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Informe UNFPA: República Dominicana enfrenta desafío en educación sexual

Centroamérica/ República Dominicana/14 Noviembre 2016/ Autora: Katiusca /Fuente: CDN

La representante del Fondo de Población de Naciones Unidas (UNFPA), Sonia Vásquez, expresó que el informe que cada año realiza las Naciones Unidas para 2016 arrojó que República Dominicana enfrenta un gran desafío en materia de educación sexual y reproductiva.

“Existe un 40% de niñas en el país que han contraído matrimonio o están en unión libre”, sostuvo Vásquez

La representante del UNFPA, por sus siglas en inglés, informó que esa cifra se debe al no asistir a un centro educativo por la responsabilidad que representa tener una familia en tempranas edades. En ese orden, Vásquez sostuvo que la  cifra de fecundidad se mantiene invariable en el país, aunque no deja a un lado que se han realizado cambios en otros temas también importantes.

El informe se ha concentrado en la educación sexual porque se ha demostrado que la vida de una niña a los diez años puede verse gravemente afectada al tener un embarazo.

Un punto positivo que destacó la representante es que “el país ha aumentado su esperanza de vida, las mujer ha subido a 77 años  y los hombres a 71 años”.

A esto agrego: “una de las hipótesis que apoya la esperanza de vida es que las mujeres cuidan más su salud”, afirmó.

Vázquez manifestó que en el informe, además de la educación sexual y reproductiva en los niños, niñas y adolescentes, trata el tema de la relación de género entre hombre y mujeres.

“En el mundo existen 60 millones de niñas, según el informe”, reveló Sonia Vásquez.

Indicó que el país se encuentra en el proceso de asumir la educación sexual integral como una materia en las escuelas y en ese sentido consideró que “tener a un estudiante en un recinto ya garantiza un futuro enfocado”.

Fuente: http://www.cdn.com.do/noticias/nacional/2016/11/10/informe-unfpa-rd-enfrenta-desafio-en-educacion-sexual-y-reproductiva/

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Puerto Rico: Eliminarán carta circular de equidad de género en las escuelas

Centroamérica/Puerto Rico/ 14 Noviembre 2016/Autora: Gloria Ruiz Kuilan/ Fuente: El Nuevo Día.com

Rosselló recalcó su oposición a la carta circular que permite a los estudiantes del sistema público de enseñanza seleccionar el uniforme que desean vestir. 

El gobernador electo Ricardo Rosselló anticipó hoy que emitirá cartas circulares a través del Departamento de Educación (DE) que aclaren que la educación sexual de los niños recae sobre los padres.

Además, recalcó su oposición a la carta circular que permite a los estudiantes del sistema público de enseñanza seleccionar el uniforme que desean vestir, de acuerdo a su identidad de género.

“Mi compromiso con Puerto Rico es que el poder de decidir dónde y cómo se da la educación sexual en los niños reside en los padres. Por lo tanto, haremos un cambio. Se harán otras cartas circulares a base de la ley, pero ese componente se va a atender de manera clara”, dijo Rosselló a su salida de La Fortaleza tras sostener su primera reunión con el gobernador saliente Alejandro García Padilla.

La presente administración aprobó la Ley para establecer la Política Pública del Gobierno de Puerto Rico en contra de la discriminación por Orientación Sexual o Identidad de Género en el empleo, público o privado y el DE, mediante carta circular (19-2014-2015). La orden integró la equidad de género en el currículo de las escuelas públicas del país. También dejó en manos del estudiantado la utilización del uniforme que fuese a tono con su identidad de género.

“La equidad de género por supuesto que la apoyamos. Lo que nosotros nos oponemos -y es porque hemos visto oposición y gran controversia al lo largo y ancho de todo Puerto Rico- es que se le prescriba al padre cómo es que su hijo va a tener esa educación sexual. Lo del uniforme, me opongo a eso”, dijo Rosselló.

Asimismo, adelantó que una de las primeras órdenes ejecutivas que aprobará será una para que haya igual paga salarial entre hombres y mujeres en el aparato gubernamental.

“Una de las primeras órdenes ejecutivas que voy a firmar es el requisito de igual paga por igual empleo en el gobierno central”, afirmó.

Fuente: http://www.elnuevodia.com/noticias/locales/nota/eliminarancartacirculardeequidaddegeneroenlasescuelas-2261226/#cxrecs_s

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Un an après : comment parler des attentats aux plus jeunes ?

Europa/Francia/Noviembre 2016/Noticias/http://theconversation.com/

Trouver les mots justes ? Changer les codes ?

Les élections aux USA n’ont pas grand chose en commun avec les événements terroristes à Paris, et pourtant… ils laissent sans voix, sidérés. Et l’on se demande comment parler aux jeunes générations de la société qui se dessine pour leur avenir. Derrière la peur ou la panique qui saisit, derrière les déclarations fracassantes relayées par la presse, il y a des valeurs qui ont pris le large, que l’on n’a plus assez dites et contextualisées dans le quotidien, qui deviennent l’occasion de contradictions et laissent place aux individualismes.

Avant de « trouver les mots justes », l’école doit réinterroger le sens et réinventer les mots eux-mêmes, au nom de la liberté : « sur les murs de l’école, j’écris ton nom, Liberté ». Et puis, finalement, l’école ne devrait-elle pas changer ses codes, réviser les rôles en donnant une place davantage proactive aux élèves, à tous les élèves dans le respect de l’inclusion ? Les « mots justes », s’ils existent, se diront ensemble.

Les enfants d’aujourd’hui doivent apprendre à vivre dans le fluide, les incertitudes, ce qui rend encore plus nécessaire le recours à leurs bases, à des valeurs éducatives et citoyennes que les enseignants comme les familles devraient aider à construire dans une cohérence concertée.

(Un an après la première publication du texte ci-dessous, le dessinateur Rémi Malingrey a porté un regard graphique et personnel sur cet article)


16 novembre 2015

Après les attentats, l’école a repris, les classes ouvrent de nouveau et le deuil national de 3 jours est encore présent. Comment parler aux enfants, aux élèves et aux étudiants, à nos jeunes ? Durant tout le week-end se sont déroulés des rassemblements spontanés, des bougies ont été allumées. Sur le sol, on a écrit « Pour eux » avec la date. Mais comment les jeunes peuvent-ils comprendre ?

Plusieurs enseignantes venant de niveaux de classes et de disciplines diverses ont réfléchi et ont partagé avec nous les différentes actions qu’elles vont mener, sans penser qu’il s’agisse pour autant de modèles.

Nous sommes toutes démunis devant l’horreur, chacune va contribuer à sa manière, aucune ne recule. Toutes affichent qu’il est possible de faire quelque chose avec les enfants dès le plus jeune âge, les jeunes et les étudiants. Aucun silence ne répondra pour elles à l’agression du 13 novembre à Paris.

Des questions chez les enseignants

Annabelle, enseignante en collège, écrit : « C’est sûr, les professeurs de français se sentent concernés et s’interrogent !… Faut-il parler des attentats, comment en parler, sommes-nous légitimes en faisant cela, ne va-t-on pas faire plus de mal que de bien, comment gérer des réactions extrêmes ou inacceptables éventuelles de la part de certains élèves ? Si on ouvre l’espace de parole, il faut sans doute accepter de tout entendre (on l’a vu au mois de janvier). Comment réagir alors ? L’institution nous demande de signaler tout dérapage… Est-ce la bonne façon de gérer tout cela ? Les élèves vont-ils en parler à chaque heure de cours (dans ce cas, ça perd de son intérêt si on a la classe l’après-midi) ?

Et puis, j’ai conscience qu’en parler veut dire être capable de gérer toutes les remarques en restant professionnel, digne, fort, solide, pour aider les élèves, mais … je me sens au bord des larmes, fragile. J’en ai parlé avec ma fille qui est revenue du lycée samedi midi. Je lui ai demandé si elle avait parlé des attentats en classe, elle m’a répondu « Non, les profs, ils s’en foutent, ils ont dit qu’on avait autre chose à faire ». J’ai compris ce qu’ils avaient voulu dire avec maladresse, mais ça m’a fait mal. Je pense qu’en dehors de l’ampleur du nombre de victimes, il s’agit essentiellement de jeunes, agressés dans des moments de loisir, donc nos élèves se sentent vraiment concernés. Je crois que c’est sur ça que je voudrais d’abord les faire réfléchir. Quels étaient les lieux visés, pourquoi, en quoi c’est une atteinte à la liberté, qu’est-ce que ça veut dire la tolérance… ».

Ainsi, la liste de diffusion de Weblettres, le site associatif des professeurs de lettres, se fait l’écho des questions qui agitent les enseignants de français. Comment retrouver une place de guide lorsque le drame nous submerge ? Le site livre des pistes pour tous ceux qui se sentent démunis, mais ne veulent pas fuir. Les valeurs d’humanisme, la liberté, la culture, c’est tous ensemble dans la classe. Il s’agit de (re)créer la communauté et de la faire vivre.

Le besoin de rassurer

Monique, directrice d’école primaire dit : « En arrivant à l’école, je vais entendre mes collègues, voir comment nous allons procéder pour cette minute de silence, rassurer les élèves. Il s’agira pour nous dans un premier temps, d’accueillir les paroles des élèves, mettre des mots sur les ressentis, rester factuel, ne pas interpréter. »

Certains élèves ne comprennent pas ce qui se passe. Le « même pas peur » des adultes leur est étranger, ils balayent la réalité d’un revers de manche, s’enferment dans des postures de repli. Que faire ? Nombre d’entre eux sont aussi touchés par la peur qu’ils sentent malgré tout dans l’attitude des adultes.

Et certains se sentent stigmatisés, en danger peut-être… Il faut rassurer la jeunesse, ne pas laisser libre cours à cette ambiance.

Dany, enseignante en primaire, a décidé de mettre en place des activités autour de symboles : la paix, le vivre ensemble, par des activités de coopération positive et non de conflit ou de compétition. Elle a choisi des tâches développant les compétences sociales, des activités et des jeux pour se respecter, s’écouter, négocier ensemble.

Dans ces jeux, on poursuit un objectif commun, personne ne gagne ou ne perd seul et l’on découvre que c’est plus facile de perdre ensemble ou que l’on a bien plus de plaisir à résoudre collectivement un défi que seul (ex. le jeu allemand Tempo kleine Schnecke de Ravensburger, les jeux de plateaux, La ronde des oies, Le bal masqué des coccinelles). Ou encore on coopère pour atteindre un but ensemble, comme avec les jeux de rôles collectifs où chaque enfant est impliqué et apporte sa pierre à l’édifice (construire ensemble, faire une valise qu’un animal défait, etc.).

Selon le site non-violence actualité, « le développement des compétences psychosociales telles que la négociation, la résolution de conflits, la pensée créatrice, la capacité à prendre des décisions, à faire face aux évènements, les relations interpersonnelles et la communication, sont des éléments importants pour permettre un mieux-être individuel et collectif. Les recherches conduisent aux mêmes conclusions pour ce qui concerne la prévention des violences. Les phénomènes de violence résultent souvent d’une absence de parole ».

Dans ces jeux, le plaisir est présent et fondement de l’acte d’apprendre ensemble et de résoudre des problèmes en groupe.

Le besoin d’échanger et de partager

Carole, une enseignante de grande section, a opté pour accrocher un grand drap blanc dans la classe, sur lequel en arrivant à l’école les enfants ont dessiné avec de gros feutres de couleur ce qu’ils ont entendu, ressenti, vu durant ce week-end. Ensuite, assis en cercle, ils en ont discuté ensemble. Certains ne disaient rien, mais tous avaient dessiné. La parole ne libère pas toujours, surtout chez les très jeunes enfants. Mettre des mots sur l’indicible, s’apercevoir que les mots ne suffisent pas toujours.

Dans cette classe, il y a une forte proportion d’enfants dont le français n’est pas la langue de la maison. On a alors particulièrement pris en compte leurs dessins. Et expliqué ensuite les événements pour mettre des mots sur les faits, pour comprendre : « C’est quoi un attentat ? Tu as peur d’aller à l’école, toi ? Papa et maman ont éteint la TV ce week-end ; pourquoi ? »

Pour Carole, comme pour beaucoup d’autres enseignants, le temps de s’exprimer est primordial, mais aussi et avant tout le temps d’écouter les angoisses et les questions des jeunes. Ensuite, les élèves ont fait une ronde en écoutant des musiques du monde. Ensemble, par la musique et la danse, ils ont combattu les démons. L’art et le corps au service de la paix.

En primaire, et dans un second temps, une enseignante prévoit de mettre en place des débats réglés et d’organiser des ateliers philo. Une autre ne sait que faire, alors elle utilise le dossier d’Astrapi. Chacun sa solution, mais ne pas laisser le silence et l’ignorance s’installer…

Fatma, enseignante d’anglais en collège, s’exprime en anglais pour en parler :

1 : Listen
2 : Share
3 : Draw conclusions that have never been put foward !

My option will be a constructive approach :
1 : The lessons in the next few weeks will be focussed on the future :
2 : These lessons will be followed up by a conditionnal tense : to promote a creative sence of a future.

Le besoin de recourir à nos fondements culturels

Dans la classe de Valérie, les élèves vont relire des textes littéraires. Ils verront qu’à diverses époques, Céline (Voyage au bout de la nuit) ou Camus (« Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse »), tout comme bien d’autres grands penseurs, ont aussi contribué aux questions d’aujourd’hui.

Plusieurs enseignants de français soulignent l’importance d’expliquer l’Humanisme et les Lumières. Weblettres propose un choix de textes sous le titre « Notre arme à nous, c’est la culture ». Dans la classe de Nathalie, c’est le cinéma qui va aider les élèves avec le point de vue suivant : « Je veux leur montrer, comme prévu, cet extrait de La Nuit américaine de Truffaut.

Le besoin de s’inscrire dans la durée

A la fin de la matinée en maternelle, les enfants de la classe de Carole ont décidé d’écrire à d’autres enfants du 11e arrondissement dont on leur avait parlé il y a quelques temps.

Et puis il y a le danger des rumeurs qui font et défont les croyances avec davantage d’impact que le travail dans la durée parfois. Alors par exemple, on utilisera au second degré des articles parus sur les sites de presse.

Chez Monique, la directrice d’école primaire, c’est aussi dans la durée que l’on va s’inscrire. Pas seulement en agissant les premiers jours, mais en proposant des activités hebdomadaires pour développer le sens de l’autre et du respect.

Elle s’appuie sur les travaux de Serge Tisseron et notamment sur le jeu des 3F (le jeu des trois figures). Serge Tisseron est psychiatre, et chercheur associé à l’université Paris 7. Les avis des psychiatres, leur aide est nécessaire pour les enseignants démunis. Ici, les 3F ce sont les trois figures de l’agresseur, de la victime et du tiers. Dans un jeu de rôle sur un thème inventé, les élèves vont alternativement jouer chacun des trois rôles et les discuter ensuite.

Ce travail de recherche a servi notamment pour évacuer la violence devant les écrans de TV. Monique va le reprendre et d’adapter à la situation présente. Ces activités se dérouleront chaque semaine durant un mois.

D’autres envisagent des expositions sur la paix, la tolérance, construites par plusieurs classes et réunies dans le hall d’accueil de l’établissement. Les enseignantes (dont les noms ont été modifiés) qui nous ont soumis leurs suggestions sont des femmes de tous les jours, avec des doutes et leurs propres peurs.

Mais elles ont partagé pour que ne s’installe pas la barbarie.

Fuente:

http://theconversation.com/un-an-apres-comment-parler-des-attentats-aux-plus-jeunes-50807

Fuente imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/ljQvgC1zmLoPDjLGW9DfJS-uZWGfnj3L8iMFp1U8CNTzClqOCkGKv3H1AnKwhDYe6qato3o=s85

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Venezuela reafirma voluntad de acompañar a Colombia en el camino a la paz

América del Sur/Venezuela/Noviembre 2016/Noticias/http://vtv.gob.ve/

El Ejecutivo nacional expresó este sábado su beneplácito por el nuevo acuerdo de paz suscrito entre el Gobierno de Colombia y las Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia-Ejército del Pueblo (FARC-EP), firmado en La Habana, Cuba.

Para lograr este nuevo pacto fue necesario hacer cambios tras la derrota del Sí en el plebiscito de octubre pasado, situación que dio paso a modificaciones. En estas propuestas, que derivaron en el nuevo texto de paz, trabajaron los equipos negociadores durante los últimos nueve días, reunidos en la nación caribeña.

Ante este avance, el Gobierno venezolano “reitera su firme voluntad de seguir acompañando al pueblo colombiano en este proceso histórico, y de proseguir por el camino de las buenas relaciones de cooperación y amistad entre nuestros países”, reseñó un comunicado de la Cancillería venezolana.

A continuación, el texto íntegro:

REPÚBLICA BOLIVARIANA DE VENEZUELA

MINISTERIO DEL PODER POPULAR

PARA RELACIONES EXTERIORES

COMUNICADO

El Presidente de la República Bolivariana de Venezuela, Nicolás Maduro Moros, en nombre del Gobierno y del Pueblo venezolano, felicita expresamente al Presidente de la República de Colombia, Juan Manuel Santos, y a las Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia, Ejército del Pueblo (FARC-EP), por el nuevo Acuerdo de Paz alcanzado el día de hoy en La Habana, Cuba.

Este nuevo Acuerdo expresa la voluntad y el deseo firme del pueblo colombiano por alcanzar la Paz, así como el ineludible compromiso por avanzar en un nuevo entendimiento entre el Gobierno de Colombia y las FARC-EP, conforme al Acuerdo Histórico firmado el 26 de septiembre en Cartagena de Indias.

Hoy más que nunca recordamos al Comandante Hugo Chávez, cuya palabra humanista y bolivariana siempre abogó por la unidad de los pueblos de América Latina y el Caribe, y señaló, en sinceros discursos y proclamas, que la paz de Colombia era la paz de Venezuela.

El Gobierno Bolivariano de Venezuela reitera su firme voluntad de seguir acompañando al pueblo colombiano en este proceso histórico, y de proseguir por el camino de las buenas relaciones de cooperación y amistad entre nuestros países. El sueño y la espada del más Grande Hombre de nuestro continente nos dio la libertad, y forjó nuestras Repúblicas paridas de sus manos. Sigamos construyendo la paz que merecen nuestros pueblos.

“…Libertador, un mundo de paz nació en tus brazos,…”

Fuente:

http://vtv.gob.ve/venezuela-reafirma-voluntad-de-acompanar-a-colombia-en-el-camino-a-la-paz/

Fuente imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/PjW6VpoXZX9Z9sIvZnuuq-651rSOdfvUBLDeOvsrXhMprVDe5sIt_TEVh2E-2uGVFvHfpa8=s85

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Comisión Europea: Europa necesita adaptar educación a refugiados y migrantes

Europa/ Unión Europea/ 14 Noviembre 2016/ Fuente: 20 minutos.

Los gobiernos de la Unión Europea necesitan tomar medidas para tornar sus sistemas educativos más adecuados e inclusivos a la luz del creciente número de refugiados y migrantes, advirtió un informe publicado hoy aquí por la Comisión Europea (CE).

En 2015, 1.25 millones nuevos migrantes llegaron a la Unión Europea (UE), frente a 400 mil en 2013, y cerca de 30 por ciento de esa población eran menores de 18 años.

“Dada su corta edad, la educación es un potente motor para la integración de los jóvenes de origen inmigrante. Sin embargo, los resultados de estos jóvenes siguen siendo peores que los de los residentes nativos”, señaló la edición 2016 del Monitor de la Educación.

Entre los jóvenes migrantes la tasa de abandono escolar prematuro fue de 19 por ciento en 2015, comparado con 10.1 por ciento entre la población nativa.

Ese mismo año 36.4 por ciento de los migrantes residentes en la UE tenían un título de educación terciaria, una proporción que llega a 39.4 por ciento entre los europeos.

“Todo ello apunta a la necesidad de que los Estados miembros redoblen sus esfuerzos, sobre todo teniendo en cuenta el aumento del número de refugiados y migrantes que vienen a la UE”, añadió el documento.

Algunos países ya empezaron a adaptarse, como es el caso de Austria, donde se han establecido clases de transición en los centros de formación profesional y en la educación general.

Francia tiene previsto poner en marcha el programa “la apertura de los centros escolares a los padres para que la integración sea un éxito”, mientras que Bélgica ha aumentado la capacidad de las aulas de acogida y el número de profesores de idiomas.

En Alemania se preve la creación de 300 mil nuevas plazas desde la educación infantil y la atención a la infancia hasta la formación profesional. Para ello, el gobierno estudia contratar más de 40 mil profesores y miles de trabajadores sociales.

El informe defiende la importancia de la diversidad en los cuerpos docentes, que deben incluir hombres, jóvenes y personas de distintos orígenes, con el fin de “ofrecer a los alumnos y estudiantes una riqueza de ejemplos a seguir”.

También señala que, además de proporcionar conocimientos y capacidades, el sistema educativo también puede contribuir para combatir la actual tendencia populista y extremista que vive la UE.

“Todos los niveles de educación, incluyendo la de adultos, puede promocionar la ciudadanía y los valores comunes de la libertad, tolerancia y no discriminación”, destacó el informe.

De manera general, el estudio reveló que la UE está muy cerca de alcanzar sus objetivos para 2020 en materia de educación. La tasa de abandono escolar prematuro se situó en 10.1 por ciento y la de educación terciaria en 38.7 por ciento en 2015, frente a las respectivas metas de menos de 10 por ciento y de 40 por ciento.

La proporción de niños menores de cuatro años que frecuentan una institución educativa fue de 94.3 por ciento el pasado año, siete décimas por debajo del objetivo. En 2014 la inversión pública en educación creció en un promedio del 1.1 por ciento en toda la UE comparado con 2013, luego de tres años consecutivos de contracción.

En seis países (Bulgaria, Hungría, Letonia, Malta, Rumanía y Eslovaquia) el aumento fue superior al 5.0 por ciento.

En cambio, diez países redujeron el gasto en educación en 2014 con respecto a 2013: Austria, Bélgica, Croacia, Chipre, Estonia, Finlandia, Grecia, Italia, Lituania y Eslovenia.

“El desafío de la financiación en la educación reside en invertir tanto suficiente como efectivamente”, advirtió el informe.

Fuente: http://www.20minutos.com.mx/noticia/155227/0/union-europea-necesita-adaptar-educacion-a-refugiados-y-migrantes/

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Evolución de la tecnología y procesos de cambio e innovación educativa

Evolución tecnológica y enseñanza.
La proliferación de experiencias de uso de las TIC en la enseñanza puede suponer, a veces, la aparición de nuevos vocablos en el mundo educativo solamente, sin constituir otra innovación. De hecho en los últimos tiempos hemos oído hablar de ‘enseñanza virtual’, ‘campus virtual’ ‘universidad virtual’, y más recientemente ‘e-learning’, la última  moda –al menos terminológica- en lo que a utilización de las tecnologías en la educación se refiere.

El fenómeno de la evolución de las telecomunicaciones –causante en último término de la aparición de los mismos puede considerarse irreversible y nos otorga la responsabilidad de preparar a las jóvenes generaciones y a los ciudadanos en general como usuarios de estos medios en la profesión, en el trabajo, en la vida y en el ocio. Los ciudadanos, en efecto, disponen ya –o dispondrán en un futuro próximo- de posibilidades de conexión desde establecimientos destinados a tal fin y relacionados con el ocio, la intercomunicación, etc., o desde el propio hogar. Es nuestra responsabilidad contribuir a orientar este fenómeno, y esta tarea es más urgente si tenemos presente que las redes tal como las conocemos, Internet entre ellas, tienden a quedar superadas, disponiendo cada día de mayores y más fáciles servicios.

El desarrollo de la tecnología y su uso como medio de instrucción en los procesos de enseñanza han dado lugar a distintas modalidades educativas, entre ellas, la educación a distancia, autoformación o aprendizaje independiente. Taylor, (1995) presenta dicha evolución en 4 generaciones1:

El Modelo de correspondencia se ha visto generalmente como la primera generación de educación a distancia y ha sido incorporado por el Modelo Multimedia, que supone el uso de recursos de e-a refinados y culturalmente desarrollados, incluyendo guías de estudio impresas, lecturas seleccionadas, vídeos, audiotapes y cursos de distinto tipo basados en ordenador. Mientras  muchas instituciones están involucradas en la evolución desde el modelo por correspondencia al modelo multimedia, otra importante tendencia es cambiar hacia la tercera generación del Modelo de Teleaprendizaje de educación a distancia, basado en
el uso de las TIC, incluyendo audio conferencias, sistemas de comunicación audiográficos, videoconferencia, radio y televisión de banda comercial, etc. La emergencia de la cuarta generación, el Modelo de Aprendizaje flexible, promete la combinación de los beneficios de la alta calidad de Multimedia Interactiva basada en CD-ROM, con una alta interactividad y acceso a un abanico cada vez mayor de recursos e-a ofrecidos por la conexión a internet.

Consideradas como instrumentos de formación, las TIC ofrecen un conjunto de perspectivas condicionadas, tanto por los avances de las telecomunicaciones y las tecnologías de la información, como por las transformaciones que en el campo de la enseñanza se vayan dando por efecto de integración y/o adaptación de estas tecnologías. Basándonos en Davie (1995), podemos considerar 4 dominios de desarrollo que condicionan las posibilidades educativas de todos
estos avances2. Estos 4 dominios de desarrollo son:

1.- La tecnología física y Protocolos de software básico. Muchos de los cambios en la práctica de la educación mediante Comunicación Mediada por Ordenador son debidos o son posibles gracias al rápido  crecimiento de los ordenadores disponibles y de las formas en que éstos se interconectan. Avances de carácter tecnológico que potencian, sin duda, las redes de cara a la educación: evolución del ancho de banda necesario para las comunicaciones del siglo XXI; la
implantación del Ordenador de red (NC); o el desarrollo del WebTV compatible con la TV y de bajo coste, o los navegadores portátiles y el acceso móvil a internet, etc.Por otra parte está el software básico de internet: ftp, telnet,…,o el desarrollo y evolución de JAVA, Ipng y XML que permiten una programación más versátil, y que promete avanzar en los sueños de los usuarios de la WWW. Los avances en el tema de multimedia distribuida que hará realidad

4.- El diseño del aprendizaje. Avances en el diseño desde el punto de vista del alumno tanto individual como en grupo: Avances en las concepciones que nos ayudan a entender la transacción del aprendizaje desde el punto de vista del que aprende centrado en la motivación, la saturación en la información, estilos de aprendizaje, etc. La aparición de nuevos ambientes de aprendizaje que solo tiene sentido en el conjunto de cambios que afectan a todos los elementos
del proceso educativo (objetivos, contenidos, profesores, alumnos. Estos nuevos espacios educativos pueden referirse, tanto al impacto que la introducción de las TIC tiene en la enseñanza convencional, como a la configuración de nuevos escenarios para el aprendizaje. Entre el aula convencional y las posibilidades de acceso a materiales de aprendizaje.

Fuente:

 jesus-salinas-articulo-por-partes-i-en-adelante-innovacioneduc2-008

Fuente imagen

https://lh3.googleusercontent.com/DGO6XND5vxVxquvmdQmyW4SKHbdHxLEVyVv9tFiKfd3x6XRiyGYzadHDo9dfWx5kxzei=s85

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Colombia: Docentes “rompen paz laboral” y anuncian movilización

América del Sur/ Colombia/ 14 Noviembre 2016/ Fuente: 20 Minutos.

La Federación Colombiana de Educadores (Fecode) anunció rota “la paz laboral” y convocó a una movilización para el próximo día 17 a fin de exigir el cumplimiento a los acuerdos logrados con el gobierno del presidente Juan Manuel Santos.

La junta nacional de Fecode acordó iniciar anormalidad académica en todos los establecimientos de educación pública, como una medida de protesta ante el incumplimiento de compromisos que el gobierno firmó con el magisterio desde el año pasado.

Según el presidente de Fecode, Luis Alberto Grubert, la anormalidad académica consiste en que los educadores solo trabajarán hasta el recreo de mitad de jornada y el tiempo restante lo dedicarán a hacer trabajo gremial, asambleas informativas y mítines para visibilizar su inconformidad.

Esta anormalidad solo será levantada cuando el gobierno de Santos “cumpla con sus compromisos, que espera sea antes de que acabe el año”. “Es una modalidad de protesta que nos ideamos para causar el menor perjuicio a los estudiantes”, dijo el presidente de Fecode, que agrupa a más de 300 mil maestros de primaria y secundaria en Colombia.

Para Grubert, el gobierno ha sido “tramposo” en el cumplimiento de los compromisos. Es muy dado a generar expectativas, pero a la hora de meterse “mano al bolsillo se sale por la tangente”.

Entre los principales puntos que exigen los educadores figuran la definición de la convocatoria de ascenso de los docentes que no concursaron el año pasado y “que se resuelva de una vez por todas la problemática del servicio de salud”.

Además el Ministerio de Educación debe establecer un cronograma para pagar la deuda laboral que tiene con el magisterio.

El próximo 17 de noviembre, el magisterio “participará activamente en la movilización convocada por el Comando Nacional Unitario, integrado por las tres centrales sindicales y otras organizaciones gremiales en protesta contra la reforma tributaria que cursa en el Congreso.

Fuente: http://www.20minutos.com.mx/noticia/157203/0/maestros-colombianos-rompen-paz-laboral-y-anuncian-movilizacion/

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