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Trailer: El buen maestro

Francia/14 de Abril de 2018/Toyoutome

Imaginemos que somos maestros y que tenemos delante un grupo de alumnos de esos que llaman “conflictivos”, ¿qué podríamos hacer para ganárnoslos? Este es precisamente el problema que encuentra el protagonista de la película francesa El buen maestro que está a punto de estrenarse.

La película pone el foco en la experiencia de un docente, François Foucault, de 40 años, profesor de literatura en el prestigioso instituto  Henri IV al comienzo de la película. Debido a una serie de circunstancias le trasladan desde el reconocido centro en el que lleva impartiendo clase varios años a otro con una realidad social muy diferente.

Dirigida por Olivier Ayache-Vidal y protagonizada por Denis Podalydès, Abdoulaye Diallo, Léa Drucker y Pauline Huruguen, entre otros, la producción requirió una inmersión profunda tanto del director como del equipo artístico en la realidad del aula. El propio director convivió durannte casi dos años con los 500 alumnos y 40 profesores del colegio Maurice Thorez de Stains, una población de la periferia de París, para aportar experiencias lo más realistas posibles a su película.

Santillana, a través de Invery Crea, ha colaborado con Cero en conducta, la red social de profesores que buscan acercar el cine y el lenguaje audiovisual al mundo educativo, y la distribuidora de cine independiente, Caramel Films, para promocionar esta singular película entre la comunidad de profesionales de la educación.

Hoy ayudamos a compartir el tráiler de esta producción francesa (Les grands esprits), dirigida por Olivier Ayache-Vidal, que se estrena en las pantallas españolas el 13 de abril de 2018 y que sin duda recomendamos verla.

Fuente: http://toyoutome.es/blog/el-buen-maestro/42654

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France: Des élèves en plus mais une classe en moins : dans cette école rurale, la promesse de Macron n’est pas tenue

France / 14 avril 2018 /marianne

Le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer a promis qu’aucune classe ne fermerait en France si le nombre d’élèves y augmentait. Pourtant, l’école de Rochefort-en-Valdaines dans la Drôme s’apprête à voir une classe supprimée… alors qu’elle attend plus d’enfants l’année prochaine.

L’engagement est ferme et tient lieu de stratégie de communication au gouvernement : «Il n’y a aucun endroit en France où on ferme une classe quand il y a une augmentation du nombre d’élèves». Jean-Michel Blanquer était formel le 14 mars, au 20 heures de France 2, se disant même prêt à «rectifier une décision si on [lui] montrait le contraire«. Le ministre de l’Education répondait ainsi à une critique lancinante : pour assurer le dédoublement des classes de CP et de CE1 dans les réseaux d’éducation prioritaire (REP), promesse d’Emmanuel Macron, le gouvernement est accusé de déplumer les écoles rurales de leurs professeurs. Pas du tout, rétorquent les membres de l’exécutif : si des classes ferment en campagne, c’est uniquement parce que le nombre d’élèves baisse.

Mais cette réponse pragmatique connaît au moins une exception: à Rochefort-en-Valdaine, commune de près de 400 âmes située dans le sud de la Drôme, l’école s’apprête à voir une classe fermer… alors que le nombre d’élèves sera en augmentation l’année prochaine. Et alors que les élus locaux, les enseignants et les parents d’élèves se sont mobilisés, le gouvernement n’a toujours pas donné de réponse à leur appel à l’aide.

Revenons quelques années en arrière, en 1989 précisément. A cette époque, la classe de La Touche, autre commune située dans ce petit coin de Drôme à une dizaine de kilomètres de Montélimar, est menacée de fermeture. Pour la sauver, trois bourgades – Portes-en-Valdaines, Rochefort-en-Valdaines et La Touche – sont incitées à coopérer pour créer un Regroupement pédagogique intercommunal (RPI). Ce dispositif, très fréquent en zone rurale, permet à plusieurs écoles à faibles effectifs de se regrouper en une seule entité, et de «dispatcher» leurs classes dans les différents établissements. Décision est donc prise de scolariser les élèves les plus jeunes (maternelle) à Portes, les plus âgés (CM1 et CM2) à La Touche et les autres à Rochefort. En 1995, une classe supplémentaire est même ouverte à Rochefort-en-Valdaines pour répondre à l’augmentation de la population.

Cette situation a perduré pendant plus de vingt ans, avant de prendre brutalement fin le 9 février dernier. Le directeur académique (DASEN) de la Drôme décide qu’à la rentrée 2018, une classe du RPI sera fermée. Représentants du personnel, parents d’élèves et maires s’unissent alors en remuant ciel et terre pour infléchir cette décision. Des contacts sont pris avec la députée et la sénatrice locales, des pétitions sont lancées par les parents d’élèves, qui les font circuler via les cahiers de leurs enfants. Finalement, un courrier est envoyé au ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer par le maire de Portes-en-Valdaine, Jean-Bernard Charpenel.

Consternation chez les habitants

Point central de l’argumentation de l’édile : les effectifs vont augmenter à la rentrée. Cette année, le RPI scolarise 64 élèves : les prévisions de novembre faisaient état de 65 élèves pour septembre prochain, avant que les conjectures évoluent, passant en début d’année à 70. Et encore, ces chiffres sont trompeurs : dans ces petites écoles de campagne, les enfants de 2 ans sont aussi accueillis en classe, même s’ils sont trop jeunes pour être comptabilisés dans les statistiques officielles. En effet, le manque de services publics en zone rurale, et notamment de crèches ou de garderies, incite les parents qui travaillent à scolariser le plus vite possible leur progéniture. Si on prend en compte les «vraies» données, le RPI drômois va donc passer à 79 élèves l’an prochain. Et pourtant, le DASEN a décidé de la fermeture d’une classe.

C’est la consternation chez les habitants. Christophe Bouchet, le président du syndicat intercommunal à vocation scolaire (SIVOS), fustige le mépris du représentant académique local : «On s’est déplacé pour aller voir la députée (Alice Thourot, LREM, ndlr), le DASEN nous a dit qu’il ne tenait même pas compte de notre déplacement. Lorsqu’on lui a annoncé qu’on lançait une pétition, il nous a dit ‘faites-là, ce n’est pas grave’«. Contacté, le haut fonctionnaire n’a pour l’heure pas donné suite à nos sollicitations.

Du côté de l’équipe pédagogique, on s’inquiète des conséquences qu’aura la fermeture de la classe sur l’enseignement. Actuellement, chacune des quatre classes compte une vingtaine d’élèves, mais les professeurs doivent gérer des «double niveaux» : A Portes-en-Valdaine, les élèves de petite, moyenne et grande section, ainsi que ceux âgés de seulement deux ans, sont tous dans la même classe. A La Touche, les CM1 et les CM2 sont ensemble, tandis qu’à Rochefort-en-Valdaines, une section regroupe les CP et CE1, et une autre des CE2 et CM1. C’est dans cette dernière école qu’une classe devrait fermer. Avec un impact immédiat sur l’enseignement : huit sections d’élèves devront être réparties sur seulement trois classes. «De deux niveaux, on va se retrouver avec des classes à trois niveaux, détaille un membre de l’équipe enseignante. Et de 20 élèves par classe, on passerait à moyenne à 23… sans compter les enfants de deux ans, que l’école maternelle va devoir a priori renoncer à scolariser l’an prochain.» Des classes de 23 élèves, pouvant aller du CP au CE2, et du CE2 au CM1 : les conditions sont loin d’être idéales pour les instituteurs, et pourraient pousser les parents à scolariser leurs enfants ailleurs… mettant en danger la vie locale.

 «Si on ferme l’école, c’est la fin des trois communes !» s’alarme Danielle Granier, maire (DVD) de Rochefort-en-Valdaine. «Notre école est un lieu privilégié par rapport à celles de Montélimar pour les parents. En plus, on a mis en place un service de restauration scolaire qui emploie trois personnes, et va peut-être devoir débaucher des salariés si on perd des enfants…» Alors que des projets de logements ont été lancés par la commune, la fermeture d’une classe pourrait briser cet élan. D’autant que les nouveaux arrivants dans la Drôme sont souvent des urbains, «qui viennent pour la qualité de vie offerte par la campagne, mais sont habitués au niveau de service public offert par la ville«. Manuel Antoine, un parent d’élève dont les 5 enfants ont été scolarisés dans le RPI, s’inquiète : «Ici, il n’y a pas de commerces. On a juste une auberge sur les trois communes ! C’est complètement rural…» Malgré cette situation à l’évidence très «campagnarde», les trois bourgades, qui totalisent moins de 1.000 habitants, ne sont plus classées en Zone de revitalisation rurale (ZRR) depuis que de nouveaux critères ont été mis en place l’an passé. Un argument qui a été servi aux maires quand ils ont protesté contre la fermeture de la classe… Pour Christophe Bouchet, la décision est «symptomatique de l’abandon des communes rurales«.

Jean-Michel Blanquer va-t-il intervenir, après avoir promis qu’aucune classe ne fermerait si le nombre d’élèves augmentait ? Dans son courrier de réponse au maire de Portes-en-Valdaine, que nous avons pu consulter, le cabinet du ministre se veut conciliant : «Soyez assuré qu’il y aura plus de professeurs par élève dans chaque département rural de France à la rentrée prochaine«, assure-t-on. C’est peut-être là que se niche l’entourloupe : promettre davantage d’enseignants par élève au niveau du département ou «aucun endroit en France où on ferme une classe quand il y a une augmentation du nombre d’élèves«, ce n’est pas la même chose… Toujours est-il que Jean-Michel Blanquer a indiqué qu’il tiendrait le maire de Portes «directement informé de la suite susceptible d’être réservée à [sa] démarche«. C’était fin février. Depuis, le petit regroupement communal de la Drôme n’a toujours pas reçu de réponse.

Fuente: https://www.marianne.net/societe/des-eleves-en-plus-mais-une-classe-en-moins-dans-cette-ecole-rurale-la-promesse-de-macron-n

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France: Éducation nationale : les «précaires» en grève veulent un vrai statut

France/Ladepeche

Resumen:

Une trentaine de personnes a manifesté, ce jeudi midi, devant l’inspection académique de l’Ariège, à Foix. Tous ces «précaires de l’Éducation nationale», comme ils s’appellent eux-mêmes, ont ainsi relayé dans le département l’appel à la grève et à la manifestation lancée au plan national par un Collectif des précaires pour protester contre «la montée de la précarité dans la fonction publique, et tout particulièrement dans l’Éducation nationale».

Soutenus par Sud-Education et la CNT 09 (Confédération nationale du travail), ces personnels (auxiliaires de vie scolaire, accompagnants d’élèves en situation de handicap, assistants d’éducation, etc.) entendaient ainsi sensibiliser le plus grand nombre sur leur situation de précarité justement. «Au niveau national, 25 % du personnel de l’Éducation nationale est employé avec un contrat précaire. Y compris chez les enseignants», explique Julien Domard, de Sud-Education. Et l’Ariège, selon Valentin, représentant la CNT 09, «n’échappe pas à la règle. On est à peu près au même niveau. Mais si on ajoute les personnes qui travaillent dans les cantines, par exemple, et qui sont embauchées par les collectivités locales, on arrive à plus de 25 %».

Sur les coups de 13 heures, une délégation a été reçue par la secrétaire générale de la direction académique des services de l’Éducation nationale (DASEN). «Nous avons eu un entretien de 45 minutes avec Mme Clarac qui, au final, nous a dit que nos revendications étaient entendues mais qu’elle ne pouvait rien faire», raconte Julien Domard au sortir du rendez-vous.

Mais avec son homologue de la CNT 09, il assure que «le collectif des précaires, qui s’est constitué dans le département, va rester vigilant sur les questions du nombre de postes, de la formation et des droits des précaires. Et surtout, il va continuer à revendiquer un vrai statut de fonctionnaire pour ces personnels».

Francia: https://www.ladepeche.fr/article/2018/04/06/2774779-education-nationale-les-precaires-en-greve-veulent-un-vrai-statut.html

 
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France: École privée : priorité à l’éducation inclusive

France/10 avril 2018/Source: https://www.ouest-france.fr

Repenser la scolarisation des élèves qui présentent des besoins éducatifs particuliers en les adaptant à tous. L’enseignement catholique se penche sur la question.

De nombreux élèves sont confrontés à des difficultés d’apprentissage souvent liées à ce que l’institution a classé en dysfonctionnements, dyslexie, dyspraxie, dysorthographie, problèmes de concentration ou de comportement.

Afin de prendre en compte les difficultés de chaque élève, une série de documents administratifs, Projet personnalisé de scolarisation (PPS), Programme personnalisé de réussite éducative (PPRS) ou Projet d’accueil individualisé (PAI) ont été initiés dans chaque école.

Solutions pédagogiques

Souvent au grand désarroi des professeurs pris entre l’organisation de l’ensemble de la classe et la mise en place, parfois compliquée, de tous ces dispositifs. « Si on considère que tous les enfants sont des personnes à part entière, la question de la différenciation pédagogique n’est plus l’affaire des seuls élèves en difficulté, précise Anne-Marie Briand-Le Ster, responsable du pôle Éducation pédagogie à la Direction diocésaine de l’enseignement catholique (DDEC). Il nous faut réfléchir à ce dont tout élève a besoin pour lui permettre de réussir et de se construire. »

Dans un programme déjà engagé depuis plusieurs années autour de l’éducation inclusive avec les enseignants, la DDEC a défini les grandes lignes d’une école qui couvre les besoins d’aide de tous les élèves, quelles que soient les origines de leurs difficultés.

« Au niveau des apprentissages, ce qui est bon pour un élève en difficulté peut s’avérer tout aussi valable pour un autre élève, relève Véronique Poutoux responsable de formation.Les solutions pédagogiques peuvent servir à tous les élèves. Il nous faut prendre en compte les différents comportements cognitifs des élèves dans la globalité de la classe. »

Adapter l’enseignement

Ne plus se limiter à identifier les élèves en difficultés et leur proposer un programme d’accompagnement mais plutôt repérer les obstacles, les invariants décelables dans toutes les classes. « Il s’agit de rendre tout enseignement accessible, de la maternelle au lycée, quel que soit le besoin de l’élève, ajoute Marie Ramos, enseignante référente. Une fois les invariants repérés, le professeur est plus à même d’adapter son enseignement. C’est moins stigmatisant pour les élèves en difficulté. »

L’éducation inclusive n’élude pas les questions relatives à l’évaluation, au climat scolaire ou àl’éducation à la relation mais questionne la pratique de l’enseignant dans la classe. « Rendre l’école inclusive est devenu un objectif primordial dans la proposition éducative de nos établissements », ajoute Anne-Marie Briand-Le Ster.

Source des Nouvelles:

https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/ecole-privee-priorite-l-education-inclusive-5680872

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Francia: los sindicatos de la enseñanza inquietos por la calidad de la educación como servicio público

Francia/03 de abril de 2018/Por: Education International

Mientras el país vive una importante huelga en defensa de los servicios públicos, los sindicatos franceses miembros de la Internacional de la Educación reafirman sus inquietudes respecto a la condición de los y las docentes, la calidad de la educación y el diálogo social.

Gran parte de las federaciones sindicales francesas de la función pública convocó a una huelga, el 22 de marzo, contra las medidas gubernamentales, consideradas como “una vasta operación de demolición de los servicios públicos, de empobrecimiento de los funcionarios y de desnaturalización de su misión”. La movilización busca defender la función pública, el estatuto general de los funcionarios, los empleos públicos y reclamar un aumento salarial del funcionariado.

En la educación, los sindicatos llamaron la atención sobre el hecho de que “continúan aplicándose lógicas bien conocidas”, tales como una reducción de medios, la renuncia a objetivos de democratización, el refuerzo de la autonomía de los establecimientos educativos, el bachillerato local, y la socavación de la cualificación disciplinaria de los docentes.

Profundamente inquietos, quieren lograr que la población francesa tome conciencia de que lo que está ocurriendo en la función pública y en la educación es muy grave, tomando en cuenta lo profundos que son los cambios previstos y que “no sólo afectan a las condiciones de remuneración y de trabajo del 20% de los trabajadores, sino también al modelo de sociedad”.

Desean mejorar el diálogo social y que haya una auténtica consulta de los sindicatos por parte de las autoridades. Esta inquietud es compartida incluso por otras federaciones sindicales que no participaron en la jornada de acción.

SNES-FSU: promoción de ideologías liberales de competencia y rentabilidad

La Secretaria General y portavoz del Syndicat national des enseignements de second degré (SNES-FSU) Frédérique Rolet, al movilizar a sus miembros el 22 de marzo y haciendo referencia a un informe del Tribunal de Cuentas dedicado a la evaluación del sistema educativo, recordó igualmente que “esta institución promueve ideologías liberales de competencia y rentabilidad, dirigiendo a menudo sus ataques contra los docentes, tachándolos de absentismo, acusándolos de resistir a los requerimientos, y exigiéndoles plegarse a las exigencias del nuevo modelo de gestión”.

Reafirmó, asimismo, que forma parte de los logros obtenidos por el SNES y la FSU, la mejoría de la carrera profesional del personal, al garantizarles  particularmente poder jubilarse habiendo accedido a la “escala superior”

SNUipp-FSU: reivindicar unos servicios públicos de calidad y más medios para la escuela

El Syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC (SNUipp-FSU) insistió, por su parte, en que el hecho de “movilizarse el 22 marzo, es actuar por unos servicios públicos de calidad al servicio de los usuarios. Porque los funcionarios garantizan tareas  esenciales para el desarrollo y la cohesión del país”. Pidió a sus miembros “reivindicar más medios para los establecimientos escolares”, “exigir el reconocimiento y la revalorización de nuestros trabajos y nuestras cualificaciones” y “reclamar una función pública eficaz, que asegure todas sus misiones hacia todos los ciudadanos, en todos los territorios”.

FNEC.FP-FO: la totalidad de las conquistas de 1936 y de la posguerra perdidas

Para la Fédération Nationale de l’Enseignement, de la Culture et de la Formation Professionnelle – Force Ouvrière (FNEC.FP-FO), “en su frenesí de contra-reformas, tras haber adoptado las ordenanzas sobre Trabajo, el gobierno persiste en su voluntad de dar marcha atrás respecto a todas las conquistas de 1936 y de la posguerra”, como el estatuto de los y las funcionarios, los convenios colectivos, la protección social, el régimen de jubilación, el sistema de sanidad y los hospitales, los servicios públicos, la co-determinación, la prueba del bachillerato, los diplomas, los liceos profesionales, la escuela pública y la universidad.

Al atacar directamente a la función pública (estatal, hospitalaria, territorial), el gobierno pone en entredicho los principios y valores esenciales de la República garantizados por los funcionarios en toda Francia, estima la FNEC.FP-FO.

FERC-CGT: ataque contra los servicios públicos y sistematización de la segregación social

En el volante de movilización CGT Educ’Action 22 mars, la Fédération CGT de l’Education, de la Recherche et de la Culture (FERC-CGT) recuerda también que el gobierno está llevando a cabo una política de demolición de los servicios públicos, en detrimento de sus agentes y de los y las usuarias, particularmente aquellos/as provenientes de las clases populares.

La FERC-CGT afirma que, en educación, los ministros Blanquer y Vidal tienen un único objetivo: hacer competir a los establecimientos, el personal y las disciplinas, pero también a los estudiantes, llevando a cabo una segregación social sistemática al terminar el colegio y entrar a la universidad. “No podemos permitirlo. Cuando la patronal utiliza la crisis capitalista como pretexto para empobrecer aún más a los asalariados, lo que debemos conquistar es un servicio público reforzado y una escuela al servicio de la emancipación”.

UNSA-Education: siempre habrá un lugar para el sindicalismo

El Secretario General de la UNSA-Education, Frédéric Marchand, afirmó por su parte que “en nuestro mundo, sea como sea, siempre habrá un lugar para el sindicalismo”.

Lamentó por otro lado que el presidente Emmanuel Macron rara vez tiene en cuenta a los actores de la democracia social. “Nuestros puntos de vista apenas son escuchados, son regularmente ignorados y en cambio se convoca a menudo a expertos a la mesa de negociación en lugar de los representantes de los trabajadores”.

Para Marchand, el presidente considera más bien a las organizaciones sindicales “como un freno, con la pretensión de colocarlos en las estanterías de un ‘viejo mundo’ conservador e inmovilista”.

Fuente de la Noticia:

https://ei-ie.org/spa/detail/15762/francia-los-sindicatos-de-la-ense%C3%B1anza-inquietos-por-la-calidad-de-la-educaci%C3%B3n-como-servicio-p%C3%BAblico

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Francia rebajará de 6 a 3 años la edad obligada de escolarización a partir de 2019

Francia/31 de Marzo de 2018/La Opinión A Coruña

Francia rebajará la edad de escolarización obligatoria de los seis a los tres años a partir del curso 2019-2020. Se trata de una medida simbólica que busca dar un reconocimiento a la escuela infantil, ya que, en la práctica, el 97,6% de los niños ya asiste a clase a esa edad.

Según un comunicado de la Presidencia, «la decisión de rebajar la edad de escolarización obligatoria a los tres años traduce la voluntad del presidente de la República de hacer de la escuela un espacio de igualdad real». De igual modo se quiere resaltar que «la escuela infantil no debe ser considerada como un sistema de guardería universal o como una simple preparación a la primaria». La reforma forma parte de un plan de iniciativas educativas del Gobierno francés que incluye la reducción a la mitad del número de alumnos por clase en primero de primaria en las zonas desfavorecidas, un nuevo sistema de acceso a la universidad y la reforma de la formación profesional.

Fuente: http://www.laopinioncoruna.es/mundo/2018/03/28/francia-rebajara-6-3-anos/1276449.html

 

 

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France: Des chiens pour aider à l’apprentissage de la lecture

France / 26 mars 2018/Lemonde

Resumen: Para los niños que tuvieron problemas con la lectura de un perro, el Golden Retriever fue la solución. En la biblioteca de medios de Illkirch-Graffenstaden, al sur de Estrasburgo, en 2016-2017, fue una experiencia que marcó el espíritu y que la directora, Sophie Jacques, espera renovar lo antes posible: un perro para leer.

Ouvrir les portes des médiathèques aux canidés pour stimuler les apprentis lecteurs ? La pratique, répandue dans de nombreux pays, a été expérimentée, avec succès, à Illkirch-Graffenstaden (Bas-Rhin).

Pour les enfants qui avaient un mal de chien à lire, le golden retriever a été la solution. A la médiathèque d’Illkirch-Graffenstaden, au sud de l’agglomération strasbourgeoise, il s’est mené en 2016-2017 une expérience qui a marqué les esprits et que la directrice, Sophie Jacques, espère renouveler au plus vite : un chien pour lire.

C’est en rencontrant des collègues bibliothécaires tchèques qu’elle a découvert cette pratique qui se diffuse dans les pays baltes, anglo-saxons et scandinaves : ouvrir les portes des médiathèques aux chiens pour stimuler les apprentis lecteurs à la peine. Pendant toute une année scolaire, une douzaine d’enfants ont eu droit à des séances d’une heure, dans une pièce spéciale, avec une bibliothécaire, une professionnelle de la médiation animale, Céline Eichenberger, et sa chienne Flora.

« Une écoute bienveillante »

Temps de relaxation pour l’enfant, d’abord, puis lecture de l’histoire soigneusement choisie à la chienne aux longs poils blonds placidement allongée sur un matelas, tête entre les pattes. Le principe, selon Sophie Jacques ? « Le chien est une présence vivante qui, contrairement à l’être humain, ne juge pas, ne corrige pas. Lorsqu’on est sans cesse arrêté par l’enseignant, le parent, l’orthophoniste, cela n’encourage pas à poursuivre. Le chien offre une écoute bienveillante, chaleureuse, l’enfant est soutenu dans l’effort. »

Au fil des séances, il prend confiance, puis plaisir, et l’habitude d’associer la lecture à autre chose de bien plus sympathique que l’obligation scolaire. Une étude menée par l’université Tufts, aux Etats-Unis (mai 2017), a démontré que les aptitudes des enfants qui lisaient à voix haute aux chiens augmentaient. En douze séances (gratuites pour les enfants), avec un budget global de 1 000 euros, l’équipe de la médiathèque a vu s’accomplir des progrès inespérés. Les enfants avaient hâte de revenir raconter des histoires, les parents, des enseignants ont écrit…

Fuente:  http://www.lemonde.fr/m-perso/article/2018/03/23/des-chiens-pour-aider-a-l-apprentissage-de-la-lecture_5275515_4497916.html#Q9HtCIEt5Z0H89BT.99

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