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Argentina: Cambio climático, Río Negro se pone a la vanguardia

La Legislatura sancionó la ley para reducir la emisión de gases de efecto invernadero.

América del Sur/Argentina/05.07.2016/Autor y Fuente:http://www.noticiasnet.com.ar/

La Legislatura de Río Negro sancionó la Ley de Cambio Climático, que tiene como propósito reducir la emisión de gases de efecto invernadero y a adoptar medidas de adaptación frente al cambio climático.

Leandro Lescano, legislador de Juntos Somos Río Negro (JSRN) y autor del proyecto de ley explicó que es necesario realizar un diagnóstico sobre la situación actual de la Provincia, para luego elaborar y llevar adelante un plan que permita reducir la emisión de gases.

“El rol de nuestra Provincia es promover y fomentar la investigación y el desarrollo de tecnología ‘limpia’, que no producen efectos secundarios o trasformaciones al equilibrio ambiental o a los sistemas naturales”, indicó Lescano.

Además, valoró a la empresa INVAP, ya que diseña y produce equipos para satisfacer la demanda de energía respetando las certificaciones ambientales.

“Sabemos que la toma de conciencia no es algo que aprendemos de un día para el otro” dijo Lescano y añadió que “la educación, la formación, la sensibilización y participación del público, sumado al acceso a la información y la cooperación, permiten la aplicación de esta medida”.

Fuente: http://www.noticiasnet.com.ar/8-noticiasnet/otras-zonas/politica/24304-cambio-climatico-rio-negro-se-pone-a-la-vanguardia

Imagen: http://www.noticiasnet.com.ar/images/di/24304_32431_lescano.jpg

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Les gènes peuvent influencer jusqu’à 80 % les résultats scolaires

Novedad estudiantil/ julio de 2016/The Conversation

Resumen: Los estudios muestran que el genoma de un estudiante puede tener una influencia considerable en sus resultados. Para algunos, esto significa que no se puede hacer mucho más para los niños que lo necesitan, y que es inútil gastar un centavo más para ayudar.
Les études montrent que le génome d’un élève peut avoir une influence considérable sur ses résultats. Pour certains, cela signifie qu’on ne peut pas faire grand chose pour les enfants en difficulté, et qu’il est donc vainde dépenser un centime de plus pour les aider.
Mais est-ce vraiment le cas?
L’idée que notre avenir dépend uniquement de facteurs génétiques est aussi répandue qu’erronée: ceux-ci n’expliquent pas tout. En effet, les facteurs environnementaux jouent aussi un rôle dans la réussite scolaire de l’enfant. Bien conçues et bien appliquées, des solutions peuvent compenser les facteurs génétiques défavorables qui freinent certains élèves.
Ce que l’on sait de l’influence génétique
C’est essentiellement grâce à la méthode des jumeaux, qui compare la similarité génétique entre vrais et faux jumeaux, que l’on a découvert le rôle des gènes dans l’aptitude scolaire.
Si les vrais jumeaux ont des résultats scolaires similaires, contrairement à ceux des faux jumeaux, cela valide l’hypothèse d’une influence génétique car les vrais jumeaux ont exactement les mêmes gènes, tandis que les faux jumeaux n’en partagent que la moitié. Dans les deux cas, ils ont en commun un foyer et un établissement scolaire.
Les chercheurs peuvent ainsi déterminer l’influence des gènes sur la réussite scolaire, au-delà des effets d’un environnement commun. En d’autres termes, cela leur permet d’estimer l’héritabilité des facultés d’apprentissage. Comme les faux jumeaux peuvent être de sexe opposé, ces études identifient également les différences éventuelles entre garçons et filles dans le rôle joué par la nature et l’environnement.
Pour l’essentiel, les deux sexes semblent affectés par les mêmes gènes bien que le discours populaire ait tendance à exagérer l’influence du genre.
Des études de jumeaux visant à déterminer l’impact de la génétique sur les capacités à lire, écrire et compter ont été menées dans le monde entier, y compris en Australie, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, en Asie et en Afrique.
Les chiffres varient quelque peu selon les régions et les matières, mais l’influence des gènes oscillerait entre 50% et 80%. Ces études se fondent à la fois sur des tests standardisés et les évaluations menées par les écoles.
On en sait moins sur les domaines créatifs et techniques, pour lesquelles il existe clairement des talents spécifiques.
Et l’environnement dans tout ça?
Avec ce genre d’études, on peut également décomposer l’influence de l’environnement en différentes facteurs: ceux qui sont communs aux jumeaux, comme la situation socio-économique du foyer et l’école fréquentée, et ceux qui ne le sont pas: maladies, enseignants différents (ce qui arrive souvent), etc.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, certains facteurs communs, comme la situation socio-économique et l’établissement fréquenté, ont une influence relativement mineure une fois que l’on tient compte du patrimoine génétique.
Il faut cependant noter que des circonstances environnementales défavorables, notamment de faibles taux de scolarisation et d’assiduité, peuvent entraîner chez certains groupes une moindre réussite scolaire.
Pour d’autres, un environnement inhabituel peut entrer en jeu. Par exemple, une contamination aux métaux lourds, due à des activités minières ou de transformation, peut être liée à des résultats plus bas au NAPLAN (National Assessment Program – Literacy and Numeracy), une évaluation standardisée utilisée en Australie.
Le rôle des interventions pédagogiques
Des interventions bien conçues, appliquées de manière pertinente et au bon moment, peuvent aider des enfants en difficultés à atteindre des niveaux de réussite normaux, ou du moins à s’en approcher.
Ces interventions, généralement pensées pour des enfants spécifiques ou des petits groupes, se sont avérées efficaces lorsqu’elles étaient appliquées au niveau académique.
Il ne s’agit pas de prétendre que l’on peut facilement compenser les désavantages génétiques, mais en faisant preuve de bonne volonté, on constate de réels progrès dès lors que l’on assure un suivi, que l’on met en évidence les liens entre l’alphabet et les sons produits par la parole, et que l’on accompagne le tout d’exercices de lecture assistés.
Implications budgétaires
En conclure qu’il serait inutile d’engager des dépenses supplémentaires face à l’influence génétique est donc indûment pessimiste.
Au contraire: si les difficultés de certains enfants à apprendre à lire, écrire et compter ont une origine biologique, alors une aide budgétaire spécifique est précisément la solution. Elle est particulièrement nécessaire si l’on souhaite lutter contre des décalages croissants entre les élèves les plus brillants et ceux qui sont en difficulté.
Les implications pour le corps enseignant
Certains professeurs ont du mal à admettre le rôle des gènes dans la réussite scolaire, peut-être à cause d’une aversion envers toute explication biologique (le pseudo « déterminisme biologique ») ou du sentiment, erroné, que les gènes ont une plus grande influence que leur enseignement.
Cela a notamment eu pour conséquence de souligner de manière exagérée le talent et l’implication pédagogiques comme facteurs déterminants dans la réussite de certains élèves et l’échec des autres.
Les jumeaux nous apportent une preuve directe que les différences entre enseignants n’influent pas de manière significative sur les différences d’alphabétisation. Le rôle des instituteurs reste déterminant, car c’est grâce à eux que nos enfants en savent plus à la fin de l’année qu’au début, mais leur efficacité est bien plus homogène que la plupart des gens ne l’imaginent.
Le cas du Colorado
Malheureusement, dans certains systèmes éducatifs, comme celui du Colorado, l’emploi et la rémunération des enseignants dépendent d’évaluations qui accordent une trop grande importance aux progrès des élèves.
C’est ignorer le fait que les difficultés de certains sont liées à des obstacles biologiques, qui certes peuvent être surmontés dans une certaine mesure, à condition de disposer des ressources adaptées.
Aux États-Unis, le moral des enseignants a atteint un abîme historique. Ailleurs, comme en Australie, ils sont assaillis de critiques dans les médias et les discours politiques.
Ce dont nous avons besoin
Il est indispensable d’avoir une perception plus nuancée des facteurs qui déterminent la réussite scolaire, y compris du rôle joué par les gènes. Dans le même temps, nous devons éviter le pessimisme injustifié qui accompagne la reconnaissance de l’influence génétique, ce qui menace non seulement la réussite scolaire mais aussi la santé physique et mentale des enfants.
Il faut aussi faire confiance aux interventions qui reposent sur des bases scientifiques: dans les mains d’enseignants disposant des ressources suffisantes, elles peuvent faire toute la différence pour les élèves qui ont du mal à appréhender certaines matières.
Foto: Les vrais jumeaux ont des résultats scolaires plus semblables que ceux des faux jumeaux. Shutterstock
Fuente: https://translate.google.com/translate?hl=es&sl=fr&tl=es&u=https://theconversation.com/fr/education

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Entrevista al Doctor Ariel Ruiz: La Experiencia Cubana en Venezuela

Entrevista al Doctor Ariel Ruiz: La Experiencia Cubana en Venezuela

Por José Eduardo Hermoso

Entrevista realizada en febrero de 2015

El Doctor Ariel Ruiz: Ariel Ruiz Aguilera es investigador titular del Instituto Central de Ciencias Pedagógicas de Cuba (ICCP), es asesor en La República Bolivariana de Venezuela del Centro Internacional Miranda (CIM) y junto con los profesores: Luis Bonilla, Gustavo González y Omar Pérez Jacinto Elaboran el proyecto Grannacional “Centro Nacional de Investigaciones Educativas” para los Países del ALBA.

Entrevista:

Vamos a hablar un poco de los inicios de la conformación del Centro Nacional de Investigaciones Educativas (CNIE), ¿cómo consiguieron la investigación y cómo trasladaron sus experiencias a Venezuela?.
Ariel Ruiz: quizás el idioma había que precisarlo porque para hacer ciencia no se puede trasladas experiencias de un lugar a otro, sino, que tiene que surgir las estrategias de la realidad que se vive, ¿qué sucede?, que si el interés del ALBA era conformar una institución científica que pudiera orientar el proceso de investigación en todo el país, primero como modelo en Venezuela, y eso también transferirlo a los países miembros del ALBA para hacer una red de instituciones científicas, había que entonces comenzar casi que en cero, es decir, preparar a las personas como investigadores, la idea esencial fue, como dice la propuesta que yo hice para la estrategia de formación de investigadores, era la necesidad de convertir personas que pudieran investigar a nivel de la nación, hasta la parroquia, hasta el final, ¿bajo que principio?, aprender a investigar investigando, la propia propuesta, que nosotros hicimos era, de que, por cada acción que hiciera una persona, en la cual esa acción se derivara en un proceder científico, recibiera créditos, y fuera acumulando créditos para ir venciendo etapas y convertirlo en un investigador municipal y después departamental (municipal) y después nacional e ir alcanzando cada una de esas etapas, pero repito, estudiando la problemática y actuando y haciendo acciones, ejemplo: hizo una encuesta, una observación orientada científicamente, e hizo una entrevista, o hizo una exploración, o un ensayo y así, para tratar de que fuera alcanzando niveles de formación adecuado y poder, entonces, cumplir con las tareas que podían bajar desde arriba, el propósito fue ese, e inclusive no se hasta donde se pudo seguir haciendo ese trabajo.

Todavía hay CNIE e inclusive el año pasado se hicieron en muchos de los estados los encuentros regionales y luego se hicieron 2 encuentros nacionales de investigadores. ¿Me podrías decir cual era la perspectiva emancipadora que tenía esta nueva propuesta que trabajo en conjunto Venezuela y Cuba?
Ariel Ruiz: otra vez el código de comunicación, toda investigación, si es ciencia, si es ciencia, es emancipadora, es transformación, es cambio, cambio en el caso de nosotros, de acuerdo con la propuesta de que quiere alcanzar el Estado de la formación ciudadana, son cambios que enriquecen la formación del ciudadano y por tanto favorecen, el desarrollo no solo económico, sino el desarrollo fundamentalmente social, por tanto la perspectiva es válida hoy y será válida mañana si sigue con esa intencionalidad, pero como se ha dicho aquí, si voy a adquirir un Master o voy hacer doctor en ciencias, si el propósito de esa formación es rendirle fruto a estrategias capitalista, debo decirle el nombre correcto, a sistemas capitalistas de producción o de dominio de la cultura o de la educación, entonces no nos sirve. El propósito es, tal como lo queremos alcanzar aquí en Cuba y como lo quiere alcanzar el resto de América Latina, es buscar aquella forma, aquella vía, aquella ciencia que favorezca al desarrollo social, sino, no nos sirve, a mi juicio, entonces para que gastar esos recursos en formar a los investigadores si el propósito no va a propiciar la transformación que nosotros queremos allá, estoy hablando de nosotros en torno a Latino América.

¿Cómo entonces podríamos trabajar con los investigadores de formación bancaria?
Ariel Ruiz: bueno, yo estaba hablando con una persona que tiene una formación marxista, es decir, yo tengo una formación marxista, y si es así, mi concepción es que todo tiene que cambiar, es decir que si usted no responde, por esa misma situación, por su formación anterior, sino responde, entonces no puede continuar, no debe formar parte del colectivo de investigadores que necesitamos para transformar.

Con respecto al ALBA…..
Ariel Ruiz: No se si tú conoces que fue un acuerdo de los presidentes miembros del ALBA, de un centro experimental en Venezuela y que después se pudiera transferir a los otros países miembros del ALBA, el propósito de crear un centro de investigaciones semejante al que tenemos aquí en la Habana, en el Instituto Central de Ciencias Pedagógicas, pues fue así, y para eso había que constituir la fuerza humana preparada para poder realizar las investigaciones, a todos los niveles, es decir, estando Bonilla en eso, en esa dirección, siempre estuvo preocupado en como avanzar para que se pudiera irradiar los criterios de organización hasta el nivel de la parroquia o del municipio.

La investigación emancipadora y la investigación tutelada….
Ariel Ruiz: ¿A que llaman ustedes investigación emancipadora?

Precisamente quería que me dijeses como conciben ustedes, aquí en cuba, la investigación que no es tutelada por las grandes empresas, ni a favor del capitalismo.
Ariel Ruiz: hay una cuestión que tienes que, primero valorar, la estructura política, administrativa que tiene Cuba no es comparable ni con Venezuela, ni con ningún país de América Latina, en el sentido general, y a partir del criterio, no mio, sino de lo que dice la teoría, de que la pedagogía aparte de ser una ciencia social, responde, en el caso por ejemplo de Cuba, más todavía, responde a intereses políticos y a poderes administrativos, es decir, las investigaciones que nosotros hacemos en el Instituto Central de Ciencias Pedagógicas, siempre todas son por encargo del Estado, de la nación, no es por intereses tuyos ni míos, ni particulares, por tanto esa es una diferencia grande, y en ese sentido, cuando hablamos de investigación emancipadora y yo queriéndote entender, te tengo que decir que en Cuba todas las investigaciones tienen que tener ese carácter y esa intencionalidad, es decir, de tratar no solamente de darle un producto a la nación para su continuo desarrollo, sino que al mismo tiempo la propia persona se desarrolle, es decir, el desarrollo es tanto personal como social y allí está la cuestión más importante de la necesidad de querer formar. A partir de que la ciencia hoy no es la ciencia que existía antes y cuando estoy hablando de antes, estoy hablando de la concepción filosófica que había de la ciencia, que se decía que la ciencia pertenecía a la superestructura, a la esfera cultural e intelectual, hoy la ciencia constituye un medio productivo inclusive, los institutos de investigación que nosotros tenemos son así, de esa manera.

¿Qué tipo de cohorte eran las investigaciones encontraron cuando llegaron a Venezuela?.
Ariel Ruiz: Chico, yo de antes no te puedo hablar, no fue nuestra intensión explorar el pasado, el cómo fue, el cómo fueron las cosas por allá en Venezuela, lo que si te digo con todo honestidad y a partir de un juicio objetivo, fue difícil poder en el estado en el que nosotros fuimos, yo fui en el 2010, fue difícil poder transformar la conciencia y el pensamiento de los recursos humanos, con la cual nosotros tuvimos que conciliar, te voy a poner un ejemplo, nosotros llegamos a una reunión con el colectivo ese, teníamos reunión los días martes para chequear el cumplimiento de las tareas, ¿tú sabes cómo comenzaba yo esa reunión?, y no era por querer prevalecer, yo les decía, vamos a comenzar porque ustedes reconozcan, había 3 cubanos en ese momento, que nosotros somos venezolanos igual que ustedes, no es que nosotros somos cubanos y ustedes venezolanos, nosotros somos venezolanos igual que ustedes, lo que significa que la tarea mía está aquí, ¿dónde está la de ustedes?, si, porque si no, no se podía avanzar, costaba mucho trabajo avanzar, por este mismo problema de insuficiencia cultural de cómo se ve un proceso como ese, había que ponerle pie, como decimos nosotros, cargar la batería a full para poder avanzar, porque sino no …, por ejemplo una cosa que habíamos discutido y llegado a acuerdo ya, volvía a aparecer y no permitía avanzar. Yo te recomiendo que si estas allí en el proyecto de formación, en el proyecto de estrategia para la formación de investigadores, que nosotros lo dejamos allá listo, listo desde el momento inclusive de los prerrequisitos iniciales de cuáles eran las cualidades que debían tener las personas en cuanto a su formación cultural, y después, las habilidades y capacidades que hasta ese momento tenían para nosotros poder decir que podemos seguir adelante este avance, para que bajo el principio de que hay que aprender a investigar investigando, pegado al proceso, no hay que ver esa vieja concepción de que el que lee mucho o estudia mucha teoría, que fulano dijo, y que el otro no se que, y el referente tal, sino que vamos a ver eso en la tierra, eso está claro, porque si no…

¿Cómo se pusieron de acuerdo en la metodología de investigación que aparece en el documento rector del CNIE?
Ariel Ruiz: Yo no quiero que tu seas Marxista como yo, yo soy marxista pero yo no quiero que tu seas como yo, sin embargo yo te argumento a ti y tu me argumentas a mi de que tu forma de concebir el fenómeno es como debe ser y no como yo la veo, yo te tengo que decir a ti, nada mas para darte un ejemplo de lo que te estoy diciendo, si tu quieres estudiar que es lo que esta pasando hoy tienes que primero ir a la historia, tienes que ir atrás, tu tienes que ir atrás a la historia, para que la historia te diga como ha sido esa evolución de lo que tu vas a ver hoy, porque si tu no vas a la historia, lo que ves hoy no es realmente el problema, es un producto de ese proceso y por tanto, si tu agarras una tesis de cualquier Cubano, por lo menos de los que yo he atendido, la primera tesis es antecedentes históricos del objeto, esa es la primera problemática que vamos a ver, porque, si nosotros decimos, los alumnos tienen dificultades en la enseñanza de la matemática, cuando tu me estas hablando con esta expresión, “los alumnos tienen dificultades con las matemáticas, me estas queriendo demostrar que esa verdad, entre comillas, es hoy, bueno pero, ¿por que tienen problemas con las matemáticas?, tienes que partir para atrás, porque si no parece entonces ser espiritismo. Tu estas hablando con una persona que le gusta la discusión muy fuerte, pero yo nunca me digo que yo soy el que tiene la verdad, yo te digo lo que yo pienso en este momento y hasta donde he llegado en ese pensamiento pero de ahí en adelante todavía queda mundo por recorrer, así que imagínate tu, y déjame decirte para que puedas comprender esta relación que tu y yo estamos hablando, si hay algo que es difícil en la comunicación, son las diferencias de códigos lingüísticos, es diferente, y voy a ponerte un ejemplo aquí mismo, yo hoy presido aquí (en el evento pedagogía 2015), yo no voy a incluir mi punto de vista, yo he escrito mucho sobre eso, pero bueno, ejemplo: discusiones nuestras en Cuba, todavía en Cuba nosotros tenemos discusión seria pero no lo suficientemente seria de que si el objeto, de que si el campo, el campo de acción, el campo de estudio, aquí hay una discusión que esta regada en todas partes entre una persona muy prestigiosa que se llama Carlos Álvarez de Saya y yo, por decir, de que el hablaba de objeto de acción y yo hablaba de sujeto de estudio, yo le decía, Carlos, no hay contradicción porque el campo de acción es donde impacta el resultado o producto mientras que campo de estudio es la teoría de la que surge el resultado, ahí no hay contradicción, la gente te esta queriendo buscar la contradicción donde no había contradicción, y entonces, aquí por ejemplo, a lo mejor el está en un tribunal (como jurado de tesis), en la parte de allá y el aspirante aquí, yo tengo que proteger al aspirante en ese minuto de dialogo, en que se pueda resolver las barreras que el tribunal le pone y para eso yo tengo que entrenarlo, de que manera, bueno, tu sabes como se llama el primer anexos de las tesis de las personas que yo atiendo, el primer anexo se llama control semántico, ¿y por qué control semántico? Porque cuando yo diga allí, en este materia, de que interdisciplinaridad, para este estudio, se representa tal cosa, cuando venga el (Carlos Álvarez) y me diga que “para mi representa otra cosa”, cuando venga él y diga para mí no es eso, correcto, para usted no es eso, pero para este grupo de investigadores es así y no se puede ver de otra manera porque sino entonces hay un transesgo en los resultados.

Cuéntame una experiencia significativa que hayas tenido en Venezuela en estas discusiones.
Ariel Ruiz: chico, te voy a decir la verdad, para que tu obtengas la información que deseas, las cuestiones familiares a mi no me gusta hacerlas públicas, por tanto los conflictos reales que tuvimos eso yo no te los voy a decir por respeto a las propias personas, yo respeto muchísimo a Gustavo, todavía esta semana mismo yo recibí un artículo de él que esta publicando y te voy a decir una cosa, con lo grave que el ha estado de salud, a mi me a preocupado mucho, yo no soy capaz de decirle que no, yo creo que si eso le da vida, hasta el final, hasta el final haciendo eso que le gusta, se siente bien así, pero él estuvo muy grave, una operación a corazón abierto es algo muy duro.

Y una experiencia significativa en las reuniones.
Ariel Ruiz: a mí no me, yo se lo dije a mi amiga, cuando Bonilla paso a ser vice-ministro, la atención al CIM bajo en lugar de…,¿por qué? era lógico, por razón de que necesidades más nacionales le caen arriba y tu cuando estas ocupando un cargo de ese tipo tienes que quitar los pies de aquí y ponerlos en otra parte, es decir por tanto, él decía yo tengo cosas por ejemplo, ¿cuales la concepción de los estudios universitarios hoy?, y eso lo quería en 3 días, entonces había que correr para eso, nosotros nunca dejamos de hacer la cosa pero las necesidades que había allí en ese momento eran unas tras las otras y como quiera que sea no daba mucho tiempo para buscar los referentes suficientes, aunque nunca van hacer suficientes para dar una respuesta lo mas veras y beneficiosa posible. ¿Qué nosotros hicimos?, ¿qué sucedía a mi juicio?, como nosotros íbamos por muy poco tiempo, cada vez que fuimos, fuimos por poco tiempo, no fueron tiempo largos, tres meses y después tres meses y así, eso limitaba todo el trabajo, la dinámica que debía tener el trabajo y sobre todo si regresaba parecía un bumerán, regresaban las cosas, eso fue complicado.

¿Cómo fueron las discusiones para llegar al documento rector?
Ariel Ruiz: yo creo que las discusiones fueron como tenían que ser, discutir, y después se fue socializando con otras personas que en principio tienen que ver con eso, pero con otras personas que no tenían que ver con eso que también se discutió, también eso trajo barreras.

¿En cuánto tiempo sacaron ese documento rector?.
Ariel Ruiz: un año, si porque, ¿qué sucedió?, el ALBA fue quien solicitó eso, sin embargo, después surgió en una nueva reunión del ALBA nuevas posiciones sobre lo que se quería y eso, hizo cambio, pero bueno…

Tu experiencia en el CIM transformó algo sobre tu visión de la investigación.
Ariel Ruiz: si te digo con certeza, creo que no me transformó mucho, pudiera ser, voy a decirte una de las cosas que yo critico en Cuba es que el instituto (ICCP) donde yo procedo, fuera una unidad de ministerio de educación y yo creo que eso es un error, porque no puede ser que yo sea una unidad de, tu señalas, ministro de educación y yo sea una unidad de ella y haga investigaciones que critiquen lo que tú estás haciendo, no es coherente, eso es una contradicción, te estoy diciendo de aquí, yo he criticado que nosotros seamos una unidad administrativa del ministerio, voy aponerte un ejemplo, en el año 75, yo he hecho dos doctorados, un doctorado en Alemania y otro en la unión Soviética, todos fueron por encargo, problemática de currículo y en la Unión Soviética sobre higiene escolar, ¿qué sucede? Que si tu vas hacer un estudio para el ministerio sobre como optimizar la organización escolar que provoque mayores rendimientos en los alumnos, en el año 75 nosotros hicimos un estudio grande sobre eso y se reveló de que había sobre carga en los currículos y entonces si hay algo que pueda ayudar, porque uno tiene que aprender de la verdad y de lo que sucede sea favorable o desfavorable, de esa manera la ciencia pide eso, no es que sea porque yo quiero provocar una crítica absurda, no, es que si yo digo, si yo voy a averiguar de que no se están haciendo bien tales cosas, eso hay que decirlo en alguna parte, no son para esconder los resultados, bueno en conclusión, no se si comprendes, en la experiencia que yo conozco internacional, las instituciones están separadas las de atención, investigación y las administrativas, yo te puedo decir que hay muchísimos estudios realizados que se han engavetados, ¿por qué?, bueno porque afecta el poder, lo intereses de la administración, y entonces eso produce perdida por todas partes, perdida económica, pérdida de tiempo, de recursos, es un enredo.

¿Qué me puedes decir de las ciencias?
La epistemología se ocupa del conocimiento científico, no de cualquier otro conocimiento, porque del otro conocimiento quien lo utiliza es la gnoseología, entonces tu debes utilizarlo correctamente, para tu marco teórico científico tu puedes utilizar la categoría epistemología pero para otra cosa no, pero eso complica cuando tu empiezas a utilizar códigos que necesitan traducciones, eso es complicado y la compresión se reduce, por ejemplo holístico, suena bonito pero la gente no sabe que eso, allí entre en juego lo de que si la investigación es cuantitativa o cualitativa y no hay nada, lo dice Ariel Ruiz, que no sea lo uno y lo otro, es decir tu tienes momentos en que tienes que tener los datos duros y después tiene que hacer un análisis de datos, extraer de allí el análisis cualitativo, pero tienes que tener el dato, sino tienes el dato no hay análisis, o no, la obtención del dato es cuantitativo, análisis de eso es cualitativo, no hay nada pero la gente dice que eso es así y empieza la corriente y eso es lo que yo combato, llevo tres pedagogías combatiendo problemas de códigos, es que cuando tu utilizas un código tu tienes que hacer un análisis de que la esencia de su significación esta dentro del marco, porque ¿qué cosa esta detrás del marco?, ¿del área de conocimiento que tu estas trabajando? Un ejemplo. Pude ser que tu utilices esto mismo de emancipación mas como categoría filosófica que como categoría pedagógica, esa misma expresión que acabo de decir, entonces, bueno, a lo mejor hay otras de carácter pedagógica que son mas apropiadas, fájate que tu cuando me la dijiste te pregunte ¿Qué tú estás diciendo por emancipador?. El análisis, la síntesis, la inducción y la deducción, todo el mundo lo toma como método de investigación y son procesos de pensamiento.

Muchas gracias por su tiempo profesor.

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La escuela donde los profesores y los alumnos se forman en emociones.

  Olga Sanmartin

Europa/España/Fuente:http://www.elmundo.es/

Hay una ley no escrita que dice que cualquier niño que se encuentre con una pompa de jabón en su camino se abalanzará hacia ella por todos los medios posibles. En el colegio público Asunción Rincón de Madrid intentan que los estudiantes hagan lo contrario. Las maestras María José y Fátima sueltan burbujas de Fairy por el patio mientras gritan a sus alumnos de cinco años: «¡Autocontrol!».Cristina, Elena y Olivia permanecen impasibles con las manos pegadas al cuerpo.Lucas no resiste y levanta un brazo. Manuel mira de reojo, con deseo impaciente, a la esfera translúcida que pasa rozándole la pierna y se estrella salpicando contra el suelo. Gana quien logre no tocar las pompas.

El juego va de controlar los propios impulsos y está inspirado en ese famoso experimento realizado en los años 60 a un grupo de preescolares a los que se les dio a escoger entre comerse una nube de caramelo en el momento o resistir la tentación para disfrutar de dos golosinas más tarde. La investigación demostró que los que fueron pacientes y esperaron tuvieron más éxito en la vida cuando se hicieron mayores.

En el Asunción Rincón llevan un año practicando ejercicios de este tipo y los resultados ya empiezan a notarse en una de las aulas de Infantil. «Los alumnos prestan más atención, se involucran más y se regulan mejor», sintetiza Fátima. «Por ejemplo, cuando están haciendo mucho ruido, ellos mismos se dan cuenta y dicen: ‘Vamos a hablar más bajo’».

Pero ha hecho falta mucho trabajo de fondo para que niños tan pequeños hayan aprendido a resistirse a algo tan atrayente como una pompa de jabón. Durante todo el año, la jefa de estudios y una decena de profesoras han participado en un curso de la Fundación Botín que les ha convertido en especialistas en inteligencia emocional y les ha dotado de herramientas para trabajar en el aula con sus estudiantes. Se trata de Educación Responsable, un programa con el que trabajan más de 7.000 profesores y 70.000 niños y en el que han participado este curso 183centros públicos, privados y concertados de siete autonomías.

Sólo hay un Gobierno regional, el de Canarias, que ha recogido la Educación Emocional dentro del currículo. En el resto de España los profesores se apañan como pueden: algunos elaboran sus propias estrategias y otros recurren a materiales que les brindan iniciativas privadas, como la de la Fundación Botín.

Neva Chico de Guzmán, la formadora, reúne a las 10 profesoras del Asunción Rincón después de la jornada escolar y les cuenta cómo trabajar mejor laautoestima, la empatía, la asertividad o el autocontrol:

– Cuando un niño llora o está preocupado, es muy frecuente que lo primero que le digamos sea «no llores» o «no te preocupes». Pero es muy difícil que aprenda a manejar las emociones si se las estamos negando. Lo que hay que preguntarle directamente es qué le pasa, explica Neva a las profesoras reconvertidas en alumnas.

– Es que eso cuesta mucho, porque hemos crecido con el «niño, no llores», apunta Fátima.

– Estamos acostumbradas a decir que no pasa nada. Pues a lo mejor sí que pasa…, reflexiona María.

Neva, en sus sesiones, intenta que las maestras se den cuenta de errores que a veces se cometen por inercia. Ellas le exponen, a cambio, los problemas que se encuentran a diario en el aula.

El programa de la Fundación Botín dura, en total, tres años. En el primero, un grupo de profesores de cada centro recibe formación, presencial y online. En el segundo y en el tercero, se constituyen más grupos de trabajo para expandir lo aprendido por todo el colegio. En otras palabras, los docentes que ya están formados se dedican a formar a sus compañeros.

«Supone un esfuerzo extra para los profesores, pero esperamos ver los frutos. No teníamos formación previa en este aspecto, pero todos los colegios con experiencia en educación emocional nos decían que no sólo veían mejor a los chicos, sino que esto revertía también en los docentes», expresa la jefa de estudios, Luz Sánchez Becerril.

La Universidad de Cantabriaha analizado los resultados y ha llegado a la conclusión de que allí donde se ha trabajado la inteligencia emocional ha mejorado la convivencia y ha disminuido la violencia, al tiempo que ha aumentado el rendimiento académico. Los niños aprenden a conocerse y a confiar más en sí mismos, a comprender mejor a los demás, a reconocer y a expresar emociones e ideas, a tomar decisiones responsables, a valorar y cuidar su salud y a mejorar sus habilidades sociales. También a desarrollar el autocontrol.

Después del juego de las pompas, Fátima y María José van preguntando a sus alumnos cómo se han sentido. Muchos responden que están más tranquilos y alegres que cuando comenzaron el día. Aunque alguno reconoce que se siente «triste»: «Me hubiera gustado explotar las pompas de jabón.

Fuente: http://www.elmundo.es/sociedad/2016/06/26/576e8aef46163fea5f8b466b.html

Imagen: 

http://e03-elmundo.uecdn.es/assets/multimedia/imagenes/2016/06/25/14668598878687.jpg

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Los científicos han inventado una máquina para leer la mente.

América del Norte/Estado Unidos/21.06.2016/Fuente:http://www.vox.com/

Brian Resnick

Podemos tomar la memoria de alguien . y podemos tirar de él hacia fuera de sus cerebros.

El neurocientífico Brice Kuhl me dijo recientemente algo sorprendente. «Podemos tomar la memoria de alguien – que suele ser algo interno y privado – y podemos tirar de él hacia fuera de sus cerebros», dijo Kuhl, quién está en la Universidad de Oregon.

Eso suena muy parecido a … leer la mente. Así que tuve que preguntar: ¿Se puede leer la mente?

«Algunas personas utilizan diferentes definiciones de la lectura de la mente, pero sin duda, que está acercando», dijo.

Kuhl y su colega Hongmi Lee recientemente publicaron un artículo en The Journal of Neuroscience con una conclusión sacada de la ciencia ficción: El uso de una resonancia magnética, algunos software de aprendizaje de máquina, y unos conejillos de indias humanos desafortunados, Kuhl y Lee crearon imágenes directamente desde memorias.

Muy muy cerca de la lectura de la mente.

En primer lugar, Kuhl y Lee cargan los participantes (un total de 23) en una resonancia magnética. Los imanes de la MRI puede detectar cambios sutiles en el flujo sanguíneo.Y en el cerebro, el flujo de sangre es igual a la actividad neurológica.

Una vez que la máquina estaba encendida, los participantes comenzaron a ver las imágenes de cientos de caras.

La primera fase de la prueba es un ejercicio de entrenamiento. No para el participante, pero para un programa de inteligencia artificial que está conectado a la resonancia magnética, la lectura de los datos en tiempo real.

Ese programa AI recibe dos conjuntos de información. Se trata de los patrones de actividad cerebral de los participantes. La otra es una descripción matemática de cada cara del participante está viendo. (Kuhl y Lee se acercó con 300 números para diferentes aspectos físicos de una cara – como el color de la piel o la expresión emocional A continuación, cada foto se le asigna un código para describir sus atributos.).

Lo que el programa de IA no se trata de hacer conexiones: ¿Qué tan bien esas ráfagas de actividad cerebral se correlacionan con esos números?

A medida que el programa de IA se acumula esta información, que crece más inteligente, o al menos mejor juego en la actividad cerebral a las caras.

La segunda fase de la prueba es donde las cosas se ponen raras.

Los participantes, que aún se encuentran en la resonancia magnética, se muestran fotos de marcas caras nuevas. El programa de ordenador no puede ver estas caras.Pero puede hacer algunas suposiciones.

Aquí hay unos ejemplos. La fila superior son las caras originales. Los segundos dos filas son conjeturas sobre la base de la actividad en dos regiones diferentes del cerebro. La ANG es el giro angular, que se activa cuando recordamos algo vívidamente. La OTC es la corteza occipitotemporal, que responde a las entradas visuales.
Las primeras cinco columnas representan las reconstrucciones más precisos. El dos a la derecha son ejemplos de las menos exactas.

Sé lo que estás pensando: Estas conjeturas son horribles!

Sí, no van a ser utilizados para la elaboración de bocetos en cualquier momento pronto.

Pero incluso estas imágenes borrosas contienen información útil.

Kuhl y Lee mostraron estas imágenes reconstruidas a un grupo separado de los encuestados en línea y preguntas sencillas como: «¿Es hombre o mujer?» «¿Es esta persona feliz o triste?» Y «¿Es su luz color de la piel u oscuro?» Para un grado mayor que el azar, las respuestas desprotegido. Estos detalles básicos de las caras se pueden extraer de lectura de la mente.

Los científicos han hecho en realidad este tipo de lectura de la mente antes. (Un ejemplo fresco: En el pasado, se utilizó una técnica para reconstruir los detalles básicos de clips de película a partir de la actividad cerebral.)

Está bien, pero podría el programa de reconstrucción de una cara únicamente a partir de un recuerdo?

En otro ensayo, y Lee Kuhl mostraron los participantes dos caras. A continuación, les pidió que se mantenga una de las caras en sus memorias. Las caras fueron tomadas fuera de la pantalla a continuación. Mientras que los participantes se les mantiene en sus pensamientos, el MRI escanea el cerebro. Y a continuación, el equipo trató de recrear sus pensamientos en una foto.

conjeturas de la computadora empeoraron. Mucho peor.

Para este ensayo, sólo los datos de la ANG produjeron datos significativos.

Pero no falló por completo . «Comparamos la reconstrucción de las dos imágenes, y nos preguntamos [el equipo] sólo en términos de valores de píxeles, se ve la imagen reconstruida más similar a la que se les dijo que hay que recordar que el otro?», Explica Kuhl. Alrededor del 54 por ciento de las veces, el equipo dijo que estaba más cerca de la meta. No es un gran avance total, pero es un comienzo intrigante que necesita más trabajo y más participantes.

Pero ¿cuál es el punto? ¿Por qué diseñar un programa para leer la mente?

El objetivo final de la ciencia no es leer la mente. Es de entender mejor cómo funciona el cerebro.

Por lo general, los neurólogos utilizan escáneres cerebrales para observar qué estructuras del cerebro «encienden» cuando participa en una tarea mental particular.Pero sólo hay tanta información para deducir de las exploraciones por sí solos. El hecho de que una parte del cerebro está activo no les dice a los investigadores demasiado acerca de lo que está haciendo la tarea específica.

Las regiones Kuhl y Lee dirigidos en la resonancia magnética se han sabido por mucho tiempo que estar relacionado con recuerdos vívidos. «¿Es esa región que representa los detalles de lo que viste? – O simplemente [iluminando] debido a que eran sólo confía en la memoria», dice.

Kuhl y los resultados de Lee son la evidencia que es el primero. La IA era capaz de hacer la conexión entre las caras y la actividad cerebral. Si las regiones del cerebro no estaban involucrados en los detalles visuales, que no podría haber hecho esas conexiones.

Unas cuantas más candentes preguntas sobre lectura de la mente

Eso está bien y todo. Pero todavía estaba atrapado en la naturaleza salvaje del aspecto de leer la mente del experimento: ¿Cuánto más se puede conseguir la máquina en la reconstrucción de caras? ¿Podríamos reconstruir un rostro perfectamente?

«No quiero poner un tope en ella,» Kuhl me dijo. «Podemos hacerlo mejor.»

La razón es simple: Es un problema de procesamiento de la computadora pura. Si tan sólo los participantes podían pasar más tiempo en la resonancia magnética la formación de la IA, IA crecería más «inteligente», y las imágenes reconstruidas se haría más reconocible.

«Realmente nos gustaría tener a alguien en el escáner y ver 10.000, 20.000 caras», dice. «Usted tendría que estar allí durante un par de días.» Así que no es del todo factible, o ético. Es difícil traer de vuelta a los mismos sujetos a sesiones posteriores.Uno, es muy caro de operar una máquina de MRI. Y dos, que es muy difícil de ángulo de la cabeza de un participante en la misma posición exacta como un ensayo anterior.Predicción funciona mejor cuando la prueba se realiza en una sesión muy prolongada.(Él mismo Kuhl dijo que no voluntario para una prueba tan larga.)

¿Está en el ámbito de la posibilidad de leer la mente de una persona sin su permiso?

«Se necesita a alguien para jugar a la pelota», dijo. «No se puede extraer la memoria de alguien si no lo están recordando, y la gente la mayoría de las veces está en control de sus recuerdos.»

Oh bien.

¿Qué hay de esto: ¿Puede usted utilizar esta técnica para ver lo que alguien está soñando?

«Una fMRI papel trató de descifrar el contenido de los sueños», dijo Kuhl. «Podría decodificar – con lo que sea por ciento de exactitud – que alguien estaba soñando con un miembro de la familia o algo por el estilo.» (Ese documento no fue reconstruyendo caras, pero se predice ampliamente las categorías de bienes y personas a los participantes estuvieron soñando.)

Whoa. Todo esto es tan fresco.

«Las cosas que estamos haciendo ahora, si le preguntas a la gente hace 20 años cuando la fMRI se estaba poniendo en marcha, si se les preguntó acerca de este tipo de cosas, habrían pensado que era una locura», dijo.

Fuente: http://www.vox.com/2016/6/20/11905500/scientists-invent-mind-reading-machine

Imagen: http://comps.canstockphoto.com/can-stock-photo_csp18063383.jpg

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¿Por qué escribir a mano sigue siendo esencial en la era del teclado?

¿Los niños en un mundo Teclado necesitan aprender a mano anticuado?

Hay una tendencia a descartar la escritura como una habilidad esencial, a pesar de que los investigadores han advertido que aprender a escribir puede ser la clave para, así, aprender a escribir.

Y más allá de los adultos conexión emocional que pueden sentir a la forma en que hemos aprendido a escribir, hay un creciente cuerpo de investigación sobre lo que el cerebro se desarrolla normalmente aprende mediante la formación de letras en la página, en formato impreso o manuscrito, así como en cursiva.

En un artículo de este año en The Journal of Learning Disabilities, los investigadores observaron cómo oral y escrita lenguaje relacionado con la atención y lo que se llaman las habilidades de «función ejecutiva» (como la planificación) en niños de cuarto a nueve, con y sin dificultades de aprendizaje .

Virginia Berninger, profesor de psicología de la educación en la Universidad de Washington y autor principal del estudio, me dijo que la evidencia de este y otros estudios sugieren que «la escritura – formando letras – obliga a la mente, y que puede ayudar a los niños presten atención Lengua escrita.»

El año pasado en un artículo en el diario de instrucción temprana de la niñez, Laura Dinehart, profesor asociado de la educación infantil en la Universidad Internacional de la Florida, discutió varias asociaciones posibles entre buena letra y el rendimiento académico: Los niños con buena letra pueden obtener mejores calificaciones debido a su trabajo es más agradable para los maestros a leer; los niños que tienen dificultades con la escritura puede encontrar que gran parte de su atención se consume mediante la producción de las letras, y el contenido se resiente.

Pero, ¿podemos realmente estimular el cerebro de los niños, ayudando a formar las letras con sus manos? En una población de niños de bajos ingresos, dijo el Dr. Dinehart, los que tenían buenas habilidades de escritura tempranos de motricidad fina en pre-les fue mejor más adelante en la escuela. Ella pidió una mayor investigación sobre la escritura en la edad preescolar, y sobre las formas de ayudar a los niños pequeños a desarrollar las habilidades que necesitan para «una tarea compleja» que requiere la coordinación de las capacidades cognitivas, motoras y procesos neuromusculares.

«Este mito de que la escritura es sólo una habilidad motora es simplemente errónea,» dijo el Dr. Berninger. «Utilizamos las piezas del motor de nuestro cerebro, la planificación motora, el control motor, pero lo que es muy crítico es una región de nuestro cerebro donde lo visual y el lenguaje se unen, el giro fusiforme , donde los estímulos visuales en realidad se convierten en letras y palabras escritas.» Tienes para ver las letras en «ojo de la mente» con el fin de producirlos en la página, dijo. Las imágenes cerebrales muestran que la activación de esta región es diferente en los niños que tienen problemas con la escritura.

escáneres cerebrales funcionales de los adultos muestran una red cerebral característica que se activa cuando leen, y que incluye las áreas que se relacionan con los procesos motores. Esto sugirió a los científicos de que el proceso cognitivo de lectura puede estar conectado con el proceso de motor de formar letras.

Karin James, profesor de ciencias psicológicas y del cerebro en la Universidad de Indiana, hizo escáneres cerebrales en los niños que aún no sabía cómo imprimir. «Sus cerebros no distinguen las letras;responden a las cartas de la misma forma que a un triángulo «, dijo.

Después de que los niños se les enseñó a imprimir, patrones de activación cerebral en respuesta a las cartas indicaron un aumento en la activación de dicha red de lectura, incluyendo el giro fusiforme, junto con las regiones inferiores giro frontal y parietal posterior del cerebro, que los adultos utilizan para el procesamiento del lenguaje escrito – a pesar de que los niños estaban todavía en un nivel muy temprano como escritores.

«Las cartas que producen ellos mismos son muy desordenado y variables, y eso es realmente bueno para los niños a aprender cómo las cosas», dijo el Dr. James. «Eso parece ser una gran ventaja de escritura a mano.»

Expertos en escritura han luchado con la cuestión de si la escritura cursiva confiere capacidades y beneficios especiales, más allá de los beneficios que se imprimen escritura podría proporcionar. El Dr. Berninger 2015 citó un estudio que sugería que a partir de alrededor de cuarto grado, habilidades cursivas ventajas concedidas tanto en la ortografía y la composición, tal vez debido a los golpes que conectan ayudaron a los niños a conectar las letras en palabras.

Por lo general el desarrollo de los niños pequeños, escribiendo las letras no parece generar la misma activación cerebral. A medida que crecemos, por supuesto, la mayoría de nosotros transición a la escritura del teclado, aunque al igual que muchos que enseñar a los estudiantes universitarios, he luchado con la cuestión de las computadoras portátiles en clase, más porque me preocupa atención de los estudiantes errante que promover la escritura a mano. Aún así, los estudios sobre la toma de notas han sugerido que «los estudiantes universitarios que están escribiendo en un teclado son menos propensos a recordar y hacer bien en el contenido que si la escritura a mano,» dijo el Dr. Dinehart.

El Dr. Berninger dijo que la investigación sugiere que los niños necesitan una formación introductoria en la impresión, y luego de dos años de aprendizaje y la práctica de cursiva, a partir de tercer grado, y luego un poco de atención sistemática a la mecanografía al tacto.

El uso de un teclado, y especialmente el aprendizaje de las posiciones de las cartas sin mirar las teclas, dijo, bien podría tomar ventaja de las fibras que se comunican cruzada en el cerebro, ya que a diferencia con la escritura, los niños utilizar las dos manos para escribir.

«Lo que estamos defendiendo es enseñar a los niños a ser escritores híbridos», dijo el Dr. Berninger, «manuscrito por primera vez para la lectura – se transfiere a un mejor reconocimiento de palabras – a continuación, la ortografía y la cursiva para componer. Luego, a partir de la escuela primaria de retraso, la mecanografía al tacto «.

Como pediatra, creo que esto puede ser otro caso en el que debemos tener cuidado de que el señuelo del mundo digital no toma distancia experiencias significativas que pueden tener impactos reales en los cerebros de rápido desarrollo de los niños. El dominio de la escritura, las letras desordenadas y todo, es una forma de hacer que el lenguaje escrito su cuenta, en algunas formas profundas.

«Mi investigación global se centra en cómo el aprendizaje y la interacción con el mundo con nuestras manos tiene un efecto muy significativo en nuestro conocimiento,» dijo el Dr. James, «en la forma de escritura a mano, cambia la función cerebral y puede cambiar el desarrollo del cerebro.»

Fuente:

http://well.blogs.nytimes.com/2016/06/20/why-handwriting-is-still-essential-in-the-keyboard-age/?_r=0

Imagen: https://static01.nyt.com/images/2016/06/21/science/wellKLASS/wellKLASS-tmagArticle.jpg

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Una pedagogía de la pregunta

Por Facundo Ferreirós

La inercia es comodidad, es tranquilidad;

la inercia es la resolución de todo porque no se ha planteado ningún problema,

es fácil vivir entonces sin problemas en la inercia,

es mucho más difícil vivir problemáticamente pero creciendo como individuo.

Ese es el dilema y es un momento de opción

Hugo Zemelman.[1]

Nos adentraremos en la reflexión acerca del preguntar y de los modos del preguntar. Generalmente, cuando he ayudado a niños y niñas a resolver tareas escolares, fundamentalmente en las asignaturas“Ciencias Naturales” y “Ciencias Sociales”, me encontré con cuestionarios, guías y trabajos prácticos con una serie de preguntas a responder. Estas preguntas elaboradas por los educadores y educadoras de los niños y niñas siempre se responden a partir de la lectura de algún texto de una fotocopia o del manual, y algunas veces bajo la consigna “buscar información acerca de…”.

En general, al intentar resolver las tareas de estas asignaturas, nos encontramos con estos cuestionarios tradicionales, cuya estrategia de resolución por parte de los niños y niñas, está lejos de basarse en la comprensión del texto y la lectura crítica. Muy por el contrario, vemos que, aquellos niños y niñas que pueden resolverlo, lo hacen adquiriendo cierta “habilidad” para encontrar “palabras clave” que aparecen enunciadas en la pregunta tanto como en el texto (generalmente en la primer oración del primer párrafo después de un subtítulo)[2]. Por ejemplo, en la carpeta de una niña de Sexto Grado, me encontré con una actividad denominada “Los Primeros Gobiernos Democráticos”. Frente a la pregunta acerca de si durante la presidencia de Yrigoyen, los conservadores mantenían la mayoría en las dos cámaras legislativas, hallamos en el texto propuesto para responder las preguntas, el subtítulo que dice“Presidencia de Yrigoyen” y en el primer párrafo dice textualmente “Durante la presidencia de Yrigoyen, los conservadores mantenían la mayoría en las dos cámaras legislativas”. Aquellos niños y niñas con la buena predisposición de resolver estas actividades, buscan conexiones entre la pregunta y el texto y, como ven que se repiten las palabras “Yrigoyen”, “conservadores”, “dos cámaras”, y “mantenían”, responden la pregunta escribiendo textualmente lo que dice el párrafo. Esta pregunta es tildada como correcta por la docente. El mismo cuestionario proponía armar oraciones juntando palabras como “Yrigoyen” y “electorado”, entre otras. La niña, que goza de buenas notas y es muy responsable a la hora de resolver las tareas escolares, no sabe ni qué es electorado, ni quién fue Yrigoyen, ni de qué época hablamos cuando hablamos del Golpe de Estado de Onganía. Y mucho menos, de qué habla el texto cuando relata cómo afectó la crisis económica de Europa a la exportación de materias primas, y cómo esto aceleró el Golpe, ya que no supo responder qué son las materias primas, no pudo explicar qué es una crisis económica, ni un Golpe de Estado, ni quién fue Onganía y qué es una exportación y, menos aún, cuál es la relación entre lo que ocurrió en Europa y cómo eso impactó en nuestro país. La pregunta termina con un severo “justificá”, ¡y la niña desconoce el significado de la palabra “justificar”!

Con respecto a las “Ciencias Naturales”, nos encontramos con cuestionarios similares a los analizados más arriba para las Ciencias Sociales. El ejemplo a analizar es el que proviene de un manual bonaerense y que se titula: “Los ambientes en Latinoamérica”. Claramente, estamos ante una estrategia de mercado editorial, ya simula cierto progresismo (hablar de América Latina, en contra de la minería a cielo abierto, de las organizaciones sociales, etc.), pero propone actividades propias de una educación bancaria, donde no hay una lectura crítica de los textos, una apropiación de categorías que permitan pensar la problemática ambiental críticamente. Lo que aparenta cierta mirada crítica está presente en una actividad en la que propone investigar acerca de la minería a cielo abierto y de las organizaciones que se oponen a su instalación. Ahora bien, la única manera de acceder a esta información es a través de portales críticos de Internet lo que trae significativas dificultades para su resolución en una niña o niño de Sexto Grado, a saber: a) el acceso a Internet, es la primera de ellas. b) Supongamos que tuvieran acceso a la web, ¿saben estos niños y niñas buscar información (“googlear” por ejemplo, es decir, ingresar a Google u otro buscador, poner palabras claves, etc.)? c) Supongamos que saben utilizar un “buscador”, ¿saben estos niños discernir entre toda la información que sugieren las distintas búsquedas, cuál es la más pertinente? d) Supongamos que estos niños y niñas utilizan la “habilidad” antes mencionada de relacionar ciertas palabras para interpretar que este texto es pertinente, ¿Tienen la habilidad de leer diferentes textos (generalmente extensos y dispuestos de formas diversas y complejas en el portal, usualmente poblados de paratextos, “enlaces” a otras páginas o secciones dentro de la misma página, etc.), optar por el más pertinente, resumirlo y exponer con sus propias palabras lo investigado? La respuesta es no. Generalmente, la primer dificultad es la que traba a la mayoría de los niños y niñas a resolver las actividades como la aquí ejemplificada. En casos como este, mi reacción fue  llevarme la tarea, buscar la información en mi casa y traerla ya “masticada” para que sea accesible a un niño o niño de diez u once años.

Entonces, ¿cómo preguntar? ¿Para qué preguntamos? ¿De qué sirve preguntar si sabemos la respuesta o si es de fácil acceso? Al fin de cuentas, ¿Qué es una pregunta? ¿Qué es una pregunta problematizadora?

Diremos que las preguntas problematizadoras son aquellos interrogantes que formulamos para guiar el proceso de construcción de conocimiento, pensar cómo abordar el recorte de realidad, qué contenidos disciplinares se podrían articular. Por ejemplo, un núcleo problemático que trabajamos en una Organización Comunitaria se denominaba “El Embudo”, y refería al proceso de migración interna a partir del cual los vecinos y vecinas del barrio, o sus abuelos, se habían venido del campo para poblar las ciudades, conformando las villas como en la que estaba ubicada la sede de nuestra Organización. Las preguntas eran: ¿qué factores habían incidido en la decisión -o imposición- de venir a la ciudad? ¿Cómo se fueron formando las villas? ¿Qué trabajos realizaban en el campo? ¿Qué vinieron a buscar a la ciudad? ¿Cómo fueron esos primeros años? ¿Cómo se formó el barrio? ¿Qué corrientes migratorias lo conforman? ¿Qué prácticas de la vida en el campo se mantienen? ¿Qué relaciones se pueden establecer entre este proceso y la discriminación social que sufren los villeros? Etc.  Preguntas que no encuentran su respuesta en ningún manual, que ni siquiera poseíamos las y los educadores. Se trata de preguntas que serían parte de una investigación llevada a cabo con los niños y niñas.

Muchos de estos interrogantes serían compartidas con los niños y niñas. Freire dirá “me parece importante observar cómo hay una relación indudable entre asombro y pregunta, riesgo y existencia. Radicalmente, la existencia humana implica asombro, pregunta y riesgo”[3]. La pregunta no solo es el motor del conocimiento, sino, y sobre todo, es la voz que se alza por el deseo de aprender. Reprimir la pregunta, o burocratizarla, es reprimir o burocratizar el deseo. Es negar la posibilidad de ser del otro, que asume su existencia en la pregunta, en la duda. Paulo Freire, en el libro citado, dirá: “El tema nuestro no es la burocratización de las preguntas, sino reconocer la existencia como un acto de preguntar”[4]. La pregunta se torna así no en una metodología para instalar un tema o un contenido, sino la esencia misma del acto de conocer y el desarrollo del existir mismo. La escuela tradicional, ha impartido históricamente una educación de respuestas, respuestas parciales y de dudosa procedencia. En lugar de apropiarse de la curiosidad de los educandos para iniciar y desarrollar un proceso de construcción de conocimiento, se ha dedicado a transmitir de forma “bancaria” un puñado de certezas poco ciertas.

Búsqueda, curiosidad, duda, pregunta, incertidumbre, asombro. Que cada niño y niña tenga la posibilidad de aprender desde sus preguntas, o guiado por la pregunta de algún compañero o compañera o de su educador, es dejar que acontezca la democracia en el aula y en el proceso de conocer. Dirá Freire: “Encuentro entonces que es profundamente democrático comenzar a aprender a preguntar”[5], cosa que no es sencilla porque tanto educadores como educandos hemos sido adiestrados a un mundo de respuestas, de lo ya “masticado”, de lo que fue pensado para que yo no lo haga. La televisión y los manuales escolares son claros ejemplos de ello.

Podríamos decir que Freire es un caminante de la pregunta. Y junto con él, camina Estela Quintar, quien nos ayuda a seguir reflexionando acerca del preguntar. Dirá, en la línea de lo que vengo planteando: “lapregunta reflexivo-problematizadora es en este planteamiento didáctico un instrumento que abre el campo de la co-emoción, un instrumento comunicacional de apertura al diálogo, a lo conocido para re-conocerlo.

”No me refiero a la pregunta en la forma mayéutica, en tanto pregunta que busca la no respuesta, ni pregunta cerrada de respuesta causal, o pregunta terapéutica de búsquedas en el inconsciente para salir de entrampamientos internos que traen desarmonía o sufrimiento psíquico. Me refiero más bien a la pregunta de sentido, que problematiza nuestra existencia material, que pregunta acerca del sentido y significado de nuestras experiencias y vivencias, de nuestra cotidianeidad; del sistema de representaciones que configuran el imaginario social que nos identifica y que nos da identidad,parametralizándonos en creencias y respuestas establecidas por conocimientos introyectados, preguntas que se muevan en el límite, en el umbral de lo conocido para atreverse a asomarse a lo desconocido, a lo no determinado, preguntas que generen sospecha de lo vivido como natural, preguntas que desnaturalicen una realidad dada y que ponen al sujeto en con-tacto consigo mismo, abriendo/se, indagando/se en la vida misma, desde lo pensado a lo impensado, deteniéndose en cada certeza para preguntarse por qué es certeza, qué la constituye como tal.[6] (El destacado es de la autora).  

II.

Notas sobre investigación como dispositivo de construcción de conocimiento.

La pregunta problematizadora se erige como motor de la construcción de conocimiento y nos lleva directamente a una reflexión acerca de cómo enseñar desde y en las preguntas. Para esto plantearé en primer lugar, revisar nuestras representaciones acerca de lo que entendemos por “investigar”, para luego dar lugar a una propuesta de educación desde la investigación.

Al consultar a algunos docentes cercanos, pude recoger apreciaciones similares en torno a la investigación en la escuela. Si bien no es posible generalizar a partir de ellas, si bastan como botón de muestra para abrir a la reflexión acerca de las matrices epistémicas que nos constituyen.

Algunos docentes me han dicho que la investigación es parte de su propuesta pedagógica, sobre todo en Ciencias Naturales, donde se hacen experimentos. La matriz positivista que sigue imponiéndose en la pedagogía se hace visible en esta simple apreciación. El docente asocia la investigación a las Ciencias Naturales  y a éstas, con los experimentos. Para el positivismo las Ciencias Naturales eran consideradas superiores a las Sociales. Su supremacía se debía a su método, el cual debería ser aplicado sin más en las Ciencias Sociales. El método hipotético-deductivo está presente, la idea de investigador como observador externo al objeto investigado, lo investigado como objeto aislable y observable en sus diferentes conductas, sometido a diferentes variables para llegar a explicaciones generalizables, todo esto provocado a partir de experimentos de laboratorio. La imagen asociada al investigador es la delcientífico nerd, con delantal blanco, anteojos, generalmente superdotado.

Otros docentes hablaron de la investigación como un juego, es como jugar a investigar, porque investigar, investigar, se hace en otro lado, lo hacen especialistas. Y es más, alguno hasta me ha contado que llevó lupas para que los niños y niñas jueguen a ser investigadores, a lo que le pregunté si la idea era que fueran como una especie de Sherlock Holmes. “¡Eso!”, me dijo. Aquí la investigación está asociada a la imagen del detective televisivo, que busca pistas y luego las reúne para llegar a la verdad, generalmente sobre un crimen.

Por último la investigación fue asociada por algún docente consultado como descubrimiento, como si investigar fuera producir descubrimientos, generalmente también, a través de pruebas de laboratorio. En este caso, la imagen  asociada al investigador es la del inventor loco que grita Eureka.

En el primer caso, lo que la escuela puede hacer, es realizar experimentos cuyos resultados ya fueron descubiertos previamente por científicos. La idea de fondo es que, al replicarlos, el niño o niña podrá descubrir de un modo supuestamente activo y por sí mismos ciertas leyes, comportamientos, reacciones, etc. del objeto investigado. Aquí no hay construcción de conocimiento propiamente dicho, porque el conocimiento ya fue producido por otros en otra parte, simplemente se replica un experimento.

En el segundo caso, la investigación no termina siendo ni siquiera un juego, es una pantomima desde una total ignorancia de lo que significa investigar.

En el tercer caso, se desvirtúa la concepción de investigación como producción de conocimiento, traduciéndose a realizar descubrimientos, aunque éstos no tengan ninguna utilidad o función social.

Para superar estas posiciones por una concepción seria, rigurosa, y a la vez respetuosa de los niños y niñas, propongo releer los primeros libros de Tonucci, el pedagogo italiano, famoso por sus viñetas, quien en sus inicios se dedicó a promover experiencias educativas experimentales en Italia, como la del maestro Mario Lodi o la escuela de Livorno. Dos libros abordan específicamente el tema de la investigación desde una propuesta superadora de las descriptas anteriormente. Me refiero a los libros “A los tres años se investiga” y “La escuela como investigación”.

Dira Tonucci acerca de la escuela maternal “tradicional” que “solicita precozmente al niño que renuncie a su propia investigación, que es conocimiento de su realidad, para seguir un programa preestablecido.”[7] En cambio, propone una escuela que “se abre y articula en rincones, talleres, laboratorios. Muchos ambientes organizados, provistos de materiales adecuados, asisidos por los maestros, por donde los niños pueden circular para pintar, trabajar la arcilla, disfrazarse y dramatizar, jugar con los títeres, cuidar de los animales, cultivar el huerto y el jardín, mirar libros o escuchar su lectura y lo mismo con respecto a la cocina, al tipografía, las actividades lógicas la carpintería…”[8]

De lo que se trata, en fin, es que el niño y la niña puedan construir autónomamente su conocimiento. Dirá el pedagogo italiano: “el niño se inclinará a creer en el conocimiento si se ha dado cuenta que sabe conocer. En cambio, adoptará actitudes de renuncia, esperará alguien que le ‘enseñe’ si algo le ha hecho creer que él no sabe conocer.”[9]

Y volviendo al tema de las preguntas y vinculándolo con el tema de la investigación, Tonucci nos dice:“el libro de texto, cuyo ejemplo más evidente, el solucionario, es una colección de respuestas. Al niño que debería investigar, le damos las respuestas; en otras palabras, impedimos que investigue, con todas las consecuencias que ello lleva aparejadas.”[10]

El desafío es plantearnos de qué manera se estimula la puesta en marcha de lo que Freire concibe como el motor del conocimiento, que es la curiosidad. Curiosidad que invita a problematizar la realidad, a conocernos críticamente a nosotros mismos, a los otros, y al mundo, constituyéndose así para el pedagogo brasileño en curiosidad epistemológica.

[1] Zemelman, H. El conocimiento como desafío posible. IPECAL, México DF, 2006. Pág. 77

[2] La “Gramática Escolar”  constituye el marco que modela las condiciones en que se desarrolla la práctica educativa, nos estructura y nos dice que podemos aceptar como educación y que no. Este concepto es extraído de Tyack, O. Y Tobin, W., The grammar of schooling: Why has it been so hard to change?, en: American Educational Research Journal, Fall, 1994, Volume 31, Nº 3.

[3] Freire Paulo, Hacia una pedagogía de la Pregunta, Ediciones La Aurora, Argentina. 1986. pág. 60.

[4] Ibidem. Pág 60.

[5] Op cit. Pág 53.

[6] Quintar, pág. 48.

[7] Tonucci, F. (comp). A los tres años se investiga. Editorial Lozada. Madrid, 2006. Pág. 33.

[8] Tonucci, F. (comp). Ibidem. 2006. Pp. 34-35.

[9] Tonucci, F. La escuela como investigación. Miño y Dávila Editores. Madrid, 2003. Pág. 30.

[10] Tonucci, F. Ibidem. Miño y Dávila Editores. Madrid, 2003. Pág. 40.

Tomado de: http://descolonizarlapedagogia.blogspot.com/2016/04/una-pedagogia-de-la-pregunta.html

Imagen tomada de: http://www.definicionabc.com/wp-content/uploads/Cuestionamiento-450×335.png

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