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Pedagogia do Oprimido de Paulo Freire – Livro (PDF)

Brasil / 13 de maio de 2018 / Autor: Paulo Freire / Fonte: Anarquista.net

Introdução: As páginas que se seguem e que propomos como uma introdução à Pedagogia do Oprimido são o resultado de nossas observações nestes cinco anos de exílio. Observações que se vêm juntando às que fizemos no Brasil, nos vários setores em que tivemos oportunidade de exercer atividades educativas;

Um dos aspectos que surpreendemos, quer nos cursos de capacitação que damas e em que analisamos o papel da conscientização, quer na aplicação mesma de uma educação realmente libertadora, é o “medo da liberdade”, a que faremos referência no primeiro capítulo deste ensaio.

Não são raras as vezes em que participantes destes cursos, numa atitude em que manifestam o seu “medo da liberdade”, se referem ao que chamam de “perigo da conscientização”. “A consciência crítica -dizem- é anárquica.” Ao que outros acrescentam: “Não poderá a consciência crítica conduzir à desordem”? Há, contudo, os que também dizem: “Por que negar? Eu temia a liberdade. Já não a temo”!

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Fonte da revisão:

Pedagogia do Oprimido de Paulo Freire – Livro

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Cuba exige el nivel B1 de Inglés a sus estudiantes universitarios

Cuba / 13 de mayo de 2018 / Autor: Redacción / CiberCuba

A partir del cuarto año de la carrera, los estudiantes de universidades cubanas deberán tener un nivel B1 de inglés, de acuerdo con el Marco Común Europeo de Referencia para las Lenguas.

Desde el curso 2016-2017 comenzó a aplicarse en toda la Isla la nueva disposición en los programas de estudio de las universidades, con la introducción del plan de estudios E.

Según informó el medio local Escambray, este idioma se imparte mediante cursos en los centros de idiomas de las universidades. Los estudiantes escogen los cursos, en dependencia de las habilidades que posean.

Hace dos años, la Universidad de Sancti Spíritus José Martí Pérez prepara a jóvenes para que luego impartan clases en el nivel de Educación Superior en esta modalidad.

Según Norelys Espinosa Martínez, coordinadora del colectivo de carrera en la Facultad de Ciencias Pedagógicas, «los estudiantes reciben durante los dos primeros años una preparación intensiva como si estuvieran en la modalidad del Curso Regular Diurno —de lunes a viernes— y en los posteriores años, con la ayuda de un tutor son asesores técnicos de la docencia y reciben los contenidos los sábados, como ocurre en el Curso por Encuentros».

“Aspiramos de acuerdo con el modelo del profesional que alcancen el nivel B2, con una eficiencia lingüística, con adecuada articulación”, agregó Martínez.

El entrevistado Lázaro Besada Díaz, quien cursa el primer año de la licenciatura en Educación en la especialidad de Lenguas Extranjeras EDUSUP, opina que “hay que reconocer que el idioma universal es el inglés, y es muy importante porque libros, programas, películas, muchas veces son en inglés, es una experiencia bonita poder comunicarte con otra persona que no hable tu idioma”.

Ante la demanda tecnológica que es hoy un hecho en todo el mundouna de las principales fuentes de información para muchísimos estudiantes, Norelys dice que que han hecho un levantamiento de la cantidad de dispositivos que existen entre los estudiantes.

«Los profesores ya tienen planificadas sus clases de manera digital porque es una exigencia para su uso en las aulas virtuales de la universidad. Hacemos uso de la tecnología en función de la clase, lo que sí no se permite es estar distraídos con los teléfonos. Con las redes wifi ellos también se conectan y buscan información en Internet. Se dispone de laboratorios de Informática a donde también pueden acudir. Cada año tiene una carpeta donde existe la bibliografía básica y la complementaria», expresó.

Es un hecho que el idioma inglés es más que todo una necesidad. En cualquier parte del mundo, incluso en países de habla hispana, manejar ese idioma es requisito indispensable.

En Cuba, con los nuevos contextos que se avecinan, con la avalancha del turismo, no dominarlo se convierte en un handicap.

Hace un mes, el actual presidente de Cuba, Miguel Díaz-Canel, habló sobre la necesidad de prestar atención a la enseñanza del idioma inglés en la Isla, durante la reunión de Balance de los objetivos del año 2017 del Ministerio de Educación Superior (MES).

«El dominio de una lengua, además de la nativa, es hoy requisito en el mundo moderno, y Cuba no puede quedar atrás”, expresó.

Fuente de la Noticia:

https://www.cibercuba.com/noticias/2018-05-10-u1-e186450-s27061-cuba-exige-nivel-b1-ingles-sus-estudiantes-universitarios

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Gestion autonome des écoles: Questions et préoccupations

Banque mondiale / 13 mai 2018 / Auteur: D. Brent Edwards Jr. / Source: L’Internationale de l’Education

La gestion autonome des écoles (SBM) constitue une des principales voies mises en lumière par le Rapport sur le Développement dans le monde 2018 (WDR) de la Banque mondiale, en vue d’améliorer l’éducation. Cela n’a rien de surprenant car depuis 1990, la SBM est une des reformes préférées de la Banque mondiale en matière de gouvernance dans l’éducation. En effet, comme l’avait souligné Dean Nielsen, un ancien Chargé principal d’évaluation au sein du Groupe indépendant d’évaluation de la Banque mondiale, le soutien de la Banque mondiale en faveur de la SBM s’est manifesté dès 1999, à travers sa Stratégie du secteur de l’éducation, sans qu’elle ne produise toutefois « aucune preuve que la SBM altère la valeur des résultats scolaires » (Nielsen, 2007, p. 84). Bien que de nombreux changements aient été observés au cours des vingt dernières années, une lecture plus attentive du WDR 2018 soulève des questions et des inquiétudes quant à la description de la SBM qui en est faite par la Banque mondiale et au bien-fondé des dispositifs SBM, en tant que stratégie pour améliorer la qualité de l’éducation.

La première question qui se pose concerne les définitions. Lorsqu’il est question de SBM, la Banque mondiale n’est pas vraiment précise ni constante sur ce qu’elle entend par ce terme. Le WDR 2018 stipule que le fait «de conférer aux écoles et aux communautés un pouvoir décisionnel et des ressources peut résoudre deux problèmes. » p.149. Tout d’abord, un dispositif SBM « peut encourager les enseignants àréagir instantanément aux besoins de leurs élèves » s’il donne aux « chefs d’établissements locaux et aux parents la capacité d’influer plus directement sur les enseignants et autres représentants éducatifs ». Pour autant, l’identité des « autres » représentants n’est pas clairement établie (p.149). En second lieu, le WDR souligne que « les écoles et communautés peuvent disposer d’informations plus pointues sur les besoins des écoles locales », ce qui, conjugué à un accès discrétionnaire aux ressources, leur permet de répondre plus précisément à ces besoins » (p149). En dépit de ces affirmations, le WDR ne définit pas concrètement ce qu’englobe un dispositif SBM, au-delà de l’observation générique concernant le fait de : « conférer un pouvoir décisionnel et des ressources aux écoles. » Il s’agit d’une omission substantielle, car il est dès lors difficile de traduire les propos ou la discussion qui suivent sur la SBM, en une information pratique, utile au public principalement visépar le WDR : à savoir, les décideurs politiques des pays à faible revenu ou à revenu intermédiaire. Bien que le terme SBM ait déjà été défini dans de précédentes publications de la Banque en tant que regroupement de chefs d’établissements, d’enseignants et de parents qui participent aux conseils d’établissement dans le but de prendre en charge un certain nombre de tâches de gestion, la définition élusive avancée dans le WDR 2018, tient peut-être au fait que l’échantillon d’exemples présenté dans le rapport n’est lui-même pas conforme à cette définition. Ce point renforce d’ailleurs les craintes exprimées précédemment, sur ce que promeut véritablement le WDR 2018 au-delà de toute affirmation évasive sur les avantages liés à un accroissement du pouvoir décisionnel et des ressources directement confiés aux écoles et aux communautés.

De même, la seconde question soulevée concerne les exemples référencés dans le Rapport et leur interprétation. Alors que la SBM (ou de façon plus générale, la gestion des écoles) constitue un des quatre domaines fondamentaux que le WDR 2018 identifie comme ayant un impact sur l’apprentissage, le Rapport ne consacre que trois pages à ce sujet (p 148-150). Pourtant, de nombreux exemples sont présentés dans les limites de cet espace restreint. Le fait d’accorder si peu de place au traitement de multiples exemples, compromet la teneur des propos exposés dans le WDR 2018. On y trouve ainsi des commentaires généralistes sur la supervision par la communauté, sur les programmes boursiers, sur la nécessité de donner le temps aux parents d’apprendre à « s’impliquer efficacement dans la gestion de l’école » (p 149) et sur l’importance de la capacité des parents et des communautés « à maitriser le flux d’informations relatif à la responsabilisation des enseignants et des écoles. » (p150). Cependant, aucun de ces exemples ne met clairement en évidence le fonctionnement attendu de ces stratégies dans la pratique. Il en ressort des déclarations théoriques d’ensemble comme celles mentionnées précédemment et que la Banque mondiale défend depuis les années 1990, telles que le fait que la SBM devrait favoriser les relations fondées sur la responsabilisation, devrait permettre plus de réactivité dans un contexte local, et devrait être plus efficace car les acteurs locaux connaissent les besoins de leurs écoles et peuvent ainsi y répondre de manière « plus précise ». Malheureusement, la Banque mondiale n’a pas utilisé les années écoulées depuis 1990, pour mener des recherches qui nous aideraient à comprendre comment mettre la théorie sur la SBM en pratique.

Troisièmement, l’interprétation des éléments mentionnés soulève une inquiétude supplémentaire. Avant toute chose, il conviendra néanmoins de saluer la Banque mondiale, pour avoir reconnu àmaintes reprises que certaines formes de SBM ont obtenu des résultats mitigés, et ne sont pas parvenues à accroitre l’implication des parents ou à améliorer l’apprentissage des élèves. Ceci dit, toute personne familière avec la documentation sur la SBM notera que les deux revues systématiques de littérature récemment conduites àce sujet, n’ont été que partiellement voire aucunement utilisées dans le rapport WDR 2018 (Carr-Hill et al., 2015; Westhorp et al., 2014). Ce point est inquiétant car les revues soulignent la difficulté à tirer des conclusions sur l’efficacité de la SBM (Carr-Hill et al., 2015), et mettent également en exergue des circonstances qui pourraient favoriser un meilleur fonctionnement de celle-ci (Westhorp et al., 2014). Ce dernier point constitue précisément le type de propos qui contribuerait à renforcer le WDR 2018. Au vu des résultats complets mis en évidence par les revues préalablement citées, on peut s’interroger sur les cas particuliers présentés dans le WDR 2018. Des inquiétudes quant à l’interprétation fallacieuse ou la divulgation partielle des détails de recherche sont quelque peu inéluctables avec la Banque mondiale, si l’on considère les antécédents de cette institution, en particulier au regard des questions en lien avec la SBM (Edwards & Loucel, 2017).

Alors que de nombreuses études sont citées – plus de 25 dans les trois pages consacrées à la SBM, un seul exemple tiré du WDR2018 suffit à prouver que nous ne pouvons être convaincu par aucune des interprétations révélées dans le WDR2018 sur la réalité en matière de la SBM. Le WDR fait référence à un programme réalisé au Mexique, qui constituerait l’exemple probant d’un programme de supervision permettant d’accroitre la responsabilisation par le biais d’un processus « d’échange circulaire d’informations entre les différentes parties prenantes ».(p150). Il est indiqué que le succès de ce programme tient au fait qu’il « ne s’adressait pas à un groupe unique mais visait à faire circuler l’information de manière explicite entre les dirigeants éducatifs et les enseignants ainsi qu’auprès des communautés et des parents » (p150). Voilà toute l’information dont nous disposons dans le WDR 2018. Toutefois, en lisant les commentaires se rapportant à ce cas, pour lequel aucun nom ou information particulière ne sont spécifiés dans le WDR 2018, on apprend que les écoles mexicaines ayant participé à ce programme supposé (connu sous le nom de : Program of Specific Attention for the Improvement of Educational Achievement) ont choisi de mettre en œuvre une ou plusieurs des quatre stratégies en faveur de l’amélioration de la gestion des écoles, dont la SBM fait partie (de Hoyos, Garcia-Horeno, & Patrinos, 2015). Pourtant l’étude diffusée ne fournit aucune information sur le nombre d’écoles investies en termes de SBM, sur le mode de fonctionnement, ou sur les raisons que nous aurions de croire que cela a contribué à améliorer les résultats aux tests. En outre, sur ce dernier point, les résultats de la recherche restent flous. Deux approches statistiques distinctes ont été appliquées, dont une n’a attribué aucun effet notable àl’intervention de l’école dans la gestion, en comparaison avec d’autres écoles similaires issues des groupes témoins de référence. Cependant, même en présumant que le programme mentionné a effectivement eu un impact, nous ne savons toujours pas ce que cela démontre au regard de la SBM. Cette information si élémentaire sur la recherche sous-jacente àl’exemple du Mexique, sème le doute sur les commentaires déjà imprécis publiés dans le WDR 2018 en matière de SBM. Nous devrions donc rester prudents et ne pas prendre les affirmations sur la SBM révélées dans le Rapport, au pied de la lettre.

On peut passer plus brièvement sur les quatrième et cinquième préoccupations. A propos de la quatrième, le WDR 2018 déclare que « tout autre intervention [dans le système éducatif] devrait contribuer à renforcer l’interaction enseignant-apprenant » (p.145). Il est pourtant difficile d’imaginer en quoi les fonctions de supervision et de responsabilisation que le WDR 2018 envisage dans le cadre de la SBM, favoriseraient cette interaction plutôt que de la compromettre. Dans un chapitre plus en amont, le WDR 2018 indique que selon la Banque mondiale, il est possible de résoudre tous les défis d’apprentissage grâce à un judicieux mélange « d’incitations, de mécanismes de responsabilisation et de relations de pouvoir » (p. 172). Pour autant, aucune indication pratique n’est apportée sur le fonctionnement des dispositifs de SBM dans la pratique, les contextes d’opération, les conditions applicables, etc., ou sur la manière dont ces mécanismes permettront de consolider ou pas, l’interaction enseignant-apprenant (il va sans dire que ce qui est entendu par « interaction enseignant-apprenant » n’est pas spécifié et apparait uniquement comme un euphémisme servant à caractériser la capacité des enseignants à améliorer les résultats aux tests scolaires). En d’autres mots, le WDR 2018 manque de profondeur dans ses propos sur la mise en œuvre de dispositifs SBM. Cette carence est surprenante étant donné l’importance qu’accorde ce rapport àune perspective « systémique » des réformes de l’éducation.

Concernant le cinquième point, il apparait que la question de l’équité n’est pas abordée. L’équité constitue naturellement une préoccupation en matière de SBM car l’aptitude des écoles et des communautés à instaurer (ou pas) une stratégie SBM dépend de leurs capacités. Bien que la Banque mondiale souligne l’importance des capacités dans la réussite des dispositifs SBM, aucune crainte n’est exprimée sur l’éventualité qu’une SBM puisse exacerber les inégalités entreles communautés en raison de niveaux de capacités ou de capital social préexistants, et de disparités dans l’aptitude des écoles et des communautés à tirer profit des dispositifs SBM (voire à pâtir de leur mise en œuvre). Par extension, aucun commentaire n’est offert sur le fait que tenir compte de ces différences de capacités, exigerait d’accroitre le soutien et les ressources fournis par le gouvernement et/ou les acteurs internationaux. Bien entendu, cette perspective déplait aux spécialistes politiques de la Banque mondiale car elle n’entre pas dans le cadre favori de présentation la SBM en tant que dispositif plus efficace.

Les commentaires ci-dessus n’ont pas pour objectif de présenter la SBM comme un modèle de réforme somme toute, indésirable. Il s’agit plutôt de conclure en invitant ceux qui s’intéressent aux questions relatives à la SBM, à modifier leur approche vis-à-vis de ce mode de gestion des écoles. On souligne ici qu’il est nécessaire de réfléchir plus globalement au capital social des communautés, c’est-à-dire, dépasser les programmes étriqués sur la SBM afin d’examiner aussi les processus, les politiques, les conditions et les stratégies qui peuvent contribuer à renforcer les capacités des communautés, leur autonomisation, leur bien-être et plus largement leur capital social. L’implication des communautés dans les dispositifs SBM sera alors plus à même de favoriser la réussite de leur mise en application, de soutenir une participation plus constructive et de produire des résultats d’autant plus significatifs. Au vu de la qualification employée en référence à la SBM dans le WDR 2018, la Banque mondiale et autres organismes d’aide et d’assistance sont encouragés à changer la manière dont ils envisagent la SBM, et à tenir compte des questions mises en lumière ci-dessus.

« #WDR2018 à l’épreuve des faits » est une série promue par l’Internationale de l’Education. Elle rassemble les analyses d’expert(e)s et de militant(e)s de l’éducation (chercheurs et chercheuses, enseignant(e)s, syndicalistes et acteurs et actrices de la société civile) des quatre coins de la planète en réponse au Rapport sur le développement dans le monde 2018Apprendre pour réaliser la promesse de l’éducation. La série fera l’objet d’une publication en préparation des Réunions du printemps 2018 de la Banque mondiale. Si vous souhaitez y contribuer, veuillez prendre contact avec Jennifer à jennifer.ulrick@ei-ie.org. Les opinions exprimées n’engagent que leur auteur et ne représentent pas les positions de l’Internationale de l’Education.

Sources

Carr-Hill, R., Rolleston, C., Phereli, T., & Schendel, R. (2015). The effects of school-based

decision making on educational outcomes in low and middle income contexts: A systematic review, 3ie Grantee Final Review. London: International Initiative for Impact Evaluation (3ie). Recueilli à partir du lien suivant: http://r4d.dfid.gov.uk/pdf/outputs/SystematicReviews/61233_dfid-funded-decentralisation-review.pdf

de Hoyos, R., Garcia-Moreno, V., & Patrinos, H. (2015). The impact of accountability intervention with diagnostic feedback: Evidence from Mexico. Policy Research Working Paper 7393. World Bank. Accessible à partir du lien suivant: http://documents.worldbank.org/curated/en/297561468188928817/The-impact-of-an-accountability-intervention-with-diagnostic-feedback-evidence-from-Mexico

Edwards Jr., D. B. & Loucel, C. (2016). The EDUCO Program, impact evaluations, and the political economy of global education reform. Education Policy Analysis Archives, 24 (49), 1-50, 2016. https://epaa.asu.edu/ojs/index.php/epaa/article/view/2019

Nielsen, H. D. (2007). Empowering communties for improved educational outcomes: some evaluation findings from the World Bank’,Prospects, 37, 81-93.

Westhorp, G., Walker, D.W., Rogers, P., Overbeeke, N., Ball, D., & Brice, G. (2014). Enhancing community accountability, empowerment and education outcomes in low-and middle-income countries: A realist review. EPPI-Centre, Social Science Research Unit, Institute of Education, University of London. Accessibleà partir du lien suivant: http://r4d.dfid.gov.uk/pdf/outputs/SystematicReviews/Community-accountability-2014-Westhorp-report.pdf

Source de l’article:

https://ei-ie.org/fr/woe_homepage/woe_detail/15660/wdr2018-%C3%A0-l%E2%80%99%C3%A9preuve-des-faits-n%C2%B011-gestion-autonome-des-%C3%A9coles-questions-et-pr%C3%A9occupations-par-d-brent-edwards-jr?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

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Melesio Morales y su aportación en la enseñanza musical de México (Audio)

México / 13 de mayo de 2018 / Autor: Fonoteca Nacional / Fuente: IVOOX

Escucha a Theo Hernández en una emisión dedicada al compositor mexicano Melesio Morales (4 de diciembre de 1839 – 12 de mayo de 1908) . Conoce cuáles fueron los precedentes para el estreno de su ópera Ildegonda y las importantes repercusiones que tuvo para la composición en México. Disfruta este programa con una selección de piezas del compositor, bajo la curaduría de Hernández.

 

Fuente: 

https://mx.ivoox.com/es/melesio-morales-su-aportacion-ensenanza-audios-mp3_rf_25838478_1.html

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La ‘Marea Verde’ volvió a manifestarse contra los recortes educativos del gobierno de Rajoy (Audio)

España / 13 de mayo de 2018  / Autor: Redacción / Fuente: Más Voces

Sindicatos de enseñanza realizaron el martes manifestaciones en todo el Estado español para protestar contra los recortes educativos del Gobierno de Mariano Rajoy. La Marea Verde que aglutina a profesores, padres y alumnos volvió a las calles para reclamar sus derechos. Los portavoces sindicales han reclamado al Gobierno del Partido Popular la reversión de unos recortes en Educación que cifran en 9000 millones de euros.

Las manifestaciones han servido también para exigir al Gobierno la derogación de la Ley Orgánica de Mejora de la Calidad Educativa (LOMCE), entre otras medidas.

Además, los manifestantes han denunciado que la inversión en educación no recupera los niveles anteriores a la crisis económica.

Bajo el lema ‘Ya no hay excusas. Ahora Educación Pública’, se llevaron a cabo casi una treintena de manifestaciones y concentraciones por todo el Estado español. La ‘marea verde’ vuelve ante la pasividad del gobierno del Partido Popular y a la espera de que la clase política se ponga manos a la obra para un pacto por la Educación en la que también participe la comunidad educativa.

 

 

Fuente de la Noticia:

http://masvoces.org/La-Marea-Verde-volvio-a-manifestarse-contra-los-recortes-educativos-del

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Meet the 2018 Teacher of the Year Honored by Trump the White House Doesn’t Want You to Hear (Audio)

USA / May 13, 2018 / Democracy Now

When Mandy Manning received her 2018 Teacher of the Year award at the White House Wednesday, the press was barred from her speech, and President Trump did not mention who she teaches: immigrant and refugee children. While she was at the White House, Manning handed President Donald Trump a stack of letters from her refugee and immigrant students, while billionaire Education Secretary Betsy DeVos looked on. She also wore six politically themed buttons as she accepted her award from Trump, featuring artwork from the 2017 Women’s March, a rainbow flag and the slogan “Trans Equality Now!” Mandy Manning joins us from Spokane, Washington, where she is an English and math teacher at the Joel E. Ferris High School. She was named 2018 National Teacher of the Year by the Council of Chief School State Officers.

 

Transcript
This is a rush transcript. Copy may not be in its final form.

AMY GOODMAN: This is Democracy Now!, democracynow.org, The War and Peace Report, as we turn now to the 2018 Teacher of the Year. When Mandy Manning received her award at the White House on Wednesday, the press was barred from her speech, and President Trump did not mention who she teaches: immigrant and refugee children.

MANDY MANNING: Over the next year, I want students to know I am here for refugee and immigrant students, for the kids in the Gay Straight Alliance and for all the girls I’ve coached over the years, to send them the message that they are wanted, they are loved, they are enough, and they matter.

AMY GOODMAN: That’s 2018 Teacher of the Year Mandy Manning. While she was at the White House, Manning handed President Donald Trump a stack of letters from her refugee and immigrant students. Manning also wore six politically themed buttons as she accepted her award from President Trump, while billionaire Education Secretary Betsy DeVos looked on. Manning’s buttons featured artwork from the 2017 Women’s March, a rainbow flag and the slogan “Trans Equality Now!” This is President Trump presenting her her award.

PRESIDENT DONALD TRUMP: To Mandy and all of the amazing educators here today, your tireless dedication doesn’t just inspire your students, it inspires all of us. And I can tell you, it very much inspires me. We honor you and every citizen called to the noble vocation of teaching. Now it is my privilege to present Mandy with the National Teacher of the Year award.

AMY GOODMAN: For more, we’re joined by Mandy Manning, who has returned from Washington, D.C., to Washington state, to her home in Spokane. There, she teaches English and math to refugee and immigrant students at the Joel E. Ferris High School. She was named 2018 National Teacher of the Year by the Council of Chief School State Officers.

Welcome to Democracy Now!, Mandy, and congratulations.

MANDY MANNING: Thank you. Thanks very much.

AMY GOODMAN: So, can you talk about your message at the White House, what took place on Monday? You were with the secretary of labor, the secretary of education. You were with the president of the United States.

MANDY MANNING: Mm-hmm. So, it actually was on Wednesday afternoon. And the White House really did a good job of honoring us. We had a reception, and we had an opportunity to be on a panel with Secretary DeVos and Secretary of Labor Acosta. The four finalists sat there, and we got to speak about some very, very important issues facing education, like school safety and the opioid crisis. And, of course, I spoke about my students, my immigrant and refugee students at the Newcomer Center here. We had a reception, and then the presentation of the award was next. And I spoke to the audience and gave my remarks, and then we had a short intermission, which is where I had my opportunity to hand the letters to the president from my students. And I also asked him if he would be willing to come to Spokane and meet my students, my immigrant and refugee students, to see how amazing, dedicated, focused and what productive members of our community they are as future citizens of our United States.

AMY GOODMAN: The press was barred from recording your speech?

MANDY MANNING: I didn’t know that until after, after the ceremony, when I spoke with a reporter afterwards. That’s when I found out that my remarks were not witnessed by the press.

AMY GOODMAN: That they were prevented from being in the room. Well, I didn’t think it would be particularly subversive to play a clip of your speech at the White House, but apparently it is, so we’re going to play it from a recording made by a friend of yours on their cellphone. This is a clip.

MANDY MANNING: I am honored and humbled to be the vehicle through which my students may tell their stories. I am here for David, a future IT specialist who hopes to one day be able to attend university. I am here for Tamara, who is currently studying pre-med at Eastern Washington University. I am here for Safa and Tara, both future elementary school teachers. I am here for Safa—I mean, for Solomon and Gafishi, who believe that the United States is the place where they have found the center of their lives, where they can have dreams and hopes to be someone. You see, my students are immigrants and refugees brand new to our nation. I teach in the Newcomer Center at Ferris High School in Spokane, Washington. And all of the students who come through my classroom have three things in common: They are just learning English. They have escaped trauma to find new lives in our nation, and they are focused and determined to be productive citizens of our United States. And most importantly, they succeed.

AMY GOODMAN: The speech no one saw but those in the room, like, oh, the education secretary, DeVos, the labor secretary, Acosta. President Trump, I don’t believe was there at that point. But again, the press barred from being in the room and recording that speech. Mandy Manning, you were talking there about your students. Talk about the countries they come from, as you teach at the—what’s known as the Newcomer Center. President Trump did not mention, in his awarding you the Teacher of the Year award, that you teach refugee and immigrant students.

MANDY MANNING: Yes. So, I teach in the Newcomer Center, which is a specialized English-language development program for brand-new immigrant and refugee students. So these are the students who just came to the country, like one to three months prior to starting school here in the United States. And they also know very little English. So, my students come from all over the world. They come from Iraq, Afghanistan, several countries in Africa, such as Uganda, Sudan, Eritrea, Rwanda, Tanzania—all over. I have Syrian students. I also have current students from Burma-Myanmar. I’ve had students from Micronesia, Malaysia, Chuuk island in Micronesia, the Marshall Islands, students from El Salvador—all over.

AMY GOODMAN: And, Mandy, can you talk about the pins you wore as President Trump recognized you as the Teacher of the Year?

MANDY MANNING: Sure. So, I teach—I not only teach immigrant and refugee students, but I also have worked closely with the Gay Straight Alliance. I was a co-adviser before becoming the Washington state Teacher of the Year. And I also coach girls’ basketball. And on my girls’ basketball team, I have had a trans boy, who had to, you know, be on the girls’ basketball team. But these pins represent my students. And I wanted them to know 100 percent that as I stood there in this White House, that I am there for them. I am there to be the vehicle through which they can tell their stories, and I want to represent them. And so, that’s what my pins represented. And the one from the Women’s March is the one that represents the DREAMers and the DACA immigrants.

AMY GOODMAN: And you were also speaking—this past Wednesday is in the midst of the teacher walkouts and strikes around the country. Can you comment on these?

MANDY MANNING: Well, at the heart of every teacher is their students. And in many states and in many areas, we are underserving many of our students. And sometimes it takes that collective voice, where teachers come together, to ensure that they have the supplies that they need and the equipment and also the compensation to be the very best that they can be for their students. And so, sometimes we don’t have a choice. When we want what’s best for our students, we have to come together with that collective voice, because that’s when we can make change.

AMY GOODMAN: Do you endorse these strikes and walkouts, oh, from West Virginia to Oklahoma to Arizona?

MANDY MANNING: I believe that, yes, anything that we can do to ensure that our students have what they need, because that’s—you know, that’s what teachers want. We want what’s best for the students.

AMY GOODMAN: And, you know, the last time we saw a televised event that involved teachers and students at the White House was after the Valentine’s Day massacre in Parkland, the Marjory Stoneman Douglas High School, February 14th, where both students and staff, teachers, were gunned down. There, they told President Trump directly—some of them said—one, the husband of a teacher, said, “No, we don’t want teachers to be armed.” President Trump and Vice President Pence went to the NRA convention on Friday, right after giving you that award on Wednesday. There, people were not allowed to bring in guns to the NRA meeting, the National Rifle Association meeting. Your thoughts on guns in the schools?

MANDY MANNING: Well, of course, I can only speak for myself, but I will never and do not ever want to carry a gun in the classroom. The most important thing in my classroom is the relationships that I build. And I strongly feel that if we had guns in our schools, and particularly if I carried a gun, it would dramatically impact the feeling in my classroom and my ability to connect with my students. And I just—I think that it’s an idea that is a temporary Band-Aid to make people feel like that might be—make us feel more safe. But in reality, if we bring more guns into the school, I personally would feel less safe. Plus, you know, the relationships that we build and the connections in the community would be so deeply impacted. So, I would never, ever carry a gun in my classroom.

AMY GOODMAN: Did you get a chance to discuss this with Secretary of Education DeVos or Secretary of Labor Acosta—guns in the schools, the strikes, the walkouts?

MANDY MANNING: We did have an opportunity to speak about guns and school safety. But we really focused on the fact that in order to have safe schools, we need to have connected schools, which means students need to feel connected to their peers, they need to feel connected to their teachers, and they need to feel like their school represents them and is a safe place for them. And so that was the focus of our discussion, that the key to school safety is ensuring that teachers can do the things that they need, and have the latitude in their classrooms to meet the needs of the students within their individual classrooms—

AMY GOODMAN: Mandy—

MANDY MANNING: —and that schools need to be places—go ahead.

AMY GOODMAN: Go ahead. “And schools need to be places…”

MANDY MANNING: That meet the needs of the community within which they reside.

AMY GOODMAN: Could you end by sharing a letter from one of your students? You asked them to write letters to President Trump?

MANDY MANNING: Yes. And they wrote just beautiful letters. So I did—I chose one from a student, and I will leave his name off, but from a student from Iraq. So, he says, “Dear President Trump.” Oh, he put his name in here, so I’ll say it. “Dear President Trump, My name is Yusif, and I am from Iraq. In January 2017, you won the presidency. I should have arrived in the U.S.A.; however, because you signed the immigration ban, I had to wait until March. My mother was already here in Spokane, Washington, and I had not seen her in four years. When I graduate from college, I will be a DJ. And if you want to learn more about me and my mom’s story, you can watch our video on YouTube. Search ‘Maha Al’Majidi’ and click on the video called ‘Iraqi refugee reunites with her son.’ Sincerely, Yusif.”

So, the letters are just beautiful. And some are very supportive of the president. Most of them say “thank you” and how much they appreciate being here the United States. And, of course, some—I was just listening to the show, your show, a little bit earlier, and some do speak about his language about people from Africa and how that hurts, and it encourages other people to use that same kind of language. And it does not make for positive connections within our community. So, the students were great. They had great insights into our nation. And they were very respectful and kind.

AMY GOODMAN: Mandy Manning, when President Trump called country—called Africa, which he called a country, Africa, Haiti, other countries “s—hole countries”—I mean, you’re an English teacher. You teach refugees and immigrants. What did you tell your students that day?

MANDY MANNING: I told them that we love them, that we know their value and that we can see that this is a place for them to come to have hope and dreams and be someone, and that we want them here and that they are lovely, beautiful human beings who make the United States a richer, more beautiful country.

AMY GOODMAN: Mandy Manning, we want to thank you for being with us, English and math teacher who teaches refugee and immigrant students from everywhere, from Iraq to Syria to Burma, at the Joel E. Ferris High School in Spokane, Washington. She was just named the 2018 National Teacher of the Year by the Council of Chief School State Officers. Last Wednesday, President Trump presented her with the award during a ceremony at the White House. This is Democracy Now!Stay with us.

Source:

https://www.democracynow.org/2018/5/7/meet_the_teacher_who_staged_a

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Banco Mundial: En el futuro, las niñas podrían tener más educación que los niños

Banco Mundial / 13 de mayo de 2018 / Autor: Leticia Hernández / Fuente: El Financiero

La proporción de mujeres que tiene más educación que sus padres ha ido creciendo, aunque las economías en desarrollo aún deben invertir una cantidad considerable en los menores.

En el futuro, tu hija podría tener más educación que tú, ya que, de acuerdo con un estudio del Banco Mundial, la proporción de mujeres que tienen más educación que sus padres está aumentando respecto a la de los hombres en algunos países.

Según el documento ‘¿Progreso equitativo? Movilidad económica entre generaciones en todo el mundo’ publicado este miércoles por el Banco Mundial, en un futuro no muy lejano, la proporción de mujeres con más educación que sus padres será mayor que la de los hombres en su misma situación a nivel mundial.

“Las mujeres en las economías de altos ingresos ahora exhiben tasas más altas de educación terciaria (superior) que los hombres. La reversión de la brecha de género inició desde 1960 y la ventaja de las mujeres ha crecido en las economías de altos ingresos”, señaló el Banco Mundial en los resultados del estudio.

La educación es el principal activo para el progreso del individuo, es la herramienta para superarse y acceder a mejores ingresos y condiciones de vida y ahí justo está el problema en las economías en desarrollo, como México, que tienen sistemas educativos deficientes y de baja matrícula en niveles de escolaridad medio y superior.

«Debemos invertir en los niños desde una edad muy temprana para que estén bien alimentados y reciban una buena educación y es necesario lograr que las comunidades sean un lugar seguro en el que los niños puedan crecer, aprender y prosperar, así como generar condiciones económicas equitativas mediante la creación de empleos y el mejoramiento del acceso a financiamiento”, señaló Kristalina Georgieva, directora ejecutiva del Banco Mundial en la presentación del reporte en Washington.

Por lo que mejorar el acceso a la escolaridad secundaria es una prioridad en muchas de las economías en desarrollo una vez que han alcanzado la matrícula del 100 por ciento en el nivel primaria; de igual forma deben mejorar la calidad del aprendizaje y reducir las amplias desigualdades en aprendizaje, lo que requiere políticas para alinear a todos los participantes y hacer que el sistema educativo completo funcione para el aprendizaje.

El organismo analizó a las personas nacidas entre 1940 y 1980, y encontró también que en movilidad económica, que se refiere a cuando los hijos superan la situación económica de sus padres, las niñas tienen mayores índices de movilidad.

“Desde 1960, las niñas también tienen mayores índices de movilidad que los niños. En el mundo en desarrollo, la tendencia está en la misma dirección. La brecha de género está estrechándose rápidamente en la movilidad absoluta. Estas tendencias sugieren un futuro no muy lejano cuando la movilidad ascendente en relación con los padres será mayor entre las niñas que entre los niños en el mundo en desarrollo.

La movilidad se ha estancado durante los últimos 30 años, de acuerdo con el estudio que analiza la movilidad económica entre padres e hijos a través del prisma de la educación, un activo crucial que influye en los ingresos personales a lo largo de toda la vida.

Al analizar en detalle seis grandes países en desarrollo —Brasil, China, Egipto, India, Indonesia y Nigeria—, se observa que la movilidad económica aumentó en todos ellos desde la década de 1940 hasta la década de 1980, sin bien en diversos grados. No obstante, a partir de la década de 1960 el progreso ha sido más lento en cuatro de estos países y se ha estancado por completo en China y Nigeria. Se observan tendencias mundiales hacia la convergencia de género en Brasil, China, Egipto e Indonesia, donde las brechas en la movilidad entre niñas y niños son casi inexistentes. Tal convergencia no ha ocurrido en India o Nigeria, donde las disparidades de género son casi tan grandes hoy como lo eran hace medio siglo.

La posibilidad de ascender en la escala económica, independientemente de la situación socioeconómica de los padres, contribuye a reducir la pobreza y la desigualdad y puede contribuir a impulsar el crecimiento económico al brindar a todos los habitantes la oportunidad de usar sus talentos.

Las personas que viven en sociedades con un mayor grado de movilidad son más optimistas respecto del futuro de sus hijos, y este optimismo puede dar lugar a sociedades con más aspiraciones y cohesión.

“Todos los padres desean que sus hijos tengan una vida mejor que la de ellos; sin embargo, las aspiraciones de muchísimas personas -especialmente las personas pobres- se ven frustradas debido a la desigualdad de oportunidades”, afirmó Kristalina Georgieva, directora ejecutiva del Banco Mundial.

El análisis se centra en las personas nacidas entre 1940 y 1980 y establece que 46 de los 50 países con las tasas más bajas de movilidad ascendente desde la base hasta la parte alta de la escala se encuentran en el mundo en desarrollo.

El informe se utiliza la nueva Base de Datos Mundial sobre Movilidad Intergeneracional que tiene una cobertura sin precedentes pues abarca 148 países donde vive el 96 por ciento de la población mundial.

Fuente de la Noticia:

http://www.elfinanciero.com.mx/economia/en-el-futuro-las-ninas-podrian-tener-mas-educacion-que-los-ninos

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