animales.

A Luci la rescataron cuando era una cachorra en un refugio canino hace siete años, pero su misión iría mucho más lejos que ser sólo compañía de una familia. Esta perrita ha aprendido 50 diferentes trucos para que, a través de estos, puedan volver más efectivas las terapias físicas y sicológicas de niños enfermos de cáncer, con alguna discapacidad o víctimas de maltrato y abuso que viven en albergues públicos del Estado de México.

«Hay casos de niños con daños tan severos, como parálisis cerebral, que ni siquiera pueden sostener su cabecita, y el simple hecho de ponerlos en contacto con un perrito los motiva para que al menos intenten agarrar o sujetarse a él, cosas que no se conseguirían con una pelota de fitness. Ellos están interactuando, sintiendo el calor y la respiración del animal», comentó Rafael Cano Torres, etólogo y doctor en veterinaria reproductiva de la Universidad Autónoma del Estado de México (UAEM).

Luci vive en un lugar que es único en todo Latinoamérica. Es una de los 84 perros que serán protagonistas del Centro Infantil de Rehabilitación con Asistencia Canina (CIRAC), inaugurado hace menos de dos meses en Toluca por el gobernador del Estado de México, Eruviel Ávila, y el rector de la UAEM, Jorge Olvera García.

Las historias de éxito de las terapias asistidas por animales van desde algunas muy famosas como la de Sigmund Freud —el padre del sicoanálisis y de la sicología moderna— con su perrita chow chow, llamada Jofi.

El neurólogo austriaco descubrió que la presencia de la mascota en su consultorio era útil para que el paciente se animara, se relajara y se sintiera más confiado, y funcionaba aún más si se trataba de algún niño o adolescente. Otras historias poco conocidas han ocurrido en albergues del Sistema para el Desarrollo Integral de la Familia (DIF) del Estado de México.

Dinámicas y empatía

Fidela Falcón Vega y Adrián Escandón son educadores y sicoterapeutas desde hace 40 años. Ahora asesoran a personal del CIRAC. Durante su larga trayectoria la pareja no sólo ha tenido en las aulas de su escuela, llamada La Granjita, a los propios hijos del presidente de México, Enrique Peña Nieto, cuando estaban en el jardín de niños, sino que hasta lograron introducir la canoterapia en dos albergues del DIF en Toluca: Villa Hogar y Mónica Pretelini.

La dinámica en los centros del DIF estaba enfocada en crear empatía entre los niños y los perritos, así que los terapeutas, además de presentar a las mascotas por sus nombres, les ordenaban mostrar a los pequeños sus mejores trucos; luego Fidela y Adrián narraban un cuento, en el que los animales eran protagonistas de conflictivas historias que fueran similares a las que en su corta vida hubiera podido sufrir los menores, como violencia, maltrato o abandono.

Al final, a través de la creatividad, los niños debían plasmar en un dibujo sus sentimientos generados a lo largo de ese día.

Las primeras ilustraciones que surgieron de esta dinámica casi siempre estaban cargadas de agresividad. Por ejemplo, un niño, quien firmó como “Jenrrí”, trazó un perro ensangrentado y atravesado por un serrucho con la siguiente leyenda: «Perro callejero, llamado Dálmata, y matado por persona delincuente».

Las Terapias caninas facilitan adopciones

«Ese ambiente amable y de aceptación que les ofrecían los perros, les ayudaba a los niños a descargar esas pulsiones negativas que no habían podido desahogar, porque estos animales, además de ser cariñosos, no los juzgaban ni los dañaban como lo habían hecho los adultos. Las mascotas se convirtieron en sus mejores aliados», aseguró Fidela Falcón.

Con los meses de constantes visitas —continuó—, los pequeños comenzaron a cambiar los colores usados en sus dibujos, de sombríos a vívidos, dejaron de trazar armas o suicidios por corazones. Lo mejor vino después: los niños modificaron su actitud, lo que se reflejó en el incremento de las adopciones.

«Había una pausa en la adopción, pues los niños tenían demasiada resistencia hacia los adultos. Cada vez que los posibles adoptadores llegaban a visitarlos al DIF se quedaban en los rincones; eran agresivos. Para nuestra sorpresa, al año siguiente de estar yendo con los perros, el índice de adopciones se había incrementado casi en 50%, pues ya los recibían con mejor cara, con mejor ánimo», comentó el terapeuta Adrián.

Campus perruno

Con esos antecedentes se creó el CIRAC en el Campus del Rosedal, con una inversión de 10.5 millones de pesos. La Facultad de Medicina Veterinaria y Zootecnia de la UAEM es la encargada de operarlo.

Hasta este momento el proyecto ha cubierto la primera de cuatro etapas. Ya están listos los 84 habitáculos donde vivirán los perritos, y las oficinas administrativas, pero faltan las salas de terapia, consultorios, quirófanos veterinarios y áreas de adiestramiento canino al
aire libre.

En esta primera etapa, Rafael Cano Torres, director general de CIRAC, está concentrando en la preparación y selección de capital humano y de perros.

Entre el personal que el centro requiere están sicólogos, sicoterapeutas, fisioterapeutas, trabajadores sociales, veterinarios y etólogos.

Selección animal

Cano Torres explicó que está recurriendo a Centros de Control Canino del Estado de México y a sociedades protectoras de animales para rescatar a los perros que formarán parte del equipo. Sin embargo, la selección es en una compleja misión.

«Se trata de darle una segunda oportunidad a los perritos que han estado en abandono y/o maltrato, pero no podemos aceptar a cualquier animal, por cuestiones de bioseguridad. Si llega un perrito enfermo y nos contagia a los que ya llevamos mucho tiempo entrenando, perderíamos un recurso muy valioso.

“Tampoco podemos poner en riesgo a los niños con los que van a trabajar, porque muchos padecen cáncer y tienen el sistema inmunológico bajo”, detalló Rafael Cano.

Luci ya logró superar todos los filtros para ser parte del equipo. Entre los 50 trucos que aprendió está el quedarse totalmente inmóvil por largos periodos hasta que un niño con alguna discapacidad logre colocarle un aro en su cabeza. Esta perrita, sin duda, pasará a la historia como una de las pioneras en terapia asistida en México, en el sector público.

Asociación rescata a perros que salvarán a familias

Hay perros rescatados de albergues como Willy, Misha y Odín, que simplemente llegaron a cambiar la vida de sus amos. A Rafael, por ejemplo, antes de que Misha se convirtiera en su compañero, cuando la gente lo conocía veía a un niño con discapacidad, pero ahora que lo observan jugando a lado de su mascota, sólo perciben a un niño y a su perro, relata Nelly Goldberg, la mamá de este pequeño.

Hasta hoy suman 13 perros rescatados, seleccionados y rehabilitados por la asociación civil ACUMI, que ya fueron entregados en adopción a familias con algún miembro perteneciente a un grupo vulnerable, como niños con discapacidad o personas de la tercera edad.

Su mejor amigo: la medicina de Darío

Willy estuvo encerrado en la jaula de un albergue por más de dos años, desde que nació hasta que por fin se convirtió en el compañero de Darío, un niño de diez años con autismo.

Desde el momento en que se conocieron hubo una química entre ambos. Darío, que le temía a los perros y detestaba el contacto con los animales, extrañamente se le acercó y acarició su pelaje, pero ese contacto no terminó ahí, sino que además se tiró en el pasto para jugar con él.

«Para nosotros eso ya era algo muy bueno para Darío, porque antes de conocer a Willy evitaba el contacto con personas y animales. El tocar a los perros lo ponía nervioso. Yo les diría que es algo maravilloso y una gran bendición que haya llegado a nuestra familia», comentó Nancy Calderón, mamá de Darío.

Desde que Willy llegó a la vida de esta familia hace casi dos años, los avances de Darío han sido evidentes, se ha vuelto más tolerante, paciente y ha comenzado a socializar con las personas. Ya permite en las consultas, por ejemplo, que los doctores lo revisen sin tener que sujetarlo por la fuerza como había que hacerlo, y ha vencido la resistencia a tocar texturas como el pasto o la tierra.

La rehabilitación de odín tras un ataque

«Lo que hacemos es rescatar a perros en desventaja, que buscan una familia, como Odín, que perdió un ojito durante el ataque de una persona. Ahora estamos trabajando con él, no sólo para tratar de cambiar la vida de horror que sufrió, sino para lograr que además de ser un perro feliz también ayude a una familia. Tenemos una historia de un señor mayor que estaba solo, y adoptó a un perrito, que se convirtió en su compañía y también en el motivo para seguir saliendo a la calle a pasear. La calidad de vida de este hombre mejoró profundamente desde que tiene a una mascota en su casa», argumentó Mijal Tawil, socia de ACUMI.

De la selección de los perros, uno de los encargados es el médico veterinario y etólogo de la UNAM, Roberto Ruiz. Entre el perfil que buscan en albergues de la Ciudad de México para poder integrarlos al equipo ACUMI, es que tengan un temperamento sociable, tolerante, inteligente, afectuoso y amable.

«El rehabilitarlos les da la oportunidad de integrarlos a una familia, porque como nosotros, son una especie que necesita pertenecer a un grupo para sobrevivir. Mientras que a los niños con alguna discapacidad, el hecho de que puedan tener un animal a su cargo, les da un valor a ellos mismos, de sentirse útiles y aumenta su autoestima», explicó Roberto Ruiz.

El entrenamiento del “perro ACUMI” consiste en que obedezcan comandos básicos como sentarse, echarse, venir y estar quieto, pero también habituarlo a la manipulación física simulando la que puede encontrar con sus futuros amos: abrazos, jaloneos y besos.

Para acostumbrar a los perros a la manipulación física, algunos viernes del mes tienen pactada una cita con jóvenes que tienen síndrome de Down, integrantes de la organización civil Daunis. Perros como Odín ayudan a estas personas a perder temor y a empoderarlos, “se vuelven los responsables del cuidado de un ser vivo”, dijo Jorge Óscar Pérez, gerente de Daunis. Odín, tras el ataque en el que perdió un ojo, encabeza la lista de perros ACUMI que llegará a cambiar la vida a una familia.

Fuente de la noticia: http://www.excelsior.com.mx/nacional/2016/04/17/1087033#imagen-2

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