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Francia: La francofonía sindical se moviliza por una educación pública, gratuita y de calidad para todos y todas

Europa/Francia/ 15 de noviembre de 2016/Fuente: ei-ie.org

El Comité Sindical Francófono de la Educación y la Formación celebra su XV Encuentro donde los sindicatos francófonos compartirán experiencias sobre temas como los derechos sindicales, la precariedad de los docentes, el rendimiento de los sistemas educativos o la financiación privada de la educación.

Diversas mesas redondas organizadas durante este evento abordarán retos importantes, incluyendo: ¿Cómo garantizar que todos tengan acceso a una educación de calidad, en pie de igualdad, y promover las posibilidades de aprendizaje a lo largo de toda la vida? Financiación para lograr los Objetivos de Desarrollo Sostenible (ODS) – ¿Abdican los Gobiernos de sus responsabilidades en beneficio del sector privado?; o ¿Cómo salir de la precariedad en la educación?

Los/las participantes tendrán ocasión asimismo de participar en talleres sobre los siguientes temas: derechos sindicales; protección social; salud y seguridad en el trabajo y condiciones de trabajo; representatividad sindical y las elecciones profesionales.

“Este Encuentro brindará la ocasión, a pocos días de la Cumbre de la Francofonía, para sensibilizar a los jefes de Estado y de Gobierno sobre la importancia de la educación en los países francófonos”, indicó el Secretario General del CSFEF, Luc Allaire, añadiendo que el CSFEF le había hecho llegar una Declaración que deja patente la movilización de la francofonía sindical por una educación pública, gratuita y de calidad para todos y todas.

Esta movilización, advirtió, será necesaria para que los países francófonos puedan alcanzar los ODS adoptados por las Naciones Unidas, y en particular el objetivo 4 sobre educación, que aspira a “garantizar una educación inclusiva, equitativa y de calidad y promover oportunidades de aprendizaje durante toda la vida para todos”.

La declaración del CSFEF con vistas a la Cumbre de la Francofonía que se celebrará los días 26 y 27 de noviembre de 2016, recomienda a las autoridades públicas de los Estados francófonos, entre otras cosas: hacer lo posible para que todas las niñas y todos los niños terminen los ciclos de la enseñanza primaria y secundaria, que ha de ser gratuita, equitativa y de calidad; velar por que todas las niñas y todos los niños tengan acceso a servicios de atención y desarrollo en la primera infancia; permitir a todos los niños y todas las niñas tener acceso a una enseñanza preescolar de calidad; construir infraestructuras escolares adaptadas y bien equipadas (laboratorios, bibliotecas, ordenadores) y garantizar la formación del personal docente en TIC; establecer un auténtico diálogo social y respetar los compromisos contraídos; consultar imperativamente al personal docente antes y en el transcurso de todas las etapas de cualquier reforma; y aumentar los presupuestos consagrados a la educación y la proporción del presupuesto general que se destina a la educación.

El Encuentro permitirá asimismo trazar las grandes líneas de acción para los próximos dos años para el CSFEF, organización internacional no gubernamental reconocida por la Organización Internacional de la Francofonía.

Fuente: https://www.ei-ie.org/spa/news/news_details/4173

 

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Un an après : comment parler des attentats aux plus jeunes ?

Europa/Francia/Noviembre 2016/Noticias/http://theconversation.com/

Trouver les mots justes ? Changer les codes ?

Les élections aux USA n’ont pas grand chose en commun avec les événements terroristes à Paris, et pourtant… ils laissent sans voix, sidérés. Et l’on se demande comment parler aux jeunes générations de la société qui se dessine pour leur avenir. Derrière la peur ou la panique qui saisit, derrière les déclarations fracassantes relayées par la presse, il y a des valeurs qui ont pris le large, que l’on n’a plus assez dites et contextualisées dans le quotidien, qui deviennent l’occasion de contradictions et laissent place aux individualismes.

Avant de « trouver les mots justes », l’école doit réinterroger le sens et réinventer les mots eux-mêmes, au nom de la liberté : « sur les murs de l’école, j’écris ton nom, Liberté ». Et puis, finalement, l’école ne devrait-elle pas changer ses codes, réviser les rôles en donnant une place davantage proactive aux élèves, à tous les élèves dans le respect de l’inclusion ? Les « mots justes », s’ils existent, se diront ensemble.

Les enfants d’aujourd’hui doivent apprendre à vivre dans le fluide, les incertitudes, ce qui rend encore plus nécessaire le recours à leurs bases, à des valeurs éducatives et citoyennes que les enseignants comme les familles devraient aider à construire dans une cohérence concertée.

(Un an après la première publication du texte ci-dessous, le dessinateur Rémi Malingrey a porté un regard graphique et personnel sur cet article)


16 novembre 2015

Après les attentats, l’école a repris, les classes ouvrent de nouveau et le deuil national de 3 jours est encore présent. Comment parler aux enfants, aux élèves et aux étudiants, à nos jeunes ? Durant tout le week-end se sont déroulés des rassemblements spontanés, des bougies ont été allumées. Sur le sol, on a écrit « Pour eux » avec la date. Mais comment les jeunes peuvent-ils comprendre ?

Plusieurs enseignantes venant de niveaux de classes et de disciplines diverses ont réfléchi et ont partagé avec nous les différentes actions qu’elles vont mener, sans penser qu’il s’agisse pour autant de modèles.

Nous sommes toutes démunis devant l’horreur, chacune va contribuer à sa manière, aucune ne recule. Toutes affichent qu’il est possible de faire quelque chose avec les enfants dès le plus jeune âge, les jeunes et les étudiants. Aucun silence ne répondra pour elles à l’agression du 13 novembre à Paris.

Des questions chez les enseignants

Annabelle, enseignante en collège, écrit : « C’est sûr, les professeurs de français se sentent concernés et s’interrogent !… Faut-il parler des attentats, comment en parler, sommes-nous légitimes en faisant cela, ne va-t-on pas faire plus de mal que de bien, comment gérer des réactions extrêmes ou inacceptables éventuelles de la part de certains élèves ? Si on ouvre l’espace de parole, il faut sans doute accepter de tout entendre (on l’a vu au mois de janvier). Comment réagir alors ? L’institution nous demande de signaler tout dérapage… Est-ce la bonne façon de gérer tout cela ? Les élèves vont-ils en parler à chaque heure de cours (dans ce cas, ça perd de son intérêt si on a la classe l’après-midi) ?

Et puis, j’ai conscience qu’en parler veut dire être capable de gérer toutes les remarques en restant professionnel, digne, fort, solide, pour aider les élèves, mais … je me sens au bord des larmes, fragile. J’en ai parlé avec ma fille qui est revenue du lycée samedi midi. Je lui ai demandé si elle avait parlé des attentats en classe, elle m’a répondu « Non, les profs, ils s’en foutent, ils ont dit qu’on avait autre chose à faire ». J’ai compris ce qu’ils avaient voulu dire avec maladresse, mais ça m’a fait mal. Je pense qu’en dehors de l’ampleur du nombre de victimes, il s’agit essentiellement de jeunes, agressés dans des moments de loisir, donc nos élèves se sentent vraiment concernés. Je crois que c’est sur ça que je voudrais d’abord les faire réfléchir. Quels étaient les lieux visés, pourquoi, en quoi c’est une atteinte à la liberté, qu’est-ce que ça veut dire la tolérance… ».

Ainsi, la liste de diffusion de Weblettres, le site associatif des professeurs de lettres, se fait l’écho des questions qui agitent les enseignants de français. Comment retrouver une place de guide lorsque le drame nous submerge ? Le site livre des pistes pour tous ceux qui se sentent démunis, mais ne veulent pas fuir. Les valeurs d’humanisme, la liberté, la culture, c’est tous ensemble dans la classe. Il s’agit de (re)créer la communauté et de la faire vivre.

Le besoin de rassurer

Monique, directrice d’école primaire dit : « En arrivant à l’école, je vais entendre mes collègues, voir comment nous allons procéder pour cette minute de silence, rassurer les élèves. Il s’agira pour nous dans un premier temps, d’accueillir les paroles des élèves, mettre des mots sur les ressentis, rester factuel, ne pas interpréter. »

Certains élèves ne comprennent pas ce qui se passe. Le « même pas peur » des adultes leur est étranger, ils balayent la réalité d’un revers de manche, s’enferment dans des postures de repli. Que faire ? Nombre d’entre eux sont aussi touchés par la peur qu’ils sentent malgré tout dans l’attitude des adultes.

Et certains se sentent stigmatisés, en danger peut-être… Il faut rassurer la jeunesse, ne pas laisser libre cours à cette ambiance.

Dany, enseignante en primaire, a décidé de mettre en place des activités autour de symboles : la paix, le vivre ensemble, par des activités de coopération positive et non de conflit ou de compétition. Elle a choisi des tâches développant les compétences sociales, des activités et des jeux pour se respecter, s’écouter, négocier ensemble.

Dans ces jeux, on poursuit un objectif commun, personne ne gagne ou ne perd seul et l’on découvre que c’est plus facile de perdre ensemble ou que l’on a bien plus de plaisir à résoudre collectivement un défi que seul (ex. le jeu allemand Tempo kleine Schnecke de Ravensburger, les jeux de plateaux, La ronde des oies, Le bal masqué des coccinelles). Ou encore on coopère pour atteindre un but ensemble, comme avec les jeux de rôles collectifs où chaque enfant est impliqué et apporte sa pierre à l’édifice (construire ensemble, faire une valise qu’un animal défait, etc.).

Selon le site non-violence actualité, « le développement des compétences psychosociales telles que la négociation, la résolution de conflits, la pensée créatrice, la capacité à prendre des décisions, à faire face aux évènements, les relations interpersonnelles et la communication, sont des éléments importants pour permettre un mieux-être individuel et collectif. Les recherches conduisent aux mêmes conclusions pour ce qui concerne la prévention des violences. Les phénomènes de violence résultent souvent d’une absence de parole ».

Dans ces jeux, le plaisir est présent et fondement de l’acte d’apprendre ensemble et de résoudre des problèmes en groupe.

Le besoin d’échanger et de partager

Carole, une enseignante de grande section, a opté pour accrocher un grand drap blanc dans la classe, sur lequel en arrivant à l’école les enfants ont dessiné avec de gros feutres de couleur ce qu’ils ont entendu, ressenti, vu durant ce week-end. Ensuite, assis en cercle, ils en ont discuté ensemble. Certains ne disaient rien, mais tous avaient dessiné. La parole ne libère pas toujours, surtout chez les très jeunes enfants. Mettre des mots sur l’indicible, s’apercevoir que les mots ne suffisent pas toujours.

Dans cette classe, il y a une forte proportion d’enfants dont le français n’est pas la langue de la maison. On a alors particulièrement pris en compte leurs dessins. Et expliqué ensuite les événements pour mettre des mots sur les faits, pour comprendre : « C’est quoi un attentat ? Tu as peur d’aller à l’école, toi ? Papa et maman ont éteint la TV ce week-end ; pourquoi ? »

Pour Carole, comme pour beaucoup d’autres enseignants, le temps de s’exprimer est primordial, mais aussi et avant tout le temps d’écouter les angoisses et les questions des jeunes. Ensuite, les élèves ont fait une ronde en écoutant des musiques du monde. Ensemble, par la musique et la danse, ils ont combattu les démons. L’art et le corps au service de la paix.

En primaire, et dans un second temps, une enseignante prévoit de mettre en place des débats réglés et d’organiser des ateliers philo. Une autre ne sait que faire, alors elle utilise le dossier d’Astrapi. Chacun sa solution, mais ne pas laisser le silence et l’ignorance s’installer…

Fatma, enseignante d’anglais en collège, s’exprime en anglais pour en parler :

1 : Listen
2 : Share
3 : Draw conclusions that have never been put foward !

My option will be a constructive approach :
1 : The lessons in the next few weeks will be focussed on the future :
2 : These lessons will be followed up by a conditionnal tense : to promote a creative sence of a future.

Le besoin de recourir à nos fondements culturels

Dans la classe de Valérie, les élèves vont relire des textes littéraires. Ils verront qu’à diverses époques, Céline (Voyage au bout de la nuit) ou Camus (« Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse »), tout comme bien d’autres grands penseurs, ont aussi contribué aux questions d’aujourd’hui.

Plusieurs enseignants de français soulignent l’importance d’expliquer l’Humanisme et les Lumières. Weblettres propose un choix de textes sous le titre « Notre arme à nous, c’est la culture ». Dans la classe de Nathalie, c’est le cinéma qui va aider les élèves avec le point de vue suivant : « Je veux leur montrer, comme prévu, cet extrait de La Nuit américaine de Truffaut.

Le besoin de s’inscrire dans la durée

A la fin de la matinée en maternelle, les enfants de la classe de Carole ont décidé d’écrire à d’autres enfants du 11e arrondissement dont on leur avait parlé il y a quelques temps.

Et puis il y a le danger des rumeurs qui font et défont les croyances avec davantage d’impact que le travail dans la durée parfois. Alors par exemple, on utilisera au second degré des articles parus sur les sites de presse.

Chez Monique, la directrice d’école primaire, c’est aussi dans la durée que l’on va s’inscrire. Pas seulement en agissant les premiers jours, mais en proposant des activités hebdomadaires pour développer le sens de l’autre et du respect.

Elle s’appuie sur les travaux de Serge Tisseron et notamment sur le jeu des 3F (le jeu des trois figures). Serge Tisseron est psychiatre, et chercheur associé à l’université Paris 7. Les avis des psychiatres, leur aide est nécessaire pour les enseignants démunis. Ici, les 3F ce sont les trois figures de l’agresseur, de la victime et du tiers. Dans un jeu de rôle sur un thème inventé, les élèves vont alternativement jouer chacun des trois rôles et les discuter ensuite.

Ce travail de recherche a servi notamment pour évacuer la violence devant les écrans de TV. Monique va le reprendre et d’adapter à la situation présente. Ces activités se dérouleront chaque semaine durant un mois.

D’autres envisagent des expositions sur la paix, la tolérance, construites par plusieurs classes et réunies dans le hall d’accueil de l’établissement. Les enseignantes (dont les noms ont été modifiés) qui nous ont soumis leurs suggestions sont des femmes de tous les jours, avec des doutes et leurs propres peurs.

Mais elles ont partagé pour que ne s’installe pas la barbarie.

Fuente:

http://theconversation.com/un-an-apres-comment-parler-des-attentats-aux-plus-jeunes-50807

Fuente imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/ljQvgC1zmLoPDjLGW9DfJS-uZWGfnj3L8iMFp1U8CNTzClqOCkGKv3H1AnKwhDYe6qato3o=s85

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Película: Los Coristas Frank

Reseña:

“El niño no es una botella que hay que llenar sino un fuego que es preciso encender”

 

En Les Choristes (2004) de Christophe Barratier la trama se desarrolla en Francia, en el año 1949, en un «orfanato – reformatorio» de la posguerra. Los alumnos, que tienen entre 8 y 13 años, concurren echados de otros establecimientos de enseñanza, se encuentran en el límite del sistema educativo.

Los Coristas está basada en un hecho real ocurrido inmediatamente después de la II Guerra Mundial, en que un maestro se empeña en crear un coro en un internado para niños abandonados o con problemas de conducta.

Clément Mathieu (Gérard Jugnot) es un profesor de música desempleado, que ha sido contratado como preceptor y maestro en un instituto correccional de menores, donde a través de ineficaces y represivas políticas, su director Rachin (Francois Berléand) intenta con dificultad mantener disciplinados a estos «alumnos problema».

La película nos ofrece el relato del educador, sus objetivos, sus propósitos, sus miedos y ansiedades. Pero nada nos dice de la perspectiva de los niños. Hace muchos años leí un libro de Peter Høeg, un escritor danés, que nos cuenta la perspectiva de tres niños -Peter, Katarina y August- encerrados en un reformatorio. Creo que ambos textos podrían ser leídos de manera complementaria. Los invito en este escrito a la suplementación del film con el texto literario, para escuchar las voces, no sólo del maestro sino también de los alumnos.

Link: https://www.youtube.com/watch?v=iOLVfhGewnw

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France inks MoU to offer 200 scholarships to unprivileged Pakistani students

Europa/Francia/Noviembre de 2016/Autor: Parvez Jabri/Fuente: Brecorder

RESUMEN: Francia y Pakistán han firmado un memorando de entendimiento (MoU) que ofrece 200 becas basadas en las necesidades de los estudiantes pakistaníes no privilegiados en varios temas para promover la cooperación educativa entre los dos países. El MOU fue firmado por el Embajador de Francia en Pakistán Martine Dorance y el Presidente de la Comisión Superior de Educación (HEC), Dr. Mukhtar Ahmed, en una simple ceremonia aquí en la residencia del enviado francés el viernes. Las becas estarán disponibles a partir del próximo año. La embajadora de Francia, en sus declaraciones en la ocasión, dijo que el Memorando de Entendimiento reforzará los puentes entre las dos personas. La educación superior fue uno de los pilares de la cooperación Pak-Francesa y el Memorando de Entendimiento firmado hoy daría becas a aquellos estudiantes que no tuvieran medios suficientes para continuar su educación.

France and Pakistan have inked a memorandum of understanding (MoU) offering 200 needs-based scholarships to the unprivileged Pakistani students in various subjects for promoting educational cooperation between the two countries.

The MOU was signed by French Ambassador to Pakistan Martine Dorance and Higher Educational Commission (HEC) Chairman Dr Mukhtar Ahmed in a simple ceremony here at the residence of French envoy late Friday. The scholarships would be available from next year.

The French ambassador, in her remarks on the occasion, said the MoU would further cement bridges between the two people. Higher education was one of the pillars of Pak-French cooperation and the MOU, signed today, would give scholarships to those students, who did not have sufficient means, to continue their education.

Later, the envoy hosted the annual dinner in honour of Pakistan-France Alumni Network (PFAN). In her remarks on the occasion, she said 500 students from Pakistan were already in France to pursue their studies in different subjects in French educational institutions. France, she said, was the world’s third destination for international students and it would like to have more students from Pakistan.

A delegation of Pakistani educationists led by HEC Chairman Dr Mukhtar Ahmed visited France early this year, which was quite fruitful and after exchange of views it was decided then to further increase partnership between the two countries, she said. Pakistani universities, she said, had also agreed to introduce new programmes in that regard and would open up information centres in Karachi, Lahore, Faisalabad and Peshawar to let students know of the available opportunities in French institutions.

The French envoy said members of the PFAN were Pakistan’s ambassadors in France whenever they were visiting there. Similarly, they were French ambassadors while working in Pakistan. «You are the bridge between the two countries,» she added.

«We want to forge long lasting relations between France and Pakistan. We wish you will return to France as businessmen and as investors,» she said while referring to PFAN members.

She thanked the HEC chairman for his efforts in promoting Pak-French cooperation in the field of education.

The envoy said after a very successful Pakistan Day in France in June this year, it was decided to organize a French Day in Pakistan next year.

Speaking on the occasion, HEC Chairman Dr Mukhtar heaped praise on the French envoy, saying she infused a new impetus into Pak-French relations hence ties between the two countries were growing.

He said a conference on archaeology would be organized in Lahore next year and another moot on Gandhara Art was being planned in France in 2018, which would help enhance cultural cooperation between the two sides.

He said Pakistani universities would set up Knowledge Parks in different campuses to promote cooperation between the two countries . All the work had been done to set up an advanced study in climate and the French government had shown interest to be a partner in that regard, he added.

The dinner was attended by Secretary Science and Technology Fazal Abbas and members of the PFAN and vice chancellors of various universities.

PFAN President Dr Khalid Saleem, in his remarks on the occasion, expressed his gratitude to the French envoy for hosting a dinner for PFAN members and assured her it would continue to work for strengthening links between Islamabad and Paris.

Fuente: http://www.brecorder.com/pakistan/general-news/327660-france-inks-mou-to-offer-200-scholarships-to-unprivileged-pakistani-students.html

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Aprendiendo a esconderse de los terroristas en las escuelas de Francia

Francia/10 noviembre 2016/Fuente: el Confidencial

A un año de los atentados de París, las autoridades han implementado un programa para que los más pequeños sepan cómo reaccionar en caso de nuevos ataques. Hay disparidad de opiniones.

«Hoy vamos a jugar al escondite”. La maestra a un grupo de la “petite section”, los alumnos de tres años del colegio infantil Leon Schwartzenberg de París, explica a la clase que “cuando yo os haga este gesto -se lleva el índice a los labios-, shhh, hay que estar en silencio y tenemos que escondernos para que el director no nos encuentre”. Sorprendentemente, el bullicio habitual de un aula donde los alumnos acaban de dejar los pañales se apaga, y los 25 enanos entran en el juego y siguen a la maestra hasta uno de los dormitorios del colegio, donde permanecen cuatro minutos en silencio tumbados en el suelo y con las luces apagadas. En la escuela no se oye una mosca. El juego termina cuando el director toca a la puerta. ¡Bravo!, todo el mundo ha ganado el reto, y de premio una ‘chuche’.

Los pequeños no saben que el juego es, en realidad, un ejercicio de “alerta intrusión”, una de las nuevas medidas de seguridad que han puesto en marcha los centro docentes franceses ante un eventual atentado terrorista, y que se han desarrollado en las últimas semanas. “A estos niños tan pequeños no les podemos contar que estamos practicando por si entra un ‘malo’ en el centro para no crearles ansiedad o miedo, así que todo se hace de forma lúdica, como un juego del escondite”, señala a El Confidencial Daniel Gueret, director de este centro público del distrito 10 de la capital francesa, que acoge a niños de 3 a 5 años. Desde la “rentrée”, la vuelta al cole tras las vacaciones de verano, el gobierno francés ha desplegado un mayor dispositivo de seguridad en torno a los 64.000 colegios e institutos debido a la amenaza terrorista, pero también ha enviado una serie de consignas para que los alumnos y profesores puedan aprender a reaccionar ante un ataque.

Harold Hyman. París

Los colegios judíos ya gozaban de fuertes medidas de seguridad en Francia, especialmente después del ataque perpetrado en 2012 por Mohamed Merah, el terrorista que mató en Toulouse a siete personas, entre ellos tres niños y un maestro en la puerta de una escuela hebrea. Pero la inquietud por la seguridad del conjunto de centros escolares no se ha hecho patente hasta que a finales de noviembre del año pasado, apenas dos semanas después de los terribles atentados que dejaron en París más de 130 muertos, el Estado Islámico pusiera en la diana a la escuela francesa. En el séptimo número de “Dar el Islam”, el órgano de propaganda francófono del Dáesh, los yihadistas cargaban contra el laicismo de la enseñanza en Francia, la prohibición del velo a las niñas, la no segregación por sexos o incluso la teoría darwinista de la evolución. Las autoridades han decidido tomar cartas en el asunto.

Tres simulacros deberán llevarse a cabo a lo largo del año en todos los establecimientos escolares, al menos uno de ellos específico sobre la entrada en el centro de un intruso peligroso. En los grados superiores, donde sí se explica en qué consisten estos ejercicios para esconderse o escapar en caso de amenaza, los alumnos de 14 y 15 años recibirán una formación en primeros auxilios, así como todos los delegados de clase a partir del “collège”, la enseñanza secundaria. Se busca “prepararse para afrontar una situación de crisis con sangre fría”, explica el manual preparado por el ministerio de Educación. 500 profesores y personal educativo serán asimismo formados cada año en el Centro Nacional de Entrenamiento de la Gendarmería para aprender gestión de crisis.

Ejercicio antiterrorista en una escuela israelí en Jerusalén, en junio de 2015. Ejercicios similares fueron copiados por las escuelas judías de Francia, y ahora por otras (Reuters)
Ejercicio antiterrorista en una escuela israelí en Jerusalén, en junio de 2015. Ejercicios similares fueron copiados por las escuelas judías de Francia, y ahora por otras (Reuters)

Reacciones encontradas

Las nuevas medidas han despertado reacciones dispares entre los padres, desde los que consideran este tipo de preparación algo indispensable en el contexto actual de amenaza terrorista, hasta los que creen que los ejercicios tienen poca utilidad y crean ansiedad en los niños. Desde los ministerios de Educación e Interior se quiere implicar también a los progenitores en la seguridad de las escuelas, pidiéndoles que comuniquen si ven algún objeto o alguna persona sospechosa rondando por los alrededores del colegio o que, por ejemplo, no formen aglomeraciones a las puertas de los centros. Varias guías para padres se han puesto también a su disposición en la página web del ministerio de Educación.

“Ha habido padres preocupados por la seguridad, aunque la situación en el colegio, como se puede observar, es de total normalidad”, explica Gueret, quien cuestiona él mismo la eficacia de estas medidas. “Hemos revisado el colegio de arriba abajo, quién tiene acceso a las llaves… y, por ejemplo, las ventanas de la planta baja no están aseguradas y cualquiera puede saltar la valla del colegio por mucho que nosotros tengamos la puerta siempre cerrada y se vigile a conciencia quién entra en el centro”, confiesa el director. La seguridad absoluta no existe y el ministerio tampoco busca convertir los colegios en fortalezas, pero sí crear una “cultura común de la seguridad”, señalan desde el gobierno.

Paula Rosas. París

Aislar a los niños de los atentados terroristas que han sacudido a Francia en los últimos dos años es una quimera. Los colegios han hecho una labor importante intentando explicar en clase un horror que para la mayoría de la sociedad es imposible de asumir, o cómo acostumbrarse a vivir con la amenaza. Aunque en los ejercicios de simulación no se hable de armas o de terroristas, son pocos los niños que no han escuchado esas palabras a sus padres, o en la televisión, normalmente en discursos alarmistas. En los manuales editados por el ministerio de Educación, reconocen que debido a la actualidad “es posible que haya que hablar de los atentados con los alumnos”, también con los más pequeños. “Los niños perciben la inquietud de los adultos”, señala el documento dirigido a los maestros, “y la manera de expresarse es tan importante como las palabras que se utilizan. Intentar sentirse, en la medida de lo posible, confiado, tranquilo, seguro de uno mismo, sereno. A partir de los 5-6 años, los debates argumentados pueden permitir un intercambio con los niños sobre la muerte, el miedo, la violencia, la maldad…”.

Los expertos creen que, si se llevan a cabo con delicadeza y respetando la edad de los pequeños, los ejercicios como el que se ha llevado a cabo en las últimas semanas en la mayoría de las escuelas francesas pueden dar seguridad a los alumnos porque, como explica el psiquiatra infantil Stéphane Clerget en las páginas de “Le Figaro”, “no se sentirán desvalidos ante un peligro». Según Clerget, «los niños sólo sentirán aprensión si ven que sus padres tienen miedo”.

Fuente: http://www.elconfidencial.com/mundo/2016-11-08/atentados-paris-ejercicios-antiterroristas-escuelas-francia-ninos-esconderse_1286248/

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En Francia proponen educación a la antigua

Europa/Francia/05 de Noviembre de 2016/El Diario

La Ministra de educación francesa Vallaud-Belkacem, ha pedido a las instituciones educativas de ese país que en los programas escolares de este año 2016 que apenas comienza para ellos; se tengan en cuenta los lineamientos de la Educación tradicional, lo que conocemos como educación a la antigua. Este tipo de educación que no es ajena al país galo nació precisamente en Francia en el siglo XVII.

La propuesta de volver a los dictados, a la lectura en voz alta, al cálculo mental sin ayuda de  calculadoras y volver a la enseñanza de la ortografía; nace al constatar los resultados catastróficos (según ellos)  de las nuevas pedagogías que se olvidaron de las virtudes de “la dictée” en el aula de clase.

Según lo reseña la prensa, el dictado era una tradición en Francia, casi un hobby nacional, al punto que uno de los programas televisivos de mayor audiencia en los años 80-90 consistía en competencias ortográficas a través de dictados; pero todo eso fue progresivamente dejado de lado en los últimos 30 años en nombre de las otras teorías pedagógicas que consideran que la corrección ortográfica es un vejamen a la persona,  un freno a la creatividad e incluso un atentado contra la libre expresión.

Los nuevos profesores y los nuevos modelos pedagógicos consideraron que el silabeo, la memorización y la lectura en voz alta eran métodos anticuados y muchos las dejaron de lado por tediosas y desmotivadoras. También existe la corriente de maestros que consideran la educación tradicional como algo que no le permite al estudiante el desarrollo integral de sus dimensiones éticas, sociales, volitivas, cognitivas, físicas, sociales etc.

Lo cierto es que la ministra francesa está muy preocupada por la pérdida de calidad de la educación que en ese país parece no tener freno (dice la prensa) y en consecuencia le pide a sus colegios regresar a los orígenes que hicieron ver la educación francesa como una de las  más eficientes del mundo.

Las reacciones al anuncio del gobierno francés fueron de rechazo por parte de algunos sindicatos de docentes que adscriben al modernismo pedagógico; otros le dieron aprobación  pero se preguntan si este anuncio es suficiente para devolverle a la educación francesa su antiguo esplendor.  Otras voces aprovecharon para exigir que la educación regrese a la calificación por números, (valoración cuantitativa) para que los estudiantes  y los padres de familia sepan claramente cómo va su área o asignatura como lo hacen las universidades.

Si esto dicen en Francia 2016, ¿qué diremos en Colombia?;  ¿Cómo estamos de ortografía, de historia patria y de ética y valores? ¿Será que un estudiante en nuestro actual sistema,  si será capaz de resolver una regla de tres simple directa , sin mirar el resultado en google?

Fuente: http://www.eldiario.com.co/seccion/OPINION/en-francia-proponen-educaci-n-a-la-antigua1610.html

Fuente de la Imagen: https://www.google.co.ve/search?q=En+Francia+proponen+educaci%C3%B3n+a+la+antigua+Publicado&espv=2&biw=1024&bih=494&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwj3waaQo5DQAhVIRiYKHWCPAf8Q_AUIBigB#imgdii=MjEek6M4-3t14M%3A%3BMjEek6M4-3t14M%3A%3BZk3fIbYnn4GRyM%3A&imgrc=MjEek6M4-3t14M%3A

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Europa-América: Especialistas en educación analizan el papel de los museos en la educación

Europa-América/04 de noviembre de 2016/Por: Ágatha de Santos

Un total de 159 investigadores de Europa y América se reúnen en Santiago

Un total de 159 investigadores de España, Francia, Italia, Reino Unido, Portugal e España, Canadá, Estados Unidos, México, Colombia, Brasil, Argentina y Chile participan hasta el día 4 de noviembre en VII Simposio Internacional de Didáctica de las Ciencias Sociales en el Ámbito Iberoamericano que se celebra en la Facultad de Ciencias de la Educación de la Universidad de Santiago de Compostela (USC). Durante la reunión se presentará un centenar de comunicaciones agrupadas en cuatro líneas de trabajo: educación histórica, educación patrimonial, identidades e ciudadanía; y territorio, espacio y educación ciudadana.

Durante el congreso, se presentará también el libro «Acción educativa en museos. Su calidad desde la evaluación cualitativa», que coordinan Roser Calaf Masachs y Miguel Ángel Suárez, de la Universidad de Oviedo y miembros de la Red 14 de investigación en didácticas de la educación. Este libro es el resultado de una investigación iniciada en 2012 en la que colaboraron cinco universidades del Estado español, así como representantes de diferentes departamentos de educación, entre los que se encuentra el departamento de educación y acción cultural del Museo do Pobo Galego, una de las instituciones que colabora en la organización de este simposio.

A través de una reflexión conjunta, este estudio analiza, interpreta y pone en valor los resultados sobre las prácticas de éxito que se desarrollan en los museos donde hay equipos estables y competentes que desempeñan programas adaptados a las necesidades educativas y sociales de sus públicos. Asimismo, define estrategias metodológicas y nuevos protocolos para avalar y valorar el trabajo educativo en los museos de manera cualitativa y contribuir a sistematizarlo.

Tomado de:

http://www.farodevigo.es/sociedad/2016/11/02/especialistas-educacion-analizan-papel-museos/1562623.html

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