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Francia: Handicap: «L’école inclusive», une priorité

Francia/Diciembre de 2017/Autor: Charly Triballeu/Fuente: RFI

Resumen: Con motivo del Día Internacional de las Personas con Discapacidad, el Ministerio de Educación Nacional de Francia ha elegido el tema de la «escuela inclusiva» para abrir el debate sobre la discapacidad en las escuelas, un término que se refiere a un deseo para incluir a los estudiantes con discapacidades en los salones de clase. En noviembre de 2016, el defensor de los derechos humanos Jacques Toubon describió como «preocupante» la situación de acceso a la escuela para niños con discapacidades, aunque destaca el progreso realizado desde 2005.

A l’occasion de la Journée internationale des personnes handicapées, le ministère de l’Education nationale en France a choisi le thème de « l’école inclusive » pour ouvrir le débat sur le handicap dans les établissements scolaires, un terme qui désigne une volonté d’inclure les élèves handicapés dans les salles de classe.  En novembre 2016, le Défenseur des droits Jacques Toubon qualifiait de « préoccupante » la situation de l’accès à l’école pour les enfants handicapés, bien que soulignant les progrès accomplis depuis 2005.

 « Des transformations durables pour une école inclusive ». Le thème retenu par le ministère français de l’Education à l’occasion de la Journée internationale des personnes handicapées se déclinera en différentes « actions de sensibilisation dans les établissements scolaires » lundi 4 décembre, détaille l’institution. Des outils et des ressources, notamment des courts-métrages, des films (« Intouchables », « Le Discours d’un roi »), une bibliographie et différents jeux pour animer une séance de sensibilisation au handicap seront mis à disposition des professeurs des écoles via le site Eduscol.

Contacté par RFI, le ministère explique que l’objectif de cette journée est de « permettre à la communauté éducative d’échanger sur le handicap, le fait d’accepter les différences et de les vivre ensemble ». Selon les chiffres du ministère, en 2016-2017, 300 815 enfants en situation de handicap ont été scolarisés dans les écoles et établissements relevant du ministère de l’Éducation nationale (public et privé).

Depuis le 11 février 2005, une loi existe pour garantir l’inclusion des enfants en situation de handicap à l’école. « Le remplacement du terme ‘intégration’ par celui ‘d’inclusion’ a son importance », souligne Marie-Hélène Jacques, enseignant-chercheur en Sciences de l’Education à l’ESPE [Ecole supérieure du professorat et de l’éducation] de l’Académie de Poitiers. « L’intégration pointe la différence des personnes, quand l’inclusion signifie que c’est à l’environnement d’accueil – l’école – de s’adapter pour accueillir la personne dans sa singularité et rendre les apprentissages accessibles », ajoute-t-elle.

«L’école doit s’adapter aux enfants handicapées, et non l’inverse»

 Comment une école devient-elle « inclusive »? Selon Marie-Hélène Jacques, il s’agit d’abord de porter un soin tout particulier à la formation initiale des enseignants, et à l’apprentissage de la pédagogie différenciée. « Un enseignant de mathématiques doit par exemple pouvoir adapter son cours à un élève autiste, qui a besoin de rituels, d’une planification précise de son activité », explicite-t-elle. « Cet enseignant peut utiliser un planificateur avec des pictogrammes, qui signifie à l’enfant quand l’activité commence et quand elle se termine. Des tablettes numériques peuvent également lui permettre de visualiser les activités qui l’attendent de façon à être moins anxieux et d’aborder l’apprentissage en toute sérénité », ajoute Marie-Hélène Jacques.

« L’école doit s’adapter aux enfants handicapées, et non l’inverse », confirme Jean-Louis Garcia, président de l’APAJH [Association pour adultes et jeunes handicapés]. Très liée à l’Education nationale depuis ses débuts en 1962, l’association défend l’idée que l’inclusion des enfants handicapés à l’école, en plus d’être bénéfique pour eux, permet aux autres élèves de « grandir et d’ouvrir leur esprit », témoigne M. Garcia.

Dans cette optique, l’APAJH participe dans certains départements à la formation initiale et continue des enseignants. Mais bien que la formation aux handicaps soit inscrite dans la loi, « dans les faits, chaque ESPE choisit ou non de délivrer des formations sur le handicap à ses élèves », indique Jean-Louis Garcia. Théoriquement, tout enseignant qui débute doit être en mesure d’accueillir un enfant handicapé car il a appris la pédagogie de la différenciation, mais dans la réalité est bien différente : c’est « au petit bonheur la malchance, pour ceux qui ne reçoivent pas de formation », explique-t-il, avant de souligner l’existence d’institutions où « ça marche », où l’inclusion est même une priorité. « Il faut aussi s’appuyer sur les belles réalisations, garder son optimisme », conclut-il.

L’école inclusive : une «utopie» ?

L’école inclusive n’est pas une « utopie », atteste Marion Aubry, vice-présidente de l’association TouPI [Tous pour l’inclusion], qui cite en exemple l’Italie, la Catalogne, la Suède, où les établissements spécialisées « n’existent pas ». Si la France n’est pas dernière au classement, la jeune femme regrette que le pays « ne mette pas vraiment les moyens en place pour mettre en œuvre l’école inclusive, que ce soit au niveau de la formation des profs, de l’accompagnement des AVS ».

La vice-présidente de l’association estime que le chemin est encore long avant d’atteindre l’idéal d’une école inclusive. Selon elle, « il y a toujours autant d’élèves handicapées dans les institutions spécialisées, dans lesquelles ils reçoivent très peu d’enseignement. On a une culture en France qui est de « ghettoïser » les enfants handicapés ». La jeune femme, qui accompagne au quotidien des familles, a été témoin de situations critiques : « bien que bénéficiant d’une décision de la maison départementale des personnes handicapées, des enfants n’ont toujours pas d’AVS en novembre / décembre », raconte-t-elle.

Dans ces situations, le manque d’accompagnement des élèves les force à rester chez, et oblige au moins l’un des parents à se rendre disponible. En cause : l’augmentation de la demande d’accompagnants. « En 2006, 26 000 élèves étaient accompagnés par une AVS. Il y en a 164 000 aujourd’hui. En conséquence, les Académies n’arrivent plus à suivre », déplore Marion Aubry. Et la « sanctuarisation » de 50 000 contrats aidés annoncés par la secrétaire d’Etat aux Personnes handicapées ne satisfait pas non plus la vice-présidente de TouPI, qui plaide pour la création « de vrais postes, moins précaires rémunérés correctement ».

L’enjeu majeur de la sensibilisation

« On observe le plus souvent que les réticences à accueillir un enfant handicapé dans une classe ne viennent pas des jeunes enfants, mais de leurs parents, qui considèrent que l’enseignant va trop s’occuper de cet enfant « différent », détaille Marie-Hélène Jacques. Des campagnes de sensibilisation sont donc régulièrement organisées par les différentes associations. Si la Journée internationale des personnes handicapées contribue à mettre en lumière les enjeux budgétaires et politiques qui entourent l’école inclusive, elle éclaire également la réalité quotidienne des associations, pour qui « la Journée des personnes handicapées, c’est tous les jours », conclut Marion Aubry.

Fuente: http://www.rfi.fr/france/20171202-ecole-inclusive-priorite-handicapes-journee-internationale

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Music education in Africa

África/Diciembre de 2017/Fuente: Music in Africa

Resumen: La educación en las artes es tan esencial como en cualquier otro campo y, aunque muchos músicos creen que puede manchar su creatividad y su punto de vista original, no hay duda de que hay más aspectos positivos que negativos que restar del estudio de la música. Al igual que el gran Picasso, que produjo pinturas de realismo antes del cubismo pionero, los músicos novatos deben aprender los principios básicos antes de que puedan ser apreciados por su creatividad.

Education in the arts is just as essential as in any other field and although many musicians believe that it can taint their creativity and original point of view, there is no doubt that there are more positives than negatives to take away from studying music. Just like the great Picasso, who produced realism paintings before pioneering cubism, novice musicians must learn the basic principles before they can be appreciated for their creativity.

But music education does not only go as far as music theory; it also involves other aspects of the industry such as business, stagecraft, copyright and media studies, to name a few. It is incumbent on today’s music professional to know as much about the music industry as possible if they want to participate in a highly competitive sphere where only the best get to make a living from their efforts.

At Music In Africa we see education as one of the central elements still missing from music in most countries on the continent. If one considers the exceptional artists and many musical styles that originated on the continent, then Africa is arguably the world’s richest source of musical talent. It unfortunate, however, that much of the talent that Africa produces is neglected in favour of other professions deemed more important by society or political structures.

This is why Music In Africa strives to provide our readership with authoritative educational content about all the aspects of music, such as instrument lessons, lessons on how to build your own instrument, information about what avenues you can take to educate yourself in various African countries and expert tips on the best practices required to be a successful music professional, among others.

Check out some of the educational material we have on our portal below and make sure you return to this page daily as we continue to add content during the month of December.

Fuente: https://www.musicinafrica.net/magazine/music-education-africa

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Libro: La comunicación mediatizada. Hegemonías, Alternatividades, Soberanías

La comunicación mediatizada 
Hegemonías, Alternatividades, Soberanías

Susana Sel. [Compiladora] 

Daniel Hernández. Guillermo Mastrini. Damián Loreti. César Bolaño. Hélio Lemos Sõlha. Rosa María de Lahaye Guerra. Jovana Cestille. Mariano Mestman. Christian Delgado Bajarano. Alexandra Fierro Morales. Fernando de Tacca. Silvia Pérez Fernández. Blanca Eekhout. Thierry Deronne. Rita de Cássia Lahoz Morelli. [Autores de Capítulo]

ISBN 978-987-1543-14-4
CLACSO.
Buenos Aires.
Marzo de 2009

Este libro analiza el rol de los medios de comunicación en tanto espacios de poder político, económico y social, que constituyen un campo de disputa de los sentidos culturales e ideológicos más significativos, en el contexto de las dramáticas transformaciones regionales que en las últimas décadas produjera el proceso de concentración del capital. Los estudios incluidos examinan estas situaciones, que han generado resistencias y prácticas diversas de intervención política también en el ámbito comunicacional. El abordar la comunicación y los medios implica relevar el proceso venezolano como un gran laboratorio donde coexisten experiencias de medios comunitarios, populares y alternativos, en el cual se construye un nuevo sistema público a partir de redes alternativas, y donde los medios masivos aún en poder de grandes grupos configuran hegemonías excluyentes. En el campo de la comunicación, atendiendo las demandas de participación y democratización de amplios sectores sociales, el Estado venezolano genera iniciativas constitucionales de regulación y la emergencia de experiencias mediáticas estatal-comunitarias, reinstalando la función social de los medios, objetivo excluido de las agendas mercantilizadas. Un hito importante en la búsqueda de una nivelación del desequilibrio informativo generado por la dominación lo constituye la aprobación de la Ley de Responsabilidad Social en Radio y Televisión. Por ello se ha identificado a Venezuela como epicentro de los debates en torno al futuro de la comunicación alternativa y pública. Desde otros procesos se destacan también experiencias de nuevas prácticas en la conflictividad social en Colombia, Argentina y Brasil, así como la capacidad regulatoria del Estado, funcional en estas últimas décadas a los grupos concentrados del capital, que necesariamente debe ser transformada en una herramienta significativa para un proyecto de sociedad más inclusiva y participativa. Proyectos que sitúan en lugar central el derecho a la información y la comunicación, y requieren nuevos marcos legislativos en relación con un sistema público de medios. Un proyecto geopolítico opuesto al de la dominación que, tras más de cinco décadas de guerra declarada o encubierta hacia la Revolución Cubana, se desarrolla con fuerte énfasis desde el espacio mediático.
Fuente: http://www.clacso.org.ar/libreria-latinoamericana/buscar_libro_detalle.php?id_libro=12&campo=titulo&texto=comunicacion
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Apertura en Jeju (República de Corea) de la reunión del Comité intergubernamental de salvaguardia del patrimonio cultural inmaterial

Diciembre de 2017/Fuente: UNESCO

El Comité intergubernamental de salvaguardia del patrimonio cultural inmaterial inauguró hoy en la isla de Jeju su 12ª reunión anual en una ceremonia que incluyó una muestra de artes escénicas tradicionales coreanas, como el arirang.

“Es mucho lo que se ha conseguido desde que la Convención de 2003 entró en vigor, en 2006. Es importante recordar que la vida de la Convención no es ni mucho menos estática. Al contrario, es una Convención que crece continuamente, adaptándose a las necesidades cambiantes de la comunidad internacional. Y gracias a esa adaptabilidad hoy continúa siendo de gran relevancia”, dijo Francesco Bandarin, Subdirector General de Cultura de la UNESCO. Bandarin recordó también que la Convención para la salvaguardia del patrimonio cultural inmaterial ha tenido un ritmo de ratificaciones más rápido que cualquier otra convención cultural y que “hoy cuenta con 175 Estados Partes”.

“El patrimonio cultural inmaterial engloba las expresiones más valiosas de la humanidad, precisamente porque va al corazón mismo de nuestra manera de entender el mundo, entender a los demás y entendernos entre nosotros. […] Su centro son las personas, porque solo las comunidades que lo practican pueden definirlo y salvaguardarlo. En línea con esta visión, la Convención de 2003 tiene su arraigo en la convicción de que el patrimonio cultural inmaterial es vivo y dinámico y está en continua evolución, como una fuerza de conocimiento a la vez tradicional e innovadora”, dijo Byong-hyun Lee, presidente del Consejo Ejecutivo de la UNESCO, que preside además el Comité intergubernamental.

Por su parte, Kim Jong-Jin, que preside la Administración del Patrimonio Cultural de la República de Corea, recordó el compromiso de largo aliento de su país con la Convención de 2003 y declaró: “Como estipula la Convención de 2003, el patrimonio cultural inmaterial es un puente que une pasado y futuro, que simboliza la identidad y la autoestima de las comunidades que lo practican”.

Durante su reunión, que continuará hasta el 9 de diciembre, el Comité examinará los informes periódicos presentados por 11 Estados Partes en la Convención, que resumen las medidas legales, regulatorias y de otros órdenes tomadas para salvaguardar el patrimonio cultural en sus territorios. El Comité debatirá también sobre el papel del patrimonio inmaterial en situaciones de emergencia, el impacto general de la Convención y el uso de los recursos económicos del Fondo del Patrimonio Cultural Inmaterial.

El Comité examinará seis candidaturas de inscripción en la Lista del Patrimonio Inmaterial que precisa medidas urgentes de salvaguardia, cuyo objetivo es conseguir cooperación y asistencia internacional para expresiones culturales amenazadas. Además, este año se han presentado 34 candidaturas de inscripción en la Lista representativa del patrimonio cultural de la humanidad, así como dos propuestas de inscripción en el Registro de buenas prácticas de salvaguardia y otras dos solicitudes de asistencia internacional para planes de salvaguardia o inventarios del patrimonio cultural inmaterial.

En la actualidad, la Lista de salvaguardia urgente del patrimonio cultural inmaterial cuenta con 47 elementos inscritos, en 26 países. Por su parte, la Lista representativa cuenta 365 elementos de 108 países, en tanto que el Registro de buenas prácticas de salvaguardia tiene 17 programas ya inscritos.

El patrimonio cultural inmaterial engloba prácticas y expresiones culturales vivas que se transmiten de una generación a otra. Incluye tradiciones orales, artes del espectáculo, usos sociales, rituales, actos festivos, conocimientos y prácticas relativos a la naturaleza y el universo y saberes y técnicas vinculados a la artesanía tradicional.

El Comité intergubernamental de salvaguardia del patrimonio cultural inmaterial está formado por representantes de 24 Estados Partes en la Convención elegidos para mandatos de cuatro años. Se reúne una vez al año.

Fuente: https://es.unesco.org/news/apertura-jeju-republica-corea-reunion-del-comite-intergubernamental-salvaguardia-del-patrimonio?language=fr

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Puerto Rico: Educación certifica tres escuelas como Microsoft Showcase School

Puerto Rico/Diciembre de 2017/Fuente: Metro

No hay duda de que la tecnología es una importante herramienta en el proceso de enseñanza-aprendizaje. Cada vez son más los educadores que enriquecen la experiencia en el salón de clases con el uso efectivo de la tecnología. De igual forma, es alentador ver que los estudiantes siguen mostrando interés en desarrollar competencias como la programación. A través de la labor que Microsoft está realizando en conjunto con el DE, estamos acelerando la innovación en la educación y ayudando a dotar los jóvenes con destrezas para enfrentar la competitividad en un mundo globalizado y tecnológico”, dijo en una comunicación escrita Herbert Lewy, Gerente General de Microsoft Caribe.

Escuelas puertorriqueñas brillan por uso de tecnología

La Escuela Dr. Carlos González de Aguada, la Superior Vocacional Nueva de Loíza y la Intermedia José Horacio Cora de Arroyo son la nueva cepa de escuelas públicas que recientemente fueron certificadas como Microsoft Showcase Schools, reconocimiento del que gozan solo diez instituciones educativas en Puerto Rico.

 Julia Keleher, secretaria del Departamento de Educación de Puerto Rico, explicó que “en éstas y otras escuelas públicas tenemos la meta de que nuestros maestros utilicen la tecnología en el proceso de enseñanza, enriqueciendo sus clases al convertirlas en un entorno interactivo. Gracias a Microsoft, al liderazgo de los directores y al compromiso de los docentes de estas escuelas, cada vez hacemos nuestra visión una realidad. Felicitamos a estas nuevas Microsoft Showcase Schools y agradecemos la labor y compromiso de los docentes y estudiantes”.

Julia Keleher

Por su parte, Keren Henríquez, Directora de Educación de Microsoft Caribbean, comentó que: “Las escuelas reconocidas como Microsoft Showcase School son instituciones que crean ambientes de aprendizaje innovadores y dinámicos con un fuerte elemento tecnológico integrado en todo el proceso educativo. Esta certificación reconoce que la innovación pedagógica en las escuelas públicas de Puerto Rico es posible y, además, destaca la alianza entre Microsoft y el DE para impulsar la educación del siglo 21, al incorporar la tecnología al salón de clases”.

 “Nos complace darle la bienvenida a estas tres escuelas a este exclusivo programa donde solo un selecto grupo de escuelas a nivel mundial son admitidas por sus prácticas de enseñanza innovadoras. Como Showcase School, Microsoft estará ofreciendo apoyo a estas escuelas para llevarlas a su próximo nivel con adiestramientos a los maestros y estudiantes y promoviendo las certificaciones profesionales en tecnología Microsoft entre estudiantes y maestros”, agregó Herbert Lewy, gerente general de Microsoft Caribbean.

Más jóvenes aprenden el lenguaje de la codificación

 De igual forma, Microsoft también se unió al esfuerzo corporativo global “Yo Puedo Programar” fomentar la enseñanza de los conceptos de las ciencias de computación “Computer Science Education for All” para que niños y jóvenes de todas las edades aprendan a programar de una forma fácil, divertida y gratuita.

 Keren Henríquez, directora de Educación de Microsoft Caribbean, explicó que, mediante la realización de un tutorial de codificación en línea, los jóvenes aprenderán en una hora los fundamentos básicos de la programación. En el mismo tanto niños como jóvenes interactuarán con la tecnología y aprenderán a crear aplicaciones, video juegos y páginas web de forma divertida. La iniciativa “Yo Puedo Programar” es parte de “La semana del Código” (Week of Code) que se celebrará en Puerto Rico y a nivel global el 1ro de diciembre. Para participar, los jóvenes pueden acceder la página web www.yopuedoprogramar.com

Fuente: https://www.metro.pr/pr/noticias/2017/12/03/educacion-certifica-tres-escuelas-como-microsoft-showcase-school.html

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Argentina: Una nueva escuela en la que se enseñará a cuidar el ambiente hasta con sus uniformes

Argentina/Diciembre de 2017/Autora: Lisa Navas/Fuente: Diario de Cuyo

Educando a los niños que cambiarán el mundo», es el lema del Colegio Los Andes, una nueva institución de la provincia que será la primera en tener la educación ambiental como eje transversal. Esta escuela comenzará a funcionar con el ciclo lectivo 2018 y tiene desde los materiales de trabajo hasta los uniformes de los chicos relacionados con la ecología. «La idea es enseñar con el ejemplo. Es decir, que además de la currícula de educación ambiental tenemos la infraestructura eco-friendly -equipada con luces LED y basureros ecológicos en todos los ambientes- y hasta los factureros son con papales reciclados», dijo Ángela Baudino.

Si bien la escuela funcionará con primaria y de nivel inicial el año que viene sólo recibirán a chicos para salita de 3, 4 y 5 años. Ellos posteriormente serán los primeros en ingresar a la primaria.

Baudino comentó que «la institución propone no sólo educar teóricamente a los chicos, sino crear en ellos una forma de vida sustentable mediante la participación activa y positiva en el medio que los rodea. Esta es la novedad que ofrece el colegio», agregó Baudino y explicó que la nueva institución educativa cuenta con la colaboración del INTA y una ONG de Buenos Aires, en la capacitación del personal docente. Es que en la escuela se enseñará huerta, aprovechamiento del agua y cuidado de suelos, entre otros temas. En cuanto a lo de los uniformes explicó que serán confeccionados con telas ecológicas que debieron traer a la provincia, porque acá no se consiguen con facilidad. Además, dijo que la infraestructura tiene algunos sectores con suelo de corcho y hasta espacios en los que no necesita iluminación artificial.

Este nuevo colegio tiene como pilares fundamentales la educación ambiental y la enseñanza intensiva del idioma inglés. Baudino dijo que esto es por «su innegable relevancia de dicho idioma para la inserción en el mundo de hoy». Es por esto, que se le dedicará muchas horas diarias a esta enseñanza. Mientras que en los relacionado a la educación ambiental dijo que en todas las materias y hasta en las actividades extracurriculares habrá temáticas relacionadas al cuidado ambiental. «La idea es que los chicos no aprendan a contar sombreros sino zanahorias que cosecharán ellos; o que los chicos cuenten cuántas gotas caen de un grifo si lo cerramos mal. Queremos que el aprendizaje sea práctico. Trabajamos con la currícula que exige el Ministerio de Educación, pero le agregamos ese plus», agregó la representante legal.

Separación de residuos. La escuela está edificada con normas ambientales. Por ejemplo, hay basureros ecológicos en todos los ambientes.

Inscripciones

Las inscripciones para el ciclo educativo 2018 se encuentran abiertas para jardín de 3 años, 4 años y 5 años. Los interesados pueden comunicarse al teléfono 4230560 o ir personalmente al Colegio Los Andes, ubicado en calle Paula Albarracín de Sarmiento 255 Sur, en Capital. La atención es de lunes a viernes de 9.30 a 12.30 y de 17 a 20.

Fuente: https://www.diariodecuyo.com.ar/sanjuan/Una-nueva-escuela-en-la-que-se-ensenara-a-cuidar-el-ambiente-hasta-con-sus-uniformes-20171203-0074.html

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Una de cada 7 personas en el mundo tiene una discapacidad

Diciembre de 2017/Fuente: Francia 24

Según las Naciones Unidades, una de cada 7 personas, o sea, más de mil millones de personas sufre algún tipo de discapacidad. El 3 de diciembre se conmemora su día.

 A partir del 14 de octubre de 1992 se conmemora cada 3 de diciembre el Día Internacional de las personas con discapacidad declarado por las Naciones Unidas.

Hacen parte del grupo de personas con capacidades especiales todos aquellos que viven con alguna discapacidad física o cognitiva. Un alto porcentaje de estas personas nació con alguna de estas condiciones por razones congénitas, otras sufrieron enfermedades que las llevaron a perder ciertas facultades y otras sufrieron daños definitivos en su cuerpo después de un accidente.

Colombia es uno de los países con más alto porcentaje de víctimas de minas antipersonales o municiones sin explotar. Son por lo menos 11.000 sobrevivientes a estos artefactos explosivos que grupos insurgentes han sembrado en los campos del territorio nacional durante varias décadas. Hoy viven después de haber perdido una o varias de sus extremidades, de sufrir quemaduras irremediables y perder sentidos como el oído y la vista.

Las víctimas civiles

Reiner Barsoba es una de esas víctimas. Pisó una “mina quiebrapatas” en el año 2008 cuando recorría un área rural en el municipio de Uribe, Colombia. Sufrió heridas profundas en su pierna izquierda que le significaron la amputación de la misma. Él es uno de los miles de civiles colombianos que han sufrido los embates de la guerra sin ser parte de ella. Sin embargo, este trágico suceso lo llevó a trabajar por sus derechos y por los de otras personas con discapacidad.

Hoy, después de casi 10 años es el coordinador de la Red Nacional de organizaciones de sobrevivientes de Minas Anti Personales y Municiones Sin Explotar, una organización que realiza gestiones para promover la creación de políticas públicas que protejan a la población con discapacidad.

France 24: ¿América Latina ha avanzado en la implementación de políticas que permitan el acceso a los derechos de la población con discapacidad?

Reinel Barsoba: “En algunos de los países hay desarrollos importantes en temas como la inclusión laboral, el acceso a la educación y el sistema de salud. Ecuador, por ejemplo, ha creado estrategias que ayudan a la población con discapacidad. En cambio, en Colombia es muy poco lo que se ha ganado porque este país no ha ratificado el protocolo facultativo de la convención sobre los derechos de las personas con discapacidad.”

France 24: ¿Las ciudades latinoamericanas han mejorado en la eliminación de barreras arquitectónicas para la población con discapacidad?

Reinel Barsoba: “Es difícil responder sí o no. Es claro que hoy en día las construcciones nuevas cuentan con sistemas de rampas que permiten la movilización de las personas que usan silla de rueda, las personas con discapacidad visual y las personas que caminan con muletas. Lo mismo pasa con los sistemas nuevos de transporte. El problema es con todo lo que se construyó hace más de 10 años que por supuesto son la gran mayoría de las edificaciones. Las ciudades se construyeron sin pensar en nosotros.”

France 24: ¿Cuál es la solicitud más urgente de las personas con discapacidad al conmemorarse su día?

Reinel Barsoba: “Que  se nos reconozca como personas. Que se humanice a las personas con discapacidad. Que entiendan que tenemos sueños, necesidades, objetivos y sentimientos. A pesar que el lenguaje ha mejorado y se intentan abolir términos como “inválido” o “impedido” el proceder sigue siendo discriminatorio. Las mayores discapacidades no están en el cuerpo sino en la mente».

La discriminación

Del total de personas con discapacidad sólo un 50% tiene la posibilidad de recibir tratamiento y más de 100.000 son niños. La condición de discapacidad limita también las posibilidades de acceder a la educación y al empleo, además de generar una alta probabilidad de ser víctimas de violencia.

El lenguaje que se utiliza para dirigirse a este grupo de personas también es un elemento a considerar ya que el hecho de dirigirse a ellos en términos despectivo genera estereotipos negativos que aumentan la discriminación.

Fuente: http://www.france24.com/es/20171202-3-diciembre-dia-personas-discapacidad

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