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Texas: Brecha entre estudiantes y maestros latinos aumentará con fin de DACA

Estados Unidos/Texas/24 de Febrero de 2018/Autora: Jenny Manrique/Al Día

Según un estudio del Center for American Progress el 25% de estudiantes en escuela públicas es latino mientras solo el 8% de los maestros lo es.

El riesgo de perder unos 20,000 maestros protegidos con DACA agrava un problema ya apremiante: la escasez de docentes latinos en las escuelas públicas donde el número de estudiantes hispanos sigue en aumento.

Según un análisis del Center for American Progress (CAP) un 25% de todos los estudiantes en escuelas primarias y secundarias es latino, lo que los convierte en la minoría étnica más grande en el país. Pero menos del 8% de la fuerza laboral docente en Estados Unidos se identifica como tal.

En algunos estados, como California, Nuevo México y Texas, los estudiantes latinos constituyen la mitad o casi la mitad del cuerpo estudiantil. Texas además aparece como uno de los estados con la brecha más grande entre docentes y estudiantes latinos, 29%. Este escenario es especialmente preocupante en zonas rurales con crecimiento acelerado de comunidades latinas y una fuerza laboral docente extremadamente baja.

“Los beneficios de tener diversidad en la fuerza laboral docente son claros, pero aun así muchos estudiantes latinos con necesidades culturales y lingüísticas únicas raramente aprenden de maestros que comparten y entienden su cultura,” dijo Sarah Shapiro, investigadora asistente para el equipo de educación K-12 en el CAP.

“Tenemos que mejorar el “pipeline” educativo latino mediante el aumento de la ayuda financiera para los latinos en el colegio y programas de credenciales de maestros; hay que ofrecer nuevas vías para obtener certificaciones alternativas, no amenazar a los maestros DACAmentados que ahora están en riesgo de deportación”.

Según el análisis, los estudiantes latinos tienen un conjunto único de necesidades. Mientras que más del 90% de los estudiantes nació en los Estados Unidos, la mayoría tiene al menos un padre nacido en el extranjero.

Los estudiantes latinos también representan el 77% de quienes toman clases de inglés, y la investigación muestra que los programas de doble inmersión o bilingües sirven mejor a estos estudiantes.

Es más probable que los estadounidenses de primera generación enfrenten obstáculos a sus logros académicos, como tener que trabajar y responder por la familia. Los maestros que han experimentado personalmente estos obstáculos pueden brindar un mejor apoyo.

“Los estudiantes latinos son el grupo minoritario más grande en las escuelas estadounidenses, sin embargo rara vez tienen la oportunidad de ser enseñados por alguien de su comunidad”, dijo Lisette Parterlow, directora de iniciativas estratégicas de K-12 en CAP.

“Debemos hacer más para reclutar, desarrollar y retener a los maestros latinos… Además de las protecciones permanentes para los docentes DACAmentados, la reducción de la carga de la deuda de los futuros profesores de latinos y la continua contratación de docentes de latinos para programas de certificación alternativos de alta calidad, pueden ayudar a aumentar la cantidad de docentes”.

Otro dato que revela la investigación es que mientras las tasas de graduación de la escuela secundaria y la universidad están aumentando entre la comunidad latina, los hispanos todavía están por detrás de sus pares blancos y asiáticos en tasas de graduación de secundaria, en 10% y 12% por ciento, respectivamente, y en tasas de finalización de estudios universitarios, en 26% y 48%.

En Texas, por ejemplo, el 34% de los estudiantes blancos se graduó de universidades públicas en cuatro años, mientras que menos del 19% de los estudiantes de latinos alcanzó el mismo umbral.

Finalmente,  otro tema que contribuye a la brecha es que la administración de Donald Trump propuso un recorte de 15% por ciento para la financiación de  Instituciones de servicio a los hispanos:  de $577 millones en 2017 a $ 492 millones en 2018.31

Fuente: http://www.aldiadallas.com/2018/02/21/texas-brecha-entre-estudiantes-y-maestros-latinos-aumentara-con-fin-de-daca/

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Guinée: Grève dans le système éducatif: 168 responsables scolaires devant le cabinet du Ministère de l’éducation nationale…

Guinée/24 février 2018/Autora: Marie-Renée Grondin/Guineelive

Resumen:   El gabinete del departamento a cargo de la educación nacional  se reunió con funcionarios escolares. Cassimir Diawara sugirió que la situación que paraliza el sistema educativo guineano no honra a Guinea y por una buena razón. Para él, los niños tienen derecho a una educación saludable como nosotros, recalcó.

Le cabinet du département en charge de  l’éducation nationale a convié ce soir les responsables scolaires à une réunion d’urgence qui a eu pour cadre le Lycée du 2 octobre, situé en face du département et non loin du palais Sekhoutouréah. C’est le secrétaire généraldu Ministère de l’éducation nationale qui s’est entretenu avec les responsables scolaires.

Cassimir Diawara a laissé entendre que la situation qui paralyse le système éducatif guinéen n’honore pas la Guinée et pour cause. Les enfants pour lui ont droit à une éducations saine comme nous, a t-il martélé.
Le secrétaire généraldu Ministère de l’éducation nationale a déclaré que les perturbations dans l’éducation nationale ont fait perdre cinq semaines de cours aucours de l’année scolaire 2017-2018. Ce qui a un impacte sur la vie des enfants ainsi que de leur avenir. C’est pourquoi, il demande aux responsables scolaires de sensibiliser les enseignants sur la nécéssité de reprendre les cours pour le bien etre des enfants.
Par ailleurs, Cassimir Diawara affirme qu’il est difficile de s’assoir avec la branche dissidente de Aboubacar Souma:  » la demande est de 8 millions est très forte, il ne faut pas se leurrer, la demande ne sera jamais satisfaite ». Avant d’ajouter qu’en le faisant, la Guinée sera en cessation de paiement puisque la demande est forte.
En outre, il a demandé aux responsables scolaires de se démarquer du champs politique, de ne pas amener le problème de l’école sur le champ politique.
De leur coté, les responsables scolaires qui se sont exprimés ont laissé enttendre que des sensibilisations à l’endroit des enseignants ne manque pas. Mais selon l’un d’eux, il existe « une cellulle dormante de la branche dissidente qui reste active. Raison pour la quelle, les professeurs ne viennent pas. Il en est de meme que les élèves ».
Pour terminer, Cassimir Diawara a demandé aux responsables scolaires de continuer la sensibilisation des professeurs, parents d’élèves et associations de parents d’élèves pour mettre fin à cette crise.

Notons enfin que face à cette crise, l’inspecteur général du travail, Alia Camara a demandé la reprise du congrès du SLECG. Ce que le Bureau Exécutif National (BEN) du Syndicat Libre des Enseignants et Chercheurs de Guinée (SLECG), version Aboubacar Soumah a, au nom des enseignants rejeté la tenue d’un nouveau congrès électif ce mercredi et maintien la poursuite de la grève jusqu’à la satisfaction générale des révendications.

Lisez la déclaration lue par le porte-parole, Mohamed Bangoura

« Le Syndicat Libre des Enseignants et Chercheurs de Guinée (SECG) est une organisation apolitique et non confessionnelle à caractère syndical. Cette organisation a pour but essentiel de défendre les intérêts moraux et matériels des enseignants et chercheurs de Guinée.

En effet, en dépit de l’ingérence grave du Gouvernement dans les affaires syndicales en République de Guinée, malgré les persécutions répétées de la police suivie des arrestations arbitraires des syndicats du système éducatif et des interpellations illégales dans les tribunaux, le congrès statutaire de renouvellement du Bureau Exécutif National (BEN) du SLECG s’est tenu à Conakry le 26 janvier 2018 en présence des délégués des 33 préfectures et les huit régions administratives.

A l’issue de ce congrès démocratique et transparent, un Bureau Exécutif National de 23 membres a été élu avec comme Secrétaire Général, le camarade Aboubacar Soumah.

Il est important de rappeler que ce nouveau Bureau Exécutif National qui s’est irréversiblement engagé à défendre les intérêts moraux et matériels des enseignants et chercheurs de Guinée, se trouve confronté à la déstabilisation voulue et entretenue par le Gouvernement, en violation flagrante des conventions 87, 98 de l’Organisation International du Travail (OIT), relative à la liberté et à la protection du droit syndical, soutenue par l’article 20 de la Constitution guinéenne.

Considérant que le congrès a effectivement eu lieu en date du 26 janvier 2018 et les accusés de réception des lettres d’invitation adressées au Gouvernement et aux institutions en font foi ;

Considérant que l’article 20 de la Constitution guinéenne nul ne peut être lésé dans son travail en raison de son sexe, de son ethnie, de ses options ou toutes autres causes de discrimination ;

Vu les différentes violations démagogiques et flagrantes des articles ci-haut par le Gouvernement, la société civile, Fédération Guinéenne des Parents d’Elèves (FEGUIPAE), le Conseil National des Organisations de la Société Civile de Guinée (CNOSCG) et les dissidents du SLECG à savoir, les camarades Souleymane Sy Savané, Kadiatou Bah, Tanou Baldé, Ousmane Wora Diallo, Namory Keita et le fameux Louis M’Bemba Soumah de l’Union Syndicale des Travailleurs de Guinée (USTG).

Le Bureau Exécutif National du SLECG, au nom des enseignants rejette en bloc la tenue d’un nouveau congrès, contraire aux statuts et règlements intérieurs du SLECG, informe l’opinion nationale et internationale que seul interlocuteur crédible reste et demeure le nouveau Bureau Exécutif National dirigé par le Secrétaire Général, le Camarade Aboubacar Soumah. »

Fuente: http://guineelive.com/2018/02/21/greve-dans-le-systeme-educatif-168-responsables-scolaires-devant-le-cabinet-du-ministere-de-leducation-nationale/

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Profesores británicos confirman huelga contra reducción de pensiones

Londres/24 de Febrero de 2018/Autor: Redacción/Prensa Latina

Profesores de 64 universidades británicas iniciarán mañana una huelga contra la reforma del sistema de pensiones, acción que se extenderá hasta el 16 de marzo, confirmó hoy el sindicato del sector.
Según la Unión de Universidades y Colegios (UCU, por sus siglas en inglés), la demostración es organizada para denunciar recortes y cambios en la forma de pago que repercutirán negativamente en el retiro de los profesionales, pues significan la pérdida de alrededor de 11 mil euros anuales.

La secretaria general de la UCU, Sally Hunt, precisó que las protestas fueron convocadas porque los directivos de los centros educativos se negaron a dialogar con los afectados por esa medida.

Asimismo, indicó que el 2 de marzo el sindicato decidirá si continúa con la huelga u organiza otras acciones.

Convocamos al paro para defender nuestro derecho a una pensión justa. La reforma anunciada se traduce en la reducción en un 40 por ciento de los beneficios de la jubilación, señala un comunicado de esa entidad.

Además, advierte que las demostraciones afectarán a un millón de estudiantes, quienes perderán alrededor de 575 mil horas lectivas, por lo que solicita la rápida respuesta de los empleadores y su disposición al diálogo.

Fuente: http://www.prensa-latina.cu/index.php?o=rn&id=154395&SEO=profesores-britanicos-confirman-huelga-contra-reduccion-de-pensiones

 

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En huelga entran Oxford, Cambridge y otras 62 universidades británicas

Estados Unidos/24 de Febrero de 2018/Autor: Angélica Anaya/El País Vallenato

Un total de 64 universidades del Reino Unido, entre ellas las prestigiosas Oxford y Cambridge, comenzaron hoy un mes de huelgas para protestar por los cambios en las pensiones de los profesores.

Los paros han sido convocados por el sindicato University and College Union (UCU) que sostiene que los cambios en el esquema de jubilaciones reducirán en casi 10.000 libras (11.200 euros) la pensión de un profesor universitario normal.

Según medios locales, se estima que más de un millón de estudiantes universitarios de todo el país se verán afectados por las huelgas, de los cuales 80.000 habrían firmado peticiones para exigir un reembolso de dinero por la pérdida de clases que sufrirán.

Los cambios en el Plan de Jubilación Universitaria pretenden revocar un esquema de beneficios definidos que otorga a los funcionarios unos ingresos fijos en su jubilación, a uno de contribución definida, en el que las pensiones están sujetas a cambios en el mercado de valores, explicaron los convocantes.

El sindicato afirmó que el plan actual está funcionando “bien”, mientras que Universities UK (UUK), la organización que aúna todas estas instituciones educativas en el Reino Unido, aseguró que éste presenta un déficit de 6.000 millones de libras (6.779 millones de euros) que no puede ser “ignorado” .

Según la secretaria general del UCU, Sally Hunt, la determinación de UKK por impulsar estas variaciones y su “negativa a comprometerse”, no les ha dejado más alternativa que “atacar” y convocar las huelgas.

“El personal está enojado y la interrupción significativa en los campus en todo el Reino Unido es inevitable”, manifestó.

El líder laborista, Jeremy Corbyn, expresó hoy su “solidaridad” con los profesionales que han convocados los paros y les agradeció el trabajo que hacen en las universidades.

El político instó a las partes a tomar partido en negociaciones “fructíferas” que puedan resolver el problema porque “todo el mundo merece dignidad y seguridad en la vejez, lo que proviene de una pensión decente”.

Fuente: http://www.elpaisvallenato.com/2018/02/22/en-huelga-entran-oxford-cambridge-y-otras-62-universidades-britanicas/

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Iberoamérica mejora el acceso a la educación pero falla en calidad, dicen los expertos

Brasil/24 de Febrero de 2018/Autores: nbo/ass/mah/La Vanguardia

Los países iberoamericanos mejoraron el acceso a la educación, pero tienen el desafío de garantizar más calidad e igualdad a los alumnos, defendió hoy el director de educación de la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económicos (OCDE), Andreas Schleicher.

«Iberoamérica hizo muchas conquistas, en especial respecto al acceso de los niños y jóvenes a las escuelas. El principal desafío de la región ahora es mejorar la calidad y la equidad de la educación en estos países», explicó a Efe Schleicher, quien está en Sao Paulo para discutir con expertos y secretarios de educación iberoamericanos los resultados del informe trienal Pisa.

El director destacó los «resultados positivos» de Colombia, Perú y Brasil, además de Portugal, país cuyos esfuerzos calificó de «muy exitosos» para el avance de las habilidades de aprendizaje en los últimos 15 años.

La reunión de este martes tiene como punto clave discutir y definir las «políticas educativas que hay que llevar adelante» en la región, según afirmó el director subregional de la Secretaría General Iberoamericana, Alejo Ramírez.

«En términos generales, el gran logro de Iberoamérica fue el aumento de la tasa de participación educativa, con algunos rasgos de aumento en la calidad. Por otra parte, la desigualdad socioeconómica aún es un gran desafío», declaró Ramírez.

Para el director, el informe Pisa, el cual fue analizado hoy, se es un importante indicador para analizar y mejorar la calidad educativa, aunque, subrayó, hay que tener en cuenta otros factores de investigación más allá de «tan solo tres elementos».

«Una región como la nuestra, que es una región diversa, desigual y compleja, requiere no solamente elementos y análisis puntuales sino también poner en contexto otros elementos. El índice Pisa es un componente adicional para mejorar nuestra calidad educativa», enfatizó.

Pese a los «acalorados debates» que acompañan la divulgación del informe, opinó Ramírez, los secretarios de educación están de acuerdo que la «desigualdad socioeconómica determina la calidad educativa», por lo que se hace fundamental la implementación de políticas públicas concretas orientadas a la educación.

«Es la calidad en la enseñanza infantil, básica y secundaria que determinará un cambio estructural en la perspectiva de futuro de los jóvenes», afirmó el ministro de Educación de Brasil, Mendonça Filho.

El año pasado, el gobierno brasileño aprobó una reforma en la enseñanza secundaria que incluye, entre otras medidas, un currículum común a todas las escuelas del país -que deberán se adecuar a las nuevas reglas hasta el final de 2020-, y la capacitación de los profesores.

En línea con Brasil, España viene discutiendo en las últimas semanas un pacto educativo nacional para «revisar mejoras» en el ámbito educacional, según apuntó el secretario general de universidades español, Jorge Sainz González.

«Algunas situaciones (expuestas en el informe Pisa) son comunes para todos los países iberoamericanos, en las que se puede invertir en mejorías. Hoy es un momento importante de compartir, ver resultados y ver como distintos proyectos dan distintos frutos en distintos países», completó.

Participaron en el último examen Pisa, en 2015, más de medio millón de estudiantes de 15 años, provenientes de 72 países, y que fueron evaluados en asignaturas como ciencias, matemáticas, nociones financieras, resolución de problemas y lectura.

Aunque los líderes iberoamericanos discutirán diferentes abordajes para solucionar el problema educativo en esta región, Sainz sintetizó el principal reto común de la zona.

«Políticas educativas no tienen un impacto inmediato en la sociedad. Es un impacto futuro, pero que tiene mucha relevancia. Se trata de un futuro muy competitivo donde todo los países están invirtiendo tiempo, dinero y capacidad en mejorar los resultados educativos en todo el mundo, por lo que tenemos que hacer nuestra parte», concluyó

Fuente: http://www.lavanguardia.com/politica/20180220/44945899118/iberoamerica-mejora-acceso-a-educacion-pero-falla-en-calidad-dicen-expertos.html

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Angola: Ministra da Cultura defende ensino nas línguas maternas

Angola/24 de Febrero de 2018/Autor: César Esteves/Jornal de Angola

Resumen: La ministra de Cultura defendió ayer en Luanda que los niños deben ser alfabetizados, en los primeros años de escolaridad, a través de sus lenguas maternas, por ser una forma de promoción de la comunicación, comprensión, creatividad y de haber un aprendizaje de calidad.

A ministra da Cultura defendeu ontem, em Luanda, que as crianças devem ser alfabetizadas, nos primeiros anos de escolaridade, através das suas línguas maternas, por ser uma forma de promoção da comunicação, compreensão, criatividade e de haver uma aprendizagem de qualidade.

Carolina Cerqueira, que discursava na cerimónia de abertura do ciclo de palestras alusivo ao Dia Internacional da Língua Materna, ontem assinalado, lembrou que a política cultural de Angola recomenda o estudo e a promoção das línguas maternas por serem as que melhor servem de veículo de cultura e transmissão de pensamento.
“Logo após a nossa Independência, o Governo co-meçou a pensar em alfabetizar em línguas nacionais. Foi por isso que, em 1979, foi criado o Instituto Nacional de Línguas, que, mais tarde, em 1985, foi transformado em Instituto de Línguas Nacionais, para se dedicar, única e exclusivamente, ao estudo científico das línguas nacionais e das tradições orais”, realçou a ministra.
Carolina Cerqueira lembrou ainda que, através da resolução número 3/86, de 23 de Maio, o Conselho de Ministros aprovou, a tí-tulo experimental, os alfabetos das línguas nacionais kikongo, kimbundo, côkwe, umbundo, mbunda e kwanhama, e as suas respectivas regras de transcrição.
“São esses alfabetos que têm servido de base ao Mi-nistério da Educação na inserção das línguas nacionais no sistema educativo”, acrescentou. Carolina Cerqueira disse que, em Angola, a diversidade linguística se manifesta, profundamente, no mosaico cultural nacional, o que permite a cada cidadão escolher e encontrar os meios de se comunicar e de aprender na sua língua materna.
A titular da pasta da Cultura acentuou que, para respeitar a diversidade cultural e linguística, o Governo desenvolveu um programa que valoriza o plurilinguismo e promove o desenvolvimento equilibrado do português e das línguas nacionais.
A responsável lembrou que o Governo defende ain-da  a formulação de políticas linguísticas que tenham em conta a incontornável complementaridade entre as diversas línguas maternas de Angola.
Sobre a actual situação da língua portuguesa no país, Carolina Cerqueira disse que a língua é materna de muitos angolanos e a mais falada no país. “O português implementou-se no seio das nossas comunidades, tornando-se no veículo da cultura das nossas populações e constituindo um forte laço de amizade nacional e de promoção da paz, do diálogo, da democracia, do Estado de Direito, dos direitos do homem e da justiça social”, disse, para acrescentar que, em qualquer espaço cultural, a língua é o conjunto das artes e costumes que ela veicula e a que temos acesso através dela, ocupam um lugar de grande destaque.
A ministra afirmou que a língua, na sua essência, é um bem universal, que não pertence unicamente a um limitado espaço geográfico, mas, sim, a todos os homens e todas as mulheres que escolheram aprendê-la, utilizá-la, torná-la fecunda nas culturas, nos seus imaginários, através dos seus talentos e no espírito de abertura e de enriquecimento do colectivo.
Desafiou os jovens “a  aprender, estudar, investigar e cultivar as identidades próprias de cada uma das línguas maternas que falamos, não só para as confrontar, mas, também,  para as enriquecer em beleza e colocá-las à disposição de todos que queiram ter acesso a elas”.

Fuente: http://jornaldeangola.sapo.ao/cultura/ministra_da_cultura_defende_ensino_nas_linguas_maternas

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Románul is toboroz előkészítősöket a nagybányai magyar iskola, a vegyesházasságban élőket szeretnék elérni

Magyarország / Február 24, 2018 / Szerző:Pap Melinda//kronika.ro

Resumen: La escuela húngara en Nagybánya también está reclutando preparadores en Rumania, que desean vivir en matrimonios mixtos. En rumano, la escuela secundaria secundaria Németh László en Nagybánya también está anunciando su clase de apertura a partir de otoño. De esta manera, quieres tener padres mixtos de esta manera.

 A román nyelvű helyi sajtóban, de a közösségi oldalakon is román nyelven hirdeti az ősztől induló magyar előkészítő osztályát a nagybányai Németh László Gimnázium. A térség magyar nyelvű iskolája a vegyes házasságban élő szülők figyelmét szeretné felhívni ily módon az anyanyelvű oktatás lehetőségére.

akik délben az iskola étkezdéjében ebédelhetnek. A magyar nyelven oktatott tárgyak mellett a gyerekek angolul is tanulnak, szakemberek által tartott vallás- és tornaórákon vehetnek részt, utóbbiak az iskola vadonatúj tornatermében zajlanak.

 A tanintézetben iskolapedagógus és szükség esetén logopédus is van, akik segítik a gyerekek közösségbe való beilleszkedését, harmonikus kognitív, szociális és érzelmi fejlődését, olvasható tovább a román nyelvű tájékoztatóban. Ebben

arra is felhívják a román anyanyelvű szülők figyelmét, hogy a tanórák az újonnan felújított, városközpontban található iskolaépületben zajlanak, ahol számos ingyenes alternatív tevékenységet is biztosítanak a diákok számára a bábszínháztól a táncórákig.

Az iskola vezetősége szerint a tanintézet emellett szociális ösztöndíjat, ingyenebédet és számos kedvezményt biztosít a nehéz anyagi helyzetben lévő családok csemetéi számára, de a tehetségek továbbtanulását, a hazai és nemzetközi versenyeken való részvételét is támogatja anyagilag. A nyílt levél zárásaként arra kérik a szülőket, hogy „tudatosítsák és értékeljék az anyanyelvű oktatás előnyeit”, forduljanak bizalommal hozzájuk.

Az iskola Facebook-oldalán is népszerűsíti az ősztől induló előkészítő osztályt, ahol maguk a szülők értékelik az iskolapadba érkezőkkel foglalkozó tanítónő munkáját. Többek között egy román anyuka is, aki román nyelven osztja meg a többiekkel jó tapasztalatait.

Mint arról beszámoltunk, a nagybányai Németh László Gimnázium belvárosi épületét tavaly tanévkezdéskor avatták fel, a református egyház tulajdonában levő, a 19. század közepén épített ingatlant a magyar kormány 105 millió forintos támogatásával korszerűsítették. Az épületben – melyben egykor Németh László író apja is tanított – magyar óvodai csoportok és elemi iskolai alsó tagozat kezdte el működését. Váradi Izabella igazgató akkor a Krónikának úgy nyilatkozott, hogy a felújítás csak az első lépése annak a stratégiának, hogy az iskola a térség szórványközpontjává váljon.

Forrás: https://kronika.ro/erdelyi-hirek/romanul-is-toboroz-elokeszitosoket-a-nagybanyai-magyar-iskola-a-vegyeshazassagban-eloket-szeretnek-elerni
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