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Francia: Le robot-humanoïde Sophia, révélateur de notre rapport à l’intelligence artificielle

Europa/Francia/Diciembre del 2017/https://theconversation.com

 

Et si l’humanité s’émancipait des dieux et de sa condition en devenant elle-même créatrice ? La technologie pourrait-elle transformer ce fantasme en réalité ? Le cas de la citoyenneté accordée à des robots humanoïdes dotés d’intelligence artificielle redéfinit les contours de la notion même d’humanité. Loin de se limiter à des questionnements éthiques ou techniques, l’anthropologie amène à s’interroger sur la fonction sociale de ces robots-citoyens.

Des combats de la modernité… qui s’inscrivent dans des débats anciens

En octobre 2017, le monde entier découvrait le visage de Sophia, le premier robot humanoïde à être reconnu citoyen d’un pays, l’Arabie saoudite. Épiphénomène ou phénomène annonciateur d’un changement de paradigme anthropologique ? Les spécialistes ne parviennent à s’accorder. Les médias, eux, se font l’écho d’autres événements comme celui du premier suicide d’un robot, celui des robots programmés pour être violés ou encore celui du premier mariage entre un humain et

https://youtu.be/E8Ox6H64yu8

 

Quant aux citoyens, ils peinent à objectiver l’incidence de ces annonces dans leur quotidien, ainsi que les répercussions que la généralisation et la banalisation de l’intégration des robots – mais surtout de l’intelligence artificielle – peuvent avoir dans leur manière de vivre leur humanité. L’histoire de l’humanité nous rapporte qu’Homo Sapiens (l’Homme savant) serait le stade ultime de l’évolution des hominidés. Pourtant, Sophia (la sagesse, selon l’étymologie grecque du prénom), l’un des premiers robots humanoïdes à qui l’on a octroyé la citoyenneté, semble représenter les prémisses d’une société où Homo Sapiens ne serait plus seul à gouverner notre planète, mais pourrait soit partager le pouvoir avec d’autres espèces artificielles à l’apparence humaines (humanoïdes), soit se scinder en deux « humanités » distinctes.

Les mouvances idéologiques, au sein desquelles s’affrontent par exemple les transhumanistes et les chimpanzés du futur, nous propulsent dans un scénario dystopique digne de Black Mirror, où la technologie et l’acceptation de cette dernière engendrent des distinctions non seulement sociales et culturelles entre les hommes, mais également des distinctions biologiques, dues à la sélection génétique par exemple.

Comme le soulignent Pascal PicqNicolas Santolaria ou encore Yuval Noah HarariHomo Sapiens serait en train de vivre sa dernière grande révolution. L’innovation et la technologie rendent possible l’affrontement de l’humain avec son grand ennemi ancestral : la mort. Grâce à la technologie, il sera peut-être possible, un jour, de « tuer la mort ».

Sophia, une imposture technologique…

Il existe un écart entre l’apparence « ultra humaine » du physique de l’humanoïde et la réalité de ses capacités techniques et technologiques. Les mises en scène de ses apparitions médiatiques laissent apparaître une texture de peau, des expressions du visage et une capacité affichée à converser ou à être interviewée par des humains, qui nous renvoient à notre propre humanité, tant le mimétisme est performant. La fluidité du discours, la répartie et une capacité affichée à se projeter dans « une vie de robot presque aussi humain qu’un vrai » (Sophia annonce par exemple son désir d’être mère et de fonder une famille), provoquent des réactions anxiogènes non seulement au sein du grand public tout comme au sein de la communauté des experts. D’après les théories de la « vallée de l’étrange » (« uncanny valley ») de Mashiro Mori, la ressemblance du robot avec l’homme accroît effectivement notre familiarité à son égard jusqu’à un certain point. Une trop grande ressemblance entraîne l’angoisse, voire la répulsion de l’homme envers le robot.

La réalité de ses capacités techniques et de l’intelligence artificielle que l’entreprise Hong-Kongaise a intégrées à l’humanoïde Sophia est bien en deçà de ce qui est annoncé. Sophia est loin de penser de manière autonome. Les possibilités technologiques existantes concernant sa capacité d’adaptation à des conversations ou à des situations diverses nous renvoient davantage vers un principe anthropomorphiste. L’intégration toujours plus pervasive de la robotique dans notre quotidien tend à nous faire occulter la notion d’imitation du vivant chère à l’Homme et qui donne forme à ce type de création, comme avec les automates par exemple.

Dans cette dynamique, Sophia peut être entrevue comme un automate pourvu d’une intelligence artificielle, avec pour fonction essentielle d’imiter le réel… Mais pour quoi faire ? Pour le reproduire ou pour l’interroger ?

… qui cristallise une fonction anthropologique importante

Cette imitation du réel que représente Sophia semble en réalité masquer une problématique anthropologique plus profonde : la place de l’Homme en société, et par extension la place de l’Homme dans l’univers. Toute civilisation se fonde sur des mythes cosmogoniques (ou de création) qui permettent de définir l’ordre des choses. En fonction de leurs rapports à la technologie, les sociétés justifient cet ordre par la science ou par la religion. La période actuelle bouleverse les convictions initiales des individus. En perte de repères et en crise de croyances, les individus sont à la quête d’un nouveau cadre normatif pour ordonner leur vie quotidienne. Les avancées technologiques se mêlent à une modernisation des croyances animistes (temple shintoïste pour les figures mangas ou le cas des histoires d’amour d’hommes avec des love dolls) incitant certains individus à créer de nouvelles religions où la figure de Dieu serait une intelligence artificielle. L’église Way of The Future(WOTF) fondée par un ancien cadre Uber (Anthony Levandowski) illustre l’apparition d’une nouvelle génération de prophètes de la technologie.

Dans son ouvrage Homo Deus, Yuval Novah Harari nomme ceci le « dataïsme » (religion des datas). Sophia semble ainsi représenter une nouvelle figure mythologique permettant d’expliquer les changements qu’induisent actuellement algorithmes, intelligence artificielle et analyse de datas. Avec en toile de fond, la question de l’émancipation de l’Homme par rapport aux dieux – en devenant lui-même créateur – qui n’est pas nouvelle ; on la retrouve dans la tradition juive avec le mythe de Golem ou dans la Grèce antique avec le mythe de Pygmalion. De ces figures émerge ce que l’on appelle en pédagogie l’effet Pygmalion ou l’effet golem. C’est-à-dire « en pensant que quelqu’un possède une caractéristique, nous changeons notre propre attitude vis-à-vis de cette personne, et l’influençons de telle sorte qu’il va effectivement acquérir cette caractéristique ou l’exprimer de plus flagrante façon ». La version positive, c’est l’effet Pygmalion. À l’inverse, l’effet Golem en est le versant négatif.

Sophia, la figure du décepteur

Cet impact de la croyance sur la réalité serait partie prenante d’un mythe beaucoup plus ancien, celui du « Trickster ». Présent dans toutes les cultures, l’anthropologue Claude Lévi-Strauss appelle ce personnage le « décepteur » (celui qui déçoit, qui trompe, qui trahit), figure symbolique rendue célèbre par Paul Radin, puis par Carl Gustav Jung.

Il s’agit d’une personnalité chaotique, à la fois bonne et mauvaise, une sorte de médiateur entre le divin et l’homme. Indispensable à la société, le décepteur accompagne l’adaptation des êtres face à l’apparition des événements nouveaux. Il revêt une fonction sociale, celle du bouc émissaire. Il agit sur les rapports humains, qui se compliquent pendant les périodes de transitions, tout en donnant l’impression d’agir également sur les causes extérieures (crise économique ou politique, intrusion de la technologie dans le quotidien, etc.).

Sophia est donc une forme de décepteur, car elle soulève des espoirs tout en réveillant certaines peurs liées à l’intégration et au déploiement de la technologie dans notre quotidien. Est-elle la première représentante d’un nouveau genre ? En brouillant les frontières entre l’Homme et la machine, réalité et imagination semblent se rejoindre, rendant plus concrètes que jamais les grandes peurs de l’humanité.

« Le Fripon divin : Un mythe indien », ouvrage collectif de C.G Jung, Paul Radin et Charles Kerenyi. Amazon

Entre leurre technologique et coup marketing, l’effet d’annonce de la citoyenneté de Sophia engendre une recrudescence des théories technophobeset pessimistes. Malgré une absence réelle d’intelligence du robot humanoïde, cette annonce semble également traduire une volonté de modernisation de l’Arabie saoudite amorcée par le nouveau souverain et renforcée par des projets d’urbanisme futuristes de grande envergure. En guise de contre-exemple bien moins médiatisé, le projet AutoMLde Google représente une intelligence artificielle beaucoup plus performante, qui a appris à se dupliquer elle-même.

Au-delà du coup d’essai « techno-médiatique », Sophia doit nous amener à réfléchir sur l’évolution législative et réglementaire de l’intelligence artificielle. Les débats éthiques concernant le statut juridique de ces « êtres » robotiques sont plus que jamais d’actualité. Quel est le rôle de la citoyenneté pour celui qui la détient ? Quelle éthique s’attache à l’existence de ces robots – par exemple avec les robots sexuels entrevus comme des objets de consommation ?

Le « robot-citoyen » représente ainsi une copie du vivant dans lequel nous pouvons voir le meilleur comme le pire de notre humanité et de son évolution technologique. À travers son effet miroir, Sophia amène chaque individu à s’interroger sur la place que l’intelligence artificielle doit et devra avoir dans nos vies ; avant que cette dernière ne s’impose à nous.

Fuente :https://theconversation.com/le-robot-humano-de-sophia-revelateur-de-notre-rapport-a-lintelligence-artificielle-87218

Fuente Imagen:

https://lh3.googleusercontent.com/NiWcHOCxi-FUHzddqg0RiUWzehelmW4ShYLiUrHlaTe5WM6JouVeyd4wZeo8rG5M5LI0i8A=s128

 

 

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El cerebro colombiano que revolucionó la educación online

Colombia / 19 de noviembre de 2017 / Autor: María Angélica Huérfano B. / Fuente: Colombia INN

El modelo de educación continua online que ofrece Platzi cuenta con 500 mil estudiantes de distintos países de habla hispana aproximadamente, en donde Colombia y México son los países en los que tiene mayor acogida.
  • El modelo de negocio de Platzi se posicionó como una plataforma líder en la educación continua online principalmente para países de habla hispana. Aproximadamente 000 estudiantes adelantan cursos relacionados con las TICs.
  • La empresa fue destacada por iNNpulsa en el marco de la Semana Semana Global del Emprendimiento que se celebra actualmente y culmina este 18 de noviembre.

 

Actualmente Platzi es una de las plataformas de educación online más reconocidas en el mundo, gracias, en buena medida, a la constante innovación en cada uno de los cursos que ofrece. Lo que muchos no saben es que detrás de este emprendimiento está un cerebro colombiano, John Freddy Vega, cofundador y CEO de la compañía.

Ingeniero de sistemas y oriundo de Bogotá, Vega es dueño de un verdadero espíritu emprendedor. A los 12 años redibujaba caricaturas de televisión en tarjetas de cartón, las cuales negociaba con sus amigos; a los 17 años, ya involucrado con el mundo digital, creó Cristalab, una comunidad muy grande y reconocida de diseñadores web en español.

Sin embargo, la competencia en el sector no fue fácil, así que Vega comenzó a buscar una alianza estratégica. Fue cuando apareció en su vida el guatemalteco Christian Van Der Henst, fundador de la primera comunidad de desarrollo web hispano en el mundo, con quien se unió para hacer realidad este sueño llamado Platzi.

“Tras encontrarnos en conferencias y eventos, decidimos viajar juntos a Asia y compartir nuestras ideas de cómo sería la educación del futuro. Decidimos dejar de competir y nos dimos a la tarea de desarrollar una plataforma que ofreciera educación online de calidad, con enfoque en la tecnología”, recuerda el emprendedor.

“Para financiar el desarrollo realizamos un proyecto de cursos presenciales en 20 ciudades de 12 países, donde aprendimos de nuestra audiencia y el 100% de las ganancias lo invertimos en la plataforma de educación online que hoy día es Platzi”, sostuvo Vega, en entrevista con Colombia-inn.

En enero de 2014, en pleno auge de algunas plataformas de educación virtual, John Freddy y Christian lanzaron el modelo de negocio Platzi, con el que lograron que 30.000 estudiantes de distintos países se capacitaran ese año. Ha sido tanta la acogida de la plataforma, que este año terminarán con 500.000 estudiantes aproximadamente.

Hoy estos dos cofundadores cuentan con 50 personas de 13 nacionalidades en su equipo de trabajo y se preparan para lanzar un nuevo portafolio de cursos, entre los que se encuentra uno de inteligencia artificial y otro de seguridad informática, que se agregan a los de programación, diseño, marketing, negocios online, entre otros más, relacionados con tecnología.

Ya con sede en Bogotá, México y en Silicon Valley, en Estados Unidos, donde reposa el corazón de la tecnología y se encuentran los grandes del sector como Google y Facebook, están logrando posicionarse como uno de los líderes en educación online continua en los países de habla hispana, en donde la mayoría de estudiantes son colombianos, seguidos por los mexicanos.

Un gigante de la educación online

De acuerdo con Vega, Latinoamérica vive una crisis de talento calificado, en donde 1,5 millones de empleos en tecnología quedaron vacantes en el 2016 y el número está en ascenso, debido a que falta especializarse mucho más en algunos campos.

“No basta con que una persona termine un ciclo universitario, pues hoy la actualización de conocimientos debe ser constante y se requieren profesionales especializados en distintas áreas”, advirtió.

Esto motiva cada día más a Platzi, que ofrece educación virtual continua por medio de cursos cortos y muy específicos. Así, quienes se inscriben en la plataforma pueden tomar uno o varios de los cursos y la suma de seis o más de estos equivale a una carrera, un modelo distinto al que ofrece la academia, ya que no es un pregrado.

Además, la intención de Platzi es motivar a los estudiantes a terminar sus cursos, no por un certificado, sino para que mejoren sus competencias laborales en un área determinada. Ese es el gran objetivo.

“No tenemos una estructura tradicional o estamos atados a ciclos de 5 o 10 años para renovarnos, porque en la tecnología esto no funciona, cambia cada 6 meses o incluso cada mes, así que queremos ser un complemento o respuesta a esa necesidad de trabajadores actualizados que exige el mundo hoy”, señaló Vega.

Uno de los principales problemas identificados por Platzi en la educación virtual, en general, es que las personas no terminan sus cursos. Eso los llevó a estructurar una plataforma para que los estudiantes se motivaran a completar su educación, objetivo que han logrado con la innovación continua de sus planes de estudio, dictados por líderes de alto perfil.

El compromiso y la constancia de esta empresa con la educación continua le permite cerrar este año con más de 100 cursos en 24 carreras, y para el 2018 la meta es doblar esa cifra teniendo en cuenta que la empleabilidad de la industria TIC es del 98%, lo que lleva a la búsqueda de las compañías de profesionales cada vez más especializados o de trabajadores expertos en un área específica.

“Hoy los resultados muestran que un 70% de los estudiantes de Platzi terminan sus cursos. Un año después de culminar alguna de nuestras carreras el 80% obtiene un salario más alto o un mejor empleo y un 10% crea su propia empresa”, destacó el emprendedor.

De acuerdo con Vega, otro de los valores agregados de este modelo de negocio, además de la motivación que se les ofrece a las personas para que finalicen los cursos, es el seguimiento que se les hace a los mejores estudiantes para que logren emplearse, si este es uno de sus fines. Adicionalmente, cada año seleccionan el mejor emprendimiento o empresa, entre sus estudiantes, para que visite Silicon Valley​​ y reciba una asesoría especial de Platzi.

Desde 2016, la compañía hace parte de Endeavor, una de las redes de emprendimiento con alto impacto en la región, y gracias a ello han accedido a otros líderes del sector, programas de entrenamiento y ayuda en las diferentes etapas de la empresa. Lo anterior les ha generado reconocimientos como el Canal de Plata, otorgado por YouTube en 2015, por ser el sitio web más reconocido a nivel hispano, y el obtenido en Harvard Business School, como mejor pitch de empresa.

Desafíos

Uno de los retos de Platzi es seguir impulsando la formación con base en la tecnología y en oficios o profesiones con gran potencial en el mercado, que contribuya a que el país pase de tener una economía basada en recursos naturales y en manufactura, a la exportación de servicios tecnológicos con destino a distintos lugares del mundo.

Y como las alianzas son importantes para el desarrollo, tienen un acuerdo con el MinTIC para que los emprendedores de Apps.co cuenten con capacitaciones de Platzi. Aunque acceder a los cursos que ofrece esta plataforma, tienen un costo, hoy ofrecen de forma gratuita y para todas las personas, a partir de los 14 años, el curso de programación, una de las profesiones que más demanda el mercado y en la cual hay carencia de talento. A este curso se puede acceder a través del enlace https://platzi.com/cursos/programacion-basica/.

“La tecnología es parte del corazón de todo lo que hacemos, nuestra civilización funciona sobre software, así que tenemos la opción de evadirlo y emplear lo que hemos usado toda la vida o abrazar esa idea y volvernos una potencia tecnológica”, concluyó Vega.

Son los logros de esta joven empresa los que hacen que se destaque como uno de los emprendimientos más prometedores en el país. Por ello, es reconocida por iNNpulsa, entidad del Ministerio de Comercio, Industria y Turismo que auspicia el emprendimiento, la innovación y el desarrollo empresarial, en el marco de la Semana Global del Emprendimiento, que se lleva a cabo entre el 13 y el 18 de noviembre.

Fuente de la Noticia:

El cerebro colombiano que revolucionó la educación online

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5 cosas que la inteligencia artificial puede hacer por la educación

Por: AméricaEConomía.com/17-11-2017

Según estudio publicado por el instituto McKinsey Global, las tecnologías de inteligencia artificial pueden ser adaptadas para contribuir a alcanzar los objetivos cruciales de la educación.

industria y el sector salud han encontrado en la inteligencia artificial (IA) aplicaciones prácticas y de gran utilidad para la agilización de sus procesos, sin embargo, el sector educativo también puede encontrar beneficios en la implementación de estas tecnologías.

De acuerdo con un estudio publicado por el instituto McKinsey Global, las tecnologías de inteligencia artificial pueden ser adaptadas para contribuir a alcanzar los objetivos cruciales de la educación, tales como mejorar la eficiencia de la enseñanza o proporcionar educación de calidad y a bajo costo para todos, así como contribuir a desarrollar las habilidades esenciales para el siglo en que vivimos.

La IA puede ser la respuesta a algunos de los problemas que enfrentan los sistemas educativos actuales, pues permiten la personalización del programa educativo de acuerdo a su perfil y necesidades, además de ofrecer herramientas inteligentes de tutoría que permiten enseñar y aprender habilidades específicas.

“Uno de los retos que enfrentan las economías emergentes es escalar el proceso de enseñanza y aprendizaje de calidad”, aseguró Gustavo Parés, director general de la empresa de inteligencia artificial Nearshore Delivery Solutions. “En este sentido, la inteligencia artificial y el cómputo cognitivo aplicados a la educación van a ser la única posibilidad de las economías emergentes para superar las barreras estructurales que mantienen el rezago educativo”, agregó.

A continuación te compartimos cinco formas en las que esta nueva generación de tecnologías puede apoyar a la educación:

1. Programas educativos adaptados a los estudiantes

Un ejemplo de educación adaptada a las necesidades de los estudiantes es la herramienta desarrollada por  la editorial de libros de texto McGraw-Hill. La plataforma online, que utiliza inteligencia artificial, reacciona al progreso de cada alumno y diseña cursos enfocados en sus puntos débiles. Esto significa que habrá un programa específico pensado en las limitantes y ventajas de cada estudiante, en lugar de modelos unificados para todos los alumnos.

La herramienta, también habilitada para profesores, permite dar seguimiento a cada uno de los estudiantes y responder de acuerdo a sus necesidades particulares.

2. Ofrecer una enseñanza multi-canal

La integración de la IA en la educación produciría una descentralización de los espacios educativos. Mediante la implementación de estos sistemas, los estudiantes serán capaces de aprender sin importar dónde se encuentren.

Tecnologías como realidad aumentada e Internet de las cosas contribuirán con la inteligencia artificial para ofrecer una experiencia educativa más integral, atractiva y profunda.

En primera instancia, el alumno adquirirá conocimientos básicos, pero conforme estos se perfeccionan, los servicios y conocimiento que ofrezcan serán cada vez más complejos y refinados, lo que podría cambiar radicalmente la manera en la que concebimos los espacios educativos.

3. Ayudarle al profesor a calificar

De aplicarse de manera extendida, la inteligencia artificial desempeñaría funciones en el ámbito educativo como calificar, lo que daría al profesor el tiempo necesario para actualizarse o dedicar la atención que cada alumno requiere de él.

La docencia, como muchas otras profesiones, es una carrera en la que el profesional debe mantenerse actualizado, pues el conocimiento se renueva con cada avance, por lo que este tipo de herramientas resultarían invaluables como apoyo.

4. Nuevas herramientas de aprendizaje

El desarrollo de la IA propiciará la creación de nuevas herramientas de enseñanza, por ejemplo, el sistema de inteligencia artificial de IBM, Watson. Su herramienta Teacher Advisor permite orientar a profesores de primaria y los provee de herramientas de aprendizaje para los alumnos, personalizadas de acuerdo a tema, grado escolar y tipo de actividades.

El gran diferenciador del Teacher Advisor de Watson es que, al estar impulsada por inteligencia artificial, su motor de búsqueda se refina con cada uso, ofreciendo resultados cada vez más certeros y relevantes.

Otra herramienta de apoyo a profesores es G Suite for Education de Google, que aprovecha la IA para crear experiencias educativas más completas y eficientes. Actualmente se compone de herramientas ya conocidas de Google como Docs, Drive, Gmail y Calendar, pero diseñadas con características inteligentes que facilitan la vinculación con estudiantes y profesores.

5. Enseñanza sin barreras

En ocasiones aprender puede llegar a ser una experiencia intimidante que puede ocasionar que los estudiantes frenan su proceso de aprendizaje por miedo a equivocarse. La inteligencia artificial ofrecería a los alumnos una alternativa para experimentar y aprender sin temor a ser juzgados o a convertirse en objeto de burlas; la inteligencia artificial, como los estudiantes, perfecciona y afina sus conocimientos cuando aprende de sus errores.

Aún cuando probablemente no veremos un cambio importante en materia de tecnologías de IA en los próximos 10 o 20 años, es importante señalar la velocidad con la que se desarrolla esta tecnología que se integra cada vez más a diferentes aspectos de nuestras vidas.

*Fuente: https://mba.americaeconomia.com/articulos/notas/5-cosas-que-la-inteligencia-artificial-puede-hacer-por-la-educacion

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Costa Rica carece de calidad educativa ante el cambio tecnológico

 Especialistas internacionales destacan urgencia para iniciar procesos; autoridades universitarias destacan esfuerzos que realizan

América Central/Costa Rica/Carlos Cordero 

La Universidad Hispanoamericana cuenta un laboratorio de ingeniería con aplicaciones para Internet de las cosas, inteligencia artificial y telemática desde el 21 de agosto pasado. Invirtió en este más de $500.000.

A la par tiene un centro de simulación donde los estudiantes de ingeniería, informática, electrónica y administración de negocios interactúan en la toma de decisiones en gestión, operación y mercadeo con las nuevas tecnologías en casos empresariales reales.

«Estamos respondiendo al reto que implican estos procesos tecnológicos», dijo Jeffry Jones, gerente de la Universidad Hispanoamericana.

Costa Rica tiene la cobertura educativa, centros académicos y técnicos, y universidades para preparar el talento que se requiere ante el cambio tecnológico y los empleos del futuro. En lo que debe mejorar es en calidad, competencias y perfiles, así como en la respuesta de las autoridades de educación para aprobar la actualización de las carreras universitarias.

“La buena noticia es que el cambio se puede hacer en poco tiempo”, afirmó Felipe Child, socio de McKinsey & Co., durante un evento el pasado 7 de noviembre y organizado por la Coalición Costarricense de Iniciativas de Desarrollo (Cinde).

Entre los cambios propuestos está fortalecer las áreas de ciencia, tecnología, ingeniería y matemática (conocidas en inglés como STEM), la formación en idiomas, técnica y vocacional, y elevar la inversión en calidad educativa.

Aparte de responder a las exigencias del empleo del futuro, también se debe mejorar la posición educativa a nivel global.

Costa Rica retrocedió en el diagnóstico del Programa Internacional para la Evaluación de Estudiantes (PISA, por sus siglas en inglés), realizado la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económicos (OCDE) en matemáticas, ciencias y lectura en el 2015, con respecto al 2012. El país se ubicó en el puesto 55 de 72 países evaluados.

La Universidad Hispanoamericana cuenta con laboratorios de Inteligencia Artificial Industria 4.0 y usa tecnologías de simulación. En la foto, Ana Catalina Leandro, coordinadora del laboratorio, y la estudiante Kristie Herrera en el Laboratorio Integrado de Ingenierías, ubicado en la sede de la universidad en Barrio México. (Mayela López)
Competencias para el futuro

Que los cambios en el sistema educativo se puedan implementar con metas a diez años no implica empezar después de que se despejen los nublados del día.

Lo que más llama la atención es la brecha de los centros educativos y el mercado de empleo, pues a nivel docente se piensa que preparan a sus estudiantes para el mercado laboral mientras en las empresas creen lo contrario.

«Debemos pensar si es educar por educar o educar para la empleabilidad», recalcó Luis Gamboa, presidente de Cinde.

Las nuevas tecnologías, aparte de sustituir oficios, transforman las operaciones, advirtieron también Fabio Gandour, jefe científico de IBM Research en Brasil, y Sara Skvrisky, directora de investigación del Institute for the Future, de Palo Alto, California, en la actividad de Cinde.

Eso exige estrategias de educación a los niños que ingresan a la escuela para trabajos que hoy no existen. «Los cambios no pueden abordarse con métodos tradicionales», dijo Skvrisky.

La especialista explicó que las nuevas realidades exigen el aprendizaje continuo y el cambio de rol de los docentes, así como nuevas habilidades (véase recuadro «Educación del futuro»)

Fuente: http://www.elfinancierocr.com/tecnologia/costa-rica-carece-de-calidad-educativa-ante-el/WJIVNDOFAJF3ZHQ5DBLT4P27Z4/story/

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México: La inteligencia artificial demanda un cambio en las habilidades laborales

México/13 de Noviembre de 2017/Expansión

La llegada de la tecnología a las empresas genera un cambio en los modelos de gestión, que deben ser tan disruptores como la tecnología.

Los cambios tecnológicos avanzan cada vez con mayor rapidez, pero en el centro de esta transformación de las empresas siguen estando las personas. Eso sí, con cambios en sus habilidades y sus fórmulas de gestión, afirmó José María Zas, presidente y CEO de American Express México, Latinoamérica y El Caribe. La pregunta es: ¿cuáles son esas skills que ya se requieren en los colaboradores?

«Tenemos que enseñarle a la gente a pensar en resolver problemas. Y, para eso, hay que cambiar el sistema educativo», advirtió el directivo durante su participación en un panel sobre tendencias en la fuerza laboral, dentro del Women’s Forum que se celebra hoy y mañana en la Ciudad de México.

El planteamiento sigue la línea esbozada también por Esther Wojciki, consultora de tecnología educativa y vicepresidenta de Creative Commons. Para la especialista, que también es educadora, los programas de estudio deben dedicar al menos 20% de su tiempo al desarrollo de las ideas del estudiante, para fomentar su espíritu emprendedor y de resolución de problemas. Para que, más allá de memorizar, tengan iniciativa para hacer cosas. «Y que si no funciona, no pasa nada, prueban otra vez. Hay que hacer las cosas. No le damos a un niño un libro para aprender a montar en bici», sostuvo.

Y, en ese sentido, hay que empezar a empoderar a las mujeres desde etapas tempranas, durante las primeras fases educativas, para que se sientan empoderadas.

Eso evitará que sigan tendencias como que solo 10% de los emprendimientos que se acercan a fondos de inversión en busca de capital están liderados por mujeres, explicó Christine Kenna, principal del fondo Ignia. La especialista agregó que la mitad de las inversiones que realizó su firma el último año estuvieron destinados a proyectos de tecnologías financieras (fintech), un área en el que suele haber más hombres.
Para Zas, las empresas pueden llevar a cabo acciones muy sencillas que impulsan el cambio, como asegurarse de que en los procesos de selección haya hombres y mujeres y se elija al más calificado. «El cambio inicia con cosas básicas como esa. Pero es necesario que haya un líder en la organización que marque el camino y que tenga el compromiso».

Ahí entra en juego también la labor de eliminar sesgos, afirmó Kenna, quien puso como ejemplo la visión que se tiene de un hombre sin experiencia, al que se le da la oportunidad de aprender porque creen que puede manejar bien el equipo, frente a una mujer en las mismas condiciones, a la que se considera que le faltan habilidades.

Los cambios en los modelos de gestión que está impulsando la tecnología no solo deberían llevar a mayor diversidad en cuestión de géneros en el ámbito laboral, también de pensamientos, agregó el CEO de American Express. «Hablamos mucho de diversidad de género, pero la clave está en la diversidad de quien piensa diferente. Hoy, 80% de los universitarios quieren ser emprendedores porque sienten que tienen la libertad de hacer las cosas».

Incluso, los nuevos trabajadores han cambiado sus aspiraciones de empleo. Hoy una gran parte del talento no quiere ir a trabajar a un gran banco, sino que busca una oportunidad en emprendimientos fintech, donde siente que su trabajo tiene impacto, apuntó Kenna. «Mi preocupación es el pipeline de mujeres. Si 80% de la decisión de compra viene por parte de una mujer, debería haber más emprendedoras creando empresas en el sector porque son quienes tienen la visión del servicio», destacó.

Zas insistió en que el rol del líder es fundamental en este proceso, ya que mientras antes su función era administrar, hoy es transformar, ya que desde el mercado hasta el talento, todo, está en constante evolución y las empresas deben adaptarse a ello.

Fuente: http://expansion.mx/carrera/2017/11/08/la-inteligencia-artificial-demanda-un-cambio-en-las-habilidades-laborales

 

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7 Tendencias Actuales (Y del Futuro) en Tecnología para la Educación

Colombia / 5 de noviembre de 2017 / Autor: Susana Angulo / Fuente: Enter

La tecnología al servicio de la educación está evolucionando constantemente, por lo que cada vez vemos nuevas aplicaciones para el aprendizaje. Las innovaciones tecnológicas nos proveen de muchas experiencias y posibilidades que eran solo deseos para las generaciones de estudiantes del pasado.

The Next Web hizo una lista de las cinco tendencias tecnológicas para la educación de 2017, entre las que están la realidad virtual y el uso de videojuegos. Hoy te contaremos sobre estas cinco aplicaciones para la educación. Además, te diremos cuáles son las dos tendencias en educación para los próximos años.

1.Realidad Virtual

No hay duda de que la realidad virtual se está colando en muchos aspectos cotidianos. Más allá de los videojuegos, esta tecnología está llegando fuertemente a la salud, al entrenamiento deportivo, a la publicidad y también en la educación. Básicamente, el VR nos brinda un elemento visual que hace el aprendizaje mucho más interactivo. Podemos ver sobre lo que estamos leyendo y esto representa un cambio impresionante.

¿Te acuerdas del capítulo de ‘Los Simpsons’ (de hace 24 años) en que Lisa se imagina una escuela con cascos de realidad virtual para aprender cómo fueron las guerras del pasado en clase de historia?

 

 

 

 

Bueno, esa ilusión futurista de Lisa ya es tan real como la presidencia de Donald Trump. Uno de los puntos a favor de esta herramienta es que ya hemos llegado a un punto en que tenemos múltiples soluciones económicas de VR, como el Google Cardboard, por ejemplo. La realidad virtual nos permite un aprendizaje más sútil y llamativo para las generaciones multimedia. Los libros y las fotos ya no son los únicos aliados de los maestros.

2. Educación móvil

En la vida tan agitada que tenemos es muy difícil adquirir nuevas habilidades y conocimientos. Nos pasamos el día entre el transporte público, nuestros lugares de estudio o trabajo, y la casa. Por esto, las aplicaciones móviles nos ayudan a aprender en el camino. Tenemos todo un universo de información a disposición de nuestros dedos (y de un buen plan de datos móviles).

Tenemos la posibilidad de decidir cuándo estudiar y cómo hacerlo. Además, no hay límites para este aprendizaje. Incluso los conocimientos prácticos, como aprender a programar o tomar fotos, pueden ser dictados con herramientas de transmisión en línea de pantallas de computador, por ejemplo.

3. Videojuegos para aprender

Agregar elementos de videojuegos a la educación tiene múltiples beneficios. Los estudiantes tienen la sensación de estar en ambiente progresivo y además ofrecen interactividad, incluso con materiales tangibles. No obstante, es un poco difícil encontrar ideas de juegos que sean adecuados. Es decir, debe existir un equilibrio entre la diversión y la practicidad de un videojuego.

Los videojuegos para la educación están creciendo en el mercado y sus márgenes de ingreso son cada vez mayores, según una investigación de M2 Research. Además, sus usos van más allá de los colegios o las universidades. Las empresas están adaptando videojuegos para capacitar a sus empleados, por ejemplo.

4. Lluvia de sitios de aprendizaje online

Cada vez hay más y más sitios que ofrecen cursos online y esto nos facilita la tarea de encontrar un programa que se adapte a nuestras necesidades. El aprendizaje online es una tendencia de hace varios años, pero hoy más de nunca, encontramos múltiples ofertas de distintas especialidades y también cursos dictados por prestigiosas universidades de todas partes del mundo.

La educación online está disponible 24/7 y es más conveniente que cualquier tipo de aprendizaje que jamás haya existido. Si no sabes el idioma de un curso, puedes ponerle subtítulos a las clases. Si no tienes tiempo en el día, puedes tomar tu clase por la noche, o enviar sus tareas en la mañana. Todo es online y la mayoría son gratis.

5. La creatividad es la madre de la educación

El movimiento conocido como ‘hacedores’, motiva a los estudiantes a construir y crear nuevas cosas basados en sus ideas y su creatividad. Y para eso existen plataformas como Arduino, donde las personas pueden crear circuitos eléctricos con libertad, en línea, y sin ningún conocimiento previo. Este tipos de herramientas hace del aprendizaje una labor más activa y además incentiva a los potenciales inventores a seguir sus sueños.

Lo que se viene

6. Inteligencia artificial

Sí, es predecible. La inteligencia artificial está en todo. Pero la educación es una de esas áreas en las que se suele ser más conservador a la hora de aplicar nuevas tecnologías. Es por eso que aún no vemos muy claro cómo usar la AI en aulas de clase, físicas o virtuales.

Pero la AI tiene mucho que ofrecer, según TeachThought. Algunos posibles usos, que seguramente veremos en los próximos años pueden incluir calificación automática de exámenes y tareas, adaptación personalizada de software educativos y tutorías personalizadas.

7. Implementación completa

Algunas tecnologías, como almacenamiento en la nube, tabletas para colegios, videojuegos educativos o asignaturas en línea; serán, en el futuro, la regla y no la excepción. Ya no serán tendencias extravagantes, sino la forma convencional de hacer las cosas.

¿Pasará como en Los Simpson que el director Skinner mandó a destruir todos los libros de papel ante un sistema de tabletas en la primaria de Springfield? Quizá no. Pero definitivamente vamos a ver a la tecnología como un viejo compañero de estudios, y no como un niño nuevo.

 

 

 

 

Fuente del Artículo:

http://www.enter.co/cultura-digital/el-popurri/educacion/

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México: alianza busca atacar deficit de talento tecnológico en México

América del norte/México/04 Noviembre 2017/Fuente: mba.americaeconomia

Si bien México es referente en industrias como automotriz, electrónica y manufactura, la implementación de inteligencia artificial (I.A.) apenas despunta en estos sectores. Especialistas creen que, dentro de los próximos 20 años, la I.A. podría cambiar radicalmente la cadena de producción y suministro, sin embargo, esto sólo será posible si se ataca el déficit de talento que existe en este rubro.

En busca de generar el talento en I.A. que necesitan las industrias, la empresa de inteligencia artificial Nearshore Delivery Solutions y el Tecnológico de Monterrey anunciaron una alianza para crear un programa educativo que dotará a los alumnos de las competencias necesarias para comprender mejor estas tecnologías y cómo pueden aplicarse en las empresas.

“Requerimos que los egresados tengan competencias para darle un valor real a las empresas y a los clientes de todas las industrias en el país”, aseguró Gustavo Parés, director general de Nearshore Delivery Solutions.

“Se trata de un enfoque práctico en temas de informática, negocios, procesos productivos y de ventas”, agregó.

El programa, denominado como “Experiencia i”, está dirigido a alumnos que tengan interés por participar en proyectos en donde la teoría es puesta en práctica directamente en empresas, empezando con General Electric y su plataforma industrial basada en la nube conocida como Predix.

De acuerdo con Parés, de esta manera los estudiantes podrán implementar las diferentes competencias que han aprendido como es el Internet de las cosas, bases de datos avanzadas, desarrollo de cómputo en la nube, entre otras.

El curso hará un énfasis en el Internet de las cosas industriales, que consiste en la optimización y monitoreo de indicadores clave, es decir, trabajarán con robots que fabrican piezas, con el añadido de que estos se encuentran conectados con sistemas de información que permiten unirlos a su cadena de valor y a la toma de decisiones.

“El Internet de las cosas permite que un robot optimice y estudie la forma de actuar de las máquinas con base en planes de producción y mejoras en el proceso de las líneas de ensamble”, apuntó Gustavo Parés. “Esto se traduce en un proceso más integral y un mayor aprovechamiento de los procesos”, añadió.

Fue la empresa General Electric quien ha puesto la mira en este tipo de programas, con la finalidad de impulsar la industria conocida como 4.0 en México y competir con las potencias a nivel mundial en materia de fábricas inteligentes.

“Es algo muy nuevo, y eso es uno de los motivos principales por el cual diseñamos este proyecto con el TEC. Requerimos que los alumnos tengan las competencias interdisciplinarias que México necesita para ser visto como referente en la industria”, concluyó Parés.

Fuente: https://mba.americaeconomia.com/articulos/notas/alianza-busca-atacar-deficit-de-talento-tecnologico-en-mexico

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