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Education à la sexualité : la France coincée dans «une approche encore trop sanitaire»

Francia/Noviembre de 2017/Fuente: LCI

Resumen:  Esta es una pregunta que muchos padres se preguntan: ¿cómo desarrollar en sus hijos una relación saludable con la sexualidad en la era de la proliferación de contenido pornográfico en Internet? El defensor de los derechos, Jacques Toubon, publica el lunes su informe anual sobre los derechos del niño. Y parte de su informe está dedicado a la educación sexual de los niños.

Primera observación, Francia tiene «un enfoque demasiado higiénico» sobre este tema. Como tal, el papel de la escuela es primordial. Ciertamente, es esencial capacitar a los más pequeños en los temas relacionados con la anticoncepción y prevenirlos de los riesgos (SIDA, infecciones de transmisión sexual). Especialmente porque las ITS aumentaron en un 10% entre los jóvenes de 15-24 años entre 2012 y 2014.

Aborder le sujet de la sexualité avec les plus jeunes pour mieux lutter contre les stéréotypes et les préjugés sexistes et homophobes n’est pas une sinécure. Le défenseur des Droits publie ce lundi un rapport sur les droits de l’enfant et consacre un volet à cette épineuse question. Décryptage.

C’est une question que de nombreux parents se posent : comment développer chez leurs enfants un rapport sain à la sexualité à l’heure de la prolifération de contenus pornographiques sur Internet ? Le Défenseur des droits, Jacques Toubon, publie ce lundi son rapport annuel sur les droits de l’enfant. Et une partie de son rapport est consacrée à l’éducation à la sexualité des enfants.

Premier constat, la France a «une approche encore trop sanitaire» sur ce sujet. A ce titre, le rôle de l’école est primordial. Certes, il est essentiel de former les plus jeunes aux enjeux liés à la contraception et les prévenir des risques encourus (Sida, infections sexuellement transmissibles). D’autant que les IST ont augmenté de 10% chez les 15-24 ans entre 2012 et 2014.

Mais «l’apprentissage de l’égalité des sexualités, du respect des orientations sexuelles et des identités de genre et la lutte contre les préjugés sexistes ou homophobes» devraient également être des sujets de préoccupation selon le Défenseur des droits. Or, cette tendance à aborder la sexualité par la prévention crée «un décalage avec les attentes des bénéficiaires» et cela participe à «la consolidation d’une sorte de tabou» autour du sujet, pointe le rapport.

Questionner les normes sociales

Pourtant, l’éducation à la sexualité doit justement permettre de questionner les normes sociales, ajoute-t-il. Comme l’avait déjà indiqué le Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes (HCE), les jeunes filles se trouvent souvent confrontées à une «double injonction de se montrer désirables mais respectables» et les garçons sont soumis à une «norme de virilité».

Le Défenseur des droits souhaite que le sujet des violences faites aux femmes soit davantage aborder dans les séances dédiées à l’éducation à la sexualité, au nombre de trois par an du CP à la terminale.

Enfin, l’impact de l’accès précoce à la pornographie doit faire l’objet d’un débat, suggère le Défenseur des droits, car celle-ci véhicule «des représentations inégalitaires de la sexualité». A cet égard, l’éducation à la sexualité peut s’avérer particulièrement utile car elle peut permettre de «développer une perspective critique sur l’écart entre représentations pornographiques et expériences vécues du sexe et du genre», selon les mots de la sociologue, Claire Balleys, auteur de Socialisation adolescente et usages du numérique, citée dans ce rapport.

Mieux former les enseignants

Pour aider le personnel de l’Education nationale (les enseignants mais aussi les chefs d’établissements, les CPE, les surveillants, les infirmières scolaires), le Défenseur des droits recommande notamment de renforcer leur formation «aux techniques d’animation permettant de favoriser les échanges entre et avec les jeunes».

Des outils pédagogiques adaptés ne seraient pas non plus un luxe. Dans un rapport réalisé l’an dernier, le HCE avait dénoncé la vision «hétéronormée» et «biologisante» du guide du formateurqui définit la sexualité d’abord un mode de reproduction ainsi qu’une absence de réflexion sur l’égalité des sexes et des sexualités. Selon la direction générale de l’enseignement scolaire, ce guide, édité il y a presque 20 ans, est en cours de réécriture.

Le tabou de la prostitution des enfants

Naturellement, les parents ont également leur rôle à jouer même si ce sujet reste sensible dans de nombreuses familles. Selon une enquête réalisée en 2015 auprès d’élèves de 4e et de 3e, 59% des élèves n’ont jamais parlé de sexualité avec leur mère et 80 % avec leur père. Pour faciliter le dialogue, le Défenseur des droits préconise «d’associer les parents au projet d’éducation à la sexualité au sein des établissements afin de s’assurer de leur compréhension des enjeux et, dans la mesure du possible, de favoriser leur bonne appropriation de la démarche». Bien conscient du caractère intime du sujet, le rapport rappelle toutefois le droit des enfants à se taire s’ils ne souhaitent pas échanger avec leurs parents sur la question.

Alertée par des associations sur ce phénomène jusqu’ici inconnu, le Défenseur des droits veut enfin porter «une attention particulière sur la prostitution occasionnelle qui semblent augmenter chez les jeunes». D’après l’association Agir contre la prostitution des enfants, des collégiennes et des lycéennes «consentent à exécuter des prestations sexuelles tarifées à leurs camarades d’établissement scolaire». Sans plus de précision, le rapport préconise de «mettre en place les actions adaptées» et d’améliorer «la protection et l’accompagnement des jeunes concernés».

Fuente: https://www.lci.fr/societe/education-a-la-sexualite-sexe-mst-contraception-le-defenseur-des-droits-veut-mettre-fin-a-une-approche-encore-trop-sanitaire-2070701.html

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España: Piden incluir la educación sexual en los planes de acción tutorial de los colegios

España/20 de Noviembre de 2017/

CC OO reclama a la Consejería que la formación se adelante a los últimos cursos de Primaria, en la asignatura de Ciencias Naturales.

Se estudia el aparato reproductor masculino y femenino y «poco más». De esta forma resume la Asociación de Matronas de la Región la formación sobre sexualidad que se imparte en algunos centros educativos murcianos. Comisiones Obreras (CC OO) comparte esa reflexión: «Habría que plantearse cómo está incorporada la educación sexual en el currículo».

El sindicato considera que el hecho de que la Región, según la serie histórica del INE, sea la quinta autonomía del país con más casos de menores de edad embarazadas, y que solo en 2016 se registrasen 62 casos de chicas por debajo de los 15 años en estado, cuando en toda una década se habían computado oficialmente 97, «demuestra que hay que empezar a trabajar la educación sexual desde Primaria».

La Consejería de Educación confirma que solo hay «contenidos específicos en el currículo» regional en la etapa de ESO y Bachiller. Por ello, el sindicato insiste a la Consejería para que también se incorpore al currículo desde los últimos cursos de Primaria. «En la asignatura de Ciencias Naturales tendría cabida». Además, reclama que la educación sexual se añada a los planes de acción tutorial de colegios, con unos contenidos y criterios unificados para todos los centros.

El Morales Meseguer acogió un foro sobre sexualidad en los jóvenes, en el que se puso de relieve que el 30% de los adolescentes practican sexo; el 15% asumen prácticas de riesgo: sin condón y tras beber

«También debe incluirse en los institutos, porque la edad de inicio en la relaciones sexuales se ha rebajado desde los 16 años a los 14 años», advierten.

La Consejería sostiene que la educación sexual también se aborda en el programa ‘Salud en la Escuela’ y que los centros educativos, «en base a su autonomía, pueden organizar cualquier tipo de actividad relacionada con la educación sexual». Pero Comisiones Obreras critica que el programa ‘Salud en la Escuela’ «no es obligatorio» y reivindica «una campaña sistemática de formación e información; se trata de una cuestión que no puede depender de la subjetividad de los centros».

Centros de salud

La Asociación de Matronas de la Región también reivindica que la Administración lleve a cabo más charlas, talleres y jornadas dirigidas a menores y padres. Ponen como ejemplo, el tercer Foro Regional de Salud Sexual y Reproductiva, que junto a la Sociedad Murciana de Calidad Asistencial (Somuca) celebraron, el pasado jueves, en el hospital Morales Meseguer de Murcia. El hilo conductor fue ‘La sexualidad en los jóvenes: un reto para todos’ y durante el foro se expuso que hay relaciones coitales en un 30% de los adolescentes de entre 15 y 19 años, «de los que un 15% mantienen prácticas de riesgo, sin anticonceptivos y tras haber consumido alcohol».

CC OO considera necesario que las acciones formativas también se extiendan fuera de los centros para que lleguen a las familias, «a través de programas de prevención en consultorios médicos», con el objetivo de reducir la tasa de embarazos no deseados entre menores.

Fuente: http://www.laverdad.es/murcia/piden-incluir-educacion-20171118013530-ntvo.html

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In Cambodia, push to end maternal deaths in remote areas

Camboya/Noviembre de 2017/Autor: Matthew Taylor/Fuente: UNFPA

Resumen:  En la remota aldea agrícola de Sakreang, en el noreste de Camboya, Romam Pcheuk visita a las mujeres embarazadas en sus hogares. «Vigilo a las chicas pálidas y a las que se quedan embarazadas muy jóvenes», explicó. «Es mi trabajo advertirles de las señales de peligro». La Sra. Pcheuk una vez ayudó a las mujeres a dar a luz de la manera tradicional: en el hogar, a menudo usando prácticas peligrosas. «Empujé sus vientres con más fuerza cuando el bebé no salía», recordó. «Si hubo problemas, se volvió peligroso. No teníamos ningún equipo o medicamento a mano «. Pero hace cinco años, se unió a una iniciativa liderada por el gobierno, con el apoyo del UNFPA, que tenía como objetivo educar a las mujeres en comunidades remotas sobre embarazos y partos seguros. Crucialmente, ella aprendió a alentar a todas las mujeres embarazadas a que visiten a proveedores de servicios de salud profesionales.

In the remote farming village of Sakreang, in Cambodia’s far north-east, Romam Pcheuk visits pregnant women in their homes.

“I keep my eye on the girls who are pale, and those that get pregnant very young,” she explained. “It’s my job to warn them of danger signs.”

Ms. Pcheuk once helped women give birth the traditional way – at home, often using dangerous practices.

“I pushed their bellies down harder when the baby wouldn’t come out,” she remembered. “If there were problems, it got dangerous. We didn’t have any equipment or medicine on hand.”

But five years ago, she joined a government-led initiative, supported by UNFPA, that aimed to educate women in far-flung communities about safe pregnancy and childbirth. Crucially, she learned to encourage all pregnant women to visit professional health care providers.

Midwife Sou Sreymech checks over a pregnant woman at the Oyadav district health centre in Rattanakiri, Cambodia. © UNFPA/ Matthew Taylor

Today, she is a community health volunteer, looking out for hundreds of pregnant women in Sakreang and nearby villages in Rattanakiri Province. She monitors their progress and gives them referrals to health facilities.

She also holds education sessions. “It was hard getting women to come to my sessions at first, but gradually people joined in,” she said.

“Today, no one here gives birth at home anymore. Everyone goes to the facility.”

Huge gains, lingering challenges

Cambodia has made huge gains in bringing down maternal mortality.

“In 1990, Cambodia’s maternal death rate was right up at around 1,200 women dying per every 100,000 live births,” said Catherine Breen Kamkong, UNFPA’s Deputy Representative in Cambodia. By 2015, it was about 161 per 1,000 live births.

According to the latest data, nearly 90 per cent of all births in Cambodia now take place under the care of a skilled birth attendant.

But in remote provinces like Rattanakiri, progress is only just starting to show.

“We’ve had zero maternal deaths in our district so far this year,” said Dr. Lek Chanthy at the Borkeo district hospital, which covers a population of around 70,000 in Rattanakiri. “But language barriers, traditional practices and a lack of education are still serious challenges.”

There are nearly 195,000 people in the province, over half from indigenous groups. Many stick closely to traditional lifestyles: farm work, early unions and home births.

“Some people marry at just 14, so when they get pregnant their bodies are not ready,” explained Dr. Lek Chanthy, vice-chief of the district hospital. “Young mothers face higher risks of things like excessive bleeding and disability later in life, and with no skilled birth attendants helping with childbirth, they may not make it through serious complications.”

Romam Phel, 17, is poised to become one of these young mothers. She was married at 16, and is now seven months pregnant.

“I think my time came, and we just fell in love,” she said about her early marriage. “I wanted to have children straight away after our wedding.”

Ms. Pcheuk is encouraging her to give birth in a health facility.

The last mile

Since the 1990s, UNFPA has supported the government in building a workforce of professional midwives and boosting access to sexual and reproductive health services.

Today, UNFPA, the government and partners are focusing on remote and underserved regions, increasing the number of midwives trained to deal with complicated births and doctors who can perform emergency Caesarean sections.

“Risks remain high for geographically remote communities and for marginalized groups like ethnic minorities, adolescents and migrants,” explained Ms. Breen Kamkong. “This is why we are focusing our actions on nine key provinces facing health and other inequities.”

Education is also essential. With UNFPA support, the Ministry of Education is developing comprehensive sexuality education curricula, which will be rolled out to all students between 10 and 18 years old.

“We need to go the last mile in bringing down maternal deaths,” said Ms. Breen Kamkong.

“That means putting the rights and needs of remote communities and marginalized groups right up front – so everyone can benefit from Cambodia’s phenomenal gains in bringing down maternal mortality, and can access vital sexual and reproductive health services and information.”

Fuente: http://www.unfpa.org/es/news/cambodia-push-end-maternal-deaths-remote-areas

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Sudáfrica: Sex education introduced to the youngsters

Sudáfrica/Noviembre de 2017/Fuente: News 24

Resumen:  Por primera vez en Sudáfrica, se lanzó la serie en línea de educación sexual y reproductiva de Amaze.

La serie sudafricana Amaze se lanzó en el programa Ikamva Labantu Youth Centered Family en Gugulethu el miércoles pasado.

Ikamva Labantu fue una de las organizaciones de la comunidad que apoyó al equipo sudafricano Amaza en el desarrollo de la serie, proporcionando comentarios de los jóvenes y cuidadores en su programa para asegurarse de que el contenido tuviera sentido.

Los dos primeros episodios fueron titulados Bullying and Sexual Orientation y el tercer episodio se llamó Healthy Relationships (Relaciones sanas) y se lanzarán el 13 de noviembre. La serie de 11 partes se lanzará en noviembre y hasta diciembre en YouTube, las redes sociales y en: www.amaze.org.za

For the first time in South Africa the Amaze sex and reproductive health education online series has gone live.

The South African Amaze series launched at the Ikamva Labantu Youth Centred Family Programme in Gugulethu last Wednesday.

Ikamva Labantu was one of the community organisations who supported the South African Amaza team in the development of the series, providing feedback from the young people and caregivers in their programme to make sure that the content made sense.

The first two episodes were entitled Bullying and Sexual Orientation and the third episode was called Healthy Relationships) due to go live on 13 November. The 11-part series will roll out over November and into December on YouTube, social media and at: www.amaze.org.za

Amaze is an online, animated video series for 10 to 14 year olds that tackles the tough questions young people have about their changing bodies, sexuality, healthy relationships and behaviour.

The highly successful series originated in the US, and now a portion has been adapted for a South African audience including translation into Xhosa and Afrikaans and new locally relevant characters and topics.

Amaze’s local partner is Marie Stopes South Africa who, through a grant from the Westwind Foundation has worked to localise and distribute the content in South Africa.

Marie Stopes operates a national network of sexual and reproductive health centres and see first-hand the need for more vibrant, relatable sex education that impacts young people as early as possible.

Whitney Chinogwenya, Brand and Communications Manager for Marie Stopes says: “The South African Amaze series hopes to be a resource for 10 – 14 year olds to help them navigate their adolescence with accurate, age appropriate information about sexuality that’s presented in an educating and entertaining way.”

Under the tagline #MoreInfoLessWeird the series also aims to help parents and guardians discuss these issues with the young people in their lives openly and honestly. “The series creates the opportunity for fun, youth-friendly tools to help start these conversations earlier, with tweens and teens, in a way that resonates with their everyday experiences,” Chinogwenya says.

Aside from helping with awkward conversations, these videos provide real information that can help young people be prepared for the experiences they may deal with in the future. South African teens face many challenges when it comes to sexual health.

Fuente: https://www.news24.com/SouthAfrica/Local/City-Vision/sex-education-introduced-to-the-youngsters-20171108

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República Dominicana: La necesaria educación sexual

República Dominicana/07 de noviembre de 2017/Por: Yvelisse Prats-Ramírez de Pérez/Fuente: https://www.listindiario.com

Escuché de pasada, casi apagando el televisor, la noticia: Monseñor Víctor Masalles, depositó un anteproyecto de ley que establece la educación sexual como disciplina regular en las escuelas dominicanas.

No conozco el texto depositado, pero me adelanto a apoyar la intención y propósitos que lo impulsan y lo insertan en el debate nacional, en un preciso momento crítico que exige que fortalezcamos nuestra educación escolar, que ha decaído en calidad y en pertinencia; se enseña en las aulas poco y mal, los alumnos memorizan, no reflexionan, y la anomia de valores atrofia la moral de la familia, la personal y la pública.

La educación sexual, y familiar, como yo le agrego siempre, no es una receta que cura esa anemia intelectual, ética y actitudinal que padece nuestra sociedad.Pero dentro del carácter procesual que tiene la educación, una formación sexual bien entendida, abarcando la afectividad, la responsabilidad, la espiritualidad, la culturalidad; una mixtura, a la vez cognitiva y emocional, puede combatir el rancio tradicionalismo patriarcal, que se vuelve, en la medida en que las sociedades se embrutecen un machismo crudo.

Reitero que no he leído el proyecto de ley de monseñor Masalles, no sé tampoco si lo presentó en su nombre, o si es una posición de la iglesia Católica.

Escribo, motivada, valga la redundancia, por los motivos que mueven el proyecto, que responde a una necesidad impostergable, urgida por hechos fehacientes: violencia de género que culminan en feminicidios, embarazos adolescentes en cifras que rompen récords continentales, inequidad de género en las raíces de las acciones públicas y privadas. Esas disparidades y abusos, esos crímenes, son, a su vez, emanaciones tóxicas del gran mal que asfixia el desarrollo material y moral de nuestro país, la desigualdad.

Esta causa esencial lleva a definir la educación sexual como lo que es en esencia, una formación integral, integrada, multifactorial.

Si se quiere que sea eficaz para convertir nuestro sistema educativo en un instrumento de construcción de ciudadanía y de seres humanos mejores, la educación sexual debe abarcar, no solo la información anatómica fiel de los órganos que definen la sexualidad de los géneros, su funcionamiento y su cuidado, la educación coital, propiamente dicha.

Esa es la parte más simple y más facilona de concebir el tema, pero no es la más propia: hay que profundizarla, y entretejerla en conceptos y reflexiones que coadyuva con la ética, con la formación humana, en la ruptura de tabúes, de estereotipos, de autoritarismos y de ignorancias sembradas en generaciones que crecieron aprendiendo como ritual sagrado la práctica de la desigualdad.

Para jugar ese rol tan importante, yo hubiera preferido que la educación sexual (y familiar, también) fuera un eje transversal en el currículo dominicano.

Pero he sabido que las actuales autoridades han sacado los ejes transversales de la última reforma educativa, dominicana, porque en ello se refugiarían los valores, que en las competencias se desvanecen. Si se va a impartirla como asignatura, o si ya se está haciendo, como se decidió en el Pacto Educativo 2014-2030, de acuerdo al numeral 4.2.4, debe empezar en la educación inicial y abarcar todos los niveles y modalidades del sistema.

Por cierto, el Ministro de Educación de entonces fue firmante y compromisario del Pacto representando al gobierno.

Educación sexual debe empezarse en el hogar, por eso hay que educar también sobre y a la familia; y luego, en la educación inicial, en la primaria, en la secundaria, en la especial que es la Cenicienta del sistema, y en la educación de adultos.

Eso, en el aparato escolar. Porque si realmente se aspira a una educación sexual que sea útil, efectiva para cambiar conductas, los medios de comunicación tienen que participar en el esfuerzo. Habrá que introducirla también, en las redes, que son decisivas en cuanto a influencia en los jóvenes. Esa es una población que partiendo de la educación sexual, puede cambiar sus patrones de relación consigo misma, con sus parejas y el resto de sus congéneres.

Creo que estas consideraciones movieron a monseñor Masalles a presentar su proyecto de ley. Al ministerio toca ahora, sin más dilación (de acuerdo al Pacto Educativo tenía que hacerlo en el 2014), introducir en el currículo nacional la educación sexual y formar en todas sus vertientes a los docentes que van a impartirla. Quiero esperar, en esta ocasión, que la voz de mi iglesia sea persuasiva.

Fuente de la Noticia:

https://www.listindiario.com/puntos-de-vista/2017/11/04/489178/la-necesaria-educacion-sexual

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Cada tres minutos nace un niño de madre adolescente en Venezuela, según UNFPA

Venezuela/02 noviembre/Fuente: El País

Varias iniciativas se están comenzando a promover en Venezuela para prevenir el embarazo en adolescentes, pues según el Fondo de Población de Naciones Unidas(UNFPA por sus siglas en inglés), uno de cada cuatro partos que registra el país se produce de una madre menor de 19 años.

“Entre 20 y 25 % de los nacimientos son de una madre adolescente. Podemos decirlo de otra manera, decimos que cada tres minutos nace un niño de una madre adolescente”, explicó a EFE el representante auxiliar del UNFPA en Venezuela, Jorge González Caro, con motivo del Día Nacional de la Prevención del Embarazo en Adolescentes.

Detalló que la tasa de fecundidad en adolescentes en Venezuela se encuentra entre 98 y 101 embarazadas por cada 1.000 adolescentes “entre 15 y 19 años”, una cifra que se encuentra muy por encima del promedio de América Latina; 76 por cada 1.000.

González Caro indicó que aunque durante los últimos 30 años las tasas de fecundidad en la adolescencia se han mantenido “casi intactas”, señaló que lo que hace importante atacar el tema ahora es que “la situación demográfica del país” señala que en este momento se “necesita aprovechar el máximo” a la población adolescente.

“Cuando tienes un fragmento muy importante de la población adolescente que se embaraza” y a consecuencia de ello queda excluida del sistema educativo, productivo y de un “trabajo digno, entonces se reproducen los ciclos de pobreza, violencia y el embarazo adolescente termina poniéndole un ancla a las posibilidades de desarrollo del país”, explicó.

En este sentido, la oficial nacional del UNFPA en Venezuela, Andrea Pereira, señaló que son diversas las iniciativas que se están promoviendo y aseguró que existe “todo un trabajo alrededor de lo que es la educación integral de la sexualidad“.

También están unos acuerdos “curriculares” que plantean que desde la educación inicial hasta la universitaria se debe impartir “la educación integral de la sexualidad según el ciclo de vida de la población”, dijo.

Pereira destacó que el Ministerio de Salud está abordando el tema con unos modelos de servicios de atención a los adolescentes de acuerdo a su edad. Además, dijo que “el país cuenta con un plan nacional para la promoción de derechos sexuales y reproductivos“.

Asimismo, el UNFPA se encuentra trabajando en conjunto con la empresa privada Propulso, en Soledad, municipio Independencia del estado de Anzoátegui, en un programa para prevenir el embarazado en adolescentes en ese sector, luego de que la compañía identificara este tema como un reto para promover el desarrollo económico.

“Es un modelo de trabajo completamente financiado por Propulso y que mantiene alianza con la Alcaldía, sus direcciones de Salud y Educación y la comunidad en general”, indicó Pereira.

“Estamos abordando distintos componentes”, como “el de la educación integral de la sexualidad, donde se da formación al personal docente en este tema”, y están los “grupos de pares promotores, que son adolescentes de tercer y cuarto año de bachillerato“, que trabajan en sus comunidades promoviendo la prevención del embarazo a temprana edad.

El proyecto, que arrancó en 2015, ya muestra “resultados intermedios”, pues hay adolescentes asistiendo al “servicio diferenciado para la atención del adolescente“, un sistema de ayuda para orientar sobre la responsabilidad en la sexualidad, aseguró González Caro.

Fuente: https://elpais.com/ccaa/2017/11/01/catalunya/1509560386_572428.html

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Ecuador: Ministerio de Educación presenta metodologías y mensajes educativos para construir entornos protectores y prevenir el abuso sexual contra niños, niñas y adolescentes

Ecuador/02 noviembre 2017/Fuente: Unesco

En Feria lúdica se visibilizan metodologías educativas que serán incorporadas en el currículo nacional, a través de la asignatura Desarrollo Humano Integral.

Bajo el concepto Educa en Paz, el Ministerio de Educación, UNICEF, la Oficina de la UNESCO en Quito y Diners Club del Ecuador organizaron el domingo 29 de octubre una feria abierta al público, en el Parque Itchimbía de Quito, para visibilizar e interactuar con una diversidad de metodologías y materiales lúdicos y pedagógicos que apuntan al desarrollo de habilidades para la vida en la población escolar.

Las habilidades para la vida son un conjunto destrezas y capacidades cognitivas, afectivas y sociales que ayudan a los niños, niñas y adolescentes a enfrentar la vida de manera positiva, adaptarse al entorno y elegir estilos de vida saludables.

Con el fin de potenciar el desarrollo de esas habilidades, el Ministerio de Educación incorporará en la malla curricular una asignatura denominada Desarrollo Humano Integral. Los temas priorizados de esta asignatura son: prevención de la violencia y abuso sexual, uso y consumo de drogas, preparación ante riesgos, elaboración de proyectos de vida y convivencia armónica, entre otros temas.

La feria tiene como objetivo mostrar cómo funcionan las diferentes metodologías que contribuirán a la asignatura Desarrollo Humano Integral. Entre las herramientas que se presentan son:

Educación para la Paz:

·         El Tesoro de Pazita, metodología desarrollada por Nación de Paz del Vicariato Apostólico de Esmeraldas, con el apoyo de UNICEF y Diners, y validada por el Ministerio de Educación. Es una herramienta construida con niños, niñas y adolescentes de zonas vulnerables con altos índices de violencia, que a través de juegos tradicionales, se fortalece la autoestima de los niños, se difunden sus derechos, se promueve el respeto, la convivencia pacífica, el trabajo en equipo y el pensamiento crítico, se desarrollan también habilidades de negociación y resolución de conflictos mediante el diálogo.

·         Multimediando, herramienta transmedia desarrollada por la Oficina de la UNESCO en Quito y el Instituto Iberoamericano del Patrimonio Natural y Cultural que tiene por objetivo promover en la comunidad una cultura de paz a través del diálogo como herramienta para la convivencia armónica y la mediación entre pares para la resolución pacífica de conflictos, enseñando a los niños y niñas de 8 a 14 años a utilizar la mediación como herramienta para resolver sus conflictos de manera pacífica y respetuosa, a través del uso de medios cercanos a ellos.

Prevención de abuso sexual:

·         A través de la campaña Ahora Que Lo Ves, Di No Más, se presentan mensajes claves de prevención que consisten en tres simples reglas para los niños: conocer cuáles son las partes íntimas del cuerpo, saber qué nadie las pueda tocar, ni que ellos deben tocar las partes íntimas de nadie, y que si alguien lo hace no deben guardarlo en secreto, sino contarlo inmediatamente a una persona de confianza.

La campaña es impulsada por UNICEF en conjunto con Ecuador Dice No Más, a la que se ha sumado el Ministerio de Educación para redoblar esfuerzos en favor de la prevención del abuso sexual.

Preparación ante riesgos:

·         Con el fin de concienciar a los niños sobre la importancia de estar preparados para enfrentar una emergencia, UNESCO creo Tanah, una aplicación inspirada en catástrofes naturales como tsunamis y terremotos, que incentiva a los niños a saber cómo actuar. Y en esta misma línea, Riesgolandia, un juego de mesa en tamaño gigante ideado por UNICEF.

La feria cuenta con el apoyo de Amigos de UNICEF: los integrantes de la banda ecuatoriana Cocoa Roots, Karla Kanora y Daniel Betancourth, quienes compartieron con el público asistente a los diferentes espacios interactivos.


La feria ofreció un escenario de experiencias lúdicas para el desarrollo de habilidades por parte de niños, niñas y adolescentes que fortalecen la experiencia cotidiana a los fines de la convivencia pacífica, la promoción del respeto, el pensamiento crítico y el ejercicio de los derechos.


Bajo el concepto Educa en Paz, las familias se convierten en agentes activos de la comunidad escolar, y se incorporar al desarrollo humano integral de niñas, niños y adolescentes.

Fuente: http://www.unesco.org/new/es/media-services/single-view/news/ministerio_de_educacion_presenta_metodologias_y_mensajes_e/

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