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De Colombia a Australia, para crecer profesionalmente

Santiago Vargas cuenta su experiencia en Brisbane, Australia, tras decidir emprender nuevos horizontes en términos de educación.

Llegué a Australia en noviembre de 2014. Como muchos de los estudiantes que escogemos Australia como destino, decidí venir a este país por muchas razones, entre ellas, las más importantes fueron mejorar el inglés y trabajar para poder pagar el préstamo que iba a adquirir para llegar a mi destino (pues aquí en Australia se puede trabajar legalmente 20 horas siendo estudiante).

Escogí vivir en Brisbane, porque luego de investigar y recibir asesoría por parte de agencias, llegué a la conclusión de que en esta ciudad podría tener más y mejores oportunidades, pues en ciudades como Melbourne y Sidney ya había mucha gente y al ser tanta la demanda laboral, en general el costo de vida, iba a ser un poco mayor.

Comencé estudiando inglés, pues mi idea era aprender bien el idioma para luego volver a Colombia a conseguir mejores opciones laborales, porque hoy en día ser bilingüe es un factor determinante en muchas empresas para poder ocupar cualquier cargo.

Mi idea inicial era estar durante nueve meses, pero luego de hacer mis cursos de inglés y después de haber explorado un poco más acerca de la ciudad y las oportunidades que se pueden tener, decidí que lo mejor sería extender mi visa un año más con un diplomado Avanzado en Marketing, que servía como complemento de mi profesión y también me ayudaría para aprender un inglés más técnico en mi área.

Y así fue, pasé un año más cumpliendo un nuevo reto, pero en ese punto sentí que podía hacer más para seguir aprendiendo, crteía que todavía mi proceso en esta ciudad no había terminado y luego, estar participando activamente en actividades en el instituto en el cual estaba haciendo el diplomado avanzado, me abrió las puertas para pertenecer a la asociación de alumnos, en la que me desempeñaría como coordinador de eventos.

En medio de todo este proceso y habiendo pasado todo tipo de situaciones durante año y medio, trabajaba limpiando oficinas, universidades y en restaurantes, lo cual siendo honesto nunca ha sido fácil, y no por el tipo de trabajo, sino por el idioma, las largas jornadas y el hecho de hacer cosas que uno no está acostumbrado. Creo que todo hace parte de la experiencia y aunque han sido jornadas largas, siempre me ha mantenido fuerte la idea de seguir adelante con mis sueños y metas.

Volviendo un poco atrás y continuando con mi proceso en estos casi tres años, el instituto me abrió las puertas en la asociación y obtuve una beca de estudio por otros dos años para seguir mejorando mi conocimiento y creciendo como profesional y como persona. Ahora, mientras estudio ya no solo trabajo en un restaurante y en la asociación de alumnos, sino quetambién estoy haciendo una practica laboral y soy embajador estudiantil internacional de Brisbane, representando a Colombia y mostrando todo lo que he vivido en este tiempo.

Me gusta la idea de poder contar mi historia y mostrar que sí se puede mirar más allá. En mi caso creo que el proceso aquí aún no termina y considero que todo el mundo debería luchar por lo que quiere, sin importar qué sea, y definitivamente, si se trata de estudiar y tener una experiencia en otro país, creo que Australia y especialmente Brisbane sería el mejor lugar.

Fuente:

http://mba.americaeconomia.com/articulos/reportajes/de-colombia-australia-para-crecer-profesionalmente

FOTO: PEXELS.COM

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Francia: Ces mesures prises sous le quinquennat Hollande auront-elles toujours cours avec Macron ?

Francia / 07 de junio de 2017 / Por: Carole Bélingard / Fuente: http://www.francetvinfo.fr/

Cela ressemble un peu à une opération de détricotage. A peine nommé, le nouveau ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, entend déjà revenir sur deux des grandes réformes lancées sous le quinquennat de François Hollande. A savoir les rythmes scolaires et la réforme du collège. Un projet de décret, permettant le retour à la semaine de quatre jours, va d’ailleurs être soumis à un vote, jeudi 8 juin, au Conseil supérieur de l’éducation (CSE). Franceinfo revient sur les principaux chantiers initiés, en matière d’éducation, depuis 2012, et surtout ce qu’il en reste depuis l’élection d’Emmanuel Macron.

Les rythmes scolaires

La réforme. Annoncée en 2013 et mise en place partout à la rentrée 2014, les nouveaux rythmes scolaires sont une des mesures phares du précédent gouvernement. C’est aussi celle qui a suscité une levée de bouclier. Avec la réforme, les élèves du primaire vont à l’école quatre jours et demi par semaine. En plus des quatre jours habituels, le mercredi matin ou le samedi matin, est travaillé. La réforme introduit également trois heures d’ateliers périscolaires. Ces activités sont organisées par chaque municipalité avec une aide financière fournie par l’Etat.

Ce qu’elle devient. Retour en arrière et menu à la carte. Dès la rentrée 2017, les villes qui le souhaitent pourront revenir à la semaine de quatre jours, après concertation avec les parents et aval de l’inspection d’académie. Le décret, qui offre cette possibilité, doit être publié dans l’été. Des villes comme Marseille, Nice ou encore Furiani (Corse) ont déjà annoncé un retour aux quatre jours. Elles peuvent aussi, bien sûr, décider de maintenir les rythmes actuels. Mais il n’est pas sûr du tout, qu’après 2019, les aides de l’Etat soient maintenues pour financer les activités périscolaires, rappelle Le Monde.

La réforme du collège

La réforme. Elle vise à lutter contre l’ennui supposé des élèves. Pour y parvenir, la réforme des collèges a introduit les EPI, les enseignements pratiques interdisciplinaires. Les professeurs de différentes matières travaillent ensemble dès la 5e dans huit domaines comme le «développement durable», «sciences et société», «corps, santé et sécurité», «langues et cultures de l’Antiquité». L’idée est de mêler autour d’une même thématique plusieurs disciplines. Avec la réforme, les classes bilangues et les sections européennes ont été supprimées. Le latin et le grec n’ont pas disparu partout, mais la voilure a été largement réduite, puisque ces langues ne bénéficient plus de financement spécifique. En revanche, une deuxième langue est étudiée dès la 5e, un an plus tôt qu’auparavant.

Ce qu’elle devient. Avec le nouveau ministre de l’Education nationale, c’est le retour du latin, du grec, des classes bilangues et des sections européennes. Jean-Michel Blanquer estime qu’elles ont été «stupidement supprimées». En revanche, les EPI sont maintenus si les collèges le souhaitent. Le nouveau ministre veut redonner de l’autonomie aux établissements et leur laisser davantage la main. Seule obligation nouvelle pour les collèges, celle de proposer, chaque soir de 16 heures à 18 heures, des études dirigées, dans le cadre des «devoirs faits». Le ministre veut que les devoirs soient réalisés dans le cadre de l’école et plus à la maison, pour réduire les inégalités. Il a promis des «premières applications» de ce dispositif dès septembre et ses modalités seront annoncées «bientôt».

Une nouvelle carte d’éducation prioritaire

La réforme. Depuis la rentrée 2015, ne les appelez plus ZEP (zone d’éducation prioritaire), mais REP ou REP+ (réseau d’éducation prioritaire). En réalité, la nouvelle carte de l’enseignement prioritaire à travers les REP et une version renforcée de ces derniers, les REP+, était censée remplacer les ZEP, mais aussi toutes les politiques et les programmes en la matière. Dans ces classes de REP et REP+, les effectifs sont censés ne pas dépasser 25 élèves, rappelle Le Figaro.

Ce qu’elle devient. Dans son programme sur l’éducation, Emmanuel Macron ne revient pas sur la carte de l’enseignement prioritaire. En revanche, dans les classes de CP et CE1, les effectifs doivent passer à douze élèves et ce, dès la rentrée 2017 dans les REP+. Les syndicats craignent que le dédoublement des classes remplace le dispositif «plus de maîtres que de classes», mis en place dans les CP et CE1 de REP et de REP+ sous le quinquennat Hollande. Cette mesure consiste à affecter un enseignant supplémentaire en renfort dans ces écoles.

Le recrutement de professeurs

Ce qui a été fait. François Hollande avait promis la création de 60 000 postes dans l’Education nationale. En 2017, 12 800 postes ont été créés. Si on y ajoute les 47 200 emplois déjà créés depuis 2012, l’objectif est atteint, rapporte Le Monde. Des moyens supplémentaires donc, mais pas répartis de la même manière partout. «Ils ont été concentrés dans les territoires qui en avaient le plus besoin», a précisé Najat Vallaud-Belkacem, l’ancienne ministre de l’Education nationale, lors de la présentation du budget 2017, le 28 septembre.

Ce qui est prévu. Emmanuel Macron veut poursuivre le recrutement des professeurs, mais dans une moindre mesure par rapport au quinquennat de François Hollande. Le président de la République table sur la création de 4 000 à 5 000 postes durant son quinquennat.

Fuente noticia: http://www.francetvinfo.fr/societe/education/education-ces-mesures-prises-sous-lequinquennat-hollande-auront-elles-toujours-cours-avec-macron_2218635.html

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España: Educación firma un convenio con la Comisión Fulbright para incorporar a once auxiliares de conversación de inglés

España/ www.20minutos.es / 24 de Mayo de 2017

El consejero de Educación y Cultura, Genaro Alonso, ha suscrito este martes en Madrid un convenio con la Comisión de Intercambio Cultural, Educativo y Científico entre España y los Estados Unidos (Comisión Fulbright) para la incorporación de hasta once auxiliares de conversación, becados por esta institución, a los centros docentes sostenidos con fondos públicos.

Alonso ha destacado el fomento y el apoyo del aprendizaje de lenguas extranjeras como una de las líneas prioritarias de la política educativa del Ejecutivo asturiano. Para ello, la Consejería de Educación y Cultura lleva a cabo diversas iniciativas, entre las que figura la colaboración con distintas entidades para mejorar la competencia lingüística del alumnado, el profesorado y la sociedad en general. El departamento que dirige Genaro Alonso ha impulsado, entre otras actuaciones, la incorporación de auxiliares de conversación de lenguas extranjeras a los centros que desarrollan el Programa Bilingüe y a aquellos que puedan incorporarse en el futuro. Los programas de becas con más de 160 países demuestran el carácter dinámico de la Comisión Fulbright y su dedicación a promover la tolerancia y el entendimiento entre naciones, mediante el intercambio de talento. Desde su creación en 1946, el programa ha recibido numerosos premios que avalan la excelencia académica y el mérito individual a nivel profesional y humano de sus participantes. Entre los más prestigiosos, se encuentra el Premio Príncipe de Asturias de Cooperación Internacional de 2014, germen del convenio de colaboración suscrito hoy. Entre los objetivos de la Consejería de Educación y Cultura destacan los siguientes: Desarrollar el plurilingüismo y la multiculturalidad dentro de los objetivos en materia de educación y formación previstos en la estrategia 2020 de la Comisión Europea. Impulsar el Programa de Auxiliares de Conversación mediante el aumento del número de asistentes de lengua inglesa que prestan apoyo en centros docentes para dar respuesta a la demanda. Desarrollar el bilingüismo entre el alumnado con la ayuda de auxiliares de conversación que apoyan al profesorado de inglés y de otras áreas no lingüísticas impartidas en este idioma. Actualizar los conocimientos lingüísticos y socioculturales del profesorado sobre la lengua inglesa y desarrollar su competencia comunicativa.

Fuente:http://www.20minutos.es/noticia/3044724/0/educacion-firma-convenio-con-comision-fulbright-para-incorporar-once-auxiliares-conversacion-ingles/#xtor=AD-15&xts=467263

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¡Hemos aprendido a pronunciar el sonido de la jota solo con ‘James’!

Jairo Valderrama V.

Cuando son frecuentes y cercanos, los errores del idioma tienden a pasar como expresiones correctas. “Lo importante es que se entienda”, dicen algunos facilistas. “Hací, hezoz hazuntoz del hidioma no deven hinquietar ha nadie”, escribiríamos nosotros para respaldar tan “admirable” afirmación. ¿Cierto que me entendieron? Aun así, ¿les parece adecuada la forma en que se escribió la última oración entre comillas?

La ortografía desacertada, ese “mal aliento de la escritura”, como anotó el periodista Héctor Abad Faciolince, aumenta porque la premura en la comunicación y la celeridad impuesta por la tecnología de estos tiempos, entre otras causas, llevan a escribir más con el instinto, o el afán, que con la razón.  A pesar de ello, califican de “progreso” esa masificación encarrilada del pensamiento en los desordenados mensajes de texto.

En esta oportunidad, vamos a recordar los usos de los verbos que se escriben con las letras ge y jota. Muchos lectores y escribientes suponen que el “corrector” del computador se encarga de “esos asuntos”, y que aprender ciertas reglas idiomáticas constituye solo una pérdida de tiempo.

Sin embargo, contrariando la inmensa lucidez de quienes así imaginan, de esos omnisapientes dioses, pasemos a precisar algunos detalles muy sencillos al respecto:
Los verbos terminados en las sílabas “ger” y “gir” se escriben siempre con la letra ge, con “la de gato”. Se exceptúan los verbos tejer, crujir, brujir y grujir.

Acerca de esto, citemos algunas precisiones que parecen obvias, pero recordando los errores en esta materia parecen no serlo tanto. El sonido de la ge y la jota con las letras “i” y “e” es el mismo: “Jerónimo”, “gema”; “jirafa”, “girón”. Quizás, por eso rescatamos en plena forma nuestra colombianísima (¿o “colombianada”?) expresión en el Mundial de Fútbol de 2014 para referirnos a la estrella de nuestro balompié: “James”.

Ahora a nadie, ni por asomo de broma, se le ocurre pronunciar “yeims”; pero no pasa lo mismo con “Jenny”, que se encuentra como “Jeni”, “Yeny”, “Jennita”, y pocos dejan de decir “Ye-ni”. ¡Los colombianos hemos aprendido a pronunciar el sonido de la jota solo con “James”!

En cambio, con las vocales “a”, “o” y “u” el sonido sí cambia cuando preceden a la ge y a la jota: “jamás”, “garantía”; “jovial”, “gotera”; “jueves”, “gutural”. Aquí parece todo muy claro; los usuarios frecuentes del idioma rara vez incurren en faltas de esta naturaleza, a pesar de que me he encontrado con “gitarras”, “gineas” y “gerras”.

Planteadas esas aclaraciones, va la norma: solo se escriben con jota (repitamos) los verbos tejer, crujir, brujir y grujir. Todos los demás se escriben con ge, “con la de gato”.
Cuando se busca “brujir” en un diccionario, hay una remisión a la palabra “grujir”.

Grujir —dice la Real Academia de la Lengua— es “igualar con el grujidor los bordes de los vidrios después de cortados estos con el diamante”. Quizás si se cortan los vidrios con un material distinto al diamante ya no se dirá “grujir”. En cuanto a los significados de los otros verbos, es común su conocimiento.

Relaciono una lista de verbos con esas terminaciones: elegir, proteger, corregir, recoger, converger, fingir, emerger, dirigir, escoger, surgir, exigir, acoger, afligir, sumergir, infringir, urgir, regir, infligir, erigir, sobrecoger.

Y esta inquietud por plantear estas normas surgió porque en un diario nacional, que ha circulado por más de un siglo en el país, encontré estos titulares de prensa: “Elijen [sic] alcalde de Aratoca” (15 de marzo de 2005); “A elejir [sic] el barrio más navideño” (12 de diciembre de 2001); “A protejerse [sic] del sarampión” (19 de mayo de 2002).

Acerca de la caída de un árbol, un redactor cuenta: “…de un momento a otro, sintieron un crugido [sic] y el techo se les vino encima” (30 de marzo de 2009). Y sobre el avalúo catastral, se dice en otra nota de prensa: “…nuevos formularios a los dueños de predios cuyo avalúo fue actualizado el año pasado, para correjir [sic] la supuesta equivocación” (13 de abril de 1999).

De esta manera, para las personas que escriben con descuido “…les enviamos nuestros sentimientos de condolencia, que aflije [sic] en estos difíciles momentos a sus familias” (27 de junio de 1995).

Fuente de la articulo: http://www.eltiempo.com/vida/educacion/hemos-aprendido-a-pronunciar-el-sonido-de-la-jota-solo-con-james-en-defensa-del-idioma-87144

Fuente de la imagen:

http://images.etn.eltiempo.digital/files/article_main/files/crop/uploads/2017/04/24/58fe2bdeca58b.r_1494564834003.0-306-2508-1560.jpe

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En Siria empiezan a aprender el ruso

Siria/27 abril 2017/Fuente: España-Rusa

El embajador de Siria en Rusia, Riad Haddad, anunció a la prensa que la enseñanza del idima ruso en su país se hace más popular y muchas escuelas y universidades permiten estudiar esa lengua.

“Gracias a los esfuerzos que desarrolla la embajada de Siria en Moscú y por coordinación con su excelencia, el presidente Bashar Asad, el ruso se enseña como segundo idioma en las escuelas, en todas las universidades de Siria se abrieron cátedras de la lengua rusa”, dijo.

“La decisión del presidente Asad de convertir el ruso en la segunda lengua de Siria es uno de los elementos de la gratitud del pueblo sirio al pueblo ruso por su apoyo”, comentó el diplomático.

El idioma eslavo comienzan a aprender en las secundarias a partir del séptimo grado, explicó. También añadió que los hijos del propio Asad están estudiando el ruso.

Riad Haddad expresó que el presidente ruso es muy popular en Siria y muchas familias ponen el nombre “Putin” a sus niños.

La cooperación entre Rusia y Siria tomó diferentes formas desde la época soviética

La más importante se evidenció el plano militar, pero muchas compañías rusas también recibieron contratos lucrativos en campos de petróleo y gas así como en sectores industriales.

De otra parte, existía el Centro Cultural de Rusia en Damasco que era un lugar donde los sirios solían ir para aprender sobre la cultura rusa, tomar clases de baile de salón.

La educación también fue otro lazo importante entre ambos países. Muchos sirios se estudiaron en la Union Soviética.

Fuente:http://www.espanarusa.com/es/news/article/603875

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Estados Unidos: Excluyen a niños de Dallas que requieren educación especial debido al idioma, dice reporte

Estados Unidos/13 de Marzo de 2017/Al Día Dallas

La mayoría de los problemas en el DISD se debe a falta de personal, barreras del idioma y procesos poco claros, dice estudio.

Los niños hispanos del DISD batallan para recibir los servicios de educación especial que necesitan debido a las barreras del idioma y a otros problemas de comunicación, indica el resumen de una evaluación externa difundido el viernes.

Pero los consultores no encontraron indicios de que el distrito estuviera excluyendo a propósito a ningún niño de la educación especial, según el superintendente adjunto Iván Durán.

El DISD ordenó el estudio en vista de los señalamientos que se han hecho sobre los servicios de educación especial en Texas.

Las autoridades federales están investigando al estado luego de que algunos estudios parecían indicar que un supuesto tope de matriculación estaba haciendo a las escuelas negar servicios a los alumnos.

 El idioma es el principal obstáculo para que las familias accedan a recursos de educación especial en el DISD, dice reporte.
El idioma es el principal obstáculo para que las familias accedan a recursos de educación especial en el DISD, dice reporte.

En el DISD la mayoría de los problemas se deriva de falta de personal, barreras del idioma y un proceso poco claro, de acuerdo al estudio.

Los padres dicen que no siempre se les daba una traducción adecuada para entender las necesidades de sus hijos y para poder pedir los servicios; y en algunos casos, las familias pensaban que tenían que escoger entre inglés como segundo idioma (ESL) y servicios de educación especial porque no se les aclaró que sus niños tenían derecho a ambos.

Mientras que el 13% de los alumnos de todo el país están inscritos en educación especial, Texas se impuso una meta de matriculación de 8.5%.

Se dijo que la intención era evitar que se catalogara a cualquier niño como acreedor a esos servicios.

A lo largo de la historia, los niños minoritarios, especialmente los afroamericanos, han sido colocados incorrectamente en educación especial, donde no siempre se pedía cuentas a los responsables de su educación.

Dallas ha tenido uno de los índices de matriculación en educación especial más bajos del estado en los últimos años.

Actualmente el 7.9% de los alumnos están clasificados como en necesidad de educación especial, del 7% en 2014.

Si el DISD aumentara ese nivel al 10%, se atendería a 3,511 estudiantes más, señala el estudio.

Los niños afroamericanos del distrito continúan estando sobrerepresentados en el área de educación especial.

A pesar de que constituyen el 22.5% del alumnado del DISD, los niños afroamericanos conforman el 31.7% de los alumnos en educación especial.

Por el contrario, los niños hispanos han estado subrepresentados, ya que aunque conforman el 70% del distrito escolar, representan solo el 60% de la matrícula de educación especial.

El estudio encontró algunos avances en esos dos segmentos.

El DISD ha ido reduciendo la sobrerepresentación de los niños afroamericanos en educación especial y la subrepresentación de los niños hispanos desde 2010.

El estudio concluye que el 44% del estudiantado tiene un manejo limitado del inglés, pero que estos alumnos ocupan solo el 35% de la matrícula en educación especial, una discrepancia de representación que no ha hecho más que crecer en años recientes.

Para cerrar totalmente esas brechas, el distrito tiene que hacer una mejor detección de niños que necesitan esos servicios y corregir el proceso para que pasen por el sistema más rápido, agregó Durán.

“Primero que nada tenemos que procurar que todo el personal sepa cómo son referidos los alumnos a educación especial, y aclarar el proceso para que todo mundo sepa”, dijo Durán.

“Y una vez que los niños eran puestos en la fila, por así decirlo, a veces tardaban mucho en recibir lo que necesitaban”.

Una de las recomendaciones es contratar más personal para ayudar a los alumnos, e incluso un encargado de servicios de educación especial bilingüe.

Los consultores entrevistaron a padres, maestros, directores y a otros integrantes del personal docente para elaborar su evaluación; pero no entrevistaron a personas que ya no forman parte del equipo, dijo Durán.

En diciembre, dos exempleados del DISD dijeron a funcionarios federales que hacían un recorrido por el área que vieron de primera mano cómo el distrito complicaba intencionalmente a las familias el acceso a la educación especial.

Uno –un psicólogo que habla español– dijo que le pidieron dejar de gestionar con demasiada insistencia la incorporación de alumnos.

Eventualmente lo dejaron fuera de las juntas, y los padres quedaron solos y sin poder entender lo que estaba pasando.

El otro –un exadministrador– dijo que el estado parecía más interesado en verse bien ante el estado que en brindar servicios.

Durán dijo que nada en el informe indica que el personal estuviera tratando intencionalmente de excluir a los niños de la educación especial, pero reconoció que había muchos malentendidos sobre el proceso.

Agregó que el distrito quiere seguir investigando dónde se están dando fallas.

“Tenemos que depurar nuestro mecanismo de referencia y asegurarnos de que de veras estamos atendiendo individualmente a los alumnos y sus necesidades”, dijo Durán.

Hasta el viernes en la tarde ni el presidente de la mesa directiva Dan Micciche ni el vocal Miguel Solís habían visto el informe. Los vocales recibirán una exposición del estudio el jueves.

Micciche dijo que todos los niños, contando a los que reciben educación especial, merecen recibir una educación de calidad.

“El distrito tiene que hacer todo lo posible por garantizar que los niños en educación especial reciban una educación excelente y que se asignen los recursos apropiados para lograr ese objetivo”, dijo.

Solís dijo que no le sorprendería saber de la subrepresentación de los niños que están aprendiendo inglés.

“En términos generales, los alumnos que no dominan el inglés son un grupo tan diverso y dinámico que, en muchos casos, es difícil localizar los factores subyacentes que los están retrasando, porque ya de por sí es difícil ayudarlos a aprender inglés”, dijo Solís.

Fuente: http://www.aldiadallas.com/2017/03/07/excluyen-a-ninos-que-requieren-educacion-especial-debido-al-idioma-dice-reporte/

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Japan tightens language study visa regulations

Japon/Marzo de 2017/Fuente: The Pie News

RESUMEN: Estudiantes de cinco países pronto tendrán que cumplir con requisitos de aplicación más estrictos para las escuelas de idiomas en Japón, como parte de una campaña contra inmigrantes que trabajan ilegalmente con visas de estudiante. A partir de este mes, estudiantes de Sri Lanka, Nepal, China, Vietnam y Birmania que estudien en muchas de las escuelas de idiomas de Japón deberán enviar más pruebas de capacidad financiera como parte de su solicitud de visa. La oficina de inmigración japonesa ha instruido a las escuelas de idiomas que tenían 10 estudiantes de los cinco países o ser expulsados o abandonar el último año para implementar esta política. Esto suma alrededor de la mitad de las escuelas de idiomas del país.

Students from five countries will be soon faced with stricter application requirements for language schools in Japan, as part of a crackdown on immigrants working illegally on student visas.

Starting this month, students from Sri Lanka, Nepal, China, Vietnam and Burma studying at many of Japan’s language schools will be required to send over further proof of financial capability as part of their visa application.

The Japanese immigration bureau has instructed language schools that had 10 students from the five countries either be expelled or drop out in the last year to implement this policy. This totals around half of the country’s language schools.

The prospective students will have to show further financial capacity than before, in the form of deposit and withdrawal details.

Visa requirements for students from the five countries, plus Mongolia and Bangladesh, were already stricter than for other countries, said Munezai Yo, school administrative director at KAI Japanese Language School in Tokyo.

“The immigration office allows good schools to reduce the documents necessary to submit for the student visa application,” he told The PIE News.

“It’s based on the rate of crimes, absconders, etc. of the previous year.”

However, there has been criticisms of this policy, as the legislation doesn’t differentiate between students who have been expelled and those who have left for another reason.

“This announcement made a very big backlash because those [students] who left the school without any problems such as getting hired by Japanese companies were also included [in this quota],” added Yo.

The policy is being introduced in an attempt to curb breaches of visa conditions.

Students at language schools are allowed to work up to 28 hours a week, but officials say there have been numerous reports of students exceeding this.

While the impact of this policy is unknown, “the number of applications from these five countries will probably decrease,” said Yo.

“I can’t imagine how big the decrease will be, though.”

Evan Kirby, director of Genki Japanese and Cultural School – whose school won’t be affected as it doesn’t enrol students from the specified countries – said its effect on the sector should be limited.

“The new changes are mostly a refinement of these requirements, designed to make it harder for applicants to submit fraudulent applications,” he told The PIE News. “So they should have little to no impact on good schools and good applicants.”

In 2015, there were 56,317 international students studying in Japan’s language institutions. The five selected countries for this policy are all in the top 10 sending countries of students to Japan for language study.

China was the top sending country with 19,190 students, followed by Vietnam with 18,751 and Nepal with 7,559.

Sri Lanka accounted for 1,112 students, while Myanmar sent 1,103.

Overall in 2015, Japan welcomed 208,379 international students across all sectors. The country has set a target to welcome 300,000 international students, through Prime Minister Abe’s Global 30 initiative.

Fuente: https://thepienews.com/news/japan-visa-regulations-language-study-tightened/

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