Page 2682 of 6794
1 2.680 2.681 2.682 2.683 2.684 6.794

En attendant Jean–Michel Blanquer, la CGT Educ’action Mayotte dénonce une rentrée scolaire marquée du sceau de la précarité

Africa/ Mayotte/ 17.09.18/Par Emmanuel Tusevo/Source: la1ere.francetvinfo.fr.

La CGT Educ’action Mayotte dénonce une rentrée scolaire marquée du sceau de la scolarité et prévient qu’elle ne se contentera pas d’un simple « tour de piste » du ministre de l’Education nationale durant sa visite à Mayotte les 27 et 28 août prochain.

Une rentrée sous le signe de la précarité pour la CGT

« Cette rentrée scolaire 2018 est marquée par le sceau de la précarité. Précarité pour les très nombreux contractuels, les plus nombreux dorénavant dans le second degré. Précarité juridique également pour les titulaires dont les droits ne sont pas respectés par un gouvernement avant tout soucieux de faire des économies sur leur dos. Précarité pour ceux qui sont privés de leurs droits et ainsi en situation délicate compte tenu de la fermeture du service des étrangers de la préfecture. Précarité aussi et avant tout pour tous les élèves de Mayotte dont les conditions d’accueil sont toujours plus dégradées et la scolarité toujours davantage au rabais », précise la CGT Educ’action dans un communiqué publié le 22 août 2018.

« Un nouveau vice-recteur est arrivé, et on nous annonce la venue d’un ministre. La transformation du vice-rectorat en rectorat serait programmée. Soit, et après ? » interroge l’organisation syndicale qui prévient qu’elle ne se satisfera pas d’un simple « tour de piste » ministériel (un de plus) ou encore de la simple transformation du vice-rectorat en rectorat sans moyens supplémentaires. Le syndicat estime que le plan gouvernemental annoncé en mai dernier doit être précisé, détaillé et les engagements financiers de l’Etat doivent être fermes.
« A ce stade, nous n’y avons vu que des annonces en trompe-l’œil ou si peu précises qu’elles ne laissent aucunement entrevoir un engagement fort de l’Etat pour l’indispensable développement de notre service public d’éducation. »

« Mayotte mérite mieux qu’une politique d’affichage ! La visite du Ministre doit être l’occasion d’annonces concrètes démontrant la volonté du gouvernement de déployer dans le département le choc d’investissement public que nous revendiquons avec constance depuis plusieurs années. », ajoute encore la CGT Education Mayotte.

Titulaires : « circulez, vous n’avez plus rien à faire ici » ?

Pour la CGT Educ’action, les signaux qu’envoie le ministère de l’Education nationale sont tout autres. « C’est le moins que l’on puisse dire, notamment en ce qui concerne sa volonté d’attirer à Mayotte des titulaires.  Ainsi, une circulaire publiée opportunément en juillet à la veille des vacances scolaires, prive de nombreux agents de leurs droits à percevoir l’indemnité d’éloignement. Certains sont même sommés par l’administration de rembourser des indemnités déjà perçues ! Nous étudions la légalité de la procédure mais, une nouvelle fois, le ministère démontre son mépris pour ses agents. Les conséquences en termes d’attractivité seront de nouveau négatives. Comment les collègues pourraient-ils s’inscrire à Mayotte dans la durée si les règles changent de cette manière, sans préavis et sans respect des engagements moraux ?
Les circulaires sont faites pour circuler. Les titulaires, quant à eux, circuleront…dans d’autres académies. Mais au fond, n’est-ce pas l’objectif poursuivi par ce gouvernement, dont la politique actuelle est la précarisation de l’ensemble de la fonction publique ? », demande l’organisation syndicale.

Contractuels : une gestion qui continue de poser question

« Mais qu’en est-il de la gestion des personnels contractuels (enseignants du 1er et du 2nd degré, personnels de vie scolaire, personnels administratifs, personnels de santé, assistants sociaux…) toujours plus nombreux à être employés par le vice-rectorat ?

La CGT Éduc’action Mayotte a eu l’occasion, à plusieurs reprises, de mettre en lumière la manière inacceptable dont ils sont gérés individuellement et collectivement.

Nous constatons pour cette rentrée encore de nombreuses situations préoccupantes : non-renouvellement pour des raisons obscures, affectation aléatoire et parfois non-respect des règles d’ancienneté, contractuels en CDI sans poste,…

La CGT Education Mayotte intervient sur de nombreux dossiers individuels mais continue de demander une réelle concertation sur les modalités de gestion de ces personnels, une négociation sur leurs conditions d’emplois ainsi qu’un plan de formation et de titularisation digne de ce nom. »

Lycée polyvalent de Kahani
Lycée polyvalent de Kahani

 

Au lycée de Kahani et partout à Mayotte : une rentrée en mode dégradée

« Enfin, nous ne pouvons pas conclure ce communiqué sans évoquer la situation catastrophique du lycée de Kahani. Chacun se souvient du droit de retrait légitimement exercé par les personnels de Kahani et des besoins humains et matériels dont l’établissement a besoin pour fonctionner normalement, de l’aveu de tous.

Devant cette situation dramatique, la réponse du vice-rectorat est la suivante : 150 élèves supplémentaires, de nouvelles sections mais une fin de non-recevoir à la demande de création d’un poste de CPE, une réduction drastique de la dotation horaire conduisant à l’augmentation des heures en classe complète et l’abandon forcé de dispositifs éducatifs ! »

« Face à la pénurie de locaux, des classes d’élèves n’ont ainsi plus de salles attitrées dans leurs emplois du temps. La rotation, qui gangrène le premier degré, s’installe donc dorénavant dans les établissements du 2nd degré… En effet, depuis trois ans maintenant, l’installation de nouvelles salles de classes est promise, sous forme d’ « algécos » (solution précaire et peu satisfaisante car c’est de nouveaux établissements à taille humaine dont nous avons besoin). Il n’en est rien pour cette rentrée encore, il faudra attendre… »

« Le Lycée de Kahani est le symbole de la déliquescence de notre service public d’éducation, qui touche l’ensemble des établissements du 1er comme du 2nd degré. La CGT Éduc’action Mayotte ne doute donc pas que M. Blanquer aura à cœur, lors de sa visite à Mayotte, de se rendre au lycée de Kahani pour rencontrer la communauté éducative et faire des annonces concrètes ouvrant de véritables perspectives d’amélioration des conditions d’accueil des élèves et de travail des personnels », écrit en conclusion la CGT Educ’action Mayotte.

Source des nouvelles: https://la1ere.francetvinfo.fr/mayotte/attendant-jean-michel-blanquer-cgt-educ-action-mayotte-denonce-rentree-scolaire-marquee-du-sceau-precarite-620438.html

Comparte este contenido:

Los retos de Puerto Rico para ampliar el acceso a la educación superior los comparte el resto de Latinoamérica

Centro América/Puerto Rico/17.09.18/Fuente: www.elvocero.com.

Líderes de los sectores público, privado y expertos en educación superior coincidieron en la importancia de apremiar la utilización de las últimas tecnologías, con el objetivo de hacerle frente al desafío de acrecentar la accesibilidad a la educación superior en poblaciones menos favorecidas, excluidas social y territorialmente del desarrollo humano sostenible.

Los puntos de convergencia fueron atados durante la mesa redonda con la cual inició el Foro Anual de Educación Superior, el Ilumno Summit 2018, que se llevó a cabo durante tres días.

El evento -organizado por Ilumno, la innovadora red de instituciones de educación superior y la mayor en América Latina, ha logrado convocar a ejecutivos de corporaciones, dirigentes empresariales y altos funcionarios públicos de la región para discutir las oportunidades y desafíos que presenta la transformación digital en la Educación.

Puerto Rico estuvo representado por la Ing. Gladys Nieves, Presidenta de EDP University of Puerto Rico, Inc. la primera universidad en territorio de Estados Unidos en pertenecer a la Red Ilumno.

La sesión, moderada por Adriana Angarita Cala, rectora de la Universidad del Istmo de Panamá y presidenta de la Asociación de Universidades Particulares de Panamá (AUPPA), planteó diversas formas prácticas para innovar e incrementar el acceso a la oferta académica universitaria, sobre todo para los estudiantes en la base de la pirámide y de aquellos ubicados en áreas alejadas de los centros urbanos.

“De igual manera, hay millones de hispanoparlantes viviendo en los Estados Unidos, que no están siendo servidos por su sistema de Educación Superior. En la actualidad, 1/3 parte de nuestros estudiantes no viven en Puerto Rico, y están visitando EDP University para programas semipresenciales o 100% virtuales, aportando a nuestra economía”, reconoció la Ing Nieves.

Fuente de la noticia: https://www.elvocero.com/actualidad/los-retos-de-puerto-rico-para-ampliar-el-acceso-a/article_9ccb8eb4-b79e-11e8-a8ef-770a92f88258.html

Comparte este contenido:

How kids in a low-income country use laptop —lessons from Madagascar

Africa/Madagascar/17.09.18/Source: mg.co.za.

Every child, no matter what country they’re from or their social background, should have the chance to use and learn about technology. That’s the thinking behind a number of projects led by international organisations like UNESCO and UNICEF. They hope to bolster education and economic growth by making digital technologies available in the developing world.

The One Laptop Per Child project was a pioneer in this field. This educational project, launched by the MIT in 2005, produces laptop computers suitable for children aged between 6 and 12. These are loaded with an operating system that features free educational software called Sugar. The programme has been rolled out at schools in more than 30 countries.

The project aims to equip all primary school children and all teachers with computers in a way that involves communities and that ensures everyone feels a sense of responsibility for the equipment. For example, kids aged six to 12 own their computers and can take them home to use.

Research shows that using technology in school makes children more engaged with learning. We wanted to know how children in low-income countries use laptops in their everyday lives; in school and after class. To find out, we embarked on a study in a village in Madagascar four years after the project was launched there.

Our results show that the use of computers in low-income countries supports formal and informal learning activities at home. It provides easy access to information, educational games and tools for self-expression.

Use at school

Madagascar, an island nation off Africa’s southeast coast, is extremely poor: 75% of the population (25 million) live below the poverty line, and the country scores low on the human development index, performing poorly in areas like education and living standards.

The study was conducted in a village located on the island of Nosy Komba, in the northeast of the country. Laptops are seen among residents there as high status objects because they cost a lot of money. None of the parents we interviewed could afford to buy one. They also have a high symbolic value: parents believe that if their children can master laptop use they will become more intelligent and develop professional skills.

A programme was rolled out in the village by One Laptop Per Child France and another French organisation, Gducœur. They supplied laptops and provided technical, logistical, administrative, financial and educational support. The laptops were given to 160 children aged between 5 and 15 enrolled in the village’s primary school.

Our analysis was both quantitative and a qualitative. We examined logs that showed which applications the children had used on their laptops during the previous 12 months; we analysed what they’d produced – for instance, recorded files. And we interviewed the children and their parents.

The results showed that the laptops were used very differently at school and in the children’s homes. At school, computers were generally used to learn about word processing, to play educational games and to support creative activities (drawing, digital story telling). Computers were also used as a virtual learning environment that offered a range of resources unavailable in the classroom like calculators, ebooks, maps, a watch, measuring tools and so on.

At home the children, like their peers in developed countries, largely used computers to take photos or make videos, listen to music, play games, share content and do homework. The younger children tended to use fewer reading and writing applications. Those in the equivalent of fourth and fifth grade used more digital books; they also shared images and videos more frequently with their friends.

Similarities and differences

Our findings suggest that developing countries like Madagascar have something in common with western nations when it comes to laptop use, such as how the children used the computers at home.

But there was one marked difference: computer use in Madagascar tended to be a collective rather than an individual practice. Children and their families would gather around one laptop to play educational games, take photos or make videos. Computers were being used to strengthen existing social relations among siblings, parents and peers.

All of this is important and valuable. Laptops have introduced the children of Nosy Komba to previously inaccessible tools. But we found that original projects were limited. While applications used were designed to foster creativity, children need support to develop creativity skills.

Educators have a crucial role to play here. They can help to nurture children’s creativity: the can help them to connect their lived experience and to express their imagination to produce original content. This will unlock new forms of expression and different kinds of literacy, including visual.

Source of the notice: https://mg.co.za/article/2018-03-20-how-kids-in-a-low-income-country-use-laptop-lessons-from-madagascar

Comparte este contenido:

Namibia: There Is No Place for Racism At Institutions of Higher Learning – Kandjii-Murangi

Africa/Namibia/17.09.18/Source: allafrica.com.

The Minister of Higher Education, Training and Innovation Dr Itah Kandjii-Murangi says racism will not be condoned in the education and training sphere in Namibia.

Addressing staff members of the Namibia Institute of Mining and Technology (NIMT) southern campus at Keetmanshoop yesterday, Kandjii-Murangi spoke out strongly against those trying to destroy the institution from within, pointing out racism as one destructive factor that must be condemned within the education and training field.

She said there is no place for racism in institutions of training such as NIMT, as such institutions are meant for all Namibians irrespective of their background, race or creed. She warned those with such tendencies to stop and called on staff to stay away from people with such tendencies.

«If we talk about racial matters, what are we saying about our policy of reconciliation? Let us stand together as Namibians – issues of racism do not have a space in the landscape of training and education, it does not have space here, and if you are here and you think you can play that card, then this is no space for you here at all.»

She further called on those with racism tendencies to stop, saying such people are polluting the minds of the Namibian youth who are the gems of the country, noting that Namibia has already been through a lot as a result of racial division and cannot afford to go back to the past. She called on everyone to work as a team and not allow NIMT to be destroyed from within.

The education minister added that NIMT has grown into a reputable institution and thus such respect cannot be thrown away in the dustbin due to a few troublemakers, and urged all staff members to guard against being used by some rotten apples.

«Let us guard against whatever element … we have identified is polluting others. There will be many storms as in any house, and as we know in any institution there will be that indecent person, that rotten apple,» she said.

She noted that NIMT has become a family of people who have nurtured certain values and principles – principles of excellence, respect and harmonious co-existence, effective communication, caring and going an extra mile for its trainees and thus such a culture should not be compromised.

She furthermore said that Namibia has entrusted the training and educating of its youth to NIMT, but training will not go well if those who are supposed to train these youths are pulling in different directions, and therefore everyone must work towards the same objectives.

«Namibia has entrusted the training and educating of its youth to you, now if you are divided, if you do not see eye to eye, how are you going to train the youth of this country? How are you going to put them on the right path? How are we preparing them to become agents for industrialising this country?»

Source of the notice: https://allafrica.com/stories/201809130221.html

Comparte este contenido:

Sri Lanka: Education Minister in another bid to buys tabs for students

Asia/Sri Lanka/17.09.18/Source: www.newsfirst.lk.

A census conducted by the Ministry of Education for the year 2017 confirmed that 433 schools in the Island did not receive a single Grade One application last year.

A majority of these schools are established in rural areas. The rural community has become frustrated with the schools due to the lack of resources. Over the past few days, News 1st reported on this crisis, but this, in fact, was just the tip of the iceberg.

A recent Cabinet paper clearly indicates that the government has no proper vision and does not understand the reality on the ground when preparing policies. This Cabinet paper was put forward yesterday by the Subject Minister and is likely to be approved at the upcoming meeting of the Cabinet of Ministers.

This Cabinet paper includes a programme to provide Tabs to Advanced Level students and teachers of 353 national schools. The programme is to be carried out at a cost of over Rs. 1 billion in public funds.

Rather than utilizing public funds to resolve the crisis surrounding the physical and human resources of the nearly 4.5 million students at government schools, is it practical to invest in Tabs for these children?

Source of the noticie: https://www.newsfirst.lk/2018/09/12/education-minister-in-another-bid-to-buys-tabs-for-students/

Comparte este contenido:

Educación, bases para el acuerdo

Por José Manuel Bujanda

EL proceso para definir el Sistema Educativo abierto por el Departamento de Educación del Gobierno Vasco en septiembre del año pasado con el objetivo de alcanzar un Acuerdo por la Educación en Euskadi dio hace unos seis meses, concretamente el pasado 5 de febrero, un salto realmente importante y cualitativo. Ese día la consejera de Educación, Cristina Uriarte, presentó ante una treintena de agentes educativos el documento denominado Bases para el Acuerdo elaborado durante los últimos meses. En dicho documento se recogían aquellos aspectos que generaron consenso entre los integrantes. Este recorrido responde al calendario de acciones establecido en septiembre del año pasado cara a una futura Ley de Educación para el conjunto del Sistema Educativo Vasco.

Con este espíritu se conformaron en su día cinco grupos en función de los contenidos a tratar mediante un proceso participativo por personas conocedoras y cualificadas en cada una de las temáticas tratadas en profundidad;a saber, de una manera muy resumida y sucinta:

Convivencia: eje vertebrador de una escuela cohesionada que proponga modelos de intervención integrados y flexibles que garanticen oportunidades educativas de calibre para un alumnado diverso y centros educativos con singularidades propios. Considero importante señalar el objetivo de crear mecanismos de garantía en el acceso del alumnado con el fin de lograr una escolarización más inclusiva y equilibrada favorecedora de una mayor convivencia, cohesión social y la corresponsabilidad, fundamental, de las familias y agentes educativos para favorecer la convivencia.

Lenguas: el texto subraya que la formación del profesorado es imprescindibles para profundizar en prácticas innovadoras de enseñanza de las lenguas y constata que la responsabilidad compartida de la sociedad es una de las bases para consolidar el plurilingüismo. Se trata de conformar un marco propio plurilingüe con el euskera como eje central.

Evaluación: el documento plantea la conveniencia de crear un marco propio de evaluación para la mejora continua de nuestro sistema educativo y de fomentar una mayor autonomía en los centros para el mejor desarrollo de los proyectos educativos.

Modernización de la Educación y Autonomía de los centros: se insiste en la necesidad de contribuir a la consolidación de un profesorado empoderado y prestigiado que pueda responder a un alumnado con nuevas necesidades.

Es preciso reformular el modelo vasco de educación para adaptarlo al nuevo contexto y con el fin de preparar a la sociedad vasca para hacer frente a los retos que en un futuro inmediato de plantearán

A partir de este momento todos los agentes educativos, profesores, direcciones, familias, sindicatos y patronales educativas han dispuesto de un plazo para realizar las aportaciones y reflexiones que considerasen pertinentes. Recibidas dichas aportaciones el Departamento de Educación procedió a su vez a remitir el documento resultante al Consejo Escolar de Euskadi que a su vez recorrió un proceso propio e interno con el objetivo de trasladar de vuelta al Departamento de Educación las consideraciones adoptadas al respecto.

Así, el Consejo Escolar de Euskadi analizó el documento y tras su aprobación por mayoría trasladó al departamento de Educación sus propuestas de mejora. Incluidas dichas propuestas de mejora, el Departamento de Educación presentó para su aprobación ante el Consejo de Gobierno la versión definitiva del documento Bases para el Acuerdo. Dicho documento aprobado por el Consejo de Gobierno ha sido remitido ya a su posterior estación, al Parlamento Vasco.

Será la sede parlamentaria, en representación de la ciudadanía vasca, quien en último término mostrará su opinión sobre un texto de origen plural y diverso en cuanto a su creación, y matizado y enriquecido en el Consejo Escolar, órgano, a su vez, representativo del conjunto de la Comunidad Escolar.

El documento identifica tanto el nuevo contexto en el que se ha de mover la educación como los innumerables retos a los que se enfrenta la adaptación del modelo hasta ahora vigente. La transformación del modelo de sistema educativo vasco se convierte así en una necesidad objetiva de carácter estructural y existencial. Tanto el derecho universal de la ciudadanía a recibir una educación de calidad como la asunción de unos valores (democracia, pluralismo político, libertad, consenso, derechos fundamentales, ética, derechos y obligaciones) y que han de ser desarrollados a través de políticas educativas eficaces nos permitirá una sociedad más justa, solidaria y democrática. Ello identifica a la educación como un servicio público fundamental con la correspondiente obligación institucional de hacerlo efectivo.

Es de destacar que este sincero intento por alcanzar entorno a la educación se caracteriza por ser un proceso participativo amplio tal como se elaboraron los Decretos Curriculares. Se trata de un proceso para definir el Sistema Educativo que queremos para posteriormente abordar el cómo. Hay que recordar que la actual Ley en vigor desde 1993 gozó de un importante respaldo, pero en la Euskadi de 2018, 25 años más tarde, muchas cosas han cambiado, también en el ámbito educativo: nuevas tecnologías, impulso a las lenguas, nuevas metodologías, el binomio enseñanza-aprendizaje etc. Los cambios que se han producido desde entonces en la sociedad y, en particular, en el sistema educativo han sido vertiginosos. Es preciso pues repensar y reformular el modelo vasco de educación para adaptarlo al nuevo contexto, al nuevo paradigma, y con el fin de preparar a la sociedad vasca para hacer frente a los retos que en un futuro inmediato se plantearán, también en el ámbito educativo.

Así lo manifestó en su día la consejera Uriarte: “Los cambios que se están dando en la educación y en nuestra sociedad exigen una reflexión y adecuación por parte de las diferentes visiones que conformamos la comunidad educativa vasca. La necesidad de un nuevo Acuerdo para la educación que responda a un propósito común. El diálogo, la reflexión compartida y el acuerdo son las bases sobre los que hemos construido nuestro Sistema Educativo y sobre el que tenemos que pivotar el cambio. Estamos ante un reto colectivo, un reto de País”. Ese es el objetivo, el logro de un suelo común que defina los pilares de la educación y que pueden ser compartidos por toda la comunidad educativa. Y ello en base a las competencias de las que gozamos por el Estatuto en su artículo 16..

Hago mía una reflexión del catedrático de Derecho Internacional Privado de la Universidad del País Vasco y abogado Juanjo Álvarez que como profesor comparto totalmente: “No debemos olvidar tampoco factores de enorme complejidad que rodean su actividad docente y relacional como es el relativo a un alumnado cada vez más exigente;esta conexión entre profesorado y alumnado es complicado de gobernar y ordenar porque demasiadas veces los estudiantes son solo conscientes de sus derechos y no de sus deberes lo que conduce a un debilitamiento de la auctoritas, de la percepción del profesorado como autoridad”. Sí, es un reto colectivo como País, está en juego el futuro de las próximas generaciones, el de nuestra sociedad a futuro.

Estamos ante un nuevo curso escolar, está en ciernes un nuevo curso esta vez político, el Parlamento Vasco abre sus puertas, se presenta, pues, una magnífica oportunidad en la que altura de miras y la responsabilidad compartida en el diálogo serán la clave de bóveda para que Bases para un Acuerdo por la Educación llegue a buen puerto. Sea.

Fuente del artículo: http://www.deia.eus/2018/09/05/opinion/tribuna-abierta/educacion-bases-para-el-acuerdo

Comparte este contenido:

República Dominicana: ADP vuelve a paralizar docencia en centros educativos de SFM y Salcedo

Centro América/República Dominicana/17.09.18/Fuente: www.cdn.com.do.

La Asociación Dominicana de Profesores (ADP) inició este martes un paro de docencia por 72 horas en todas las escuelas de las provincias Duarte y Hermanas Mirabal, luego de la cancelación del director de la Escuela Chiringo, en el municipio Villa Riva, Máximo Mercedes, quien fue desvinculado la pasada semana.

Por su parte, las federaciones distritales de Padres, Madres y Amigos de la Escuela de la Regional 07 de Educación expresaron su firme rechazo a la convocatoria de paralización de docencia.

La docencia está parada en más de 400 centros educativos desde hoy hasta el próximo jueves, en demanda de varias reivindicaciones.

La ADP ha convocado a paralización de las labores de los docentes por cinco días en las últimas dos semanas.

Fuente de la noticia: https://www.cdn.com.do/2018/09/11/adp-vuelve-paralizar-docencia-centros-educativos-sfm-salcedo/

Comparte este contenido:
Page 2682 of 6794
1 2.680 2.681 2.682 2.683 2.684 6.794