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Libro: El proyecto de investigación, (Introducción a la metodología científica)

La presente obra, galardonada en 2006 con el Premio Nacional al Mejor Libro Técnico, se propone, por una parte, iniciar a los lectores en el estudio de los conceptos básicos sobre la metodología científica, y por otra, ofrecer una guía flexible para la elaboración y ejecución de proyectos de investigación.

En este sentido, el texto se estructura en dos partes:

Parte I: comprende siete capítulos que constituyen una introducción a la Metodología de la Investigación. Éstos incluyen contenidos esenciales tales como: concepto de conocimiento, ciencia y método científico. Así como también, se presentan orientaciones generales sobre operacionalización de variables, diseño de instrumentos de recolección de datos y técnicas básicas de muestreo.

Parte II: tiene como intención brindar una guía práctica para la elaboración de proyectos de investigación, desde su formulación hasta su ejecución o desarrollo. Para ello, se incluyen secciones actualizadas sobre las normas de presentación de las citas y referencias: impresas, audiovisuales y electrónicas, y además se 10 incorpora un nuevo capítulo referido a las etapas que implica llevar a cabo la investigación proyectada: validación y aplicación del instrumento de recolección, análisis de los datos, interpretación y discusión de los resultados, y por último, elaboración de conclusiones y recomendaciones.

En síntesis, esta obra combina elementos teóricos y prácticos del proceso de investigación científica y se ajusta en gran medida a los programas vigentes de Metodología de la Investigación, por lo que satisface las necesidades de estudiantes de cualquier nivel.

Para descargar el libro: Fidias G. Arias. El Proyecto de Investigación 6ta. Edición.

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Reseña De Libro: La Realidad Como Fuente De Teoría por Víctor Hermoso

Autora de la reseña: Yolanda Hermoso Aguilar.

No hay necesidad de ser un científico famoso para proponer vías alternas para explicar realidades. Se construyen modelos que no necesitan el visto bueno de la comunidad científica, pero si que tengan la consistencia interna y las cualidades que lo hagan mas adecuado a la realidad que los modelos pre-existentes.

La experiencia del autor, como tutor de trabajos de grado cuyos protagonistas son los cultores populares, le proporcionó el acercamiento necesario para entender que los saberes contenidos en las entrevistas en profundidad, necesitaban vías legitimatorias. El entendió que había que trascender lo descriptivo de los estudios cualitativos hacía la interpretación. A mi juicio superó el complejo de algunos cualitativistas de no contaminar estas investigaciones con términos propios del paradigma cuantitativo. En este sentido creo que fue útil reseñar la validez y la confiabilidad que denomina cualitativas, ya que son construcciones que si bien se obtienen de manera muy diferente, a sus correspondientes cuantitativas, en el fondo son también encuentros con criterios de verdad.

Tengo la sensación que para algunos el uso que se hace en ésta investigación. de matrices puede catalogarse como una forma de cuantitivizar lo cualitativo, Quien profundice descubrirá que, en esas matrices, hay una forma inédita de análisis del discurso. Además hay un intento serio de construir teoría desde la realidad y luego armonizarla con requisitos de los manuales de trabajos de grado.

Es posible que el mayor aporte de esta obra esté asociado a la certeza de que los tesistas son capaces de construir teoría, desde la realidad investigada, y de contrastarla en condiciones de igualdad, con los aportes de otros autores que han trabajado en el mismo campo.

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Les gènes peuvent influencer jusqu’à 80 % les résultats scolaires

Novedad estudiantil/ julio de 2016/The Conversation

Resumen: Los estudios muestran que el genoma de un estudiante puede tener una influencia considerable en sus resultados. Para algunos, esto significa que no se puede hacer mucho más para los niños que lo necesitan, y que es inútil gastar un centavo más para ayudar.
Les études montrent que le génome d’un élève peut avoir une influence considérable sur ses résultats. Pour certains, cela signifie qu’on ne peut pas faire grand chose pour les enfants en difficulté, et qu’il est donc vainde dépenser un centime de plus pour les aider.
Mais est-ce vraiment le cas?
L’idée que notre avenir dépend uniquement de facteurs génétiques est aussi répandue qu’erronée: ceux-ci n’expliquent pas tout. En effet, les facteurs environnementaux jouent aussi un rôle dans la réussite scolaire de l’enfant. Bien conçues et bien appliquées, des solutions peuvent compenser les facteurs génétiques défavorables qui freinent certains élèves.
Ce que l’on sait de l’influence génétique
C’est essentiellement grâce à la méthode des jumeaux, qui compare la similarité génétique entre vrais et faux jumeaux, que l’on a découvert le rôle des gènes dans l’aptitude scolaire.
Si les vrais jumeaux ont des résultats scolaires similaires, contrairement à ceux des faux jumeaux, cela valide l’hypothèse d’une influence génétique car les vrais jumeaux ont exactement les mêmes gènes, tandis que les faux jumeaux n’en partagent que la moitié. Dans les deux cas, ils ont en commun un foyer et un établissement scolaire.
Les chercheurs peuvent ainsi déterminer l’influence des gènes sur la réussite scolaire, au-delà des effets d’un environnement commun. En d’autres termes, cela leur permet d’estimer l’héritabilité des facultés d’apprentissage. Comme les faux jumeaux peuvent être de sexe opposé, ces études identifient également les différences éventuelles entre garçons et filles dans le rôle joué par la nature et l’environnement.
Pour l’essentiel, les deux sexes semblent affectés par les mêmes gènes bien que le discours populaire ait tendance à exagérer l’influence du genre.
Des études de jumeaux visant à déterminer l’impact de la génétique sur les capacités à lire, écrire et compter ont été menées dans le monde entier, y compris en Australie, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, en Asie et en Afrique.
Les chiffres varient quelque peu selon les régions et les matières, mais l’influence des gènes oscillerait entre 50% et 80%. Ces études se fondent à la fois sur des tests standardisés et les évaluations menées par les écoles.
On en sait moins sur les domaines créatifs et techniques, pour lesquelles il existe clairement des talents spécifiques.
Et l’environnement dans tout ça?
Avec ce genre d’études, on peut également décomposer l’influence de l’environnement en différentes facteurs: ceux qui sont communs aux jumeaux, comme la situation socio-économique du foyer et l’école fréquentée, et ceux qui ne le sont pas: maladies, enseignants différents (ce qui arrive souvent), etc.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, certains facteurs communs, comme la situation socio-économique et l’établissement fréquenté, ont une influence relativement mineure une fois que l’on tient compte du patrimoine génétique.
Il faut cependant noter que des circonstances environnementales défavorables, notamment de faibles taux de scolarisation et d’assiduité, peuvent entraîner chez certains groupes une moindre réussite scolaire.
Pour d’autres, un environnement inhabituel peut entrer en jeu. Par exemple, une contamination aux métaux lourds, due à des activités minières ou de transformation, peut être liée à des résultats plus bas au NAPLAN (National Assessment Program – Literacy and Numeracy), une évaluation standardisée utilisée en Australie.
Le rôle des interventions pédagogiques
Des interventions bien conçues, appliquées de manière pertinente et au bon moment, peuvent aider des enfants en difficultés à atteindre des niveaux de réussite normaux, ou du moins à s’en approcher.
Ces interventions, généralement pensées pour des enfants spécifiques ou des petits groupes, se sont avérées efficaces lorsqu’elles étaient appliquées au niveau académique.
Il ne s’agit pas de prétendre que l’on peut facilement compenser les désavantages génétiques, mais en faisant preuve de bonne volonté, on constate de réels progrès dès lors que l’on assure un suivi, que l’on met en évidence les liens entre l’alphabet et les sons produits par la parole, et que l’on accompagne le tout d’exercices de lecture assistés.
Implications budgétaires
En conclure qu’il serait inutile d’engager des dépenses supplémentaires face à l’influence génétique est donc indûment pessimiste.
Au contraire: si les difficultés de certains enfants à apprendre à lire, écrire et compter ont une origine biologique, alors une aide budgétaire spécifique est précisément la solution. Elle est particulièrement nécessaire si l’on souhaite lutter contre des décalages croissants entre les élèves les plus brillants et ceux qui sont en difficulté.
Les implications pour le corps enseignant
Certains professeurs ont du mal à admettre le rôle des gènes dans la réussite scolaire, peut-être à cause d’une aversion envers toute explication biologique (le pseudo « déterminisme biologique ») ou du sentiment, erroné, que les gènes ont une plus grande influence que leur enseignement.
Cela a notamment eu pour conséquence de souligner de manière exagérée le talent et l’implication pédagogiques comme facteurs déterminants dans la réussite de certains élèves et l’échec des autres.
Les jumeaux nous apportent une preuve directe que les différences entre enseignants n’influent pas de manière significative sur les différences d’alphabétisation. Le rôle des instituteurs reste déterminant, car c’est grâce à eux que nos enfants en savent plus à la fin de l’année qu’au début, mais leur efficacité est bien plus homogène que la plupart des gens ne l’imaginent.
Le cas du Colorado
Malheureusement, dans certains systèmes éducatifs, comme celui du Colorado, l’emploi et la rémunération des enseignants dépendent d’évaluations qui accordent une trop grande importance aux progrès des élèves.
C’est ignorer le fait que les difficultés de certains sont liées à des obstacles biologiques, qui certes peuvent être surmontés dans une certaine mesure, à condition de disposer des ressources adaptées.
Aux États-Unis, le moral des enseignants a atteint un abîme historique. Ailleurs, comme en Australie, ils sont assaillis de critiques dans les médias et les discours politiques.
Ce dont nous avons besoin
Il est indispensable d’avoir une perception plus nuancée des facteurs qui déterminent la réussite scolaire, y compris du rôle joué par les gènes. Dans le même temps, nous devons éviter le pessimisme injustifié qui accompagne la reconnaissance de l’influence génétique, ce qui menace non seulement la réussite scolaire mais aussi la santé physique et mentale des enfants.
Il faut aussi faire confiance aux interventions qui reposent sur des bases scientifiques: dans les mains d’enseignants disposant des ressources suffisantes, elles peuvent faire toute la différence pour les élèves qui ont du mal à appréhender certaines matières.
Foto: Les vrais jumeaux ont des résultats scolaires plus semblables que ceux des faux jumeaux. Shutterstock
Fuente: https://translate.google.com/translate?hl=es&sl=fr&tl=es&u=https://theconversation.com/fr/education

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Entrevista A Gustavo González: Una Visión Ideológica Sobre La Investigación En Venezuela

Entrevista A Gustavo González: Una Visión Ideológica Sobre La Investigación En Venezuela

Por José Eduardo Hermoso

Entrevista realizada en 2013

Gustavo González Pérez: fue uno de los grandes maestros de la Educación Comparada en Venezuela, sus aportes dan inicio, junto al equipo de Centro Internacional Miranda (CIM), a la conformación del Centro Nacional de Investigaciones Educativas (CNIE), cuyo proyecto es de envergadura Grannacional, involucrando a gran parte de los países del ALBA. Su visión de la Educación, así como de la investigación lo coloca en la categoría de “ideólogo” para Venezuela y el mundo.

Vamos a hablar un poco de los orígenes, ¿cómo te involucraste tu con el Centro Nacional de Investigaciones Educativas?
Gustavo González.: Seria bueno hacer una visión de los antecedentes. En el Centro Internacional Miranda, a finales del año 2009, concretamente octubre y noviembre, se desarrollo, se desarrollaron dos seminarios internacionales de Educación, que aunque, cuando estaban muy influencias por la Educación Comparada, permitió la confrontación de ideas con intelectuales de varios países del mundo: España, Estados Unidos, Cuba, de México, de Argentina, de Brasil entre otros; bueno, a raíz del éxito de esas actividades, y ya en funcionamiento el ALBA, y dentro del ALBA, ALBA – Educación; por iniciativa de Bonilla, del Doctor Luis Bonilla presidente del CIM, se comenzó a trabajar en una maestría en Educación Comparada, en la propuesta de una maestría en Educación Comparada, en marzo del 2010, Bonilla le pidió al Ministerio de Educación que le asignaran seis mil (6000) egresados de la misión Sucre para formarlos como investigadores, en ese período estaban unos colegas cubanos acá, que empezamos a darle forma a eso, Inicialmente el equipo era Luis Bonilla, Omar Pérez Jacinto y Gustavo González. Se comenzó hacer un registro de investigadores y luego se comenzó a trabajar en lo que sería el Documento Rector y la idea era que se creará un centro que agrupara a esos investigadores, entonces, en ese registro se iba a detectar quienes estaban investigando etc, y paralelo a esto se empezaron hacer los trámites para que eso se vinculara al ALBA, entonces, cuando se hace una reunión del ALBA con el Ministros de Educación se lleva el planteamiento tanto de la maestría como del CNIE y se lleva el planteamiento de la revista de pedagogía de los países del ALBA, en la reunión de Nicaragua se acordó darle play a la maestría en educación comparada y se le dio a Venezuela la responsabilidad de la creación del CIEDALBA que es el Centro de Investigaciones Educativas de los Países del ALBA y la filial Venezuela es el CNIE, entonces, ya para esa época el grupo creció y se incorporaron varios colegas mas; entre ellos: Omar Hurtado, Elizabeth Leal, y todo el equipo que esta ahorita y el equipo por parte de Cuba fue rotando donde estuvo Javier Ruiz, Pedro Valiente, Raúl Hernández, por supuesto estaba Omar Pérez Jacinto. Ya para el mes de octubre de ese año 2010, ya estaba hecho el primer boceto y el primer documento CNIE filial Venezuela del CIEDALBA, en esa oportunidad se hizo una selección entre los registrados de cada estado y se convocaron a Caracas a IDEA, donde se hizo el seminario para discutir el documento rector y para designar quienes iban a responder por cada estado, posteriormente se comenzaron hacer reuniones de trabajo por equipos de otros países y ya en el 2011 en las últimas reuniones que se hicieron, en julio del 2011 en la Habana, ya estaba bien adelantado el documento rector de Venezuela y algunas ideas básicas para el CIEDALBA, ya que independientemente que Cuba estuvo vinculada permanentemente en el trabajo, sin embargo, Cuba no tiene un documento rector porque ellos tienen otro sistema de investigación, ellos tiene ya montado su estructura, nosotros no teníamos, en la reunión de la Habana se acordó adelantar el documento del CIEDALBA y allí Venezuela, diremos que tomó la iniciativa de, a partir del documento CNIE proponer un documento rector para CIEDALBA, que es el documento que está ahorita en discusión.
La pregunta es ¿cómo te involucraste con todo esto?
Gustavo González: porque yo fui un día al Centro Internacional Miranda a saludar a Bonilla porque él fue mi alumno, entonces él me invitó a que participara con ellos a las actividades que estaban haciendo en el mes de octubre y noviembre (2009), y ya en el 2010 me pidió para que trabajara en la comisión que iba a redactar el proyecto de Educación Comparada, y bueno, me fui quedando ahí, incluso asumiendo algunas responsabilidades de colaborar en los eventos del CIM; es importante recalcar que el eje fundamental de ese proyecto es el Centro Internacional Miranda, en congruencia con su definición de un centro de debate, de discusión, de aporte, entonces bueno, al involucrarme con la Comisión de Educación Comparada y luego en la Comisión que trabajó para hacer las entrevistas, ya yo estaba metido en la candela y de allí, hasta mayo del año pasado (2011) que por cuestiones de salud tuve que bajar la guardia, ese es más o menos…
¿De dónde surge la idea de investigación en cadena?
La idea nace de una angustia que fundamentalmente la tenía Bonilla, de darnos cuenta que como regresados de misión sucre no tenían competencia como investigadores, ni competencias didácticas, así de sencillo, entonces la idea inicial era hacer unos entrenamientos para esos egresados, pero luego cuando se enlaza con lo del ALBA empieza a tomar otra perspectiva y de acuerdo con la normativa y otros mandatos de la comisión de educación del ALBA, estos Centros Nacionales de Investigación Educativa (CNIE´S) se dedicarían no necesariamente a formar investigadores sino a producir investigaciones a solicitud del Ministerio de Educación… de allí viene el problema, o sea, no es que es un club de investigadores, no, es un centro de investigaciones que tendrá la responsabilidad de generar investigaciones a partir de solicitud de ambos ministerios, eso es la esencia de la existencia de esto.
¿A quién se le ocurrió eso de que tenía que ser a solicitud de los ministerios?.
Gustavo González: No te olvides que esto es un centro que va a estar financiado por el Estado y si está financiado por el Estado, el Estado pide una retribución y la retribución más correcta es que se investigue sobre la problemática de la educación y que tengan pertinencia esas investigaciones y la mejor manera es a través de lo que se detecte en el ambiente escolar o de las solicitudes que hagan los ministerios, porque si tu les vas a dar libertad y cada quién va a investigar lo que quiere, entonces, no tiene sentido, eso está establecido los lineamientos generales del CIEDALBA y se sobre entiende que esos centros de investigación de alguna manera serían auxiliares de los ministerios de educación; por eso es que algunas de esas investigaciones que se hicieron tenían que ver con lo que pasaba en educación, por ejemplo la investigación de misión sucre, lo que se hizo de la transformación universitaria. Ahora pasamos a una nueva etapa en donde ya, ante el Ministerio de Educación Universitaria y el Ministerio de Educación, ya se sabe que existimos, entonces, eso abre el compas para que se comiencen hacer solicitudes de investigación y ahorita se esta montando toda la plataforma incluso en informática para poder responder a eso y entrenamiento a los investigadores. A ustedes les debía haber llegado, la semana pasada, un material, porque todos los fines de semana debe haber labor de formación; no es la afiliación a un club, sino que están comprometidos a prepararse y eso no es solo para las comisiones de los estados sino para la comisión nacional, o sea, que los miembros de la comisión nacional estamos en obligación de participar en labores de formación porque nosotros no somos sabios.
El CNIE, realiza investigaciones, sus miembros se forman y hay una respuesta a las problemáticas. Da un ejemplo.
Gustavo González: Ahorita estamos involucrados en la cuestión de la transformación universitaria, seguramente se va hacer otro trabajo sobre la misión sucre, se hizo una investigación sobre los libros de la colección bicentenario y se hará cualquier otra investigación que soliciten los ministerios.
José Hermoso: antes era la investigación tutelada por las grandes potencias, hablemos sobre la investigación no tutelada de ahora
Prof. Gustavo González: Esa es una batalla, es una batalla, porque no te olvides que las personas que se han incorporado, se están incorporando y se van a incorporar, son personas que tiene una formación, en la generalidad de los casos, con esa visión que tu estas señalando, entonces, uno de los primeros saltos que hay que dar, o, celofán que hay que romper, es que la gente entienda que se esta investigación, no es por presentar una tesis o se está investigando por ganar un galardón, sino que, se está investigando para resolver situaciones del sistema educativo, que contribuirán al Ministerio de Educación a canalizar, a desarrollar, a poner en práctica una cantidad de estrategias por ejemplo. Indudablemente eso pasa por confrontaciones, de hecho estamos consciente de que el documento rector hay que revisarlo y la calidad de la revisión de ese documento va a estar signada porque sus miembros aporten cambio, cambios críticos, o sea, no se trata de que porque yo sé de esto voy a proponer esto, yo creo que esto es bueno de aclarar, se trata de hacer talleres de trabajo, de hacer consenso para que se haga eso, saltar de esa investigación convencional y lejos de trabajar con líneas de investigación que se han convertido en negocios, se va trabajando sobre los problemas que va planteando los ministerios y por supuesto, si alguna región ó la propia comisión nacional propone una investigación que sea factible, que sea pertinente, por supuesto que se le dará curso, lo que si se quiere evitar es lo de investigar por investigar, que porque hay que escribir un artículo, que porque hay que publicar un libro, pues no, todo debe ser consensuadamente y conscientemente, con actitud crítica, con la visión de que es para un aporte para el país y ahora para los países del ALBA; por eso se produce ese intercambio de investigadores; la idea es que nos rotemos, que nos apoyemos unos países con otros y en este caso la parte pionera la tiene Venezuela, en la parte del CIEDALBA la pionera es Venezuela y ahora con este segundo empuje Venezuela se afianza en la constitución de ese centro.

Ahora que se está retomando la discusión del documento recto y que este toma el materialismo histórico, ¿Qué piensas sobre esta parte metodológica?

Gustavo González: eso se hizo conscientemente… eso fue motivo de discusión y por eso fue que se produjo un segundo documento, de Ariel Ruiz, que es un documento de formación, ese documento lo recibieron ustedes por cierto, donde se establecen una serie de pasos, de actividades que deben realizarse para la formación de los investigadores porque el punto clave aquí es la formación de los investigadores y no el enfoque; el enfoque es clave, pero tú puedes tener veinte mil enfoques claves, pero sino van direccionados a algo, que en este caso es a la formación de los investigadores dentro de esa visión, ahora, yo entiendo que algunas personas tengan observaciones, sobre todo cuando están en la corriente pos-moderna, allí no está cerrado a que se hagan investigaciones con otros enfoques porque dice: que es un enfoque ecléctico no excluyente; al decir ecléctico quiere decir que puede tomar de diferentes corrientes, y no excluyentes es que no se discrimina enfoque; ¿ahora, que enfoque es aplicable?, el que realmente responda a las necesidades de esas investigaciones, pero tampoco es que vamos a montar una quincalla de enfoque, eso no es así, el eje central es desde el punto de vista del materialismo histórico, con la variante que no es sectaria ni es excluyente, y eso es lo que da pie para que entonces los colegas e investigadores del interior y de Caracas proponer trabajos y otros enfoques.

Entonces, si trabajamos con el materialismo histórico y este es cualitativo. ¿no estamos excluyendo todo lo cuantitativo?

Gustavo González: ¿Quién te dijo eso?. No señor. Primero: Cuando te dice que es no es sectario ni excluyente y que es ecléctico en el sentido de que puede valerse de varios corrientes. Segundo: lo cualitativo o lo cuantitativo no define si una investigación es desde el punto de vista dialéctico o desde el punto de vista de otra naturaleza. No. Lo que define una investigación cualitativa o cuantitativa es las características del problema y lo que se requiere en ella desde el punto de vista estadístico, numérico, para dar una explicación, pero eso no significa que la definición que se da de la metodología excluye lo cuantitativo o lo cualitativo, sino que la investigación es una sola, es un todo.

Desde tu visión, explícame ¿cómo es esa cadena de la investigación que propone el CNIE?.

Gustavo González: eso depende del problema.

Si el MPPE plantea una problemática y quiere conocer algo en las escuelas. ¿cómo sería para hacer toda esa investigación?

Gustavo González: bueno, el ministerio lo plantea al CNIE y entonces el CNIE y su equipo de trabajo produce los instrumentos que se requieran para recabar la información, diseñará un instrumento, redactara algunos objetivos, hará las estrategias a partir de las cuales se haga la investigación.
¿y de allí?

Gustavo González: baja a los coordinadores y va a involucran todas las regiones porque se sobreentiende que ambos ministerios son de alcance nacional.

Entonces, de los coordinadores nacionales a los coordinadores regionales, de los coordinadores regionales a los municipales y luego a los parroquiales….

Gustavo González: y de allí a la base, pero eso no esta logrado ahorita, sino únicamente en Carabobo y en Barinas. Ahora el esfuerzo que deben hacer las regiones es, por lo menos, asentar las coordinaciones estadales y luego empezar a expandirse hacia los municipios. Abra estados donde no se logre porque el número de investigadores en el municipio es muy poco.

Esa investigación, entonces, tiene una vertiente emancipadora.

Gustavo González: se sobreentiende, que si están guiadas, por las necesidades de los ministerio de educación, de ambos, se sobreentiende que las políticas de ambos ministerios son emancipadoras, entonces las investigaciones tienen que se emancipadoras, si es una educación incluyente, como en estos 14 años que los procesos de inclusión han sido cada vez mas profundos, como ha sido una educación democrática, solidaria, sentada en los valores de la nacionalidad, etc, por supuesto que las investigaciones que se hagan tiene que estar orientadas por eso. Por eso yo advertía, que, no se trata que entonces cada quién, porque tiene una visión de la educación, va a montar la investigación que quiera y en todo momento no se puede perder el norte de la constitución, ni el norte de la ley orgánica de educación ni el norte de las políticas educativas, que son en las que se refleja la concepción que se tiene dentro de esos ministerio de la educación y a esto se agrega la importancia que los investigadores se vinculen en conocimiento y en dominio del Plan de la Patria, porque allí está diseñado, no solamente el país, sino los ciudadanos, entonces, cualquier investigación que se haga en este momento tiene que tener relación, de hecho los 5 grandes objetivos históricos, son objetivos que están absolutamente vinculados con la educación, si quieres revisa uno por uno y entonces te vas a encontrar con…. Vamos a ver por ejemplo el cinco que es el que se han querido burlar de él, entonces resulta que el cinco es la síntesis de la concepción del hombre como ser natural y entonces, salvar la naturaleza, salvar el mundo, significa que, no es que vamos a sembrar mas arboles, sino que nos convenzamos nosotros que somos seres naturales y que vivimos en ese ecosistema y que por lo tanto debemos nosotros preservarlo porque es la garantía de la vida y ahora como se refleja eso en educación, mira toda la cantidad de valores que se desprenden de allí, la cantidad de tareas, actividades, entonces lo emancipador no está en declararlo emancipador, sino que se busca en todas las bases que sustentan nuestro sistema educativo, y todo lo que falta por hacer, porque por ejemplo, nosotros tenemos muchas fallas en la formación docente y yo diría que gravísimas fallas, las universidades en su escuelas de educación y los pedagógicos no están realmente formando a los maestros para la realidad que vive Venezuela en este momento, entonces parte de esa educación emancipadora sería, proponer el nuevo currículo para la transformación docente; por ejemplo: hacer que el maestro se identifique con la escuela, con la educación, con los niños y no que vea la actividad de la educación como una tarea que cumple o que le pagan por eso, va mucho más allá, entonces desde ese punto de vista la unión, la síntesis de lo que nosotros estamos haciendo como CNIE y lo que quiere el ministerio de educación está perfectamente visualizado, ahora es cuestión de que quienes trabajan con eso se pongan a escudriñar bien en los objetivos históricos, los objetivos estratégicos, etc; y ver, por ejemplo, que de esos objetivos se traducen en investigaciones que sean aporte, te repito, no es un requisito de grado, no es una tesis, no, …, son investigaciones pertinentes, útiles. Legará un momento en el que el volumen de investigaciones sea mucho, pero en la medida en que se normalice todo y que todo se armonice, a lo mejor se pasará a otro estadio de las investigaciones pero de momento son esas cosas sencillas.
Que piensas tu sobre dialéctica y lo que realmente está aconteciendo aquí en Venezuela.
Gustavo González: por eso te dije que viene un proceso de formación, tanto a nivel regional como a nivel nacional para sentar las bases de esas investigaciones, tanto teóricas como prácticas y por eso te dije hace rato que hasta la comisión nacional tenemos que ponernos a estudiar, el hecho de que nosotros seamos de la comisión nacional no significa que nosotros sabemos de todo, entonces, tenemos que comenzar a producir documentos, estamos obligados a comenzar a escribir, a producir instrumentos de investigación, pero sin perder el norte, repito, de la constitución, del plan de la patria, de la ley orgánica de educación de las políticas de ambos ministerios, de las necesidades.
¿Tú crees que el CNIE, logre aportar cambios al nuevo estado socialista?.
Gustavo González: yo creo que primero con humildad debemos aceptar que no estamos a la altura todavía y que hay que ponerse a estudiar y a prepararse y eso lo digo con toda la honestidad del mundo, porque aun con toda la experiencia y el bagaje que uno tiene puede no haber llegado al límite, entonces, no es un decreto, es una actitud que hay que asumir sobre la necesidad de formarse con solides, con profundidad en la investigación, porque con toda esa mezcolanza que tenemos nosotros, que en Venezuela cualquiera dice que es una investigación lo que hace o que dependiendo de la universidad hay tal enfoque, eso generalmente, si algunos podrán llamarlo democracia, pero eso lo que hace mas bien es traer entrenamiento y cada quién se cree dueño de la verdad, y entonces, no se trata de que a todos los vamos a encallejonar o que se van a vestir de un uniforme, no, pero si es necesario que todas las personas que estén registradas en el CNIE se pongan a estudiar y esto lo digo sin ánimo de ofender a nadie, pero lo que nosotros hemos percibido es una gran necesidad de eso, la formación en investigación que tiene la mayoría de las personas que dicen que hacen investigación en Venezuela es muy débil, por eso hay que aceptar con humildad, con sencillez, que tenemos debilidades, que por ejemplo, no confiamos en las universidades y resulta que las universidades no entrenaron a personas para que cuando estuvieran en la escuela ello fueran investigadores, porque lo ideal sería que el maestro en el aula sea un investigador, es mas yo diría que lo principal es que los maestros sean investigadores, con la experiencia que hicimos allí en Caracas con los maestros para que expusieran trabajos de investigación tenemos; primero la motivación de esos maestros fue extraordinaria de que le dieran oportunidad de dar a conocer su trabajo que hacen humildemente en el aula pero que están aportando, entonces, eso por ejemplo, es necesario valorar, ahora no es que nosotros vamos a declarar a todos los maestros investigadores, no, los maestros tiene que ponerse y prepararse como investigadores, y para que se preparen como investigadores, si nosotros somos los mediadores, también nosotros debemos prepararnos conscientemente, porque si no vamos a seguir en la misma rueca, entonces, el papel de los CNIE´s regionales va a ser muy importante porque son los que van a estar más directamente vinculados con los maestros y si los comité regionales no tiene claridad, no están bien orientados, pues, lo que va a seguir es el desastre, por eso es que se esta implementando eso de los cursos de formación de los fines de semana y se van a empezar a involucrar ya en las primera investigación, dentro de un lineamiento que se elabora y que no se trata de que sea algo rígido pero, son bien discutidos antes de salir y que no niega las posibilidades de que se le hagan observaciones.
Esas investigaciones no excluyen que cada CNIE por individual haga algunas otras investigaciones.
Gustavo González: No se trata ni de cuartar, pero tampoco de decir que cada quién haga la investigación que quiera, si un estado, en base a situaciones que detecte, considere que debe hacerse una investigación, lo que tiene que hacer es sustentarlo y solicitar que se le apoye, pero no es que, si una persona estuvo con versando con un cura y ese cura le dio una idea, entonces eso va a convertirse en una investigación, no, no, eso no es así, se sobreentiende que en la medida en que vayamos trabajando aplicando las investigaciones iniciales que se van hacer, se irá agarrando un entrenamiento que les permitirá en un momento determinado definir bien un problema y proponer como investigar ese problema así sea a nivel local, pero no es que por su cuenta se van a poner hacer investigaciones. Todo forma parte de la planificación de trabajo.
¿qué pasó con la figura del “docente investigador que apareció en el contrato de educadores?
Gustavo González: A raíz de la firma de ese contrato la gente de SINAFUM se acercaron al CNIE y nos pidieron integrar unas comisiones de trabajo mixta para trabajar en la formación de ese maestro investigador; el problema es que ellos se han metido en una cantidad de discusiones y de cosas que por ese lado no ha cristalizado en todo lo que debió cristalizar, sin embargo ya hay algunos avances, por ejemplo: en el caso de Carabobo se abrió una maestría en investigación educativa para un grupo de Carabobo y ahora se van abrir más maestrías, esa es una manera, y se van a seguir haciendo las actividades esas que se hicieron el año pasado en la que a los maestros se les dio oportunidad de presentar su trabajo y se está retomando la idea del 1er numero de la revista del CNIE; que sería la revista del CIEBALBA; esta es una revista que va a tener investigaciones de otros países, fundamentalmente de Venezuela y se habló precisamente de que en cada edición hallan trabajos universitarios y trabajos de educación básica y media ó primaria y bachillerato.
¿Cómo serían las preguntas realengas vistas desde el CNIE?
Gustavo González: Mira, siempre hay personas cuestionadoras y de alguna manera la pregunta realenga es una pregunta cuestionadora, busca pleito, como decía Rigoberto Lanz; porque son preguntas que están fuera de la lógica en que se suele hacer preguntas, o sea, no es pregunta al revés, no, no. Una pregunta realenga saca de balance a cualquiera, fíjate, tú me acabas de hacer una pregunta realenga, me metiste la realengura aquí cuando estábamos hablando cuestiones muy formales, esa es una pregunta realenga, me entiendes, estábamos hablando muy formal, del documento rector, del entrenamiento, de las cuestiones administrativas; pero que es la pregunta realenga, es una vía de someter a duda lo que se está diciendo, es una vía de darle chance al interlocutor de que exponga con soltura sus puntos de vista, porque las preguntas demasiado formales hacen que las respuestas sean formales, entonces, si sabemos, primero que un problema nunca se agota y segundo que sobre el desarrollo de las investigaciones se presenta situaciones de duda, de confrontación, de negación, de afirmación; porque no también incluir elementos que muevan el piso de lo que se está haciendo, entonces la realengura está en eso y que son preguntas que se le ocurre a la persona pero que le da pena formularlas, porque se salen del contexto.
¿y el que las recibe?
Gustavo González: depende de la formación que tenga, puede reaccionar hasta agresivamente, porque por ejemplo; si hay una persona, suponte tu, que está hablando de mucha teoría de investigación y llega un estudiante y dice: profesor ¿por qué no nos ejemplifica eso con una investigación que usted haya hecho?. Tú te consigues que mucha gente que escriben libros de investigación no hacen investigación; son teóricos de investigación, pero no hacen investigación, entonces esa es un pregunta que saca de balance a cualquiera y es realenga porque no está dentro de lo que se está hablando, él está explicando los métodos, las variables,…, todas esas cosas y viene un loco y le dice: vamos hacer una cosa, haga un ejemplo con lo que usted está investigando…, se acabo la clase… para ponerte un ejemplo venido inmediatamente a la cabeza.
O sea que para nosotros está permitido, tanto dar como recibir esas preguntas realengas, desde el CNIE.
Gustavo González: Por supuesto.
¿No traerá conflictos entre nosotros?
Gustavo González: si van hacer cuestiones ofensivas si van a traer conflictos, pero no hay razones para pensar que porque se hagan planteamientos eso va a estar malo, ahora si van a comenzar a joder y mandar cosas por mandar, por supuesto que eso va a molestar. Suponte tu que un día se ponga alguien hacerle observaciones al documento rector y las mandó, eso no es para hacerle observaciones individuales, sino en colectivo, él debería de socializar su opinión y pedir más opiniones y entre todos hacer un escrito con mucha fuerza, porque a lo mejor lo que él está viendo no lo ve otro, o a lo mejor, lo que él está viendo lo ve otro pero más profundo ó quitándole algunos términos, pero entonces, eso no es cerrado, la lógico es que primero entre todos se discuta eso, lo importante es, como lo dije al principio que esto no es para protagonizar, yo entiendo que la gente se desespera, ó tiene inquietudes o el ritmo que tienen los otros no es el mismo de él, pero aun así el primer paso aquí es fortalecer y organizar todos los CNIE locales, y entonces, si van a empezar los protagonismos individuales lo que puede es más bien traer roces entre ustedes, eso está claro y lo estoy diciendo desde la óptica mía desde acá.
Hablamos sobre el profesor Luis Bonilla como investigador.
Gustavo González: Bonilla es un investigador nato, Bonilla es una persona con una claridad del problema educativo y de la investigación, muy bien cimentada y la prueba está en que todo lo que ha organizadlo y las publicaciones que ha hecho, el liderazgo que tiene el Centro Internacional Miranda (CIM) se debe fundamentalmente al empuje que él le ha dado a eso y a logrado sin discriminación incorporar investigadores que aportan por eso el CIM lleva más de 20 libros publicados y con poco recurso. Bonilla tiene una gran motivación para investigar, para dirigir equipos, yo lo conozco desde ya cerca de 30 años, el fue alumno mío en rubio y desde estudiante era así, cuestionador, crítico, muy preocupado por su nivel académico y ya el esta viendo su fruto.
: ¿cuál es la visión de Bonilla con respecto a la educación y la investigación en Venezuela?
Gustavo: Por eso a él cuando le dijeron que escogiera entre el CIM y el vice-ministerio (de educación universitaria), escogió seguir en el CIM y se pone al frente del Centro Nacional de Investigaciones Educativa (CNIE), ahorita él está al frente de CNIE directamente, no es que antes no estaba, es que ahora está al frente, porque ahorita tiene más tiempo para dedicarle al CNIE, participar en las reuniones, dar orientaciones, sugerir investigaciones y en ese sentido está claro.
¿Cuál fue la participación de los cubanos en la conformación del CNIE?
Gustavo: la participación fue hasta el documento rector y lo demás lo hemos hecho nosotros, he incluso nosotros lo modificamos en algunos términos, porque siempre tuvimos algunas diferencia era por el uso de los términos que tienen un connotación en Cuba y aquí tienen otros, he incluso sugerimos, vamos hacer un diccionario de términos equivalentes porque no tengamos… (risas de Eduardo) por ejemplo un examen ellos lo llaman ejercicio y yo les decía a ellos, mira tú le vas a decir a alguien que le vas hacer unos ejercicios va a pensar que tu lo vas a poner a trotar o a pegar brincos, cosas como esa. Y bueno con ellos se dieron debates muy interesantes con todos los problemas que hemos tenido nosotros, por lo menos tenemos personas que se a ocupados por la investigación y que tienen aportes y pueden discutir con ellos; a mí me pareció que fue una experiencia enriquecedora.
¿Cuál es tu visión del CIEDALBA en u futuro?
Gustavo: eso está más complicado porque eso depende de la voluntad política de los países, si bien es cierto que nosotros ya presentamos un documento básico para la elaboración del documento rector del CIEDALBA, no es menos cierto que no ha cuajado bien eso, de hecho con la maestría en educación comparada tenemos un retraso muy grande con Ecuador y con Bolivia, Nicaragua sino la paramos se va para el cielo, ellos se montaron en eso y dijeron de una vez vamos y vamos; y a la semana de haber dicho que iban, avisaron que en enero comenzaban las clases y ya van por tres (3) reuniones de trabajo. Con estos 2 países (Ecuador y Bolivia) se perdieron los contactos en reuniones, entonces, está girando prácticamente con Cuba, Nicaragua y Venezuela, por lo menos en el caso de la maestría, y en el caso del CIEDALBA la que está más adelantada es Venezuela en función de esto nuevo, pero Cuba tiene su propia estructura de investigación, o sea, ella no tiene la necesidad de crear CNIE´s allá, porque tienen su estructura de investigación y su organización, ellos lo que tienen, es que, esos centros de investigación se adapten o se vinculen, pero no parten de cero (0), nosotros partimos de cero (0) y allí está la clave.
¿Por tanto lo nuestro es totalmente diferente?.
Gustavo: lo que se está asiendo en Venezuela, si logramos eso que se está planteando ahorita, esto va hacer un ejemplo posiblemente mundial. Es un plan de formación de investigadores sin que necesariamente sea en una universidad, de investigadores investigando y produciendo, y creando, entonces, en ese sentido la consolidación de los CNIE´s estadales y lo que se quiere que este año se hagan varias investigaciones y se publique por primera vez la revista, es un paso importantísimo.
¿En esa revista van los resultados de las investigaciones del CNIE?
Gustavo: En esa revista va publicado los resultados de las investigaciones y producciones de investigadores del CNIE mas que todo.
¿Los trabajos de los estudiantes de la maestría en educación comparada, Como van hacer tratados?
Gustavo: Dependiendo del tipo de trabajo, porque muchos de esos trabajos son proyectos, pero está prevista la posibilidad de que esos trabajos pasen al comité de redacción de la revista y los trabajos que sean publicables se publiquen, o sea, ¿de qué se vale la revista la revista?, de las investigaciones que hagamos y de los productos de las maestrías, entonces si eso se canaliza bien, se organiza bien, para fin de año debe haber salido el primer número.
Según el profesor Luis Bonilla, hay la posibilidad de que la maestría sea en cada una de las regiones, ¿eso es cierto?.
Gustavo: Eso es un planteamiento que hizo el ministro de educación a Luis Bonilla. Esté le preguntó que por qué no era posible que en cada estado funcionara la maestría, y otras maestrías, y en eso se va a trabajar, así es que es probable que se abran secciones aquí, otra en Guárico, otra en Carabobo; en Carabobo a lo mejor dos. Fíjate lo siguiente, yo no te dije una cuestión, esa actividad que hay el sábado 8 es con profesores y maestros, entonces yo voy a aprovechar antes de dar mi conferencia hablar del CNIE, para informarle a los asistentes que ustedes son los cabezas visibles aquí, para estimular a la gente a inscribirse, una vez que tengamos un registro mayor, se puede hacer ese estudio (el de la apertura de la maestría en cada estado), porque con las 30 personas que tú tienes activadas, no se puede.
Tenemos 180 investigadores inscritos pero no activados, por eso los vamos a llamar para ver el nivel de compromiso y el perfil.
Gustavo: Por eso, en función de lo que tu me planteaste, es tener un buen registro, o sea, tu con un registro de 40 personas activas no vas a justificar la apertura de una sección de la maestría aquí en Aragua, cuando tu sabes que algunos de esos cuarenta tienen maestría o no están interesados, claro si tu tienes controlado 100 o 200 personas, ya podemos hablar de secciones.
Ya Aragua y Carabobo tienen abierta ya una maestría que no comenzado, háblame de eso.
Gustavo, Eso es algo que yo ya plantee al ministerio, mira, yo al principio no estaba muy ganado con esa idea de cómo lo querían hacer, y allí se aprovecho que yo estaba ausente con mi enfermedad para hacerlo.
Por último, que te gustaría decirles a todos los del CNIE,
Gustavo: que estudien y trabajen mucho.
Gracias profesor.

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Libro «Mal educados».

Mitos y verdades de la educación universitaria en Chile

Ricardo Martínez, profesor y coordinador de Extensión del Departamento de Lingüística de la Universidad de Chile, deja al descubierto la realidad de la educación del país en su nuevo libro «Mal educados».

Por AméricaEConomía.com

Ricardo Martínez es investigador del Centro de Estudios Cognitivos y coordinador de Extensión del Departamento de Lingüística de la Universidad de Chile. Por esto días se encuentra promocionando “Mal educados”, una publicación de Editorial Planeta, que analiza los mitos y verdades de la educación en Chile, en momentos que el país se encuentra experimentando diversas transformación en materia de educación.

En sus más de 150 páginas, el también académico da respuesta a temas tales como si las universidades estatales son preferibles a las privadas, si son mejores las carreras universitarias largas o cortas y si es más fácil encontrar trabajo con un posgrado, entre otras cosas.

Bajo este escenario, es que hemos querido darte a conocer algunas de sus conclusiones en materia de educación universitaria que sin lugar a dudas te ayudarán a tener un panorama más claro sobre esta materia en Chile.

Universidades públicas o privadas

«Los considerandos para determinar que una universidad sea mejor que otra son variados. Por ejemplo, se podría tener en cuenta lo respectivo a la investigación, y en dicho caso, una buena universidad sería aquella que logra obtener muchos proyectos Fondecyt (que es el fondo público principal para incentivar la investigación científica por parte del Gobierno de Chile. Estos dos considerandos, que discurren de manera común (a mayor cantidad de proyectos Fondecyt, mayor cantidad de papers publicados) son los que suelen tomar en cuenta los ránkings internacionales de universidades como ARWU (The Academic Ranking of World Universities)».

¿Son mejores las carreras universitarias largas que las cortas?

«Sí, aunque no en el más largo plazo. Hay carrera técnicas, de menor duración, que permiten buenos ingresos habiendo estudiado menos años que en las carreras tradicionales como Técnico en Mantenimiento Industrial, Técnico en Topografía, etc. Sin embargo, es posible que una persona continúe su proceso de aprendizaje más allá de los seis, cinco, cuatro o dos años que estudia su primer tramo en la educación superior. Y en ese sentido, a veces las personas que cursan primero una carrera extensa pueden tener mejores posibilidades, también en el largo plazo».

¿Es más fácil encontrar trabajo con un posgrado?

«Cada vez menos. Es evidente que la formación de capital humano avanzado es esencial y primordial para el desarrollo del país. Sin embargo, la inserción se está haciendo cada vez más difícil. Es muy importante antes de seguir estudios de posgrados conocer las condiciones de salida de los mismos, la real oferta laboral en estas áreas y las verdaderas posibilidades de inserción, tanto en la academia como la industria».

Fuente: http://mba.americaeconomia.com/articulos/reportajes/mitos-y-verdades-de-la-educacion-universitaria-en-chile

Imagen: http://beta.mba.americaeconomia.com/sites/mba.americaeconomia.com/files/portada_201606052307_1.jpg

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Artículo: Scientists aren’t superheroes – failure is a valid result

El artículo nos ayuda a desmitificar la representación del científico, o la científica, como un ser infalible, perfecto y siempre obligado a aportar soluciones inequívocas ante cualquier problema planteado. Esta circunstancia, sólo emulable por los superhéroes, es la que nos revela Andrew Gelman como una muy alejada de la realidad cotidiana de quien se enfrenta a investigaciones científicas día a día. De los fallos, también en ciencia, siempre se aprende.

Source: Scientists aren’t superheroes – failure is a valid result Publicado el 8 de junio

The widely reported finding that ‘power poses’ offer a hormonal boost could not be replicated in follow-up studies. Photograph: Alamy

Concern has been growing in the past decade about published scientific claims that other laboratories can’t successfully replicate. Some of these studies are pretty silly – for example, the claim that women’s political preferences change by 20 percentage points depending on the time of the month. Others were potentially useful but didn’t work out, like the one which says that holding your body in a “power pose” gives you a hormonal boost.

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Then there are claims which may have policy relevance, such as the study that says early childhood interventions could increase young adults’ earnings by 40%. The claim came from a longitudinal study which would require at least 20 years to replicate, but, on the basis of statistics alone, we have good reason to be sceptical about the findings.

This replication problem has become a crisis in the sense that researchers, ordinary citizens and policymakers no longer know what or whom to trust. Even the most prestigious scientific journals are publishing papers that fail to replicate and which, in retrospect, are simply ridiculous.

One notorious example is a 2014 paper from the Proceedings of the National Academy of Sciences (Pnas), comparing the damage done by hurricanes with male or female names. The research was based on historical data and so could not be replicated, but featured the same sort of statistical errors that commonly appear in any work that fails the replication test.

And it’s not just journals that get sucked in. Some of our most trusted explainers and interpreters of science have been fooled by work with fatal statistical flaws. Science writer Malcolm Gladwell fell for a mathematician’s claim to be able to predict divorces with 94% accuracy and the Freakonomics team fell for the erroneous claim that beautiful parents are more likely than ordinary-looking parents to have female babies.

Statistical errors are unfortunate but unavoidable. Science is open to all, and we wouldn’t want strict gatekeeping even if it were possible. Speculative (even completely misguided) work can still indirectly advance scientific understanding. The problems come when entire fields are so shaky that outsiders – and even insiders – don’t know what to believe. This is the replication crisis, and we need to do something about it.

The problems come when entire fields are so shaky that outsiders, even insiders, don’t know what to believe

For starters, researchers need to stop making excuses and address attitudes that are getting in the way of progress. By progress, I mean moving towards a future where there are clearer links between research designs, data, analyses, criticisms and replications. The goal is not the elimination of errors, but a system with better feedback, so that dubious claims can be disputed and discussed at the point of publication, not years later when the findings have been used in news articles, TED talks, radio features and beyond.

So what’s getting in the way? Sunk cost fallacy – the error of throwing good money (or, in this case, scientific resources) after bad – certainly plays a role.

An example of this can be found in a recent New York Times op-ed by psychologist Jay Van Bavel, entitled Why Do So Many Studies Fail to Replicate?. Bavel doesn’t dodge the bad news that only 39 percent of the 100 psychological studies used had been successfully replicated – but he moves quickly to the position that the studies failed to replicate because it was difficult to recreate the exact conditions of the original.

Context certainly matters, but we should also be aware that a lot of published work is just noise. It’s always worth considering the possibility that a published finding was real and that it failed to replicate because of changing conditions, but that should not be the default assumption.

It’s natural to want to spare the feelings and reputations of hardworking researchers and it’s horrible to think that there could be hundreds of papers, published in leading journals, that are nothing but dead ends. I can see the appeal in trying to preserve some value in this mountain of published work. A paper can be seriously flawed and fail to replicate but still contain valuable insight. But our starting point has to be that any given finding can be spurious.

Related:Academics: you are going to fail, so learn how to do it better

Replications are often controlled, meaning that the researchers have chosen their data selection and analysis rules ahead of time. But published findings are almost always uncontrolled, meaning that researchers have degrees of freedom to come up with statistically significant findings. When a well-publicised study fails to replicate, this is typically consistent with a model in which the first study was merely capitalising on chance.

So how can we do better? As scientists, we have to recognise sunk cost fallacy. We need to be willing to cut our losses and accept when a research programme has not advanced, rather than grasping to explain variations that can easily be understood as mere chance.

Researchers should, of course, feel free to explore speculative routes. But we must also accept that failure is an option.

La imagen destacada es tomada de: http://www.theguardian.com/higher-education-network/2016/jun/08/scientists-arent-superheroes-failure-is-a-valid-result#img-1

Professor Gelman is giving the keynote lecture at the ESRC Research Methods Festival

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El profesor Universitario y su rol como Docente –Investigador: mitos y realidades

 Conferencia dictada en el Pre-Congreso de Investigación Universidad Nacional Experimental del Táchira 25 de Mayo de 2016

Fidias G. Arias

 INTRODUCCIÓN

Tradicionalmente, son tres las funciones de la Universidad: docencia, investigación y extensión. En consecuencia, se aspira que todo profesor universitario, durante su permanencia en la Institución, cumpla en alguna medida, con las mencionadas actividades. No obstante, el perfil del docente, y específicamente, el rol del profesor universitario ha sido objeto de diversos debates.

Autores como Hattie y Marsh (1996), Casas y Stojanovic (1998) y Carvajal (2012), manifiestan su desacuerdo respecto a la dualidad de funciones. Éstos consideran que docencia e investigación son actividades independientes. Mientras que Van Dalen y Meyer (1981), Stenhouse (1984), Villarroel (1990) y Ramírez (1995), entre otros, coinciden en la necesidad de un educador que combine las labores de enseñanza e investigación. Para Van Dalen y Meyer (1981) “El maestro no podrá desempeñar de manera satisfactoria sus servicios a menos que se familiarice con la investigación” (p.24).

Específicamente en el contexto venezolano, la legislación vigente en materia de educación universitaria hace énfasis en que “la enseñanza y la investigación, así como a orientación moral y cívica que la Universidad debe impartir a sus estudiantes, están encomendadas a los miembros del personal docente y de investigación” (Ley de Universidades, 1970, Art. 83).

Con base en lo anterior, el autor considera que el profesor universitario no debe limitarse a ser un simple transmisor de conocimientos, sino que también debería generarlos y verificarlos mediante la investigación científica. Sin embargo, han surgido una serie de mitos en torno al profesor universitario y su rol como docente-investigador por lo que la presente conferencia tiene por objetivo contrastar los mitos detectados con la realidad que presenta actualmente el sector universitario en Venezuela, en cuanto a investigación se refiere.

CRITERIOS PARA SER CONSIDERADO COMO INVESTIGADOR

A nivel internacional y nacional existen criterios coincidentes para calificar a un aspirante como investigador. Algunos de estos requisitos son: – Poseer artículos de investigación publicados en Revistas Científicas Arbitradas e Indexadas. – Coordinar o participar en proyectos de investigación institucionales. – Poseer patentes registradas (en el caso de desarrollos tecnológicos). En Venezuela, el Observatorio Nacional de Ciencia, Tecnología e Innovación (ONCTI) (2015), establece en el Reglamento del Programa de Estímulo a la Investigación e Innovación (PEII), los requisitos para aspirar a las categorías de investigador e innovador.

MITOS Y REALIDADES EN TORNO AL ROL DEL DOCENTE-INVESTIGADOR EN VENEZUELA

MITO 1: Poseer título de postgrado: maestría o doctorado, califica automáticamente al profesor universitario como investigador.

REALIDAD: Según el Artículo 15 de la Normativa General de los Estudios de Postgrado para las Universidades e Instituciones debidamente autorizadas por el Consejo Nacional de Universidades, los estudios de maestría forman metodológicamente al participante para la realización de investigaciones, no obstante, ser investigador es una condición permanente y no coyuntural. Es decir, investigar no se debe hacer únicamente para la elaboración del Trabajo de Grado. Por el contrario, la labor investigativa debe ser continua y rutinaria. En cuanto a los estudios doctorales, suponen un aporte significativo y relevante mediante la Tesis Doctoral (Artículo 28 de la normativa antes mencionada). Sin embargo, la calidad de los estudios de postgrado en Venezuela es muy heterogénea, así como la calidad de las Tesis y de los Trabajos de Grado, que en muchos casos no pueden catalogarse como verdaderos trabajos de investigación. Por otra parte, la carrera de investigador no concluye con la Tesis. Se aspira que la misma o alguna parte de ésta, sea publicada al igual que otros productos de investigación generados durante el curso de doctorado.

MITO 2: El profesor universitario cumple a cabalidad con su función como investigador.

REALIDAD: Estudios realizados demuestran que la afirmación anterior poco se cumple. Aun cuando en Venezuela no existen cifras globales acerca de la producción investigativa de los profesores universitarios, si se han realizado trabajos en contextos particulares. Uno de estos estudios es el presentado por Bonalde (2013), el cual refleja que la producción científica venezolana ha descendido de manera significativa, aproximadamente en un 38%. De 1600 artículos de investigación publicados en 2008, la cifra se redujo a 1000 en 2009, cantidad similar a la de 1997.

MITO 3: El profesor universitario no puede investigar porque no recibe los recursos para dicha actividad.

REALIDAD: Excepto aquellos trabajos de campo o de laboratorio de gran alcance, que requieren traslados, costosos equipos, reactivos y permanencia en sitios lejanos al lugar de residencia, el docente universitario puede realizar investigaciones en su entorno a un costo mínimo. Hoy día la comunidad universitaria cuenta con una serie de recursos tecnológicos que facilitan la obtención de datos e información. Prueba de ello son las numerosas publicaciones científicas arbitradas de acceso abierto que están disponibles en internet. También se pueden realizar encuestas mediante el uso del correo electrónico y otras redes sociales. Pero el principal contexto de alcance inmediato para que el docente universitario realice investigaciones, es la misma universidad y el aula de clases.

MITO 4: La participación del profesor universitario en organización de eventos científicos es una actividad de investigación.

REALIDAD: Organizar un evento científico: Congreso, Simposio, o Jornadas, no es investigar. Una cosa es presentar una ponencia producto de una investigación y otra es ocuparse de la logística de un evento. Lamentablemente, en Venezuela existen programas de postgrado e incluso, post-doctorados, que acreditan o aprueban unidades de crédito con la simple organización de un encuentro de profesores universitarios. Esta concesión poco estimula la investigación y en la mayoría de los casos, sólo sirve para la reproducción del conocimiento y no para la divulgación de nuevos saberes.

MITO 5: La publicación de ensayos y artículos de revisión bibliográfica convierten al profesor universitario en investigador.

REALIDAD: Aun cuando los sistemas para calificar a un aspirante como investigador, no distinguen los tipos de publicaciones, es necesario precisar que no todos los artículos publicados en revistas arbitradas son investigaciones en sentido estricto, es decir, trabajos de indagación originales que implican descubrimientos y aportan nuevos conocimientos (sean investigaciones de campo, documentales o experimentales). En este sentido, habría que clasificar las publicaciones de los aspirantes para verificar si realmente son productos de investigación. Insistimos en que aquellos escritos que expresan sólo reflexiones del autor, así como las revisiones de la literatura o del estado del arte en una disciplina, en sentido estricto no son investigaciones, aunque sean publicaciones que contribuyan a la divulgación de conocimientos y al debate de ideas.

REFERENCIAS

Bonalde, I. (2013). Producción científica en Venezuela. Disponible en: https://nucleocdcht.files.wordpress.com/2013/10/produccic3b3ncientc3adf ica en- venezuela -ismardo-bonalde.pdf

Casas, M. y L. Stojanovic (1998). ¿Investigador y/o Docente? Informe de Investigaciones Educativas. 12, 1-2, 47-82.

Carvajal, L. (2012). Hacia una Universidad sin mitos. Disponible en: http://www.cerpe.org.ve/tl_files/Cerpe/contenido/documentos/Actualidad %20Educativa/12%20-%20Universidad%20sin%20mitos%20- %20Carvajal.pdf

Hattie, J. & Marsh, H. (1996). The relationship between research and teaching: a metaanalysis. Review of Educational Research, 66, 507-542.

Ley de Universidades (1970). Gaceta Oficial No. 1429, Extraordinario, del 8 de septiembre de 1970. Normativa General de los Estudios de Postgrado para las Universidades e Instituciones debidamente autorizadas por el Consejo Nacional de Universidades. Gaceta Oficial n° 37.328 del 20 de noviembre de 2001.

ONCTI (2015). Reglamento del Programa de Estímulo a la Investigación e Innovación (PEII).

Ramírez, T. (1995). El rol del docente-investigador en Venezuela ¿Mito o realidad? Caracas: Instituto Pedagógico de Caracas.

Stenhouse,L. (1996). La investigación como base de la enseñanza. Madrid: Morata. Van Dalen, D. y Meyer, W. (1981). Manual de técnica de la investigación educacional. Barcelona: Paidós.

Villarroel, C. (1990). La universidad y su productividad académica. Caracas: Dolvia.

Artículo enviado por su autor a la redación de OVE

Fuente de la imagen: http://4.bp.blogspot.com/_VTg1cmccpv8/S3JA2xeon_I/AAAAAAAAADc/aiTxuDtsVbA/s1600/protocoloinvestigacion011.jpg

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